Parc national de la Garamba
Facteurs affectant le bien en 1987*
- Activités illégales
- Système de gestion/plan de gestion
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
Braconnage; Problèmes de gestion
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 1987
Montant total approuvé : 124 120 dollars E.U.
1986 | Purchase of equipment for the project to protect the ... (Approuvé) | 20 000 dollars E.U. |
1985 | Equipment for the project to protect the rhinoceros ... (Approuvé) | 20 000 dollars E.U. |
1985 | Contribution to the project for to rescue the white ... (Approuvé) | 25 000 dollars E.U. |
1983 | Equipment for rescue programme for white rhino and ... (Approuvé) | 40 000 dollars E.U. |
1980 | Equipment for Garamba National Park (Approuvé) | 19 120 dollars E.U. |
Missions sur le bien jusqu'en 1987**
Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 1987
Les effectifs des derniers rhinocéros blancs sont stables, voire en légère augmentation, passant de 15 à 18.
Toutefois, leur situation estencore précaire, et il est prévu que les donateurs, notamment le patrimoine mondial, poursuivent leur action de soutien.
Résumé des interventions
Décisions adoptées par le Comité en 1987
11 COM VIII.17
SOC : Parc national de Djoudj (Sénégal), Zone de conservation de Ngorongoro (Tanzanie) & Parc national de la Garamba (Zaïre)
17. Le Comité a noté avec satisfaction que la situation s'était considérablement améliorée au cours de l'année dans deux des sites naturels inscrits sur la Liste du patrimoine mondial en péril, à savoir le Parc national des oiseaux du Djoudj (Sénégal) et la zone de conservation de Ngorongoro (Tanzanie), et que l'UICN proposerait que ces deux sites soient retirés de la Liste du patrimoine mondial en péril d'ici deux ans. La situation dans le Parc national de la Garamba (Zaïre) s'était également améliorée mais restait préoccupante.
Pas de orojet de décision
Exports
* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).
** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.