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Réserve de faune du Dja

Cameroun
Facteurs affectant le bien en 2016*
  • Activités illégales
  • Chasse commerciale
  • Exploitation forestière/production de bois
  • Exploitation minière
  • Infrastructures hydrauliques
  • Modification du régime des sols
  • Système de gestion/plan de gestion
  • Élevage de bétail / pacage d’animaux domestiques
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Absence de mise en œuvre et d'approbation pleine et entière du plan de gestion 
  • Empiétements agricoles et forestiers
  • Projet d'exploitation minière à côté du bien 
  • Agriculture industrielle dans la zone tampon 
  • Menaces exercées par la chasse commerciale et la déforestation autour du bien
  • Barrage hydroélectrique de Mékin
  • Braconnage
Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2016

Montant total accordé: 60 000 dollars EU du Fonds en dépôt des Pays-Bas auprès de l'UNESCO ; 193 275 dollars EU et 118 725 dollars EU, respectivement en 2008 et 2009, dans le cadre de l'Initiative pour le patrimoine mondial forestier de l'Afrique centrale (CAWHFI) pour la région du sud-ouest du Cameroun. 263 700 dollars EU de la Fondation Franz Weber pour un projet de conservation durable de la Réserve de Faune du Dja

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2016
Demandes approuvées : 4 (de 1987-1997)
Montant total approuvé : 84 700 dollars E.U.
1997 Sub-Regional workshop on Strengthening Biodiversity ... (Approuvé)   29 900 dollars E.U.
1992 Financial contribution for a training workshop on the ... (Approuvé)   20 000 dollars E.U.
1989 Contribution to field training in Dja National Park (Approuvé)   4 800 dollars E.U.
1987 Contribution to the adoption and implementation of the ... (Approuvé)   30 000 dollars E.U.
Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2016

Le 7 février 2016, l’Etat partie a soumis un rapport sur l’état de conservation du bien, disponible à https://whc.unesco.org/fr/list/407/documents, et qui apporte les informations suivantes :

  • Il est envisagé de renforcer les équipes de surveillance en 2016. Le budget de fonctionnement a augmenté et un budget d’investissement de 80 000 000 FCFA a été octroyé, spécifiquement pour la construction de la base vie à Lomié. En plus, le bien continu à bénéficier de l’appui technique et financier de plusieurs partenaires ;
  • L’Etat partie a renforcé les moyens des équipes de surveillance en armes et minutions, leur permettant de réaliser 97 patrouilles de lutte anti-braconnage à hauteur de 9512 hommes/jour. Sur 465 braconniers interpelés, seules 16 procédures judiciaires ont été engagées (contre 21 en 2014). Un total de 79 pointes d’ivoire ont été saisies (contre 37 en 2013), ainsi que 5396,5 kg de dépouilles d’animaux ;
  • Un inventaire faunique réalisé en 2015 par le Ministère des forêts et de la faune (MINFOF), en partenariat avec l’UICN, montre que les espèces emblématiques sont toujours présentes, mais a révélé une baisse de la population des éléphants (estimés à 420), une relative diminution des gorilles (estimés à 6613) et une stabilité de la population des chimpanzés (estimés à 3630) ;
  • Concernant la réalisation d’une Evaluation Environnementale Stratégique et Sociale (EESS) recommandée par le Comité, le rapport indique que les termes de référence de l’EESS et la stratégie de financement ont été validés par le Ministère en charge de l’Environnement. CetteEESS a été financée par la Fondation Franz Weber;
  • Une carte d’interprétation d’images satellitaires sur le couvert forestier montre que la déforestation n’est présente qu’à la périphérie du bien ;
  • Les limites des permis miniers ont été revues pour éliminer tout chevauchement ou empiètement sur le bien par l’Arrêté N°01502/MINMIDT/SG/DM/SDCM du 3 février 2015. L’Etat partie confirme que la société minière GEOVIC n’est plus opérationnelle sur le site à l’ouest du bien ;
  • Concernant le projet de la société Sud Hévéa, le rapport met en exergue les appuis de cette société aux activités de protection du bien et de soutien aux communautés locales à travers la mise en œuvre de son Plan de gestion environnementale et sociale (PEGS). Le MINFOF et le Ministère de l’art et de la culture (MINAC) ont exhorté la société Hydro Mékin à tenir compte de la conservation de la faune et des sites archéologiques.

Une mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN a été effectuée sur le bien du 28 novembre au 5 décembre 2015. Le rapport de cette mission est disponible à https://whc.unesco.org/fr/list/407/documents.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2016

Les efforts consentis par l’Etat partie, confirmés par la mission de 2015, devraient être accueillis favorablement. Il s’agit notamment de la création d’un comité interministériel sur le Dja afin de renforcer la conservation durable du bien, l’augmentation des budgets de fonctionnement et d’investissement, l’amélioration des connaissances sur l’état de conservation de la grande faune, le contrôle régulier des unités forestières d’aménagement (UFA), et la validation des termes de référence et la stratégie de financement de l’EESS des projets majeurs autour du bien.  Il convient également de remercier l’ensemble des partenaires mobilisés auprès de l’Etat partie pour contribuer à la protection et à la conservation durable du bien, notamment la Fondation Franz Weber, African Wildlife Fondation, Zoological Society of London, le Zoo de Prague, RAPAC/ECOFAC 5.

A ces progrès, s’ajoute la confirmation qu’aucune activité minière n’a été développée dans le bien depuis fin 2014, et que les permis d’exploration minière dans et aux alentours du bien n’ont pas été renouvelés.

La mission de 2015 a toutefois constaté que la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien demeure soumise à de graves menaces :

  • La construction du barrage de Mékin représente une menace majeure sur la faune et l’habitat au sein du bien. Les travaux de construction s’acheminent vers la fin sans qu’aucune mesure d’atténuation des impacts négatifs ne soit mise en œuvre, la société Hydro Mékin ne disposant pas, dans son équipe, d’un expert en environnement chargé de coordonner la mise en œuvre du PGES du projet. Cette situation représente une mise en péril du bien, conformément au paragraphe 180 des Orientations;
  • L’amplification du braconnage constitue également une menace majeure sur la faune, car elle conduit à une diminution inquiétante des effectifs de grands mammifères, en particulier l’éléphant dont il était estimé en 2015 que la population se situait autour d’un effectif de 420. La mission estime que si le braconnage de l’éléphant persiste dans le bien, il faut s’attendre à son extinction locale dans un avenir proche. Du fait de son augmentation continue constatée par les missions de suivi réactif de 2006, 2009 et 2012, et confirmée une nouvelle fois par la mission de 2015, le braconnage est qualifié de véritable fléau, et représente un péril prouvé, conformément au paragraphe 180 des

La mission a également fait les observations suivantes :

  • Bien que la déforestation semble se limiter à la périphérie du bien, elle représente une menace pour l’habitat des grandes espèces rares et menacées et est susceptible de porter atteinte à l’intégrité du bien ;
  • Les perspectives d’extension des activités de la société Sud Cameroun Hévéa risquent de conduire à la poursuite de la croissance démographique actuelle et exercer des pressions anthropiques supplémentaires sur le bien ;
  • Le service de conservation du bien souffre d’une insuffisance de moyens humain et matériel pour lutter efficacement contre le braconnage et les autres menaces sur le bien.

Au regard de ces conclusions, il est recommandé que le Comité décide d’inscrire le bien sur la Liste du patrimoine mondial en péril, qu’il adopte les mesures correctives proposées par la mission, et qu’il demande à l’Etat partie d’établir, en consultation avec le Centre du patrimoine mondial et l’UICN, un Etat de conservation souhaité en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR), pour examen par le Comité lors de sa 41e session en 2017.

Décisions adoptées par le Comité en 2016
40 COM 7B.79
Réserve de faune du Dja (Cameroun) (N 407)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/16/40.COM/7B,
  2. Rappelant les décisions 36 COM 7B.1, 37 COM 7B.1, 38 COM 7B.86 et 39 COM 7B.1, adoptées respectivement lors de ses 36e (Saint-Pétersbourg, 2012), 37e (Phnom Penh, 2013), 38e (Doha, 2014) et 39e session (Bonn, 2015),
  3. Accueille favorablement les efforts consentis par l’Etat partie, notamment la création d’un comité interministériel sur le Dja afin de renforcer la conservation durable du bien, l’augmentation des budgets de fonctionnement et d’investissement, l’amélioration des connaissances sur l’état de conservation de la grande faune, le contrôle régulier des unités forestières d’aménagement (UFA), et la validation des termes de références et la stratégie de financement de l’Evaluation Environnementale Stratégique et Sociale (EESS) des projets majeurs autour du bien, et remercie l’ensemble des partenaires mobilisés auprès de l’État partie pour contribuer à la protection et à la conservation durable du bien ;
  4. Note avec satisfaction qu’aucune activité minière n’a été développée dans le bien depuis fin 2014, et que les permis d’exploration minière dans et aux alentours du bien n’ont pas été renouvelés, et réitère sa position sur le fait que l’exploration ou l’exploitation minière est incompatible avec le statut de patrimoine mondial, politique soutenue par la déclaration de position du Conseil international des mines et métaux (CIMM) de ne pas entreprendre de telles activités dans les biens du patrimoine mondial;
  5. Note également avec satisfaction les mesures prises par l’État partie pour lutter contre le braconnage ;
  6. Exprime cependant sa préoccupation sur le fait que la mission de suivi réactif conjointe Centre du patrimoine mondial/UICN de 2015 a constaté que la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien risque d’être soumise à de graves menaces, au cas où la construction du barrage de Mékin se terminerait sans qu’aucune mesure d’atténuation ne soit mise en œuvre pour réduire les impacts négatifs, ainsi que l’amplification du braconnage qui conduit à une diminution inquiétante des effectifs de grands mammifères, notamment l’éléphant ;
  7. Adopte les mesures correctives suivantes et prie instamment et fortement l’État partie de les mettre en œuvre, d’ici la 42e session du Comité du patrimoine mondial en 2018 :
    1. Assurer le recrutement d’un expert en environnement au sein de la société Hydro Mékin et mettre en œuvre urgemment le Plan de gestion environnemental et social (PGES) assurant que les mesures d’atténuation des impacts négatifs du barrage sur le bien ont été mises en œuvre,
    2. Elaborer une cartographie précise de la zone d’inondation qui sera provoquée par le barrage de Mékin,
    3. Elaborer et mettre en œuvre un plan de sauvetage de la faune habitant la zone d’inondation du barrage de Mékin,
    4. Continuer à renforcer les effectifs des écogardes et leurs capacités opérationnelles dans les différentes antennes pour une surveillance efficace de toutes les pressions anthropiques, y compris par une amélioration de la concertation et la coordination des actions des partenaires techniques et financiers du bien intervenant dans la lutte anti-braconnage,
    5. Continuer à renforcer le système de poursuite pénale stricte des braconniers et améliorer la collaboration avec les services déconcentrés de l’Etat dans le partage d’informations en faveur de la lutte anti-braconnage (sous-préfecture, police, gendarmerie, etc.) pour assurer l’achèvement des procès judiciaires en vue de décourager les braconniers et d’éviter une démotivation des écogardes,
    6. Continuer à renforcer le contrôle de la chasse traditionnelle et du braconnage à l’intérieur du bien et dans sa périphérie, en liaison avec les comités de vigilance,
    7. Développer des alternatives à la viande de brousse au profit des populations autochtones et locales à travers, entre autres, la valorisation des produits forestiers non ligneux et la promotion d’un système agricole familial durable dans la périphérie du bien ;
  8. Note avec inquiétude les autres problèmes de conservation constatés par la mission de 2015, à savoir la déforestation à la périphérie du bien, les perspectives d’extension des activités de la société Sud Cameroun Hévéa et la croissance démographique qui en résulteraient, et l’insuffisance des moyens humain et matériel du service de conservation du bien ;
  9. Demande à l’État partie de mettre en œuvre toutes les autres recommandations de la mission de 2015;
  10. Lance un appel à la communauté internationale pour soutenir les efforts de l’État partie dans la mise en œuvre de ces mesures correctives et demande également à l’ensemble des partenaires mobilisés autour du bien de poursuivre et renforcer leurs appuis en faveur de sa conservation durable ;
  11. Encourage l’État partie à renforcer le dialogue et la communication avec toutes les parties prenantes, notamment l’UICN et le Centre du patrimoine mondial, dans la mise en œuvre des recommandations susmentionnées ;
  12. Demande en outre à l’État partie de soumettre, d’ici le 1er décembre 2017, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des mesures correctives et des autres points susmentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 42e session en 2018, afin de considérer, en l’absence de progrès significatifs s’agissant du respect des conditions susmentionnées, l’inscription éventuelle du bien sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
Projet de décision : 40 COM 7B.79

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/16/40.COM/7B,
  2. Rappelant la décision 39 COM 7B.1, adoptée lors de sa 39e session (Bonn, 2015),
  3. Accueille favorablement les efforts consentis par l’Etat partie, notamment la création d’un comité interministériel sur le Dja afin de renforcer la conservation durable du bien, l’augmentation des budgets de fonctionnement et d’investissement, l’amélioration des connaissances sur l’état de conservation de la grande faune, le contrôle régulier des unités forestières d’aménagement (UFA), et la validation des termes de références et la stratégie de financement de l’Evaluation Environnementale Stratégique et Sociale (EESS) des projets majeurs autour du bien, et remercie l’ensemble des partenaires mobilisés auprès de l’Etat partie pour contribuer à la protection et à la conservation durable du bien ;
  4. Note avec satisfaction qu’aucune activité minière n’a été développée dans le bien depuis fin 2014, et que les permis d’exploration minière dans et aux alentours du bien n’ont pas été renouvelés, et réitère sa position sur le fait que l’exploration ou l’exploitation minière est incompatible avec le statut de patrimoine mondial, politique soutenue par la déclaration de position du Conseil international des mines et métaux (CIMM) de ne pas entreprendre de telles activités dans les biens du patrimoine mondial;
  5. Exprime cependant sa vive préoccupation sur le fait que la mission de suivi réactif conjointe Centre du patrimoine mondial/UICN de 2015 a constaté que la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien est malgré tout soumise à de graves menaces, à savoir la construction du barrage de Mékin qui se termine sans qu’aucune mesure d’atténuation des impacts négatifs ne soit mise en œuvre, et l’amplification du braconnage qui conduit à une diminution inquiétante des effectifs de grands mammifères, notamment l’éléphant, et considère que ces menaces représentent clairement une mise en péril du bien et un péril prouvé, conformément au paragraphe 180 des Orientations ;
  6. Décide d’inscrire la Réserve de faune du Dja (Cameroun) sur la Liste du patrimoine mondial en péril ;
  7. Adopte les mesures correctives suivantes et prie instamment l’Etat partie de les mettre en œuvre, d’ici la 42e session du Comité du patrimoine mondial en 2018 :
    1. Assurer le recrutement d’un expert en environnement au sein de la société Hydro Mékin et mettre en œuvre urgemment le Plan de gestion environnemental et social (PGES) assurant que les mesures d’atténuation des impacts négatifs du barrage sur le bien ont été mises en œuvre,
    2. Elaborer une cartographie précise de la zone d’inondation qui sera provoquée par le barrage de Mékin,
    3. Elaborer et mettre en œuvre un plan de sauvetage de la faune habitant la zone d’inondation du barrage de Mékin,
    4. Renforcer les effectifs des écogardes et leurs capacités opérationnelles dans les différentes antennes pour une surveillance efficace de toutes les pressions anthropiques, y compris par une amélioration de la concertation et la coordination des actions des partenaires techniques et financiers du bien intervenant dans la lutte anti-braconnage,
    5. Renforcer le système de poursuite pénale stricte des braconniers et améliorer la collaboration avec les services déconcentrés de l’Etat dans le partage d’informations en faveur de la lutte anti-braconnage (sous-préfecture, police, gendarmerie, etc.) pour assurer l’achèvement des procès judiciaires en vue de décourager les braconniers et d’éviter une démotivation des écogardes,
    6. Renforcer le contrôle de la chasse traditionnelle et du braconnage à l’intérieur du bien et dans sa périphérie, en liaison avec les comités de vigilance,
    7. Développer des alternatives à la viande de brousse au profit des populations autochtones et locales à travers, entre autres, la valorisation des produits forestiers non ligneux et la promotion d’un système agricole familial durable dans la périphérie du bien ;
  8. Demande à l’Etat partie d’élaborer, en consultation avec le Centre du patrimoine mondial et l’UICN, une proposition d’Etat de conservation souhaité en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR), pour examen par le Comité à sa 41e session en 2017 ;
  9. Note avec inquiétude les autres problèmes de conservation constatés par la mission de 2015, à savoir la déforestation à la périphérie du bien, les perspectives d’extension des activités de la société Sud Cameroun Hévéa et la croissance démographique qui en résulteraient, et l’insuffisance des moyens humain et matériel du service de conservation du bien ;
  10. Demande également à l’Etat partie de mettre en œuvre toutes les autres recommandations de la mission de 2015;
  11. Lance un appel à la communauté internationale pour soutenir les efforts de l’Etat partie dans la mise en œuvre de ces mesures correctives et demande en outre à l’ensemble des partenaires mobilisés autour du bien de poursuivre et renforcer leurs appuis en faveur de sa conservation durable ;
  12. Demande par ailleurs à l’Etat partie de soumettre, d’ici le 1er février 2017, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des mesures correctives et des autres points susmentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 41e session en 2017.
Année du rapport : 2016
Cameroun
Date d'inscription : 1987
Catégorie : Naturel
Critères : (ix)(x)
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2016) .pdf
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* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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