Faites une recherche à travers les informations du Centre du patrimoine mondial.

i
ii
iii
iv
v
vi
vii
viii
ix
x

Kizhi Pogost

Fédération de Russie
Facteurs affectant le bien en 2013*
  • Activités de gestion
  • Habitat
  • Impacts des activités touristiques / de loisirs des visiteurs
  • Infrastructures de transport maritime
  • Modification du régime des sols
  • Système de gestion/plan de gestion
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Intégrité de la structure de l'Église de la Transfiguration;
  • Absence de plan de gestion intégrée en mesure de traiter la gestion globale du bien du patrimoine mondial;
  • Pressions liées au développement touristique.
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2013
Demandes approuvées : 2 (de 1992-2001)
Montant total approuvé : 38 540 dollars E.U.
2001 International Workshop on the preservation and ... (Approuvé)   29 540 dollars E.U.
1992 Mission of 3 experts to define the state of ... (Approuvé)   9 000 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2013**

1992, 1993, 1994, 2011 : missions de l'ICOMOS ; 2002: mission conjointe UNESCO / ICOMOS / ICCROM et atelier sur site ; 2007, 2010 et 2013 : missions conjointes de suivi réactif Centre du patrimoine mondial / ICOMOS

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2013

Un rapport sur l’état de conservation a été soumis par l’État partie le 18 février 2013. Une mission de suivi réactif conjointe Centre du patrimoine mondial / ICOMOS a eu lieu du 1er au 6 avril 2013. Lien hypertexte vers le rapport de la mission : https://whc.unesco.org/fr/sessions/37COM/documents

a) Gestion du site

L’État partie indique que le site est géré conformément  aux dispositions législatives en place et à la planification stratégique du musée fédéral de l’architecture et de l’histoire culturelle de Kizhi. Le plan de gestion du bien a été finalisé 2012. Le processus de planification prévoit la participation de différentes parties et fixe des objectifs pour assurer une protection, une préservation et un aménagement efficaces du bien. Il contient des critères applicables aux méthodes de conservation et intègre les préoccupations en matière de préservation du paysage historique et de développement de la destination culturelle grâce à une stratégie du tourisme.

La mission a noté que le bien continue d’être géré conformément au plan de développement technique et économique approuvé par le gouvernement de Karelia le 1er mars 2002. Le projet du plan de gestion du site du patrimoine mondial de Kizhi Pogost 2012-2022 a été soumis au Centre du patrimoine mondial fin mars 2013 et seulement certaines parties avaient été présentées à la mission. Malgré cela, la mission a observé que le projet était un document exhaustif et détaillé sur la gestion du site et contenait une liste des projets en cours et prévus mais ne faisait pas ressortir clairement qu’il est important de maintenir la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien en tant que priorité dans toutes les décisions de gestion. Le projet de plan présenté est également insuffisant en termes de gestion intégrée, de réglementation des zones tampons et du nouvel aménagement, et de stratégie du tourisme, tous ces sujets correspondant à des préoccupations pressantes qu’il est nécessaire de traiter d’une manière globale et durable. Le processus participatif pour l’élaboration du plan de gestion prévoit le fonctionnement d’un Conseil public, dont l’établissement est prévu en 2013. 

b) Zone tampon

L’État partie a soumis au Centre du patrimoine mondial des informations géographiques et cartographiques sur la clarification des limites du bien, qui seront examinées par le Comité du patrimoine mondial au point 8 de l’ordre du jour (document WHC-13/37.COM/8D). En outre, il indique que des spécifications relatives à l’occupation des sols et à l’urbanisme dans ces zones tampons ont également été élaborées et que les informations sur les limites des zones protégées ont été soumises à la république de Karelia en vue de leur inscription sur le cadastre des biens immobiliers de cet État. Le plan de gestion comprend un programme pour le paysage et la décision a été prise de maintenir des liens visuels entre les différents monuments de l’île de Kizhi. Un programme de suivi de l’environnement a également été mis en œuvre, ce programme, avec les travaux de gestion des déchets, devant améliorer les conditions régnant sur l’île.

La mission a seulement pu procéder à un examen préliminaire du plan d’occupation des sols, celui-ci n’ayant pas encore été traduit. Elle a noté que ce plan contenait une analyse du paysage portant sur le corridor visuel, basée sur la perception visuelle et esthétique de Kizhi Pogost. Toutefois, elle a considéré que ce plan nécessitait une révision afin qu’il ne prenne pas seulement en compte l’esthétique et les perspectives mais qu’il inclue également les facteurs historiques de l’occupation des sols, de l’environnement et de la durabilité générale. Par ailleurs, la mission a noté que l’aménagement proposé sur l’île de Kizhi et les zones environnantes est exclus de la réglementation générale des zones tampons. Les règlements sur l’occupation des sols et les directives relatives à la conception de l’environnement du bien doivent prévoir des dispositions concernant le nouvel aménagement, dont une analyse de visibilité, les fonctions, masses, matériaux, volumes et emplacements, etc. Elle a également souligné la nécessité de préparer des évaluations de l’impact sur le patrimoine et sur l’environnement (EIP et EIE) pour tous les nouveaux aménagements proposés.

La mission a noté que le nouveau quai pour les bateaux de touristes et le terminal de chargement à l’extrémité nord de l’île Kizhi sont terminés et que la nouvelle route reliant Velikaya Guba au village d’Oyativshena est en construction. Aucune EIP n’a été entreprise préalablement à ces nouveaux aménagements et aucune n’a non plus été soumise pour examen avant leur mise en œuvre, en vue d’une évaluation de leurs impacts potentiels sur le bien. La mission s’est également vu présenter la proposition de projet concernant le nouveau centre administratif et de visiteurs qui nécessite une révision complète, prenant en considération l’utilisation de bâtiments existants, en termes de qualité architecturale, fonction, conception, compatibilité environnementale, et faisant l’objet d’une EIE et d’une EIP préalablement à l’approbation de sa construction. 

c) Conservation, protection et suivi 

L’État partie précise les mesures de protection qui ont été mises en œuvre pour améliorer la sécurité du bien. Ces mesures comprennent des installations d’alarme-incendie et des équipements, intérieurs et extérieurs, de lutte contre les incendies et des systèmes de télévision en circuit fermé. Des agents affectés à la sécurité ont été désignés pour surveiller le respect des règlements relatifs au bien et des employés du musée ont bénéficié d’un renforcement de leurs capacités techniques pour intervenir en cas d’urgence. S’agissant des interventions de conservation, l’État partie a fourni un rapport détaillé sur les interventions complexes qui ont été effectuées à ce jour sur l’église de la Transfiguration et sur l’église de l’Intercession. En 2012, la première étape de la restauration de l’église de la Transfiguration a été terminée et la seconde étape a commencé, avec un achèvement prévu en 2016. La deuxième étape suivra les méthodes et approches qui ont été testées et prouvées efficaces dans le cadre de la 1ère étape, ce qui constitue effectivement des lignes directrices pour les interventions futures. La période d trois ans qui était prévue pour l’église de l’Intercession est arrivée à son terme en 2012. Des mesures de suivi ont été mises en œuvre pour évaluer le taux et l’étendue des déformations  et bio-détériorations potentielles. Des inspections régulières ont continué d’être effectuées sur les éléments structurels. Les résultats du suivi ont été utilisés pour identifier une série de mesures préventives visant à traiter les sources de délabrement et atténuer les effets de la détérioration.

 

La mission a observé qu’à l’heure actuelle le tissu et la structure de l’église de la Transfiguration sont dans un état de détérioration avancé mais ne risquent pas un effondrement ou une perte imminente. Les travaux de conservation progressent bien et l’approche suivie est cohérente. La mission a noté que la continuité et l’avancement du projet sont essentiels pour maintenir la valeur universelle exceptionnelle du bien, il est donc nécessaire d’assurer un financement pour soutenir les interventions. Elle a également noté que le programme d’entretien préventif est actuellement en cours sur l’église de l’Intercession.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2013

Le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives notent les progrès accomplis par l’État partie en traitant les recommandations des missions consultatives et de suivi réactif qui se sont rendues sur le bien, ainsi que les décisions du Comité du patrimoine mondial. Ils considèrent également que l’élaboration du plan de gestion est essentielle, en complément de la définition de la zone tampon, pour assurer la conservation, la protection et la gestion du bien inscrit et de son environnement paysager. Ils estiment par ailleurs que les travaux dans l’église de la Transfiguration et l’église de l’Intercession ont avancé d’une manière positive mais doivent se poursuivre pour s’assurer qu’aucune autre perte de tissu et de caractéristiques conceptuelles ne se produise.

 

Le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives notent avec inquiétude les pressions découlant de l’augmentation du tourisme et de l’aménagement de l’infrastructure, ainsi que des modifications continues en matière d’occupation des sols (des terres agricoles devant des terrains à construire) et les constructions non prévues de diverses installations et habitations. Les impacts et effets cumulatifs de ces facteurs pourraient représenter une menace potentielle pour la protection de l’environnement et de la VUE du bien. Ils soulignent que la nécessité de disposer d’une stratégie de tourisme durable existe toujours et que le plan de gestion doit être révisé pour inclure des règlements et lignes directrices de conception stricts concernant les nouveaux aménagements dans l’environnement du bien. Ils notent également que des EIP et des EIE détaillées doivent être réalisées pour tous les nouveaux aménagements proposés et être soumis, conformément au paragraphe 172 des Orientations, pour examen préalablement à l’approbation de leur mise en œuvre au niveau fédéral.

Décisions adoptées par le Comité en 2013
37 COM 7B.80
Kizhi Pogost (Fédération de Russie) (C 544)

Le Comité du patrimoine mondial,

1.  Ayant examiné le document WHC-13/37.COM/7B.Add,

2.  Rappelant la décision 36 COM 7B.83 , adoptée à sa 36e session (Saint-Pétersbourg, 2012),

3.  Note les progrès accomplis par l’État partie en matière de conservation et de protection de l’église de la Transfiguration et de l’église de l’Intercession et prie instamment l’État partie de soutenir ces efforts en temps voulu et d’assurer les ressources nécessaires pour garantir qu’aucune autre perte de tissu et de caractéristiques conceptuelles, qui pourrait constituer une menace pour le bien, ne se produise ;

4.  Prend note des mesures que l’État partie prend pour élaborer des dispositions juridiques concernant la protection des biens culturels du patrimoine mondial ;

5.  Prend également note des recommandations émises en avril 2013 par la mission de suivi réactif s’étant rendue sur le bien et prie aussi instamment l’État partie de mettre en œuvre ces recommandations, en particulier, de :

a)  réviser le plan de gestion pour assurer que la conservation et la protection des attributs qui expriment la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien orientent la prise de décision ; le plan de gestion révisé doit inclure des règlements concernant l’occupation des sols et les nouveaux aménagements, des dispositions pour la gestion du paysage agricole, une stratégie de tourisme durable, des mesures de préparation aux risques et des mesures pour le suivi de l’état des ressources archéologiques,

b)  arrêter tous les nouveaux aménagements proposés dans la zone tampon et l’environnement du bien, y compris les installations pour les visiteurs et l’administration, jusqu’à ce que le plan de gestion ait été révisé et que les évaluations de l’impact sur l’environnement  et le patrimoine aient été réalisées pour prendre en compte les impacts attendus et la compatibilité des aménagements avec la VUE du bien,

c)  améliorer la mise en œuvre de la protection contre les incendies et les plans de sécurité pour parvenir à un meilleur niveau de protection et de qualité de l’environnement du bien,

d)  finaliser l’élaboration des lignes directrices pour les projets de restauration qui concernent des travaux de conservation sur les principaux attributs du bien ;

6.  Demande , conformément au paragraphe 172 des Orientations , à l’État partie de soumettre la proposition de projet, les spécifications techniques et les évaluations de l’impact sur l’environnement et sur le patrimoine, concernant le Bureau et le Centre public du musée de Kizhi et tout autre projet d’aménagement prévu, pour examen par le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives préalablement à tout engagement de mise en œuvre ;

7.  Demande également à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial pour examen par les Organisations consultatives le projet de plan de gestion en trois exemplaires imprimés sur papier et en version électronique ;

8.  Demande en outre à l’État partie d’inviter une mission consultative au début de l’année 2014 pour évaluer les progrès accomplis en matière de travaux de restauration et de mise en œuvre de ce qui précède ;

9.  Demande par ailleurs à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2014 , un rapport mis à jour sur l’état de conservation du bien et la mise en œuvre de ce qui précède, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 38e   session en 2014. 

37 COM 8D
Clarifications des limites et des superficies des biens par les Etats parties en réponse à l’Inventaire rétrospectif

Le Comité du patrimoine mondial,

1. Ayant examiné le Document WHC-13/37.COM/8D,

2. Rappelant la Décision 36 COM 8D, adoptée lors de sa 36e session (Saint-Pétersbourg, 2012),

3. Reconnaît l’excellent travail accompli par les États parties dans la clarification de la délimitation de leurs biens du patrimoine mondial et les remercie pour leurs efforts visant à améliorer la crédibilité de la Liste du patrimoine mondial ;

4. Rappelle que le Centre du patrimoine mondial ainsi que les organisations consultatives ne seront pas en mesure d’examiner des propositions de modifications mineures ou importantes des limites pour les biens du patrimoine mondial dont les limites à l’époque de l’inscription ne sont pas claires ;

5. Prend note des clarifications des limites et des superficies de biens fournies par les États parties suivants en réponse à l’Inventaire rétrospectif, telles que présentées dans les annexes du Document WHC-13/37.COM/8D :

  • Algérie: Casbah d'Alger;
  • Allemagne : Ville hanséatique de Lübeck ; Usine sidérurgique de Völklingen ;
  • Brésil : Sanctuaire de Bon Jésus à Congonhas ; Brasilia ; Centre historique de São Luís ;
  • Cuba : Château de San Pedro de la Roca, Santiago de Cuba ;
  • Espagne : Vieille ville d’Ávila avec ses églises extra-muros; Ville historique de Tolède ; Ville historique fortifiée de Cuenca ; Palais de la musique catalane et hôpital de Sant Pau, Barcelone ;
  • Fédération de Russie : Centre historique de Saint-Pétersbourg et ensembles monumentaux annexes ; Kizhi Pogost ;
  • Mexique : Sian Ka’an ; Cité préhispanique et parc national de Palenque ; Centre historique de Puebla ; Ville historique de Guanajuato et mines adjacentes ; Centre historique de Morelia ; Sanctuaire de baleines d’El Vizcaino ; Centre historique de Zacatecas ; Peintures rupestres de la Sierra de San Francisco ; Zone archéologique de Paquimé, Casas Grandes ; Zone de monuments historiques de Tlacotalpan ;
  • Panama : Parc national du Darien ;
  • Paraguay : Missions jésuites de la Santísima Trinidad de Paraná et Jesús de Tavarangue ;
  • Pérou : Ville de Cuzco ; Site archéologique de Chavin ; Zone archéologique de Chan Chan ; Centre historique de Lima ; Parc national Río Abiseo ; Lignes et géoglyphes de Nasca et de Pampas de Jumana ;
  • République dominicaine : Ville coloniale de Saint-Domingue ;
  • Viet Nam : Ensemble de monuments de Huê ;

6. Demande aux États parties n’ayant pas encore répondu aux questions soulevées dans le cadre de l’Inventaire rétrospectif de bien vouloir fournir toutes les clarifications ainsi que la documentation demandée le plus rapidement possible et d’ici le 1 décembre 2013 au plus tard.

Projet de décision :  37 COM 7B.80

Le Comité du patrimoine mondial,

1.  Ayant examiné le document WHC-13/37.COM/7B.Add,

2.  Rappelant la décision 36 COM 7B.83, adoptée à sa 36e session (Saint-Pétersbourg, 2012),

3.  Note les progrès accomplis par l’État partie en matière de conservation et de protection de l’église de la Transfiguration et de l’église de l’Intercession et prie instamment l’État partie de soutenir ces efforts en temps voulu et d’assurer les ressources nécessaires pour garantir qu’aucune autre perte de tissu et de caractéristiques conceptuelles, qui pourrait constituer une menace pour le bien, ne se produise ;

4.  Prend note des mesures que l’État partie prend pour élaborer des dispositions juridiques concernant la protection des biens culturels du patrimoine mondial ;

5.  Prend note des recommandations émises en avril 2013 par la mission de suivi réactif s’étant rendue sur le bien et prie aussi instamment l’État partie de mettre en œuvre ces recommandations, en particulier, de

a)  réviser le plan de gestion pour assurer que la conservation et la protection des attributs qui expriment la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien orientent la prise de décision ; le plan de gestion révisé doit inclure des règlements concernant l’occupation des sols et les nouveaux aménagements, des dispositions pour la gestion du paysage agricole, une stratégie de tourisme durable, des mesures de préparation aux risques et des mesures pour le suivi de l’état des ressources archéologiques,

b)  arrêter tous les nouveaux aménagements proposés dans la zone tampon et l’environnement du bien, y compris les installations pour les visiteurs et l’administration, jusqu’à ce que le plan de gestion ait été révisé et que les évaluations de l’impact sur l’environnement  et le patrimoine aient été réalisées pour prendre en compte les impacts attendus et la compatibilité des aménagements avec la VUE du bien,

c)  améliorer la mise en œuvre de la protection contre les incendies et les plans de sécurité pour parvenir à un meilleur niveau de protection et de qualité de l’environnement du bien,

d)  finaliser l’élaboration des lignes directrices pour les projets de restauration qui concernent des travaux de conservation sur les principaux attributs du bien ;

6.  Demande, conformément au paragraphe 172 des Orientations, à l’État partie de soumettre la proposition de projet, les spécifications techniques et les évaluations de l’impact sur l’environnement et sur le patrimoine, concernant le Bureau et le Centre public du musée de Kizhi et tout autre projet d’aménagement prévu, pour examen par le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives préalablement à tout engagement de mise en œuvre ;

7.  Demande également à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial pour examen par les Organisations consultatives le projet de plan de gestion en trois exemplaires imprimés sur papier et en version électronique ;

8.  Demande en outre à l’État partie d’inviter une mission consultative au début de l’année 2014 pour évaluer les progrès accomplis en matière de travaux de restauration et de mise en œuvre de ce qui précède ;

9.  Demande par ailleurs à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2014, un rapport mis à jour sur l’état de conservation du bien et la mise en œuvre de ce qui précède, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 38e  session en 2014.

 

Année du rapport : 2013
Fédération de Russie
Date d'inscription : 1990
Catégorie : Culturel
Critères : (i)(iv)(v)
Documents examinés par le Comité
arrow_circle_right 37COM (2013)
Exports

* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


top