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Parc national du Manovo-Gounda St Floris

République centrafricaine
Facteurs affectant le bien en 2016*
  • Activités illégales
  • Exploitation minière
  • Identité, cohésion sociale, modifications de la population locale / des communautés
  • Troubles civils
  • Élevage de bétail / pacage d’animaux domestiques
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Insécurité
  • Braconnage
  • Exploitation minière
  • Transhumance et paturâge illégaux
  • Pêche illégale
  • Occupation illégale du bien
Menaces pour lesquelles le bien a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril
  • Pâturage illégal 
  • Braconnage par des groupes lourdement armés entraînant, en conséquence, la perte de 80% de la faune sauvage due à la détérioration de la situation sécuritaire 
  • Arrêt du tourisme 
Etat de conservation souhaité pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril
Mesures correctives pour le bien
Calendrier pour la mise en œuvre des mesures correctives

Pas encore identifié

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2016
Demandes approuvées : 4 (de 2001-2012)
Montant total approuvé : 225 488 dollars E.U.
2012 Atelier d'élaboration d'un plan d'urgence pour le parc ... (Approuvé)   25 488 dollars E.U.
2007 Assistance d'urgence pour la sauvegarde d'un bien du ... (Approuvé)   30 000 dollars E.U.
2001 Programme d'urgence pour la réhabilitation du site du ... (Approuvé)   150 000 dollars E.U.
2001 Project for "Long-term Conservation of the ... (Approuvé)   20 000 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2016**

Mai 2001 et avril 2009: missions conjointes UNESCO/UICN de suivi réactif. 

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2016

Le 7 avril 2016, l’Etat partie a soumis un rapport sur l’état de conservation du bien, disponible à https://whc.unesco.org/fr/list/475/documents/. L’Etat partie n’a pas encore invité la mission de suivi réactif demandée par le Comité dans sa décision 38 COM 7A.34, ni organisé l’atelier pour évaluer la faisabilité du rétablissement de la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien, ni préparéun plan d’action d’urgence.

Le rapport fournit les informations suivantes:

  • Les négociations avec l’Union Européenne ont abouti au financement du projet ECOFAUNE+, qui aura pour objectif le renforcement de la conservation de la faune, du processus d’aménagement du territoire, de la valorisation des ressources et de l’appui au développement local dans la vaste région du grand Nord qui abrite le bien;
  • La construction d’une base de vie et l’aménagement des pistes et des salines au sein du bien sont prévus dans le cadre du Programme pour la Conservation de la Biodiversité en Afrique Centrale – Sauvegarde des Eléphants d’Afrique centrale (PCBAC-SEAC) financé par la Banque africaine de développement (BAD). Ce Programme bénéficie également d’un financement de 150 millions de francs CFA (260,000 dollars EU) sur deux ans de la Caisse d’Affectation Spéciale et de Développement Forestier (CASDF). L’aménagement, la sécurisation et la mise en valeur des Zones Cynégétiques Villageoises (ZCV) et des domaines de chasse autour du bien sont également prévus ;
  • La mise en œuvre de plusieurs activités techniques est évoquée, sans pour autant faire une distinction entre les activités récentes et les activités ayant eu lieu entre 2008 et 2012 ;
  • L’insécurité suite au conflit du Darfour, la présence des transhumants en provenance du Tchad et du Soudan, ainsi que la persistance du braconnage transfrontalier sont parmi les difficultés rencontrées pour la mise en œuvre des mesures correctives.

Le 13 novembre 2015, l’Etat partie a soumis une synthèse du rapport du Forum National de Bangui relatif à la restauration de la paix, qui a eu lieu du 4 au 11 mai 2015.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2016

Le Forum National de Bangui a représenté une importante opportunité pour l’Etat partie et le peuple centrafricain d’aborder la crise politique et sécuritaire. On doit espérer que les engagements pris lors de ce Forum permettront une restauration progressive de la paix et une amélioration de la situation sécuritaire dans tout le pays, y compris dans la région où est situé le bien. Toutefois, il faudra du temps pour arriver à une stabilisation de la situation et en attendant, la situation sécuritaire dans et autour du bien reste problématique.

La confirmation du financement par la Commission européenne du projet ECOFAUNE+ est accueillie favorablement, ainsi que les activités d’aménagement, de sécurisation et de mise en valeur des ZCV prévues dans le cadre du PCBAC-SEAC. Il faut toutefois rappeler que lors de la 39e session du Comité, le Centre du patrimoine mondial et l’UICN avaient noté que malgré les efforts continus de l’Etat partie dans la mise en œuvre du projet ECOFAUNE dans le Nord-Est du pays dans une situation sécuritaire difficile, aucune activité de surveillance n’avait été possible dans la plupart des zones du projet, et notamment à l’intérieur du bien. Le rapport de l’Etat partie, en évoquant les difficultés rencontrées pour mettre en œuvre les mesures correctives, indique que la situation à l’intérieur du bien demeure grave en terme d’insécurité et du fait des impacts de la transhumance et du braconnage transfrontalier. Il est recommandé que le Comité demande l’Etat partie de fournir plus d’informations sur les activités de sécurisation, de lutte anti-braconnage et d’aménagement qui sont réalisées dans le bien actuellement.

L’engagement de l’Etat partie de poursuivre la mise en œuvre du projet ECOFAUNE+ et du PCBAC-SEAC doit être accueilli favorablement et encouragé davantage. Toutefois, avec la persistance de l’insécurité et des pressions extrêmement importantes auxquelles fait face le bien, et en raison de l’absence de données permettant une analyse de la situation actuelle, les perspectives pour la restauration de la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien semblent toujours être remises en question. Il est donc recommandé que le Comité réitère sa demande à l’Etat partie d’organiser un atelier pour évaluer la faisabilité de la restauration de la VUE du bien dans les conditions actuelles de sécurité et, sur la base des conclusions de cet atelier, de préparer un plan d’action d’urgence centré sur les mesures correctives adoptées par le Comité lors de sa 33e session (Séville, 2009). Rappelant les inquiétudes exprimées par le Comité depuis sa 38e session (Doha, 2014) sur le fait que le bien pourrait avoir perdu sa VUE, il est également recommandé que le Comité réitère sa demande à l’Etat partie d’inviter une mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN, dès que la situation sécuritaire le permettra, afin d’évaluer l’état de conservation du bien et de déterminer s’il reste des perspectives de régénération des caractéristiques du bien qui justifient sa VUE, ou si un retrait du bien de Liste du patrimoine mondial devrait être envisagé.

Pour le moment, il est recommandé que le Comité maintienne le bien sur la Liste du patrimoine mondial en péril et continue d’appliquer le mécanisme de suivi renforcé.

Décisions adoptées par le Comité en 2016
40 COM 7A.34
Parc national de Manovo Gounda Saint-Floris (République centrafricaine) (N 475)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/16/40.COM/7A.Add,
  2. Rappelant les décisions 38 COM 7A.34 et 39 COM 7A.1, adoptées respectivement lors de ses 38e (Doha, 2014) et 39e (Bonn, 2015) sessions,
  3. Prend note de la tenue du Forum National de Bangui relatif à la restauration de la paix et exprime l’espoir que les engagements pris suite à ce Forum permettront une amélioration progressive de la situation sécuritaire dans tout le pays, y compris dans la zone où se situe le bien ;
  4. Note toutefois avec inquiétude que l’insécurité continue de compliquer la mise en œuvre des mesures correctives adoptées par le Comité lors de sa 33e session (Séville, 2009) ;
  5. Réitère son extrême préoccupation concernant la probable disparition de la plupart des espèces phares de grands mammifères dans le bien, en raison du braconnage et des impacts du bétail transhumant ;
  6. Réitère également sa plus vive inquiétude quant au fait que le bien pourrait déjà avoir perdu sa valeur universelle exceptionnelle (VUE), ce qui devrait entraîner son retrait de la Liste du patrimoine mondial, conformément au paragraphe 176d) des Orientations;
  7. Accueille favorablement l’engagement de l’État partie de poursuivre la mise en œuvre du projet ECOFAUNE+ avec l’appui de l’Union européenne, ainsi que les activités d’aménagement et de sécurisation prévues dans et autour du bien dans le cadre du Programme pour la Conservation de la Biodiversité en Afrique Centrale – Sauvegarde des Eléphants d’Afrique centrale financé par la Banque africaine de développement et encourage l’État partie à poursuivre ses efforts ;
  8. Réitère sa demande à l’État partie d'organiser un atelier pour évaluer la faisabilité de la restauration de la VUE du bien dans les conditions actuelles de sécurité et, sur cette base, de préparer un plan d'action d'urgence, centré sur les mesures correctives adoptées ;
  9. Réitère également sa demande à l’État partie d’inviter une mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN, dès que la situation sécuritaire le permettra, afin d’évaluer l’état de conservation du bien et de déterminer s’il reste des perspectives de régénération des caractéristiques du bien qui justifient sa VUE, ou si un retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial devrait être envisagé, conformément à la procédure prévue au Chapitre IV.C des Orientations;
  10. Demande à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2017, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 41e session en 2017 ;
  11. Décide de continuer d’appliquer le mécanisme de suivi renforcé à ce bien ;
  12. Décide également de maintenir le Parc national du Manovo-Gounda St Floris (République centrafricaine) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
40 COM 8C.2
Mise a jour de la Liste du patrimoine mondial en péril (biens maintenus)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné les rapports sur l’état de conservation des biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial en péril (WHC/16/40.COM/7A, WHC/16/40.COM/7A.Add et WHC/16/40.COM/7A.Add.2),
  2. Décide de maintenir les biens suivants sur la Liste du patrimoine mondial en péril :
  • Afghanistan, Paysage culturel et vestiges archéologiques de la vallée de Bamiyan (décision 40 COM 7A.26)
  • Afghanistan, Minaret et vestiges archéologiques de Djam (décision 40 COM 7A.27)
  • Belize, Réseau de réserves du récif de la barrière du Belize (décision 40 COM 7A.32)
  • Bolivie (État plurinational de), Ville de Potosí (décision 40 COM 7A.1)
  • Chili, Usines de salpêtre de Humberstone et de Santa Laura (décision 40 COM 7A.2)
  • Côte d'Ivoire, Parc national de la Comoé (décision 40 COM 7A.35)
  • Côte d'Ivoire / Guinée, Réserve naturelle intégrale du mont Nimba (décision 40 COM 7A.36)
  • Égypte, Abou Mena (décision 40 COM 7A.9)
  • États-Unis d'Amérique, Parc national des Everglades (décision 40 COM 7A.50)
  • Éthiopie, Parc national du Simien (décision 40 COM 7A.43)
  • Géorgie, Cathédrale de Bagrati et monastère de Ghélati (décision 40 COM 7A.28)
  • Honduras, Réserve de la Biosphère Río Plátano (décision 40 COM 7A.33)
  • Îles Salomon, Rennell Est (décision 40 COM 7A.49)
  • Indonésie, Patrimoine des forêts tropicales ombrophiles de Sumatra (décision 40 COM 7A.48)
  • Iraq, Assour (Qal'at Cherqat) (décision 40 COM 7A.10)
  • Iraq, Hatra (décision 40 COM 7A.11)
  • Iraq, Ville archéologique de Samarra (décision 40 COM 7A.12)
  • Vieille ville de Jérusalem et ses remparts (site proposé par la Jordanie) (décision 40 COM 7A.13)
  • Madagascar, Forêts humides de l’Atsinanana (décision 40 COM 7A.44)
  • Mali, Tombouctou (décision 40 COM 7A.6)
  • Mali, Tombeau des Askia (décision 40 COM 7A.7)
  • Niger, Réserves naturelles de l'Aïr et du Ténéré (décision 40 COM 7A.45)
  • Palestine, Lieu de naissance de Jésus : l’église de la Nativité et la route de pèlerinage, Bethléem (décision 40 COM 7A.14)
  • Palestine, Palestine : pays d’olives et de vignes – Paysage culturel du sud de Jérusalem, Battir (décision 40 COM 7A.15)
  • Panama, Fortifications de la côte caraïbe du Panama : Portobelo – San Lorenzo (décision 40 COM 7A.3)
  • Pérou, Zone archéologique de Chan Chan (décision 40 COM 7A.4)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville d'Alep (décision 40 COM 7A.16)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Bosra (décision 40 COM 7A.17)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Damas (décision 40 COM 7A.18)
  • République arabe syrienne, Villages antiques du Nord de la Syrie (décision 40 COM 7A.19)
  • République arabe syrienne, Crac des Chevaliers et Qal’at Salah El-Din (décision 40 COM 7A.20)
  • République arabe syrienne, Site de Palmyre (décision 40 COM 7A.21)
  • République centrafricaine, Parc national du Manovo-Gounda St Floris (décision 40 COM 7A.34)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Garamba (décision 40 COM 7A.37)
  • République démocratique du Congo, Parc national de Kahuzi-Biega (décision 40 COM 7A.38)
  • République démocratique du Congo, Réserve de faune à okapis (décision 40 COM 7A.39)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Salonga (décision 40 COM 7A.40)
  • République démocratique du Congo, Parc national des Virunga (décision 40 COM 7A.41)
  • République-Unie de Tanzanie, Réserve de gibier de Selous (décision 40 COM 7A.47)
  • Sénégal, Parc national du Niokolo-Koba (décision 40 COM 7A.46)
  • Serbie, Monuments médiévaux au Kosovo (décision 40 COM 7A.30)
  • Ouganda, Tombes des rois du Buganda à Kasubi (décision 40 COM 7A.8)
  • Royaume-Uni de Grande Bretagne et d'Irlande du Nord, Liverpool – Port marchand (décision 40 COM 7A.31)
  • Venezuela (République bolivarienne du), Coro et son port (décision 40 COM 7A.5)
  • Yémen, Ville historique de Zabid (décision 40 COM 7A.23)
  • Yémen, Vieille ville de Sana’a (décision 40 COM 7A.24)
  • Yémen, Ancienne ville de Shibam et son mur d'enceinte (décision 40 COM 7A.25).
Projet de décision : 40 COM 7A.34

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/16/40.COM/7A.Add,
  2. Rappelant les décisions 38 COM 7A.34 et 39 COM 7A.1, adoptées respectivement lors de ses 38e (Doha, 2014) et 39e (Bonn, 2015) sessions,
  3. Prend note de la tenue du Forum National de Bangui relatif à la restauration de la paix et exprime l’espoir que les engagements pris suite à ce Forum permettront une amélioration progressive de la situation sécuritaire dans tout le pays, y compris dans la zone où se situe le bien ;
  4. Note toutefois avec inquiétude que l’insécurité continue de compliquer la mise en œuvre des mesures correctives adoptées par le Comité lors de sa 33e session (Séville, 2009) ;
  5. Réitère son extrême préoccupation concernant la probable disparition de la plupart des espèces phares de grands mammifères dans le bien, en raison du braconnage et des impacts du bétail transhumant ;
  6. Réitère également sa plus vive inquiétude quant au fait que le bien pourrait déjà avoir perdu sa valeur universelle exceptionnelle (VUE), ce qui devrait entraîner son retrait de la Liste du patrimoine mondial, conformément au Paragraphe 176d) des Orientations;
  7. Accueille favorablement l’engagement de l’Etat partie de poursuivre la mise en œuvre du projet ECOFAUNE+ avec l’appui de l’Union européenne, ainsi que les activités d’aménagement et de sécurisation prévues dans et autour du bien dans le cadre du Programme pour la Conservation de la Biodiversité en Afrique Centrale – Sauvegarde des Eléphants d’Afrique centrale financé par la Banque africaine de développement et encourage l’Etat partie à poursuivre ses efforts ;
  8. Réitère sa demande à l’État partie d'organiser un atelier pour évaluer la faisabilité de la restauration de la VUE du bien dans les conditions actuelles de sécurité et, sur cette base, de préparer un plan d'action d'urgence, centré sur les mesures correctives adoptées ;
  9. Réitère également sa demande à l’État partie d’inviter une mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN, dès que la situation sécuritaire le permettra, afin d’évaluer l’état de conservation du bien et de déterminer s’il reste des perspectives de régénération des caractéristiques du bien qui justifient sa VUE, ou si un retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial devrait être envisagé, conformément à la procédure prévue au Chapitre IV.C des Orientations;
  10. Demande à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2017, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 41e session en 2017 ;
  11. Décide de continuer d’appliquer le mécanisme de suivi renforcé à ce bien ;
  12. Décide également de maintenir le Parc national du Manovo-Gounda St Floris (République centrafricaine) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
Année du rapport : 2016
République centrafricaine
Date d'inscription : 1988
Catégorie : Naturel
Critères : (ix)(x)
Liste en péril (dates) : 1997-présent
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2016) .pdf
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* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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