Forêts humides de l’Atsinanana
Facteurs affectant le bien en 2017*
- Activités illégales
- Chasse de subsistance
- Exploitation minière
- Gouvernance
- Incendies (d’origine naturelle)
- Modification du régime des sols
- Modifications des valeurs associées à ce patrimoine
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
- Empiètement
- Incendies
- Chasse et braconnage
- Exploitation minière artisanale
- Abattage illégal du bois
- Gouvernance
- Engagement des communautés locales
Menaces pour lesquelles le bien a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril
L’abattage illégal de bois précieux (ébène et bois de rose) et ses impacts secondaires, le braconnage d’espèces menacées de lémuriens ont été reconnus comme des menaces pour l’intégrité du bien
Etat de conservation souhaité pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril
Adopté, voir page https://whc.unesco.org/fr/decisions/4344
Mesures correctives pour le bien
Adoptées, voir page https://whc.unesco.org/fr/decisions/4344
Calendrier pour la mise en œuvre des mesures correctives
Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2017
Montant total accordé : 1 890 000 dollars EU par la Fondation des Nations Unies et la Fondation nordique du patrimoine mondial ; 1 039 000 dollars EU par le Gouvernement norvégien
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2017
Montant total approuvé : 155 000 dollars E.U.
2016 | Conservation et gestion des forêts humides de ... (Non approuvé) | 0 dollars E.U. |
2010 | Forêts Humides de l’Atsinanana (Approuvé) | 100 000 dollars E.U. |
2005 | Elaboration of a a serial nomination for the humid ... (Approuvé) | 25 000 dollars E.U. |
2000 | Technical Assistance for Building Capacity for World ... (Approuvé) | 30 000 dollars E.U. |
Missions sur le bien jusqu'en 2017**
Mai 2011, septembre-octobre 2015 : missions conjointes de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN
Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2017
L’État partie a soumis un rapport sur l’état de conservation du bien le 8 février 2017, disponible à https://whc.unesco.org/fr/list/1257/documents/, lequel présente les avancées réalisées dans la mise en œuvre des décisions du Comité et des recommandations de la mission de 2015 comme suit :
- Le décret d’application no2016-801 de la loi no 2015-056 est entré en vigueur afin de combattre le trafic illicite de bois de rose et d’ébène, et le ministère de la Justice a publié en décembre 2016 une circulaire visant à poursuivre tout contrevenant à cette loi ;
- Un rapport sur l’état d’avancement du plan d’action de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES) a été soumis en décembre 2016 au Secrétariat de la CITES, mettant l’accent sur les plans en matière d’exportation légale d’au moins un tiers du stock, sur la réglementation du commerce de bois de rose, et sur les avancées dans la mise en œuvre de mesures antifraude ;
- Des ressources ont été dégagées pour entreprendre à partir de janvier 2017 l’inventaire du stock, en estimer le volume et la valeur monétaire. D’autres projets internationalement financés incluent l’identification d’échantillons de bois afin de limiter les fausses déclarations, la gestion durable du paysage, et la gouvernance forestière. Toutefois, des financements supplémentaires sont nécessaires pour la pleine mise en œuvre du plan d’action ;
- L’unité de traitement du bois saisi n’est plus proposée ;
- La surveillance des activités illégales — abattage du bois, exploitation minière et braconnage — a été assurée par des patrouilles intensives en collaboration avec les comités des parcs locaux, avec une attention particulière apportée au parc national de Marojejy. 175 employés ont été formés au logiciel Spatial Monitoring and Reporting Tool (SMART), qui est mis en œuvre dans tous les éléments du bien ;
- Les chercheurs de saphirs et de rubis ont été évacués du Corridor Ankeniheny-Zahamena, à environ 10 km du parc national de Zahamena, mais cela a conduit à l’invasion dudit Corridor par 200 000 occupants illégaux. Un plan d’action de cinq ans pour lutter contre l’exploitation minière illégale dans le parc national de Ranomafana est actuellement élaboré, et des mesures sont prises pour réduire la pression liée à l’exploitation minière artisanale, en particulier aurifère ;
- La surveillance satellite et aérienne permet de détecter et d’anticiper les mouvements de navires suspects qui transportent le bois ;
- Un projet soutenable de pêcheries côtières est actuellement mis en œuvre pour assurer la sécurité alimentaire de la population locale.
Les avancées en matière d’État de conservation souhaité en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR) sont signalées comme suit :
- L’abattage illégal de bois précieux a augmenté en 2016 (99) par rapport à 2015 (36). S’il est signalé que l’exploitation du bois de rose a cessé, celle du palissandre persiste ;
- Les surfaces déboisées sont passées de 0,004 % en 2015 à 0,16 % en 2016, principalement dans les parcs nationaux de Masoala et d’Andohahela ;
- En 2016, 123 ha de zones détériorées ont été restaurés dans les parcs nationaux d’Andringitra, de Masoala et de Zahamena ;
- Le nombre de pièges à lémuriens signalé a diminué, passant de 112 en 2015 à 65 en 2016.
Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2017
Les efforts continus de l’État partie pour répondre aux menaces qui pèsent sur le bien sont appréciés. En particulier, sont accueillis favorablement : la publication du décret d’application de la loi no 2015-056, qui crée un tribunal spécial pour juger les trafiquants de bois et renforcer les peines, l’attribution de ressources afin d’établir un inventaire du stock, et les multiples projets de renforcement du suivi, de la gestion et de la gouvernance afin de réduire l’abattage illégal, projets planifiés grâce au soutien de collaborations et de donateurs internationaux.
Bien que le dernier rapport soumis par l’État partie au Secrétariat de la CITES n’ait pas encore été examiné, la 17e réunion de la Conférence des Parties à la CITES (COP17), en septembre 2016, a conduit à la décision de renforcer davantage la protection des espèces Dalbergia et Diospyros à Madagascar. Par ailleurs, le gouvernement de Madagascar a adopté un plan de gestion de la biodiversité lors de la COP17, qui présente des activités et des indicateurs visant à renforcer la protection du patrimoine mondial et des zones protégées, y compris en promulguant un décret visant à punir les contrevenants en matière d’exploitation du bois de rose et de l’ébène, et la formation de forces conjointes (État partie, police et armée) pour garantir des patrouilles régulières au sein du bien. Il est par conséquent recommandé que le Comité encourage vivement l’État partie à poursuivre la mise en œuvre du plan d’action de la CITES et du plan de gestion de la biodiversité.
On notera qu’un nombre moins important de pièges à lémuriens a été signalé en 2016 par rapport à l’année précédente, mais les données disponibles depuis 2009 montrent des fluctuations relativement stables dans l’ensemble. L’État partie a toutefois réalisé des avancées en restaurant des zones détériorées au sein de trois des éléments du bien, y compris en consultant la population locale sur les méthodes de restauration, et en mettant en œuvre le logiciel SMART pour assurer la surveillance des six éléments du bien.
Malgré les efforts continus de l’État partie, il est regrettable que l’augmentation de la demande en bois et minéraux précieux conduise à une exploitation accrue du bien. Ainsi, la croissance du nombre de cas d’abattage illégal et la très grande augmentation du pourcentage de surfaces déboisées, qui a dépassé pour la première fois depuis 2013, au sein du bien, le seuil de 0,01 % du DSOCR, sont particulièrement préoccupantes.
L’arrivée de mineurs artisanaux dans le Corridor d’Ankeniheny-Zahamena et l’occupation illégale qui s’en est suivie sont également très préoccupantes, notamment si l’on considère que le Comité avait recommandé à l’État partie au moment de l’inscription d’étudier à l’avenir l’ajout potentiel de zones protégées formant des corridors de forêts naturelles entre les réserves existantes situées au sein du bien (décision 31 COM 8B.9). La priorisation signalée par l’État partie pour résoudre ce problème est à cet égard appréciée.
S’agissant du projet d’assistance de conservation et de gestion (assistance internationale de 100 000 dollars des États-Unis, décision 34 COM 15.2), la seconde phase a été mise en œuvre par la Fondation pour les aires protégées et la biodiversité de Madagascar et a produit des résultats encourageants. Les capacités logistiques et opérationnelles des structures-relais des parcs nationaux de Masoala et de Marojejy ont été renforcées pour mieux lutter contre le trafic illégal de bois précieux. La population locale a été sensibilisée à la conservation et à la gestion durable du bien par l’organisation d’une campagne d’information et l'élaboration de contenus médiatiques.
Tout en reconnaissant les avancées réalisées par l’État partie, des efforts supplémentaires sont toujours nécessaires pour respecter les indicateurs du DSOCR, particulièrement au vu de l’augmentation signalée de l’abattage illégal et du déboisement, et il est par conséquent recommandé que le Comité maintienne le bien sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
Résumé des interventions
Décisions adoptées par le Comité en 2017
41 COM 7A.14
Forêts humides de l'Atsinanana (Madagascar) (N 1257)
Le Comité du patrimoine mondial,
- Ayant examiné le document WHC/17/41.COM/7A.Add.2,
- Rappelant la décision 40 COM 7A.44, adoptée à sa 40esession (Istanbul/UNESCO, 2016),
- Accueille favorablement la publication du décret d’application de la loi n° 2015-056 pour créer un tribunal spécial afin de juger les trafiquants et renforcer les peines, ce qui devrait contribuer à l’arrêt du trafic illicite de bois précieux ;
- Apprécie le soutien des donateurs internationaux pour renforcer le suivi, la gestion et la gouvernance du bien afin de réduire l’abattage illégal ;
- Note avec appréciation les avancées réalisées pour restaurer les sites détériorés et demande à l’État partie de faire rapport sur les sites restants qui doivent être réhabilités et de garantir le maintien de la participation de la main-d’œuvre locale ;
- Note avec grande préoccupation que l’abattage et le déboisement illégaux ont augmenté en 2016, particulièrement dans les parcs nationaux de Masoala et d’Andohahela, dépassant pour la première fois depuis 2013 l’indicateur de déboisement maximum fixé à 0,01 % et spécifié dans l’État de conservation souhaité en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR), et demande également à l’État partie de renforcer plus avant ses activités de suivi au sein des deux éléments du bien ;
- Encourage vivement l’État partie à continuer de pleinement mettre en œuvre le plan d’action de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES) et le plan de gestion de la biodiversité ;
- Demande en outre à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1erfévrier 2018, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 42e session en 2018 ;
- Décide de maintenir Forêts humides de l’Atsinanana (Madagascar) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
41 COM 8C.2
Mise à jour de la Liste du patrimoine mondial en péril (biens maintenus)
Le Comité du patrimoine mondial,- Ayant examiné les rapports sur l’état de conservation des biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial en péril (WHC/17/41.COM/7A, WHC/17/41.COM/7A.Add et WHC/17/41.COM/7A.Add.2),
- Décide de maintenir les biens suivants sur la Liste du patrimoine mondial en péril :
- Afghanistan, Paysage culturel et vestiges archéologiques de la vallée de Bamiyan (décision 41 COM 7A.54)
- Afghanistan, Minaret et vestiges archéologiques de Djam (décision 41 COM 7A.55)
- Belize, Réseau de réserves du récif de la barrière du Belize (décision 41 COM 7A.2)
- Bolivie (État plurinational de), Ville de Potosí (décision 41 COM 7A.23)
- Chili, Usines de salpêtre de Humberstone et de Santa Laura (décision 41 COM 7A.24)
- Côte d'Ivoire / Guinée, Réserve naturelle intégrale du mont Nimba (décision 41 COM 7A.6)
- Égypte, Abou Mena (décision 41 COM 7A.32)
- États-Unis d'Amérique, Parc national des Everglades (décision 41 COM 7A.1)
- Honduras, Réserve de la Biosphère Río Plátano (décision 41 COM 7A.3)
- Îles Salomon, Rennell Est (décision 41 COM 7A.19)
- Indonésie, Patrimoine des forêts tropicales ombrophiles de Sumatra (décision 41 COM 7A.18)
- Iraq, Assour (Qal'at Cherqat) (décision 41 COM 7A.33)
- Iraq, Hatra (décision 41 COM 7A.34)
- Iraq, Ville archéologique de Samarra (décision 41 COM 7A.35)
- Vieille ville de Jérusalem et ses remparts (site proposé par la Jordanie) (décision 41 COM 7A.36)
- Libye, Ancienne ville de Ghadamès (décision 41 COM 7A.40)
- Libye, Site archéologique de Cyrène (décision 41 COM 7A.37)
- Libye, Site archéologique de Leptis Magna (décision 41 COM 7A.38)
- Libye, Site archéologique de Sabratha (décision 41 COM 7A.39)
- Libye, Sites rupestres du Tadrart Acacus (décision 41 COM 7A.41)
- Madagascar, Forêts humides de l’Atsinanana (décision 41 COM 7A.14)
- Mali, Villes anciennes de Djenné (décision 41 COM 7A.28)
- Mali, Tombouctou (décision 41 COM 7A.29)
- Mali, Tombeau des Askia (décision 41 COM 7A.30)
- Micronésie (États fédérés de), Nan Madol : centre cérémoniel de la Micronésie orientale (décision 41 COM 7A.56)
- Niger, Réserves naturelles de l'Aïr et du Ténéré (décision 41 COM 7A.15)
- Ouganda, Tombes des rois du Buganda à Kasubi (décision 41 COM 7A.31)
- Ouzbékistan, Centre historique de Shakhrisyabz (décision 41 COM 7A.57)
- Palestine, Lieu de naissance de Jésus : l’église de la Nativité et la route de pèlerinage, Bethléem (décision 41 COM 7A.42)
- Palestine, Palestine : pays d’olives et de vignes – Paysage culturel du sud de Jérusalem, Battir (décision 41 COM 7A.43)
- Panama, Fortifications de la côte caraïbe du Panama : Portobelo, San Lorenzo (décision 41 COM 7A.25)
- Pérou, Zone archéologique de Chan Chan (décision 41 COM 7A.26)
- République arabe syrienne, Ancienne ville d'Alep (décision 41 COM 7A.44)
- République arabe syrienne, Ancienne ville de Bosra (décision 41 COM 7A.45)
- République arabe syrienne, Ancienne ville de Damas (décision 41 COM 7A.46)
- République arabe syrienne, Villages antiques du Nord de la Syrie (décision 41 COM 7A.47)
- République arabe syrienne, Crac des Chevaliers et Qal’at Salah El-Din (décision 41 COM 7A.48)
- République arabe syrienne, Site de Palmyre (décision 41 COM 7A.49)
- République centrafricaine, Parc national du Manovo-Gounda St Floris (décision 41 COM 7A.4)
- République démocratique du Congo, Parc national de la Garamba (décision 41 COM 7A.7)
- République démocratique du Congo, Parc national de Kahuzi-Biega (décision 41 COM 7A.8)
- République démocratique du Congo, Réserve de faune à okapis (décision 41 COM 7A.9)
- République démocratique du Congo, Parc national de la Salonga (décision 41 COM 7A.10)
- République démocratique du Congo, Parc national des Virunga (décision 41 COM 7A.11)
- République-Unie de Tanzanie, Réserve de gibier de Selous (décision 41 COM 7A.17)
- Sénégal, Parc national du Niokolo-Koba (décision 41 COM 7A.16)
- Serbie, Monuments médiévaux au Kosovo (décision 41 COM 7A.21)
- Royaume-Uni de Grande Bretagne et d'Irlande du Nord, Liverpool – Port marchand (décision 41 COM 7A.22)
- Venezuela (République bolivarienne du), Coro et son port (décision 41 COM 7A.27)
- Yémen, Ville historique de Zabid (décision 41 COM 7A.51)
- Yémen, Vieille ville de Sana’a (décision 41 COM 7A.52)
- Yémen, Ancienne ville de Shibam et son mur d'enceinte (décision 41 COM 7A.53)
Projet de décision : 41 COM 7A.14
Le Comité du patrimoine mondial,
- Ayant examiné le document WHC/17/41.COM/7A.Add.2,
- Rappelant la décision 40 COM 7A.44, adoptée à sa 40esession (Istanbul/UNESCO, 2016),
- Accueille favorablement la publication du décret d’application de la loi n° 2015-056 pour créer un tribunal spécial afin de juger les trafiquants et renforcer les peines, ce qui devrait contribuer à l’arrêt du trafic illicite de bois précieux ;
- Apprécie le soutien des donateurs internationaux pour renforcer le suivi, la gestion et la gouvernance du bien afin de réduire l’abattage illégal ;
- Note avec appréciation les avancées réalisées pour restaurer les sites détériorés et demande à l’État partie de faire rapport sur les sites restants qui doivent être réhabilités et de garantir le maintien de la participation de la main-d’œuvre locale ;
- Note avec grande préoccupation que l’abattage et le déboisement illégaux ont augmenté en 2016, particulièrement dans les parcs nationaux de Masoala et d’Andohahela, dépassant pour la première fois depuis 2013 l’indicateur de déboisement maximum fixé à 0,01 % et spécifié dans l’État de conservation souhaité en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR), et demande également à l’État partie de renforcer plus avant ses activités de suivi au sein des deux éléments du bien ;
- Encourage vivement l’État partie à continuer de pleinement mettre en œuvre le plan d’action de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES) et le plan de gestion de la biodiversité ;
- Demande en outre à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1erfévrier 2018, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 42e session en 2018 ;
- Décide de maintenir Forêts humides de l’Atsinanana (Madagascar) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
Exports
* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).
** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.