Fort et jardins de Shalimar à Lahore
Facteurs affectant le bien en 2021*
- Cadre juridique
- Habitat
- Infrastructures de transport de surface
- Infrastructures de transport souterrain
- Ressources financières
- Système de gestion/plan de gestion
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
- Habitat; Modification du régime des sols (Empiètements et pression urbaine)
- Système de gestion/plan de gestion (Mécanismes de gestion inadéquats ; Absence de définition des limites du fort de Lahore et des jardins de Shalimar)
- Cadre juridique (Législation incomplète)
- Ressources financières (Ressources financières insuffisantes pour mettre en œuvre les mécanismes de gestion)
- Infrastructures de transport souterrain
- Infrastructures de transport de surface (Développement de la ligne de métro orange - section aérienne)
- Démolition de deux des réservoirs et démolition partielle d'un troisième réservoir des ouvrages hydrauliques des jardins de Shalimar (problème résolu)
Etat de conservation souhaité pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril
Adoptées, voir https://whc.unesco.org/fr/decisions/1290
Mesures correctives pour le bien
Adoptées, voir https://whc.unesco.org/fr/decisions/1290
Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2021
Montant total accordé au bien : 975 000 dollars EU des fonds-en-dépôt norvégien et japonais, de la Fondation Getty et de l’Ambassade des États-Unis au Pakistan
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2021
Montant total approuvé : 121 000 dollars E.U.
2000 | Rescue programme for Fort and Shalamar Gardens, Lahore ... (Approuvé) | 50 000 dollars E.U. |
1999 | Archaeological, soil and design research and the ... (Approuvé) | 10 000 dollars E.U. |
1999 | Signage on-site at the Fort and Shalimar Gardens of ... (Approuvé) | 5 000 dollars E.U. |
1981 | Emergency restoration work at Lahore Fort (Approuvé) | 44 000 dollars E.U. |
1981 | Emergency restoration work at Shalimar Gardens (Approuvé) | 12 000 dollars E.U. |
Missions sur le bien jusqu'en 2021**
Octobre 2000 : mission de suivi réactif conjointe Centre du patrimoine mondial/ICOMOS ; avril 2001 et juin 2003 : missions de conseil d’experts UNESCO ; novembre 2005 : mission de suivi réactif conjointe Centre du patrimoine mondial/ICOMOS ; février 2009 : mission de suivi réactif conjointe Bureau de l’UNESCO à Téhéran/ICOMOS ; avril/mai 2012 : mission conjointe de suivi réactif conjointe Centre du patrimoine mondial/ICOMOS ; avril 2018 : mission conjointe de suivi réactif conjointe Centre du patrimoine mondial/ICOMOS
Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2021
L'État partie a soumis un rapport sur l'état de conservation du bien le 28 janvier 2020, dont un résumé est disponible à https://whc.unesco.org/fr/list/171/documents/. Ce rapport fournit les informations suivantes concernant les actions de l'État partie en réponse aux décisions antérieures du Comité :
- Sélection d'un consultant auprès duquel prendre conseil pour la mise en œuvre des recommandations de la mission de suivi réactif de 2018 ;
- Mise en œuvre de la décision de la Cour suprême du Pakistan sous la supervision d'un Comité spécial d'experts de haut niveau, et création d'un comité de réglementation par la Direction générale de l'archéologie ;
- Travaux de conservation déjà entrepris et documentation élémentaire sur les travaux prévus ;
- Étude de faisabilité des options d'atténuation suggérées par la mission de suivi réactif de 2018 ;
- Réduction de la vitesse de la ligne orange du métro (LOM) autour du site et contrôle de l'empiètement ;
- Projets d'étude multidisciplinaire en vue de la révision des limites du bien, eu égard à ses impacts socioéconomiques ;
- Étude approfondie de l'hydrologie et du drainage du fort ;
- Propositions pour optimiser le drainage des eaux afin de préserver les structures historiques, en particulier au Mur d'images ;
- Stabilisation en urgence de la toiture délabrée du fort ;
- Suivant les recommandations de la mission de suivi réactif de 2018, interventions de restauration/conservation sur le pavillon d'été/aiwan, le portail historique et le plafond en bois, et restauration des cours d'eau extérieurs à l'est du mur d'enceinte ;
- Plantation d'arbres devant former un écran naturel pour occulter la nouvelle LOM.
L'État partie a pris (ou va prendre) les mesures suivantes en vue de la conservation du bien :
- Travaux de conservation de la partie ouest du Mur d'images ;
- Mise en place d'un système de drainage amélioré dans l'intégralité du fort d'ici 2021 avec, entre-temps, un système de drainage provisoire durant la/les saison(s) de la mousson ;
- Conservation de la Cuisine royale, en mauvais état, qui deviendra un restaurant nocturne ;
- Restauration de monuments (Barood Khana, porte Musamman, ancien pavillon de repos ouest) et d'un pont en bois qui enjambe la route reliant la poterne à Maidane-Dewan-e-Aam ;
- Lancement d'un projet visant à améliorer les installations publiques, incluant des travaux horticoles dans les jardins de Shalimar ;
- Propositions visant à restaurer ou conserver un certain nombre de monuments en 2020.
Dans son rapport, l'État partie a également fait part de plusieurs études techniques.
Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2021
L'État partie a progressé dans la prise en compte des précédentes décisions du Comité et de certaines recommandations de la mission de suivi réactif de 2018, mais n'a malheureusement pas communiqué activement avec le Centre du patrimoine mondial ou l'ICOMOS, ni fourni suffisamment d'informations au sujet des projets menés sur le bien, en dépit des dispositions du paragraphe 172 des Orientations. Faute de consultation et de communication préalables adéquates, il pourra s'avérer nécessaire d'inscrire le bien sur la Liste du patrimoine mondial en péril afin d'avoir un cadre et un processus permettant d'éviter de nouvelles menaces et de nouveaux préjudices pour l'authenticité et l'intégrité du bien.
Parmi les progrès réalisés, un comité de réglementation a été mis en place pour renforcer les mécanismes de gouvernance grâce à un suivi et faciliter les processus de prise de décision. Des études techniques sur les impacts potentiels du projet de LOM sur la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien ont été soumises, mais elles ne mentionnent pas d'analyse vibratoire suite à l'achèvement du projet de LOM. Il est recommandé au Comité de reconnaître les efforts déployés par l'État partie pour mettre en œuvre certaines mesures d'atténuation suite à la construction de la LOM et de demander la réalisation d'une étude approfondie de faisabilité des autres mesures d'atténuation suggérées par la mission de suivi réactif de 2018, tout en regrettant que ni le Centre du patrimoine mondial ni l'ICOMOS n'aient été consultés. Le Comité pourrait également prier avec instance l'État partie de mettre en œuvre toutes les recommandations de la mission de suivi réactif de 2018 et réitérer sa demande, conformément au paragraphe 172 des Orientations, afin qu'il soumette des modalités détaillées de mise en œuvre des mesures d'atténuation au Centre du patrimoine mondial, pour examen par les Organisations consultatives, et qu'il ne lance les projets qu'après réception d'un avis positif.
Concernant la préservation du fort de Lahore, il est pris note des efforts déployés pour le projet expérimental de conservation du Mur d'images, et le reste du fort devrait être conservé selon le même niveau de qualité technique. L'étude approfondie des systèmes de drainage ainsi que les mesures d'urgence pour l'étanchéité de la toiture sont accueillies avec satisfaction, et il est recommandé au Comité de demander à l'État partie d'informer le Centre du patrimoine mondial de ses progrès et de ses efforts en matière de suivi. Tous les travaux actuels et futurs de documentation et de restauration technique devraient faire intervenir du personnel national, de sorte à pouvoir renforcer les capacités de conservation du patrimoine, au profit du bien et de sa conservation à long terme.
Plusieurs des projets de restauration proposés pourraient contribuer à améliorer l'état général des monuments historiques sur le bien, notamment les travaux de restauration de Dewan-E-Khas, Shahjahani Khawabgah, Kala Burj, Lal Burj, Moti Masjid et Makatib Khana, Arzgah (laboratoire de mosaïques), Akbari Hammam, ainsi que de l'intérieur de la porte d'Alamgiri et de Loh Mandar. Cependant, les informations générales communiquées sur ces projets ne permettent pas d'évaluer leur impact potentiel sur la VUE du bien, et des informations plus détaillées devraient être transmises au Centre du patrimoine mondial, conformément au paragraphe 172 des Orientations. La proposition de réutilisation de la Cuisine royale comme restaurant nocturne suscite des inquiétudes, étant donné que cette utilisation du complexe du fort entraînerait des changements qui pourraient affecter l'intégrité et l'authenticité du bien. Il est donc recommandé au Comité de demander à ce qu'une proposition technique détaillée soit soumise au Centre du patrimoine mondial pour examen par les Organisations consultatives, et à ce qu'aucune décision pouvant affecter la VUE du bien et difficilement réversible ne soit prise, conformément au paragraphe 172 des Orientations, avant que les Organisations consultatives n'aient rendu un avis positif.
Concernant la gestion globale du bien, le récent plan directeur ainsi que l'étude interdisciplinaire sur la proposition de modification des limites et de création d'une zone tampon devraient être soumis à l'examen du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives.
Résumé des interventions
Décisions adoptées par le Comité en 2021
44 COM 7B.34
Fort et jardins de Shalimar à Lahore (Pakistan) (C 171)
Le Comité du patrimoine mondial,
- Ayant examiné le document WHC/21/44.COM/7B,
- Rappelant les décisions 42 COM 7B.14 et 43 COM 7B.72 adoptées respectivement à sa 42e (Manama, 2018) et à sa 43e (Bakou, 2019) sessions,
- Prend note des efforts déployés par l'État partie pour donner suite aux précédentes demandes du Comité ainsi qu'aux recommandations formulées par la mission de suivi réactif d'avril 2018 en ce qui concerne la protection et la gestion du bien ainsi que les mesures d'atténuation suite à la construction de la ligne orange du métro (LOM), et demande que l'étude de faisabilité des recommandations restantes soit menée en étroite concertation avec l'ICOMOS et que ses conclusions soient transmises au Centre du patrimoine mondial pour examen par les Organisations consultatives ;
- Note la création par la Direction générale de l'archéologie d'un Comité de réglementation pour les opérations et les futurs projets relatifs à la LOM, afin de rendre possibles des processus de prise de décision éclairée, conformément aux dispositions des Orientations;
- Demande également à l'État partie de travailler en étroite coopération avec le Centre du patrimoine mondial et l'ICOMOS pour évaluer l'ensemble des opérations et des futurs projets relatifs à la LOM, dans le but d'éviter que la VUE du bien subisse tout préjudice ;
- Prend également note de la mise en œuvre de certaines recommandations formulées par la mission de suivi réactif de 2018, note en outre que pour les recommandations restantes, le consultant missionné par l’État partie entreprendra des études de faisabilité détaillées, et que d’autres actions seront donc prises en consultation avec le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives une fois que les conclusions du consultant seront disponibles, et demande également à l’État partie d’impliquer les communautés locales, conformément à la législation nationale, en tant que parties intégrantes d’un processus décisionnel informé pour le bien du patrimoine mondial ;
- Note également que plusieurs projets de restauration et/ou conservation ont été entrepris sur les deux sites qui composent le bien, pour faire suite aux recommandations de la mission de 2018, dont la préservation du mur d'enceinte du bien au fort de Lahore, un projet expérimental pour le segment ouest du Mur d'images et la restauration de la Cuisine royale ;
- Demande en outre que tous les détails des projets en cours ou futurs soient soumis au Centre du patrimoine mondial pour examen par les Organisations consultatives, conformément au paragraphe 172 des Orientations, y compris les travaux de préservation et de restauration de Dewan-E-Khas, Shahjahani Khawabgah, Kala Burj, Lal Burj, Moti Masjid et Makatib Khana, Arzgah (laboratoire de mosaïques), Akbari Hammam et de l'intérieur de la porte d'Alamgiri et de Loh Mandar, ainsi que des détails sur la proposition de réutilisation de la Cuisine royale du fort de Lahore comme restaurant nocturne, et qu'aucune décision irréversible ne soit prise avant d'avoir reçu l'avis positif des Organisations consultatives, et prie également avec instance l'État partie de prioriser la sauvegarde des attributs de la VUE du bien, notamment l'intégrité et l'authenticité du fort de Lahore ;
- Demande par ailleurs à l'État partie de soumettre officiellement le plan directeur révisé du bien au Centre du patrimoine mondial, pour examen par les Organisations consultatives, et réitère également sa demande auprès de l'État partie afin qu'il soumette au Centre du patrimoine mondial une proposition de modification mineure des limites du bien, préparée conformément au paragraphe 164 des Orientations et incluant la révision des zones tampons, après avoir pris en compte toutes les mesures sociales adaptées, en particulier si une quelconque de ces actions implique le déplacement de personnes résidant dans les zones avoisinantes du bien, pour examen par le Comité lors d'une prochaine session ;
- Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2022, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 45e session.
Projet de décision : 44 COM 7B.34
Le Comité du patrimoine mondial,
- Ayant examiné le document WHC/21/44.COM/7B,
- Rappelant les décisions 42 COM 7B.14 et 43 COM 7B.72 adoptées respectivement à sa 42e(Manama, 2018) et à sa 43e (Bakou, 2019) sessions,
- Prend note des efforts déployés par l'État partie pour donner suite aux précédentes demandes du Comité ainsi qu'aux recommandations formulées par la mission de suivi réactif d'avril 2018 en ce qui concerne la protection et la gestion du bien ainsi que les mesures d'atténuation suite à la construction de la ligne orange du métro (LOM), et demande que l'étude de faisabilité des recommandations restantes soit menée en étroite concertation avec l'ICOMOS et que ses conclusions soient transmises au Centre du patrimoine mondial pour examen par les Organisations consultatives ;
- Note la création par la Direction générale de l'archéologie d'un Comité de réglementation pour les opérations et les futurs projets relatifs à la LOM, afin de rendre possibles des processus de prise de décision éclairée, conformément aux dispositions des Orientations;
- Regrette cependant que l'État partie n'ait pas informé le Comité ni consulté le Centre du patrimoine mondial ou les Organisations consultatives à une quelconque étape de ces processus, et demande également à l'État partie de travailler en étroite coopération avec le Centre du patrimoine mondial et l'ICOMOS pour évaluer l'ensemble des opérations et des futurs projets relatifs à la LOM, dans le but d'éviter que la VUE du bien ne subisse d'autres préjudices ;
- Réitère sa demande auprès de l'État partie afin qu'il soumette les conclusions des activités de suivi destinées à évaluer les impacts de la LOM, notamment en ce qui concerne l'atténuation des impacts de la LOM sur la VUE du bien, et prie instamment l'État partie de mettre en œuvre toutes les recommandations de la mission de suivi réactif de 2018, et en particulier de rendre compte de ses efforts pour :
- Éloigner la circulation automobile des jardins de Shalimar en redirigeant un sens de circulation à l'écart de cette composante du site, en faisant passer la GT Road derrière le nouveau viaduc de la LOM, et en construisant une autoroute supplémentaire plus au sud du bien pour l'autre sens de circulation,
- Dévier la circulation automobile de tous les autres côtés des jardins de Shalimar vers les rues avoisinantes et mettre en place une zone antibruit autour de cette composante du site,
- Construire un tunnel d'insonorisation en verre triplex transparent le long des voies entre les stations de Shalamar Garden et de Pakistan Mint, qui pourrait aussi permettre d'atténuer l'impact visuel sur cette composante du site, et placer des panneaux en verre le long de la route et du viaduc pour lutter contre le bruit et la pollution atmosphérique,
- Prendre en considération les impacts des vibrations sur les structures à l'intérieur du bien, d'après des tests réalisés après l'achèvement de la LOM et pendant son fonctionnement quotidien ;
- Note également que plusieurs projets de restauration et/ou conservation ont été entrepris sur les deux sites qui composent le bien, pour faire suite aux recommandations de la mission de 2018, dont la préservation du mur d'enceinte du bien au fort de Lahore, un projet expérimental pour le segment ouest du Mur d'images et la restauration de la Cuisine royale ;
- Demande en outre que tous les détails des projets en cours ou futurs soient soumis au Centre du patrimoine mondial pour examen par les Organisations consultatives, conformément au paragraphe 172 des Orientations, y compris les travaux de préservation et de restauration de Dewan-E-Khas, Shahjahani Khawabgah, Kala Burj, Lal Burj, Moti Masjid et Makatib Khana, Arzgah (laboratoire de mosaïques), Akbari Hammam et de l'intérieur de la porte d'Alamgiri et de Loh Mandar, ainsi que des détails sur la proposition de réutilisation de la Cuisine royale du fort de Lahore comme restaurant nocturne, et qu'aucune décision irréversible ne soit prise avant d'avoir reçu l'avis positif des Organisations consultatives, et prie également avec instance l'État partie de prioriser la sauvegarde des attributs de la VUE du bien, notamment l'intégrité et l'authenticité du fort de Lahore ;
- Demande par ailleurs à l'État partie de soumettre officiellement le plan directeur révisé du bien au Centre du patrimoine mondial, pour examen par les Organisations consultatives, et réitère également sa demande auprès de l'État partie afin qu'il soumette au Centre du patrimoine mondial une proposition de modification mineure des limites du bien, préparée conformément au paragraphe 164 des Orientations et incluant la révision des zones tampons, après avoir pris en compte toutes les mesures sociales adaptées, en particulier si une quelconque de ces actions implique le déplacement de personnes résidant dans les zones avoisinantes du bien, pour examen par le Comité lors d'une prochaine session ;
- Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er décembre 2022, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 45e session en 2022, afin d'envisager, en l'absence de progrès notables dans la mise en œuvre des mesures d'atténuation recommandées par le Comité et par la mission de suivi réactif de 2018 pour faire face aux menaces avérées qui pèsent sur la VUE du bien, l'éventuelle inscription du bien sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
Exports
* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).
** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.