Parc national de la Garamba
Facteurs affectant le bien en 1989*
- Activités illégales
- Système de gestion/plan de gestion
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
Braconnage; Problèmes de gestion
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 1989
Montant total approuvé : 174 120 dollars E.U.
1988 | Purchase of 2 vehicles to continue the activities of ... (Approuvé) | 50 000 dollars E.U. |
1986 | Purchase of equipment for the project to protect the ... (Approuvé) | 20 000 dollars E.U. |
1985 | Equipment for the project to protect the rhinoceros ... (Approuvé) | 20 000 dollars E.U. |
1985 | Contribution to the project for to rescue the white ... (Approuvé) | 25 000 dollars E.U. |
1983 | Equipment for rescue programme for white rhino and ... (Approuvé) | 40 000 dollars E.U. |
1980 | Equipment for Garamba National Park (Approuvé) | 19 120 dollars E.U. |
Missions sur le bien jusqu'en 1989**
Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 1989
Le projet conjoint de réhabilitation de ce parc, géré par la Société zoologique de Francfort, le WWF et le fonds du patrimoine mondial, en coopération avec l'UICN, a été extrêmement fructueux puisque aucun rhinocéros n'ayant été victime de braconnage au cours des cinq dernières années, la population de rhinocéros a augmenté de 50 pour cent, et un système de gestion amélioré a été instauré.
Le parc a récemment célébré son cinquantième anniversaire.
Le bureau a pris note avec satisfaction de cette situation et a recommandé que le site soit à nouveau examiné en 1990: si la situation continue à évoluer favorablement, des mesures devront être prises pour retirer le site de la liste des biens naturels du patrimoine mondial en danger.
L'UICN, le WWF et la Société zoologique de Francfort examinent maintenant la phase suivante du projet de réhabilitation qui consiste à continuer de suivre avec vigilance la situation du braconnage, à préparer un plan de gestion et à envisager des travaux à l'extérieur du parc, selon le modèle du Programme sur l'homme et la biosphère. Une nouvelle demande de soutien du fonds du patrimoine mondial pourrait être formulée. La situation devra être suivie avec attention, le parc contenant la dernière population naturelle viable de rhinocéros blancs du nord, estimée à 21 en 1988 contre 15 en 1984.
Résumé des interventions
Décisions adoptées par le Comité en 1989
13 BUR IV.A.2
Etat de conservation
2) Parc national de la Garamba [Zaïre)
Le projet commun de réhabilitation de ce parc géré conjointement par la Société zoologique de Francfort, le WWF et le Fonds du patrimoine mondial est une grande réussite: plus aucun rhinocéros n'a été victime de braconniers au cours des cinq dernières années, la population de rhinocéros a augmenté de 50% et un meilleur système de gestion a été mis en place. Le parc a récemment fêté le cinquantième anniversaire de sa fondation. Le Bureau a pris note de cette situation avec satisfaction et recommandé que le cas de ce site soit réexaminé en 1990; si sa situation continuait à s'améliorer, il faudrait envisager de procéder à son retrait de la Liste du patrimoine mondial en péril.
13 COM XV.D
Liste du patrimoine mondial en péril : Parc national de la Garamba (Zaïre)
Parc national de la Garamba (Zaïre)
Le représentant du Zaïre a remercié le Comité de son soutien constant qui a permis d'améliorer la protection et la gestion du site, inscrit en 1984 sur la Liste du patrimoine mondial en péril, du fait d'une diminution alarmante de la population de rhinocéros blancs du nord. Le projet réunissant la Société zoologique de Francfort, le WWF et le Comité du patrimoine mondial a contribué à redresser la situation. En conséquence, le Comité a recommandé aux autorités zaïroises de demander officiellement que ce site soit retiré de la Liste en 1990.
Pas de projet de décision
Exports
* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).
** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.