Archipel de Socotra
Facteurs affectant le bien en 2021*
- Cadre juridique
- Déchets solides
- Espèces envahissantes/exotiques marines
- Gouvernance
- Infrastructures de transport de surface
- Pêche/collecte de ressources aquatiques
- Système de gestion/plan de gestion
- Tempêtes
- Troubles civils
- Élevage de bétail / pacage d’animaux domestiques
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
- Système de gestion/Plan de gestion
- Cadres juridiques
- Gouvernance
- Habitat et Développement
- Infrastructures de transport de surface: réseau routier
- Utilisation/modification des ressources
- Espèces envahissantes/espèces exotiques ou hyper-abondantes: Absence de mesures de biosécurité adéquates pour éviter l’introduction d’espèces exotiques envahissantes
- Élevage de bétail/pacage d’animaux domestiqués
- Pêche/collecte de ressources aquatiques
- Déchets solides : essentiellement à l’intérieur et autour des principaux lieux de peuplement
- Troubles civiles : troubles empêchant la gestion du bien, la venue d’experts internationaux et le soutien au renforcement des capacités
- Changement climatique/problèmes météorologiques : cyclones
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2021
Montant total approuvé : 75 000 dollars E.U.
2017 | Mitigation of hurricanes impacts on endemic and ... (Approuvé) | 75 000 dollars E.U. |
Missions sur le bien jusqu'en 2021**
Décembre 2012 : mission de l’UICN ; juin 2014 : mission UICN/Centre régional arabe pour le patrimoine mondial (ARC-WH)
Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2021
Le 1er février 2020, l’État partie a soumis un rapport sur l’état de conservation, disponible à http://whc.unesco.org/fr/list/1263/documents/ et faisant part des informations suivantes :
- L’instabilité politique dans le pays a créé des conditions exceptionnellement difficiles et entraîné une limitation de la capacité de gestion et du financement ;
- Des modifications ont été apportées au ministère de l’Eau et de l’Environnement et à l’Agence de protection de l’environnement (APE) en 2019 mais aucun détail n’a été fourni ;
- Le changement climatique, la pollution par le plastique et la menace que constituent les espèces exotiques restent un défi. La pollution par le plastique est en augmentation dans la zone de développement du littoral ; des actions de sensibilisation et de gestion sont en cours ;
- En coopération avec les partenaires internationaux, des activités sont envisagées pour relever les grands défis posés par la gestion des espèces exotiques envahissantes (EEE), les activités de restauration pour les espèces indigènes, le suivi de la biodiversité, les campagnes de sensibilisation et l’évaluation de la gestion des aires protégées. Un projet triennal de reboisement d’essences endémiques a été planifié, commençant en 2020. Les activités de reboisement apportent une réponse au problème de glissements de terrain en lien avec le changement climatique et le surpâturage ;
- Parmi les mesures prises en priorité pour donner suite aux décisions du Comité de 2008 à 2019 et les futures actions prioritaires figurent :
- La planification et la réforme de la gestion de l’APE Socotra pour lutter contre les EEE, gérer durablement les ressources terrestres et marines et s’attaquer au développement non durable ;
- La révision du plan de zonage pour la conservation 2000 (PZC) est en cours dans le cadre du projet du Programme et fonds pour l’environnement (PNUE-FEM) co-mis en œuvre par l’APE ;
- Les activités de lutte contre les EEE 2016-2019 incluent la gestion des espèces exotiques, une compilation de toutes les espèces exotiques, l’élaboration d’un plan de gestion et de mesures de sensibilisation. Des contraintes de capacité en limitent la mise en œuvre ;
- Les difficultés de financement durable et de capacité continuent de limiter la gestion, notamment la mise en place d’une autorité de gestion du patrimoine mondial, d’un système de suivi de la biodiversité et d’une stratégie de tourisme ;
- Aucun développement incontrôlé n’a été constaté dans les zones sensibles et les autorités ont engagés le dialogue avec les promoteurs au sujet des aménagements non réglementés dans la zone tampon, mais des difficultés sont notées en conséquence de la crise économique et de capacités d’application limitées. La mise en œuvre des évaluations d’impact environnemental (EIE) est entravée par des problèmes de financement et de capacité ;
- Des activités pilotes ont été mises en œuvre en collaboration avec le PNUE-FEM, les Amis de Socotra et le Centre régional arabe pour le patrimoine mondial (ARC-WH) afin de réduire les impacts du surpâturage et du ramassage de bois.
Malgré les invitations de l’État partie, la mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN sur le bien, demandée par le Comité depuis 2016, ainsi que l’atelier technique qui était envisagé à la suite de la mission, n’ont pu avoir lieu en raison de problèmes de sécurité et de logistique.
En septembre 2019, l’UNESCO et les Amis de Socotra ont lancé la campagne ‘Connect 2 Socotra’ pour sensibiliser au riche patrimoine de l’archipel. Les activités comprenaient une série de vidéos d’animation de sensibilisation à l’initiative du Bureau de l’UNESCO pour les pays du Golfe et le Yémen, dont une vidéo sur la COVID-19 diffusée en soqotri en 2020, et des projets pour d’autres vidéos.
En mai 2020, l’UNESCO a reçu une lettre de l’État partie suscitant d’urgentes inquiétudes au sujet d’affrontements initiés par le Conseil de transition du Sud (STC) contre les autorités locales, et d’autres menaces pesant sur le bien, et requérant que la mission ait lieu dès que possible.
Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2021
L’engagement de l’État partie à renforcer les mesures de gestion en collaboration avec les partenaires internationaux, en dépit de considérables contraintes de capacité dues à l’insécurité persistante au Yémen, est reconnu et salué.
Le rapport donne un aperçu des mesures de gestion tant menées à bien que prévues. Toutefois, compte tenu aussi du fait que la mission de suivi réactif demandée par le Comité en particulier depuis 2018 pour déterminer si le bien satisfait les critères d’une inscription sur la Liste du patrimoine mondial en péril n’a pas eu lieu, l’état de conservation général du bien et sa valeur universelle exceptionnelle (VUE) demeurent imprécis. La bonne gestion du bien continue d’être affectée par l’insécurité au Yémen continental, avec d’inquiétants affrontements sur Socotra en mai 2020, et le manque de financement durable et de moyens continue de limiter les mesures de gestion essentielles. L’impact négatif du changement climatique, de la pollution par le plastique et des EEE qu’évoque le rapport demeure également toujours préoccupant. Les efforts accomplis pour résoudre la question des EEE sont salués mais l’efficacité des mesures de gestion mises en œuvre au regard de la VUE reste difficile à cerner. Rappelant le degré élevé d’endémisme sur Socotra, il est inquiétant que l’application des mesures de lutte contre les EEE aux frontières de l’île demeure limitée par une capacité de gestion restreinte et que sa poursuite dépende du renouvellement du financement du projet. Un système de suivi stratégique de la biodiversité visant à surveiller les valeurs naturelles du bien et les menaces qui pèsent sur ce dernier, ainsi qu’une autorité de gestion du patrimoine mondial, doivent encore être instaurés. Les efforts de suivi pourraient être facilités en tirant parti du partage d’informations et de la collaboration avec les divers organismes scientifiques qui entreprennent des recherches sur Socotra.
Tout en prenant acte des informations selon lesquelles, d’une part, aucune violation pour développement incontrôlé n’a été constatée dans les zones sensibles et, d’autre part, les autorités sont en contact avec les promoteurs dans la zone tampon, la situation des développements au sein et à l’extérieur du bien, y compris la plage de Delisha et le lagon de Serhin, demeure floue. Qui plus est, il est grandement préoccupant d’avoir reçu confirmation que les développements se poursuivent dans la zone tampon sans évaluation d’impact adéquate, en raison du manque de fonds et de moyens des autorités pour les contrôler, et que des moyens supplémentaires sont requis pour résoudre la question des aménagements côtiers. L’examen du PZC pourrait être l’occasion de renforcer la protection de la zone tampon et les dispositions de protection du bien, de mettre fin à l’utilisation non durable de ressources naturelles et de promouvoir une gestion durable de la terre et de la mer.
Il est recommandé que le Comité réitère sa demande de suspendre tous les projets qui ont potentiellement une incidence sur la VUE du bien, à la fois au sein du bien et dans sa zone tampon, afin de garantir qu’aucun nouveau développement n’est autorisé sans une évaluation appropriée de ses impacts sur la VUE, et de veiller à ce que des contrôles environnementaux adéquats soient mis en œuvre. Il est de plus recommandé de demander une carte de tous les aménagements nouveaux qui ont été construits dans le bien et sa zone tampon depuis l’inscription.
Compte tenu des menaces permanentes qui pèsent sur la VUE du bien, il est recommandé que le Comité réitère sa demande de voir la mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN avoir lieu dès que possible, pour évaluer l’état de conservation général du bien et pour déterminer si son inscription sur la Liste du patrimoine mondial en péril est justifiée.
Rappelant l’intention de l’État partie d’organiser un atelier technique à la suite de la mission, il est recommandé de demander au Centre du patrimoine mondial, en collaboration avec les Organisations consultatives, de promouvoir un atelier technique réunissant les principales parties prenantes concernées pour revoir de manière systématique l’état de conservation, les menaces et la capacité de gestion du bien, ainsi que pour fournir des conseils techniques pour la protection et la gestion de sa VUE.
Résumé des interventions
Décisions adoptées par le Comité en 2021
44 COM 7B.88
Archipel de Socotra (Yémen) (N 1263)
Le Comité du patrimoine mondial,
- Ayant examiné le document WHC/21/44.COM/7B,
- Rappelant les décisions 42 COM 7B.100 et 43 COM 7B.1, adoptées à ses 42e (Manama, 2018) et 43e (Bakou, 2019) sessions respectivement,
- Salue l’engagement de l’État partie à renforcer les mesures de gestion en collaboration avec les partenaires internationaux, en dépit de considérables manques de moyens dus à l’insécurité persistante au Yémen ;
- Notant avec inquiétude les affrontements survenus sur Socotra en mai 2020, exprime sa plus vive préoccupation quant à l’effet persistant de l’insécurité au Yémen continental sur la capacité de gestion générale du bien ;
- Reconnaît les efforts continus de gestion des espèces exotiques envahissantes (EEE) mais note que l’efficacité des mesures de gestion mises en œuvre au regard de la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien reste difficile à cerner et, rappelant également le degré élevé d’endémisme dans le bien et les impacts potentiellement dévastateurs des EEE sur sa VUE, demande à l’État partie de renforcer encore la capacité d’application des mesures de biosécurité ;
- Prenant acte des informations données par l’État partie selon lesquelles aucune violation pour développement incontrôlé n’a été constatée dans les zones sensibles et selon lesquelles les autorités sont en contact avec les promoteurs dans la zone tampon, note également avec inquiétude cependant que les aménagements se poursuivent dans la zone tampon en l’absence d’évaluations d’impact environnemental (EIE) en raison de capacités d’application limitées, et prie l’État partie de :
- Suspendre tout développement en cours au sein du bien ou de sa zone tampon susceptible d’avoir une incidence sur sa VUE et de s’abstenir d’autoriser tout nouveau développement tant que l’impact potentiel sur la VUE n’a pas été évalué, conformément à la Note consultative de l’UICN sur le patrimoine mondial et les évaluations d’impact, et les évaluations soumises au Centre du patrimoine mondial pour examen par l’UICN, avant de prendre une décision qui serait difficilement réversible , conformément au paragraphe 172 des Orientations,
- Fournir une carte de tous les aménagements nouveaux qui ont été construits dans le bien et sa zone tampon depuis l’inscription,
- Évaluer les impacts sur la VUE des aménagements d’infrastructures existants qui n’ont pas fait l’objet d’EIE et en soumettre les résultats au Centre du patrimoine mondial pour examen par l’UICN, afin d’envisager une réponse adaptée à ces impacts,
- Veiller à ce que des normes environnementales appropriées réglementant les activités dans le bien et sa zone tampon soient incorporées dans le plan de zonage pour la conservation et que leur application soit garantie ;
- Réitère son inquiétude quant à l’insuffisance des informations fournies pour déterminer l’état de conservation actuel de la VUE du bien ;
- Réitère sa plus vive inquiétude quant aux multiples menaces signalées pour la VUE du bien, notamment développement incontrôlé, utilisation non durable des ressources naturelles, changement climatique, pollution par le plastique, manque de financement durable et absence de mesures de biosécurité appropriées pour éviter l’introduction d’EEE, et considère que tous ces facteurs représentent un péril potentiel pour la VUE du bien ;
- Regrette que la mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN invitée sur le bien n’ait pu être entreprise en raison des conditions de sécurité actuelles au Yémen et de contraintes logistiques, et réitère sa demande de voir la mission avoir lieu dès que possible, pour évaluer l’état actuel de conservation du bien, en particulier au regard des menaces susmentionnées, et pour déterminer si le bien remplit les conditions d’inscription sur la Liste du patrimoine mondial en péril ;
- Rappelant en outre l’intention de l’État partie d’organiser un atelier technique à la suite de la mission portant sur la manière de garantir la protection de la VUE du bien tout en promouvant également un développement durable adéquat pour la population de Socotra, demande également au Centre du patrimoine mondial, en collaboration avec les Organisations consultatives, de promouvoir une réunion technique avec les autorités yéménites, l’UICN et les parties prenantes concernées afin d’identifier les priorités pour la protection et la gestion de la VUE du bien.
- Demande en outre à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2022, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 45e session, afin de considérer, dans le cas de la confirmation d’un péril potentiel ou prouvé pour la valeur universelle exceptionnelle, l’inscription éventuelle du bien sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
Projet de décision : 44 COM 7B.88
Le Comité du patrimoine mondial,
- Ayant examiné le document WHC/21/44.COM/7B,
- Rappelant les décisions 42 COM 7B.100 et 43 COM 7B.1, adoptées à ses 42e (Manama, 2018) et 43e (Bakou, 2019) sessions respectivement,
- Salue l’engagement de l’État partie à renforcer les mesures de gestion en collaboration avec les partenaires internationaux, en dépit de considérables manques de moyens dus à l’insécurité persistante au Yémen ;
- Notant avec inquiétude les affrontements survenus sur Socotra en mai 2020, exprime sa plus vive préoccupation quant à l’effet persistant de l’insécurité au Yémen continental sur la capacité de gestion générale du bien ;
- Reconnaît les efforts continus de gestion des espèces exotiques envahissantes (EEE) mais note que l’efficacité des mesures de gestion mises en œuvre au regard de la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien reste difficile à cerner et, rappelant également le degré élevé d’endémisme dans le bien et les impacts potentiellement dévastateurs des EEE sur sa VUE, demande à l’État partie de renforcer encore la capacité d’application des mesures de biosécurité ;
- Prenant acte des informations données par l’État partie selon lesquelles aucune violation pour développement incontrôlé n’a été constatée dans les zones sensibles et selon lesquelles les autorités sont en contact avec les promoteurs dans la zone tampon, note également avec inquiétude cependant que les aménagements se poursuivent dans la zone tampon en l’absence d’évaluations d’impact environnemental (EIE) en raison de capacités d’application limitées, et prie l’État partie de :
- Suspendre tout développement en cours au sein du bien ou de sa zone tampon susceptible d’avoir une incidence sur sa VUE et de s’abstenir d’autoriser tout nouveau développement tant que l’impact potentiel sur la VUE n’a pas été évalué, conformément à la Note consultative de l’UICN sur le patrimoine mondial et les évaluations d’impact, et les évaluations soumises au Centre du patrimoine mondial pour examen par l’UICN, avant de prendre une décision qui serait difficilement réversible , conformément au paragraphe 172 des Orientations,
- Fournir une carte de tous les aménagements nouveaux qui ont été construits dans le bien et sa zone tampon depuis l’inscription,
- Évaluer les impacts sur la VUE des aménagements d’infrastructures existants qui n’ont pas fait l’objet d’EIE et en soumettre les résultats au Centre du patrimoine mondial pour examen par l’UICN, afin d’envisager une réponse adaptée à ces impacts,
- Veiller à ce que des normes environnementales appropriées réglementant les activités dans le bien et sa zone tampon soient incorporées dans le plan de zonage pour la conservation et que leur application soit garantie ;
- Réitère son inquiétude quant à l’insuffisance des informations fournies pour déterminer l’état de conservation actuel de la VUE du bien ;
- Réitère sa plus vive inquiétude quant aux multiples menaces signalées pour la VUE du bien, notamment développement incontrôlé, utilisation non durable des ressources naturelles, changement climatique, pollution par le plastique, manque de financement durable et absence de mesures de biosécurité appropriées pour éviter l’introduction d’EEE, et considère que tous ces facteurs représentent un péril potentiel pour la VUE du bien ;
- Regrette que la mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN invitée sur le bien n’ait pu être entreprise en raison des conditions de sécurité actuelles au Yémen et de contraintes logistiques, et réitère sa demande de voir la mission avoir lieu dès que possible, pour évaluer l’état actuel de conservation du bien, en particulier au regard des menaces susmentionnées, et pour déterminer si le bien remplit les conditions d’inscription sur la Liste du patrimoine mondial en péril ;
- Rappelant en outre l’intention de l’État partie d’organiser un atelier technique à la suite de la mission portant sur la manière de garantir la protection de la VUE du bien tout en promouvant également un développement durable adéquat pour la population de Socotra, demande également au Centre du patrimoine mondial, en collaboration avec les Organisations consultatives, de promouvoir une réunion technique avec les autorités yéménites, l’UICN et les parties prenantes concernées afin d’identifier les priorités pour la protection et la gestion de la VUE du bien.
- Demande en outre à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2022, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 45e session en 2022, afin de considérer, dans le cas de la confirmation d’un péril potentiel ou prouvé pour la valeur universelle exceptionnelle, l’inscription éventuelle du bien sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
Exports
* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).
** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.