Parc national de l'Ichkeul
Facteurs affectant le bien en 1989*
- Chasse de subsistance
- Eau (pluie/nappe phréatique)
- Infrastructures hydrauliques
- Pollution atmosphérique
- Élevage de bétail / pacage d’animaux domestiques
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
Construction de barrages; chasse; pâturage et pollution de l'air
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 1989
Montant total approuvé : 50 000 dollars E.U.
1989 | Financial contribution to the preparation of exhibits ... (Approuvé) | 20 000 dollars E.U. |
1981 | Study on Ichkeul National Park (Approuvé) | 30 000 dollars E.U. |
Missions sur le bien jusqu'en 1989**
Information présentée au Bureau du Comité du patrimoine mondial en 1989
Bien que l'intégrité des zones humides du parc soit compromise par l'interruption de l'apport d'eau douce, il y a eu plusieurs améliorations dans la gestion au cours de l'année passée. On peut citer l'ouverture d'un centre pour les visiteurs, la prise de mesures de contrôle du bétail, et l'engagement de membres du personnel supplémentaires. Toutes ces initiatives sont appréciables. Toutefois, la principale activité - la construction d'une vanne à Tindja pour maîtriser le débit de l'eau - n'est pas encore terminée. C'est le projet le plus important pour le site; il faudra également consentir un effort important pour former un personnel spécialisé dans le fonctionnement de l'ouvrage (des fonds sont déjà disponibles par l'intermédiaire du BIRO). Les travaux sur deux autres canaux de drainage recommandés dans le rapport de suivi de la convention de Ramsar n'ont pas commencé.
Action requise
Le Bureau devrait poursuivre ses encouragements aux autorités tunisiennes pour qu'elles accélèrent la mise en œuvre de ces plans.
Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 1989
Bien que l'intégrité des zones humides du parc soit compromise par l'interruption de l'apport d'eau douce, il y a eu plusieurs améliorations dans la gestion au cours de l'année passée. On peut citer l'ouverture d'un centre pour les visiteurs, la prise de mesures de contrôle du bétail en pâturage et l'engagement de membres du personnel supplémentaires. Toutes ces initiatives sont appréciables.
Toutefois, la principale activité concernant la construction d'une vanne à Tindja pour maîtriser le débit de l'eau n'est pas encore terminée. Il s'agit du projet le plus important pour le site, et il nécessitera un effort important pour former un personnel spécialisé dans le fonctionnement de l'ouvrage (des fonds sont disponibles par l'intermédiaire du BIRD). Les travaux sur deux autres canaux de drainage recommandés dans le rapport de suivi de la Convention de Ramsar n'ont pas commencé.
Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 1989
Le Comité voudra sans doute continuer à encourager les autorités tunisiennes pour qu'elles accélèrent la mise en oeuvre de ces plans.
Résumé des interventions
Décisions adoptées par le Comité en 1989
13 BUR IV.B.12
Etat de conservation d'autres biens naturels
Le représentant de l'UICN a également présenté des rapports sur l'état de conservation du Rio Platano, (Honduras), du parc national de Manu (Pérou), du parc national de l'Ichkeul (Tunisie), de Sagarmatha (Népal), et du parc national de Wood Buffalo (Canada).
13 COM VIII.16
SOC : Parc national d'Ichkeul (Tunisie)
Parc national d'Ichkeul (Tunisie)
Le Comité a décidé d'encourager la Tunisie, qui cherche des ressources pour financer des travaux comme la construction de l'écluse de Tindja et ce deux autres canaux de drainage qui garantiront l'intégrité des zones humides, dont l'existence est déterminante pour la valeur de ce site. Le Comité a également estimé qu'il fallait féliciter les autorités tunisiennes des améliorations apportées à la gestion du cite grâce à l'achèvement d'un centre d'information des visiteurs, à un contrôle du pacage et au recrutement d'un personnel supplémentaire.
Pas de projet de décision
Exports
* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).
** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.