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Réserve de faune à okapis

République démocratique du Congo
Facteurs affectant le bien en 2019*
  • Activités illégales
  • Exploitation minière
  • Identité, cohésion sociale, modifications de la population locale / des communautés
  • Infrastructures de transport de surface
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Braconnage intensif de grands mammifères, en particulier des éléphants
  • Activités minières à l’intérieur du bien
  • Migration incontrôlée dans les villages à l’intérieur du bien
  • Exploitation de bois illégale dans la forêt d’Ituri, susceptible de porter atteinte au bien dans un proche avenir
  • Projet de réfection de la route nationale RN4 qui traverse le bien, pour lequel aucune évaluation d’impact environnemental adéquate n’a été effectuée
Menaces pour lesquelles le bien a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril
  • Impact du conflit : pillage des infrastructures, braconnage des éléphants 
  • Présence de sites d’exploitation de gisements aurifères à l’intérieur du bien
Etat de conservation souhaité pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril

Adopté en 2009 et révisé en 2014, voir page https://whc.unesco.org/fr/decisions/5983 

Mesures correctives pour le bien

Adoptées en 2009 et révisées en 2014, voir page http://whc.unesco.org/fr/decisions/5983/ 

Calendrier pour la mise en œuvre des mesures correctives
Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2019
Montant total accordé : 1 450 000 dollars EU financés par la Fondation des Nations Unies (UNF), le Gouvernement belge, le Fonds de Réponse Rapide (FRR) et le Fonds de consolidation de la paix des Nations Unies
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2019
Demandes approuvées : 4 (de 1993-2012)
Montant total approuvé : 103 400 dollars E.U.
2012 Plan d'action d’urgence pour la réhabilitation de la ... (Approuvé)   75 000 dollars E.U.
2000 Emergency assistance to World Natural Heritage of the ... (Approuvé)   5 400 dollars E.U.
1999 Support to Resident Staff of Garamba, Virunga, Kahuzi ... (Approuvé)   20 000 dollars E.U.
1993 Preparatory assistance for the Okapi Wildlife Natural ... (Approuvé)   3 000 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2019**

1996 et 2006 : missions de suivi du Centre du patrimoine mondial de l'UNESCO ; 2009 et 2014 : missions conjointes de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2019

Le 15 mars 2019, l’État partie a soumis un rapport sur l’état de conservation du bien, disponible à http://whc.unesco.org/fr/list/718/documents/, qui fournit les informations suivantes sur la mise en œuvre des mesures correctives :

  • Une rencontre de haut niveau a été organisée entre la Direction de la Réserve de faune à okapis et les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) pour améliorer leur collaboration, notamment par le retrait des militaires de toutes les zones minières de la réserve ;
  • Un bataillon de l'armée est à présent stationné en permanence sur le site pour permettre des opérations conjointes visant à sécuriser la zone. Cela a déjà permis le démantèlement de plusieurs groupes armés ;
  • Les efforts en faveur du respect de la loi se sont poursuivis, avec une couverture de 47,72 % de la zone en 2018 (49,5 % en 2017). Le système de surveillance a été renforcé grâce à la formation des écogardes récemment recrutés et à l'apport de ressources financières et matérielles supplémentaires. Deux survols ont été effectués, permettant de dresser la cartographie des principales menaces à l'intérieur du bien et de préparer un projet de stratégie de surveillance ;
  • Une stratégie globale pour la fermeture des mines artisanales dans le bien a été élaborée ; elle doit encore être validée au niveau national et disposer d’équipements nécessaires au respect de la loi et d’un financement avant de pouvoir être mise en œuvre. Entre-temps, plusieurs carrières ont été évacuées, la carrière « BAPELA » a été fermée et les écogardes sont désormais présents en permanence dans cette ancienne carrière située dans la partie est du bien ;
  • Des patrouilles régulières sont organisées le long de la route nationale 4 (RN4) pour empêcher l'exploitation minière illégale et l'afflux de migrants, et la route reste fermée à la circulation la nuit ;
  • Le Plan d'aménagement et de gestion (PAG) du bien est obsolète et sa révision est prévue pour 2019. La Zone centrale de conservation intégrale a été créée et sa validation avec les populations locales est en cours de finalisation ;
  • Des ateliers de sensibilisation ont été organisés afin d’améliorer les relations entre le personnel de la réserve et les communautés locales, conformément à la Stratégie nationale pour la conservation par les communautés ;
  • En 2018, des avancées vers la création de zones forestières communautaires limitrophes du bien ont été réalisées grâce à plusieurs réunions de sensibilisation avec les autorités traditionnelles locales, qui ont abouti à la signature de plans d'occupation des sols.
Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2019

Les efforts continus de l'État partie pour mettre en œuvre les mesures correctives sont accueillis favorablement, mais la présence persistante de groupes armés dans le bien, qui entrave les activités de gestion du parc et menace la protection de la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien, est notée avec inquiétude. Il convient de se féliciter de l'amélioration de la coopération avec les forces armées, de l'augmentation du nombre de patrouilles conjointes pour sécuriser la Réserve et de la suppression de toutes les positions militaires. La couverture de surveillance continue de stagner pour la troisième année consécutive. La portée limitée de l'application de la loi suscite de vives inquiétudes quant à la persistance du braconnage, les efforts de contrôle étant entravés par une insécurité persistante et des ressources limitées. De plus, aucun détail n'est fourni sur les données SMART (Spatial Monitoring and Reporting Tool) collectées qui permettraient une évaluation des activités illégales sur la VUE du bien.

Les progrès réalisés par la fermeture des mines dans le bien sont appréciés, et le fait que l'armée ait accepté d'évacuer les mines à ciel ouvert est une avancée importante. Tout en prenant note du fait qu'une stratégie a été élaborée et que son approbation et son financement sont nécessaires pour sa mise en œuvre, la priorité absolue devrait être accordée à la fermeture et à la réhabilitation de toutes les mines artisanales illégales encore présentes dans le bien. En outre, aucune mise à jour n'est fournie sur les progrès réalisés pour réhabiliter ces mines.

Il est préoccupant de constater que, bien que l'État partie ait indiqué précédemment que la mise à jour du PAG était une priorité pour 2018, celle-ci n'a pas encore été effectuée et il est vivement recommandé à l'État partie d'accélérer son achèvement. En outre, la priorité devrait être accordée à la validation des limites de la Zone centrale de conservation intégrale.

Le rapport de l'État partie répond aux mesures correctives, mais pas à la décision 42 COM 7A.49 du Comité, concernant la demande de mise à jour des données relatives au nombre d'habitants dans le bien et d'évaluation des impacts de l'augmentation de la population sur l'utilisation des terres du bien et des villages situés sur la RN4. De plus, aucune mise à jour n'est fournie concernant les progrès accomplis vers la réalisation des indicateurs définis dans l'état de conservation souhaité pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR), comme demandé par le Comité dans sa décision 41 COM 7A.9.

Décisions adoptées par le Comité en 2019
43 COM 7A.9
Réserve de faune à okapis (République démocratique du Congo) (N 718)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/19/43.COM/7A.Add,
  2. Rappelant les décisions 41 COM 7A.9 et 42 COM 7A.49, adoptées respectivement à ses 41e (Cracovie, 2017) et 42e (Manama, 2018) sessions,
  3. Réitère sa préoccupation face à l'insécurité persistante qui limite la couverture de surveillance du bien, et réitère sa demande à l'État partie de renforcer rapidement le nombre et les capacités des gardes, ainsi que le budget du bien, afin d'étendre la couverture des patrouilles et de prendre progressivement le plein contrôle du bien, et de réduire massivement le braconnage qui affecte la valeur universelle exceptionnelle (VUE) ;
  4. Se félicite de l'amélioration de la coopération avec les forces armées, qui a permis d'organiser davantage de patrouilles conjointes pour sécuriser le bien et d'évacuer les positions militaires dans le bien, y compris dans les mines à ciel ouvert ;
  5. Apprécie les mesures prises pour fermer certaines mines artisanales et prie de nouveau instamment l'État partie de prendre des mesures urgentes pour fermer toutes les mines artisanales illégales dans le bien et assurer leur réhabilitation ;
  6. Réitère également sa demande à l'État partie de mettre à jour les données relatives au nombre d'habitants dans le bien et dans les villages situés le long de la route nationale (RN4) afin d’évaluer les impacts de l'augmentation de la population sur l'utilisation des terres du bien ;
  7. Note le retard pris dans la mise à jour du Plan d’aménagement et de gestion (PAG) du bien et la validation de la Zone centrale de conservation intégrale, et prie aussi instamment l'État partie d'accélérer la mise à jour du PAG, en intégrant les dispositions relatives aux différentes zones du bien, y compris les zones de subsistance, la Zone centrale de conservation intégrale et les concessions forestières pour les communautés locales, et d'assurer sa mise en œuvre immédiate ;
  8. Réitère en outre sa demande à l'État partie de fournir les données SMART (Spatial Monitoring and Reporting Tool) collectées, pour permettre une évaluation des activités illégales sur la VUE du bien, et les données relatives aux progrès accomplis par rapport aux indicateurs définis dans l'État de conservation souhaité pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR) ;
  9. Demande à l'État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2020, un rapport actualisé sur l'état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 44e session en 2020 ;
  10. Décide de continuer à appliquer le mécanisme de suivi renforcé pour le bien ;
  11. Décide également de maintenir Réserve de faune à okapis (République démocratique du Congo) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
43 COM 8C.2
Mise à jour de la Liste du patrimoine mondial en péril (biens maintenus)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné les rapports sur l’état de conservation des biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial en péril (WHC/19/43.COM/7A, WHC/19/43.COM/7A.Add, WHC/19/43.COM/7A.Add.2, WHC/19/43.COM/7A.Add.3 et WHC/19/43.COM/7A.Add.3.Corr),
  2. Décide de maintenir les biens suivants sur la Liste du patrimoine mondial en péril :
  • Afghanistan, Paysage culturel et vestiges archéologiques de la vallée de Bamiyan (décision 43 COM 7A.41)
  • Afghanistan, Minaret et vestiges archéologiques de Djam (décision 43 COM 7A.42)
  • Autriche, Centre historique de Vienne, (décision 43 COM 7A.45)
  • Bolivie (État plurinational de), Ville de Potosí (décision 43 COM 7A.48)
  • Côte d'Ivoire / Guinée, Réserve naturelle intégrale du mont Nimba (décision 43 COM 7A.6)
  • Égypte, Abou Mena (décision 43 COM 7A.17)
  • États-Unis d'Amérique, Parc national des Everglades (décision 43 COM 7A.3)
  • Honduras, Réserve de la Biosphère Río Plátano (décision 43 COM 7A.4)
  • Îles Salomon, Rennell Est (décision 43 COM 7A.2)
  • Indonésie, Patrimoine des forêts tropicales ombrophiles de Sumatra (décision 43 COM 7A.1)
  • Iraq, Assour (Qal'at Cherqat) (décision 43 COM 7A.18)
  • Iraq, Hatra (décision 43 COM 7A.19)
  • Iraq, Ville archéologique de Samarra (décision 43 COM 7A.20)
  • Vieille ville de Jérusalem et ses remparts (site proposé par la Jordanie) (décision 43 COM 7A.22)
  • Kenya, Parcs nationaux du Lac Turkana (décision 43 COM 7A.12)
  • Libye, Ancienne ville de Ghadamès (décision 43 COM 7A.26)
  • Libye, Site archéologique de Cyrène (décision 43 COM 7A.23)
  • Libye, Site archéologique de Leptis Magna (décision 43 COM 7A.24)
  • Libye, Site archéologique de Sabratha (décision 43 COM 7A.25)
  • Libye, Sites rupestres du Tadrart Acacus (décision 43 COM 7A.27)
  • Madagascar, Forêts humides de l’Atsinanana (décision 43 COM 7A.13)
  • Mali, Tombeau des Askia (décision 43 COM 7A.55)
  • Mali, Tombouctou (décision 43 COM 7A.54)
  • Mali, Villes anciennes de Djenné (décision 43 COM 7A.53)
  • Micronésie (États fédérés de), Nan Madol : centre cérémoniel de la Micronésie orientale (décision 43 COM 7A.43)
  • Niger, Réserves naturelles de l'Aïr et du Ténéré (décision 43 COM 7A.14)
  • Ouganda, Tombes des rois du Buganda à Kasubi (décision 43 COM 7A.56)
  • Ouzbékistan, Centre historique de Shakhrisyabz (décision 43 COM 7A.44)
  • Palestine, Palestine : pays d’olives et de vignes – Paysage culturel du sud de Jérusalem, Battir (décision 43 COM 7A.30)
  • Palestine, Vieille ville d’Hébron/Al-Khalil (décision 43 COM 7A.29)
  • Panama, Fortifications de la côte caraïbe du Panama : Portobelo, San Lorenzo (décision 43 COM 7A.50)
  • Pérou, Zone archéologique de Chan Chan (décision 43 COM 7A.51)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville d'Alep (décision 43 COM 7A.31)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Bosra (décision 43 COM 7A.32)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Damas (décision 43 COM 7A.33)
  • République arabe syrienne, Villages antiques du Nord de la Syrie (décision 43 COM 7A.34)
  • République arabe syrienne, Crac des Chevaliers et Qal’at Salah El-Din (décision 43 COM 7A.35)
  • République arabe syrienne, Site de Palmyre (décision 43 COM 7A.36)
  • République centrafricaine, Parc national du Manovo-Gounda St Floris (décision 43 COM 7A.5)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Garamba (décision 43 COM 7A.7)
  • République démocratique du Congo, Parc national de Kahuzi-Biega (décision 43 COM 7A.8)
  • République démocratique du Congo, Réserve de faune à okapis (décision 43 COM 7A.9)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Salonga (décision 43 COM 7A.10)
  • République démocratique du Congo, Parc national des Virunga (décision 43 COM 7A.11)
  • République-Unie de Tanzanie, Réserve de gibier de Selous (décision 43 COM 7A.16)
  • Sénégal, Parc national du Niokolo-Koba (décision 43 COM 7A.15)
  • Serbie, Monuments médiévaux au Kosovo (décision 43 COM 7A.46)
  • Royaume-Uni de Grande Bretagne et d'Irlande du Nord, Liverpool – Port marchand (décision 43 COM 7A.47)
  • Venezuela (République bolivarienne du), Coro et son port (décision 43 COM 7A.52)
  • Yémen, Ville historique de Zabid (décision 43 COM 7A.38)
  • Yémen, Vieille ville de Sana’a (décision 43 COM 7A.39)
  • Yémen, Ancienne ville de Shibam et son mur d'enceinte (décision 43 COM 7A.40)
Projet de décision : 43 COM 7A.9

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/19/43.COM/7A.Add,
  2. Rappelant les décisions 41 COM 7A.9 et 42 COM 7A.49, adoptées respectivement à ses 41e (Cracovie, 2017) et 42e (Manama, 2018) sessions,
  3. Réitère sa préoccupation face à l'insécurité persistante qui limite la couverture de surveillance du bien, et réitère sa demande à l'État partie de renforcer rapidement le nombre et les capacités des gardes, ainsi que le budget du bien, afin d'étendre la couverture des patrouilles et de prendre progressivement le plein contrôle du bien, et de réduire massivement le braconnage qui affecte la valeur universelle exceptionnelle (VUE) ;
  4. Se félicite de l'amélioration de la coopération avec les forces armées, qui a permis d'organiser davantage de patrouilles conjointes pour sécuriser le bien et d'évacuer les positions militaires dans le bien, y compris dans les mines à ciel ouvert ;
  5. Apprécie les mesures prises pour fermer certaines mines artisanales et prie de nouveau instamment l'État partie de prendre des mesures urgentes pour fermer toutes les mines artisanales illégales dans le bien et assurer leur réhabilitation ;
  6. Réitère également sa demande à l'État partie de mettre à jour les données relatives au nombre d'habitants dans le bien et dans les villages situés le long de la route nationale (RN4) afin d’évaluer les impacts de l'augmentation de la population sur l'utilisation des terres du bien ;
  7. Note le retard pris dans la mise à jour du Plan d’aménagement et de gestion (PAG) du bien et la validation de la Zone centrale de conservation intégrale, et prie aussi instamment l'État partie d'accélérer la mise à jour du PAG, en intégrant les dispositions relatives aux différentes zones du bien, y compris les zones de subsistance, la Zone centrale de conservation intégrale et les concessions forestières pour les communautés locales, et d'assurer sa mise en œuvre immédiate ;
  8. Réitère en outre sa demande à l'État partie de fournir les données SMART (Spatial Monitoring and Reporting Tool) collectées, pour permettre une évaluation des activités illégales sur la VUE du bien, et les données relatives aux progrès accomplis par rapport aux indicateurs définis dans l'État de conservation souhaité pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR) ;
  9. Demande à l'État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1erfévrier 2020, un rapport actualisé sur l'état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 44e session en 2020 ;
  10. Décide de continuer à appliquer le mécanisme de suivi renforcé pour le bien ;
  11. Décide également de maintenir Réserve de faune à okapis (République démocratique du Congo) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
Année du rapport : 2019
République démocratique du Congo
Date d'inscription : 1996
Catégorie : Naturel
Critères : (x)
Liste en péril (dates) : 1997-présent
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2019) .pdf
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* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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