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Réserve de la biosphère Río Plátano

Honduras
Facteurs affectant le bien en 2014*
  • Activités illégales
  • Cadre juridique
  • Espèces envahissantes/exotiques terrestres
  • Identité, cohésion sociale, modifications de la population locale / des communautés
  • Infrastructures hydrauliques
  • Modification du régime des sols
  • Ressources financières
  • Ressources humaines
  • Système de gestion/plan de gestion
  • Élevage de bétail / pacage d’animaux domestiques
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Implantations illégales ;
  • Pâturage illégal de bétail et empiètement agricole ;
  • Exploitation forestière illégale ;
  • Pêche commerciale illégale ;
  • Braconnage ;
  • Espèces exotiques envahissantes ;
  • Gestion insuffisante ;
  • Impacts potentiels des projets d’aménagement hydroélectrique Patuca I, II et III ;
  • Non-respect des lois
  • Lacunes en matière d’application des lois ;
  • Manque de clarté vis-à-vis de la propriété foncière et de l’accès aux ressources naturelles.
  • Déforestation ;
Menaces pour lesquelles le bien a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril
  • Exploitation forestière illégale ;
  • Occupation illégale ;
  • Manque de clarté concernant la propriété foncière ;
  • Capacité réduite de l'État Partie ;
  • Détérioration générale de la loi, de l'ordre et de la sécurité dans la région.
Mesures correctives pour le bien
Calendrier pour la mise en œuvre des mesures correctives
Pas encore rédigé
Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2014

Montant total accordé au bien : 80 000 dollars EU (qui s’ajoutent aux quelque 100 000 dollars EU d’assistance technique en nature) dans le cadre du projet d'évaluation de l'efficacité de la gestion « Mise en valeur de notre patrimoine ».

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2014
Demandes approuvées : 7 (de 1982-1996)
Montant total approuvé : 198 000 dollars E.U.
1996 Conservation strategy and preparation of a management ... (Approuvé)   30 000 dollars E.U.
1988 Equipment for Rio Platano Biosphere Reserve (Approuvé)   20 000 dollars E.U.
1987 Consultant services, training and equipment for ... (Approuvé)   30 000 dollars E.U.
1985 Strengthen protection and management of Rio Platano ... (Approuvé)   20 000 dollars E.U.
1983 Implementation of protective measures, of training ... (Approuvé)   26 000 dollars E.U.
1982 Financial contribution towards ecodevelopment ... (Approuvé)   67 025 dollars E.U.
1982 Rio Platano Biosphere Reserve (Approuvé)   4 975 dollars E.U.
Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2014

L’État partie a soumis un rapport sur l’état de conservation du bien le 17 février 2014, qui est disponible à https://whc.unesco.org/fr/list/196/documents,et relève les points suivants :

  • Un plan de gestion de la réserve de biosphère a été actualisé en 2013, incluant un plan de conservation ambitieux qui identifie les objectifs de conservation, les menaces et les stratégies. Toutefois, l’efficacité de la gestion de la réserve de biosphère est encore jugée relativement faible ;
  • La clarification des limites du bien n’a pas progressé. L’État partie se réfère à l’Assistance internationale n°2570 soumis en décembre 2012. Après évaluation, l’UICN a recommandé que la demande soit révisée et soumise au titre de l’Assistance préparatoire, pour la préparation d’une modification mineure des limites ou une nouvelle proposition d’inscription. Cette évaluation a été transmise à l’État partie en juin 2013 et aucun autre progrès n’a été observé.
  • Le suivi systématique pour identifier l’empiètement et les modifications de l’occupation des sols s’est accru et plusieurs occupants illégaux ont été renvoyés. Toutefois, la déforestation illégale considérable au sein de la réserve et la zone tampon constitue toujours une menace ;
  • La procédure de délivrance des titres fonciers a fait l’objet d’une publication dans le Journal officiel hondurien en 2012 etplusieurs communautés autochtones ont reçu des titres de propriété communautaires pour leurs terres ancestrales au sein de la réserve. Des dispositions supplémentaires ont été prises pour permettre aux communautés locales dépourvues de titres fonciers d’exploiter les ressources naturelles en toute légalité.
  • Des mesures ont été prises pour améliorer la coordination entre les différents acteurs à travers le renforcement d’un comité interministériel ad hoc pour la conservation de la réserve de biosphère. Une analyse des acteurs est entreprise afin d’explorer les options de futurs accords formels de cogestion avec un ensemble d’institutions gouvernementales pertinentes et la société civile.
  • L’État partie a présenté un projet d’État de conservation souhaité en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR) le 6 mai 2014 qui se trouve actuellement en cours d’examen par l’UICN.
Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2014

Les informations transmises par l’État partie sur les progrès accomplis vis-à-vis de plusieurs mesures correctives ont bien été notées, en particulier pour le suivi systématique, la délivrance de titres fonciers et la formalisation des accords d’accès aux ressources. Il convient aussi de relever l’intention de l’État partie de minimiser les impacts négatifs potentiels des projets hydroélectriques sur l’environnement et sa volonté d’éviter la construction de barrages d’une capacité supérieure à 15 MW et d’appliquer des mesures d’atténuation pour les constructions existantes. Toutefois, l’État partie ne donne pas plus de précisions sur le statut du barrage Patuca III et son impact potentiel en aval, tout comme les impacts indirects et à long terme sur le bien qui n’ont pas été correctement évalués dans le document original d’évaluation d’impact environnemental (EIE) de ce projet. Par conséquent, il est recommandé que le Comité demande à l’État partie d’évaluer ces impacts potentiels conformément à la Note de conseil de l’UICN pour les évaluations d’impact environnemental appliquées au patrimoine mondial.

Il y a eu aussi quelques progrès dans le renforcement du comité interministériel ad hoc et le développement de possibilités pour conclure prochainement un accord formel de cogestion. Néanmoins, les régimes de cogestion autochtones devraient encore être renforcés. En outre, le plan de gestion actualisé et les plans de conservation ambitieux qui l’accompagnent sont des mesures encourageantes pour améliorer le plan de gestion. Toutefois, on estime que le bien reste confronté à une pénurie de ressources humaines, financières et matérielles, ce qui est probablement un facteur important du peu d’efficacité de la gestion globale du bien, comme le rapporte l’État partie. Cela est particulièrement préoccupant au vu des impacts négatifs croissants sur le bien et l’ensemble de la région en raison du trafic de stupéfiants et des activités illégales qui y sont liées, y compris la conversion et la dégradation des forêts que décrivent de nombreux articles récemment parus dans les médias.

Le traitement de ces questions nécessite d’accorder la plus grande importance à la réévaluation des limites du bien en tenant compte des modifications notoires apportées aux limites et au plan de zonage original de la Réserve de la biosphère Río Plátano. Cela permettrait de définir les limites qui cernent le mieux la Valeur universelle exceptionnelle du bien. La résolution de ce point sera essentiel pour la future mise œuvre de l’État de conservation souhaité en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR) et pour l’adéquate exécution des mesures correctives. Le Centre du patrimoine mondial et l’UICN sont prêts à fournir un soutien technique à l’État partie à cet égard. À la lumière de ce qui précède, Il est recommandé que le Comité maintienne la Réserve de la biosphère Río Plátano sur la Liste du patrimoine mondial en péril.

Décisions adoptées par le Comité en 2014
38 COM 7A.33
Réserve de la biosphère Río Plátano (Honduras) (N 196)
Le Comité du patrimoine mondial,
  1. Ayant examiné le document WHC-14/38.COM/7A.Add,
  2. Rappelant la décision 37 COM 7A.18, adoptée à sa 37e session (Phnom Penh, 2013),
  3. Accueille favorablement les progrès réalisés par l’État partie dans la rédaction du projet d’État de conservation souhaité en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR) et demande à l’État partie de finaliser, en consultation avec le Centre du patrimoine mondial et l’UICN, le projet de DSOCR pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 39e session en 2015 ; 
  4. Accueille aussi favorablement les efforts de l’État partie pour mettre en œuvre les mesures correctives et les progrès accomplis, en particulier dans la mise en place d’une plateforme de suivi systématique, la délivrance en cours de titres de propriété foncière aux communautés installées autour du bien, et le renforcement du comité technique ad hoc pour la conservation de la réserve de biosphère, et encourage l’État partie à poursuivre ces efforts, avec le développement de programmes de cogestion adéquats ;
  5. Prie instamment l’État partie de progresser sur la proposition de modification des limites du bien en priorité, sans quoi les mesures correctives ne pourront pas être mises en œuvre de manière adéquate et la valeur universelle exceptionnelle (VUE) demeurera menacée, et considère que la résolution de cette question contribuera à assurer la future mise œuvre du DSOCR ;
  6. Prend note de l’intention de l’État partie d’éviter la construction de projets hydroélectriques de plus de 15 MW dans la zone tampon de la réserve de biosphère et de minimiser les impacts environnementaux et sociaux de la construction de barrages dans le bassin versant de Patuca, comme l’indique le plan de conservation récemment établi ;
  7. Note avec préoccupation que peu de progrès ont été accomplis en vue d’accroître les ressources humaines et la capacité logistique des agences chargées de la protection et de la gestion du bien ;
  8. Note également avec préoccupation que des activités illégales, incluant une exploitation forestière illégale, des implantations illégales et des activités liées à la drogue continuent d’avoir un impact sur le bien, et prie aussi instamment l’État partie de traiter promptement et efficacement ces incursions dans le bien et la zone centrale de la réserve de biosphère dans le plein respect de l’état de droit ;
  9. Demande également à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2015, un rapport, incluant un résumé exécutif d’une page, sur l’état de conservation du bien et sur les progrès supplémentaires accomplis dans la mise en œuvre des mesures correctives et la clarification des limites du bien, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 39e session en 2015 ;
  10. Décide de maintenir la Réserve de la biosphère Río Plátano (Honduras) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
38 COM 8C.2
Mise a jour de la Liste du patrimoine mondial en péril (sites maintenus)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné les rapports sur l’état de conservation des biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial en péril (WHC-14/38.COM/7A et WHC-14/38.COM/7A.Add),
  2. Décide de maintenir les biens suivants sur la Liste du patrimoine mondial en péril :
  • Afghanistan, Minaret et vestiges archéologiques de Djam (décision 38 COM 7A.14)
  • Afghanistan, Paysage culturel et vestiges archéologiques de la vallée de Bamiyan (décision 38 COM 7A.15)
  • Belize, Réseau de réserves du récif de la barrière du Belize (décision 38 COM 7A.31)
  • Chili, Usines de salpêtre de Humberstone et de Santa Laura (décision 38 COM 7A.21)
  • Colombie, Parc national de Los Katíos (décision 38 COM 7A.32)
  • Côte d'Ivoire, Parc national de la Comoé (décision 38 COM 7A.35)
  • Côte d'Ivoire / Guinée, Réserve naturelle intégrale du mont Nimba (décision 38 COM 7A.36)
  • Égypte, Abou Mena (décision 38 COM 7A.1)
  • États-Unis d'Amérique, Parc national des Everglades (décision 38 COM 7A.30)
  • Éthiopie, Parc national du Simien (décision 38 COM 7A.43)
  • Géorgie, Cathédrale de Bagrati et monastère de Ghélati (décision 38 COM 7A.16)
  • Géorgie, Monuments historiques de Mtskheta (décision 38 COM 7A.17)
  • Honduras, Réserve de la Biosphère Río Plátano (décision 38 COM 7A.33)
  • Îles Salomon, Rennell Est (décision 38 COM 7A.29)
  • Indonésie, Patrimoine des forêts tropicales ombrophiles de Sumatra (décision 38 COM 7A.28)
  • Iraq, Assour (Qal'at Cherqat) (décision 38 COM 7A.2)
  • Iraq, Ville archéologique de Samarra (décision 38 COM 7A.3)
  • Jérusalem, Vieille ville de Jérusalem et ses remparts (décision 38 COM 7A.4)
  • Madagascar, Forêts humides de l’Atsinanana (décision 38 COM 7A.44)
  • Mali, Tombouctou (décision 38 COM 7A.24)
  • Mali, Tombeau des Askia (décision 38 COM 7A.25)
  • Niger, Réserves naturelles de l'Aïr et du Ténéré (décision 38 COM 7A.45)
  • Palestine, Lieu de naissance de Jésus : l’église de la Nativité et la route de pèlerinage, Bethléem (décision 38 COM 7A.5)
  • Panama, Fortifications de la côte caraïbe du Panama : Portobelo – San Lorenzo (décision 38 COM 7A.20)
  • Pérou, Zone archéologique de Chan Chan (décision 38 COM 7A.22)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Damas (décision 38 COM 7A.12)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Bosra (décision 38 COM 7A.12)
  • République arabe syrienne, Site de Palmyre (décision 38 COM 7A.12)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville d'Alep (décision 38 COM 7A.12)
  • République arabe syrienne, Crac des Chevaliers et Qal’at Salah El-Din (décision 38 COM 7A.12)
  • République arabe syrienne, Villages antiques du Nord de la Syrie (décision 38 COM 7A.12)
  • République centrafricaine, Parc national du Manovo-Gounda St Floris (décision 38 COM 7A.34)
  • République démocratique du Congo, Parc national des Virunga (décision 38 COM 7A.37)
  • République démocratique du Congo, Parc national de Kahuzi-Biega (décision 38 COM 7A.38)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Garamba (décision 38 COM 7A.39)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Salonga (décision 38 COM 7A.40)
  • République démocratique du Congo, Réserve de faune à okapis (décision 38 COM 7A.41)
  • Sénégal, Parc national du Niokolo-Koba (décision 38 COM 7A.46)
  • Serbie, Monuments médiévaux au Kosovo (décision 38 COM 7A.18)
  • Ouganda, Tombes des rois du Buganda à Kasubi (décision 38 COM 7A.26)
  • Royaume-Uni de Grande Bretagne et d'Irlande du Nord, Liverpool – Port marchand (décision 38 COM 7A.19)
  • Venezuela, Coro et son port (décision 38 COM 7A.23)
  • Yémen, Ville historique de Zabid (décision 38 COM 7A.13)

Projet de décision :   38 COM 7A.33

Le Comité du patrimoine mondial,

  1.   Ayant examiné le document WHC-14/38.COM/7A.Add,
  2.   Rappelant la décision 37 COM 7A.18, adoptée à sa 37e session (Phnom Penh, 2013),
  3.   Accueille favorablement le progrès réalise par l’État partie dans la rédaction du projet d’État de conservation souhaité en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR) et demande à l’État partie de finaliser, en consultation avec le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives, le projet de DSOCR pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 39e session en 2015 ; 
  4.   Accueille aussi favorablement les efforts de l’État partie pour mettre en œuvre les mesures correctives et les progrès accomplis, en particulier dans la mise en place d’une plateforme de suivi systématique, la délivrance de titres de propriété foncière aux communautés installées autour du bien, et le renforcement du comité technique ad hoc pour la conservation de la réserve de biosphère, et encourage l’État partie à poursuivre ces efforts, avec le développement de programmes de cogestion adéquats ;
  5.   Prie instamment l’État partie de progresser sur la proposition de modification des limites du bien en priorité, sans quoi les mesures correctives ne pourront pas être mises en œuvre de manière adéquate et la valeur universelle exceptionnelle (VUE) demeurera menacée, et considère que la résolution de cette question sera essentielle pour assurer la future mise œuvre du DSOCR ;
  6.   Prend note de l’intention de l’État partie d’éviter la construction de projets hydroélectriques de plus de 15 MW dans la zone tampon de la réserve de la biosphère et de minimiser l’impact environnemental et social de la construction de barrages dans le bassin versant de Patuca, comme l’indique le plan de conservation récemment établi ;
  7.   Note avec préoccupation que peu de progrès ont été faits pour accroître les ressources humaines et la capacité logistique des agences chargées de la protection et de la gestion du bien ;
  8.   Note également avec préoccupation que des activités illégales, incluant une exploitation forestière illégale, des implantations illégales et des activités liées à la drogue continuent d’avoir un impact sur le bien, et prie aussi instamment l’État partie à traiter promptement et efficacement ces incursions sur le site et la zone centrale de la réserve de biosphère dans le plein respect de l’état de droit ;
  9.   Demande également à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2015, un rapport, incluant un résumé exécutif d’une page, sur l’état de conservation du bien et sur les progrès encore accomplis dans la mise en œuvre des mesures correctives et la clarification des limites du bien, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 39e session en 2015 ;
  10.   Décide de maintenir la Réserve de la biosphère Río Plátano (Honduras) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
Année du rapport : 2014
Honduras
Date d'inscription : 1982
Catégorie : Naturel
Critères : (vii)(viii)(ix)(x)
Liste en péril (dates) : 1996-2007, 2011-présent
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2014) .pdf
arrow_circle_right 38COM (2014)
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* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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