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Fortifications de la côte caraïbe du Panama : Portobelo, San Lorenzo

Panama
Facteurs affectant le bien en 2015*
  • Cadre juridique
  • Erosion et envasement / dépôt
  • Habitat
  • Impacts des activités touristiques / de loisirs des visiteurs
  • Modification du régime des sols
  • Système de gestion/plan de gestion
  • Autres menaces :

    État fragile du bien et dégradation accélérée due à des facteurs environnementaux et à l'absence d’entretien

Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • État fragile du bien et dégradation accélérée due à des facteurs environnementaux, à l’absence d’entretien et à la planification limitée de la conservation 
  • Érosion 
  • Absence d’établissement de limites et de zones tampons 
  • Absence de plan de conservation et de gestion 
  • Empiétement et pression urbaine 
  • Pression touristique (en particulier à Portobelo) 
  • Insuffisance de la législation sur la préservation du patrimoine bâti et de réglementation associant les deux éléments du bien
Menaces pour lesquelles le bien a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril
  • État fragile du bien et dégradation accélérée due à des facteurs environnementaux, à l’absence d’entretien et à une planification limitée de la conservation ;
  • Érosion ;
  • Absence d’établissement de limites et de zones tampons ;
  • Absence de plan de conservation et de gestion ;
  • Empiétement et pression urbaine ;
  • Pression touristique (en particulier à Portobelo) ;
  • Insuffisance de la législation sur la préservation du patrimoine bâti et de réglementation associant les deux éléments du bien.
Etat de conservation souhaité pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril
Mesures correctives pour le bien
Calendrier pour la mise en œuvre des mesures correctives
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2015
Demandes approuvées : 4 (de 1980-1993)
Montant total approuvé : 76 800 dollars E.U.
1993 Financial contribution for the services of 2 ... (Approuvé)   14 000 dollars E.U.
1992 Financial contribution for the monitoring of 5 cultural ... (Approuvé)   3 300 dollars E.U.
1986 Assist the authorities in preparing a request of ... (Approuvé)   6 500 dollars E.U.
1980 Equipment and expert mission for the fortifications on ... (Approuvé)   53 000 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2015**

Novembre 2001 : mission commune de suivi réactif Centre du patrimoine mondial / ICOMOS ; mars 2010 : mission commune de suivi réactif Centre du patrimoine mondial / ICOMOS ; février 2014 : mission de conseil de l’ICOMOS.

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2015

Le 30 janvier 2015, l’État partie a transmis un rapport sur l’état de conservation disponible à https://whc.unesco.org/fr/list/135/documents/ 

L’année 2014 a été marquée au Panama par des élections et a constitué une période de changements administratifs pour l’administration gouvernementale, y compris pour la direction des organismes publics qui gèrent le patrimoine historique. Cela a conduit à un faible taux d’exécution des travaux de conservation sur le site. Le reste du budget annuel réservé à l’exécution du plan d’urgence s’est révélé être insuffisant. Les nouveaux directeur et directeur adjoint de la direction nationale du Patrimoine historique ont dû prendre connaissance du dossier mais leurs conclusions sont similaires à celles qui sont indiquées dans le rapport de la mission de conseil de l’ICOMOS de février 2014.

En réponse aux sept points du paragraphe 5 de la décision 38 COM 7A.20, l’État partie indique :

  • La loi 30 du 18 novembre 2014 soutient le Patronato de Portobelo y San Lorenzo avec des fonds gouvernementaux pour la maintenance, la conservation et la restauration du bien.
  • Une collaboration est en vue avec le Patronato de Panama Viejo pour bénéficier de conseils sur l’organisation de la gestion et la formation du personnel.
  • La clarification des limites des parties qui composent le bien n’a pas fait l’objet d’avancées significatives en 2014.
  • La préparation du plan territorial du district de Portobelo en est à son stade final d’élaboration par le ministère du Logement. Son achèvement est attendu d’ici la fin 2015.
  • L’assistance technique pour la mise en œuvre du plan d’urgence est fournie par l’Université d’Alcalá de Henares, Espagne.
  • Le nouveau plan territorial de Portobelo prévoit la mise en œuvre d’un plan d’infrastructures et d’une amélioration environnementale du site. Il comprend la construction de nouveaux égouts et un nouveau système de ramassage des déchets.

La direction nationale du Patrimoine dispose dans ses archives d’études techniques menées sur le bien depuis les années 1980. Plus récemment, des études des sols ont été conduites dans la zone des fortifications de Santiago, San Fernando, San Geronimo et du château fortifié de San Lorenzo. Une étude d’évaluation des risques a été élaborée en 2013, ainsi qu’une étude photogrammétrique de tous les canons découverts dans la zone des fortifications de la baie de Portobelo et dans le château fortifié de San Lorenzo. En 2015, il est prévu que la Direction nationale conforte sa coopération avec le Patronato de Portobelo y San Lorenzo pour renforcer les capacités de gestion du bien.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2015

L’adoption du plan de gestion du patrimoine mondial de l’UNESCO (septembre 2013) et du plan d’urgence (mars 2014) furent des avancées cruciales et constituent un cadre d’action approprié. L’adhésion de la nouvelle administration à ces plans et aux recommandations antérieures, ainsi que l’engagement en faveur de leur mise en œuvre sont accueillis favorablement. Néanmoins, on constate dans l’ensemble des retards très importants dans la mise en œuvre des mesures correctives et du calendrier adopté par le Comité du patrimoine mondial à sa 36e session (Saint-Pétersbourg, 2012) ; en outre, le financement de la mise en œuvre de ces mesures, y compris pour le plan d’urgence et le plan de gestion, reste insuffisant.

S’agissant des réponses données par l’État partie sur les sept points du paragraphe 5 de la décision 38 COM 7A.20, on observe que :

  • L’institut national pour la Culture (INAC) est responsable du patrimoine culturel national (loi 14, 1982) et la gestion du site a été confiée au Patronato de Portobelo y San Lorenzo. La loi 30 (2014) stipule qu’un budget annuel sera alloué au Patronato pour son administration, son fonctionnement et ses activités. L’actualisation des mesures législatives et réglementaires et la définition des fonctions du Patronato demeurent nécessaires.
  • Selon la mission de conseil de l’ICOMOS de 2014, le Patronato comprend un architecte et quatre ouvriers, mais aucun bureau technique avec des capacités appropriées n’a été établi sur le site. L’organisation renforcée de la gestion et la création d’un bureau technique restent en attente.
  • On ne note aucune avancée significative sur la définition des limites.
  • Le plan territorial de Portobelo devrait être finalisé d’ici la fin de 2015. Une analyse de ce plan devrait être entreprise pour déterminer s’il répond aux obligations définies dans l’État souhaité de conservation en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR).
  • La coopération nationale (Patronato Panama Viejo) et internationale (Universidad de Alcalá de Henares) devrait être accueillie favorablement.
  • Une fois que le plan territorial sera finalisé d’ici la fin 2015, une analyse devra être engagée pour estimer dans quelle mesure il répondra à la recommandation sur la dégradation de l’environnement et les déficiences des services d’infrastructure qui impactent les biens du patrimoine culturel et naturel.
  • Des précisions devraient être données quant au fait de savoir si les études et la documentation disponibles suite à la recommandation sur les études des processus de détérioration sont suffisantes.

Alors que l’État partie présente des rapports précis sur les activités entreprises en 2014 en matière de conservation et de consolidation ainsi que de maintenance des zones végétalisées, aucun plan, calendrier et budget clairement établi et précis n’a été présenté pour la mise en œuvre des mesures correctives adoptées par le Comité du patrimoine mondial au moment de l’inscription du site sur la Liste du patrimoine mondial en péril. Les avancées dans la mise en œuvre des mesures correctives programmées en année 1 (jusqu’à septembre 2013) sont largement insuffisantes et l’on pourrait raisonnablement s’attendre à ce que les mesures de la période de deux à trois ans (dont la fin est prévue d’ici septembre 2015) seront elles aussi très retardées.

La mission de conseil de l’ICOMOS de février 2014 a établi un ensemble complet de recommandations et a souligné le rythme rapide de dégradation du tissu historique qui continue à menacer l’intégrité et l’authenticité des attributs qui portent la Valeur universelle exceptionnelle (VUE) et dans les conditions actuelles, la préoccupation est toujours très grande que l’état de conservation se détériore encore.

Il est recommandé que le Comité prie instamment l’État partie d’élaborer une stratégie, des plans des travaux détaillés, des calendriers et des budgets pour la mise en œuvre complète des mesures correctives dans une période de trois ans, en tenant compte de l’ensemble des recommandations de la mission de conseil de 2014 ; et que le Comité maintienne le bien sur la Liste du patrimoine mondial en péril.

Décisions adoptées par le Comité en 2015
39 COM 7A.46
Fortifications de la côte caraïbe du Panama : Portobelo, San Lorenzo (Panama) (C 135)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC-15/39.COM/7A,
  2. Rappelant la décision 38 COM 7A.20, adoptée à sa 38e session (Doha, 2014),
  3. Apprécie l’adhésion de la nouvelle administration aux approches et aux recommandations précédentes pour atteindre l’État souhaité de conservation en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR) et accueille favorablement son engagement en faveur de leur mise en œuvre ;
  4. Rappelle que la mise en œuvre rapide des mesures correctives définies au moment de l’inscription du bien sur la Liste du patrimoine mondial en péril est une obligation essentielle pour atteindre le DSOCR ;
  5. Regrette les retards très importants dans la mise en œuvre des recommandations exprimées par la décision 38 COM 7A.20 et des mesures correctives mentionnées ci-dessus et exprime sa très grande préoccupation quant au fait que cela pourrait causer des dommages irréversibles au bien et aux attributs qui portent la Valeur universelle exceptionnelle (VUE) ;
  6. Prie instamment l’État partie d’élaborer une stratégie, des plans des travaux détaillés, des calendriers et des budgets pour la mise en œuvre complète des mesures correctives dans une période de trois ans, en tenant compte de l’ensemble des recommandations de la mission de conseil de 2014, et d’adopter toutes les dispositions légales, managériales et budgétaires nécessaires pour leur mise en œuvre et lui demande de soumettre ces documents d’ici le 1er février 2016 pour examen par le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives ;
  7. Demande à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2016, un rapport actualisé, incluant un résumé analytique d’une page, sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 40e session en 2016 ;
  8. Décide de maintenir les Fortifications de la côte caraïbe du Panama : Portobelo, San Lorenzo (Panama) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
39 COM 8C.2
Mise à jour de la Liste du patrimoine mondial en péril

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné les rapports sur l’état de conservation des biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial en péril (WHC-15/39.COM/7A et WHC-15/39.COM/7A.Add),
  2. Décide de maintenir les biens suivants sur la Liste du patrimoine mondial en péril :
  • Afghanistan, Minaret et vestiges archéologiques de Djam (décision 39 COM 7A.38)
  • Afghanistan, Paysage culturel et vestiges archéologiques de la vallée de Bamiyan (décision 39 COM 7A.39)
  • Belize, Réseau de réserves du récif de la barrière du Belize (décision 39 COM 7A.18)
  • Bolivie (État plurinational de), Ville de Potosi (décision 39 COM 7A.44)
  • Chili, Usines de salpêtre de Humberstone et de Santa Laura (décision 39 COM 7A.45)
  • Côte d'Ivoire, Parc national de la Comoé (décision 39 COM 7A.2)
  • Côte d'Ivoire / Guinée, Réserve naturelle intégrale du mont Nimba (décision 39 COM 7A.3)
  • Égypte, Abou Mena (décision 39 COM 7A.24)
  • États-Unis d'Amérique, Parc national des Everglades (décision 39 COM 7A.17)
  • Éthiopie, Parc national du Simien (décision 39 COM 7A.10)
  • Géorgie, Cathédrale de Bagrati et monastère de Ghélati (décision 39 COM 7A.40)
  • Géorgie, Monuments historiques de Mtskheta (décision 39 COM 7A.41)
  • Honduras, Réserve de la Biosphère Río Plátano (décision 39 COM 7A.20)
  • Îles Salomon, Rennell Est (décision 39 COM 7A.16)
  • Indonésie, Patrimoine des forêts tropicales ombrophiles de Sumatra (décision 39 COM 7A.15)
  • Iraq, Assour (Qal'at Cherqat) (décision 39 COM 7A.2)
  • Iraq, Ville archéologique de Samarra (décision 39 COM 7A.25)
  • Vieille ville de Jérusalem et ses remparts (site proposé par la Jordanie) (décision 39 COM 7A.27)
  • Madagascar, Forêts humides de l’Atsinanana (décision 39 COM 7A.11)
  • Mali, Tombouctou (décision 39 COM 7A.21)
  • Mali, Tombeau des Askia (décision 39 COM 7A.22)
  • Niger, Réserves naturelles de l'Aïr et du Ténéré (décision 39 COM 7A.12)
  • Palestine, Lieu de naissance de Jésus : l’église de la Nativité et la route de pèlerinage, Bethléem (décision 39 COM 7A.28)
  • Palestine, Palestine : pays d’olives et de vignes – Paysage culturel du sud de Jérusalem, Battir (décision 39 COM 7A.29)
  • Panama, Fortifications de la côte caraïbe du Panama : Portobelo – San Lorenzo (décision 39 COM 7A.46)
  • Pérou, Zone archéologique de Chan Chan (décision 39 COM 7A.47)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Damas (décision 39 COM 7A.30)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Bosra (décision 39 COM 7A.31)
  • République arabe syrienne, Site de Palmyre (décision 39 COM 7A.32)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville d'Alep (décision 39 COM 7A.33)
  • République arabe syrienne, Crac des Chevaliers et Qal’at Salah El-Din (décision 39 COM 7A.34)
  • République arabe syrienne, Villages antiques du Nord de la Syrie (décision 39 COM 7A.35)
  • République centrafricaine, Parc national du Manovo-Gounda St Floris (décision 39 COM 7A.1)
  • République démocratique du Congo, Parc national des Virunga (décision 39 COM 7A.4)
  • République démocratique du Congo, Parc national de Kahuzi-Biega (décision 39 COM 7A.5)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Garamba (décision 39 COM 7A.6)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Salonga (décision 39 COM 7A.7)
  • République démocratique du Congo, Réserve de faune à okapis (décision 39 COM 7A.8)
  • République-Unie de Tanzanie, Réserve de gibier de Selous (décision 39 COM 7A.95)
  • Sénégal, Parc national du Niokolo-Koba (décision 39 COM 7A.13)
  • Serbie, Monuments médiévaux au Kosovo (décision 39 COM 7A.42)
  • Ouganda, Tombes des rois du Buganda à Kasubi (décision 39 COM 7A.23)
  • Royaume-Uni de Grande Bretagne et d'Irlande du Nord, Liverpool – Port marchand (décision 39 COM 7A.43)
  • Venezuela, Coro et son port (décision 39 COM 7A.48)
  • Yémen, Ville historique de Zabid (décision 39 COM 7A.37)
Projet de décision : 39 COM 7A.46

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC-15/39.COM/7A,
  2. Rappelant la décision 38 COM 7A.20, adoptée à sa 38e session (Doha, 2014),
  3. Apprécie l’adhésion de la nouvelle administration aux approches et aux recommandations précédentes pour atteindre l’État souhaité de conservation en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR) et accueille favorablement son engagement en faveur de leur mise en œuvre ;
  4. Rappelle que la mise en œuvre rapide des mesures correctives définies au moment de l’inscription du bien sur la Liste du patrimoine mondial en péril est une obligation essentielle pour atteindre le DSOCR ;
  5. Regrette les retards très importants dans la mise en œuvre des recommandations exprimées par la décision 38 COM 7A.20 et des mesures correctives mentionnées ci-dessus et exprime sa très grande préoccupation quant au fait que cela pourrait causer des dommages irréversibles au bien et aux attributs qui portent la Valeur universelle exceptionnelle (VUE) ;
  6. Prie instamment l’État partie d’élaborer une stratégie, des plans des travaux détaillés, des calendriers et des budgets pour la mise en œuvre complète des mesures correctives dans une période de trois ans, en tenant compte de l’ensemble des recommandations de la mission de conseil de 2014, et d’adopter toutes les dispositions légales, managériales et budgétaires nécessaires pour leur mise en œuvre et lui demande de soumettre ces documents d’ici le 1er février 2016 pour examen par le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives ;
  7. Demande à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2016, un rapport actualisé, incluant un résumé analytique d’une page, sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 40e session en 2016 ;
  8. Décide de maintenir les Fortifications de la côte caraïbe du Panama : Portobelo, San Lorenzo (Panama) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
Année du rapport : 2015
Panama
Date d'inscription : 1980
Catégorie : Culturel
Critères : (i)(iv)
Liste en péril (dates) : 2012-présent
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2015) .pdf
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* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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