Parc national de l'Ichkeul
Facteurs affectant le bien en 1990*
- Ressources financières
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
Construction d'un barrage; chasse; pacage et pollution atmosphérique
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 1990
Montant total approuvé : 50 000 dollars E.U.
| 1989 | Financial contribution to the preparation of exhibits ... (Approuvé) | 20 000 dollars E.U. |
| 1981 | Study on Ichkeul National Park (Approuvé) | 30 000 dollars E.U. |
Missions sur le bien jusqu'en 1990**
Information présentée au Bureau du Comité du patrimoine mondial en 1990
La décision du Comité d'encourager des actions comme la construction de l'écluse de Tindja et de deux autres canaux de drainage pour assurer le maintien de l'intégrité de la zone humide du parc a été communiquée aux autorités tunisiennes par un membre du Secrétariat lors d'un séminaire international sur la protection du Parc national de l'Ichkeul, tenu à Tunis du 16 au 18 février. Cette réunion était placée sous le patronage du Président de la Tunisie, son excellence M. Zine El Abidine Ben Ali. Plus de 200 spécialistes y ont participé, dont 48 représentants des agences internationales comme le PNUD et la FAO, et de pays comme l'Algérie, la Belgique, la République fédérale d'Allemagne, la France, l'Italie, l'Espagne, le Royaume-Uni et l'URSS, démontrant ainsi l'engagement international de sauvegarder ce bien du patrimoine mondial. Une demande de coopération technique pour financement par le Fonds du patrimoine mondial devrait être adressée au Secrétariat avant la prochaine session du Comité; cette demande sera destinée à financer une expertise pour la construction de l'écluse de Tindja et à lancer une campagne de sensibilisation du public sur l'importance de l'Ichkeul.
Résumé des interventions
Décisions adoptées par le Comité en 1990
Tunisie
Exports
* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).
** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.
