Tyr
Facteurs affectant le bien en 2013*
- Activités illégales
- Habitat
- Infrastructures de transport de surface
- Système de gestion/plan de gestion
- Vastes infrastructures et/ou installations touristiques / de loisirs
- Autres menaces :
Entretien insuffisant
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
- Nécessité de mettre en place une campagne internationale de sauvegarde (problème résolu)
- Construction d'un complexe touristique (remblaiement de la baie) (problème résolu)
- Projet de construction d'un grand marché aux poissons (problème résolu)
- Projet de construction d'une autoroute côtière (problème résolu)
- Constructions incontrôlées (problème résolu)
- Projet de de construction d'un nouveau port de plaisance touristique (problème résolu)
- Projet d'autoroute (problème résolu)
- Besoin d'un Plan urbain général pour la ville
- Absence de mécanisme de gestion (y compris de législation)
- Développement urbain important et souvent incontrôlé
- Travaux publics, aménagements touristiques
- Absence de plan de gestion et de conservation
- Entretien insuffisant
- Important projet d’autoroute à proximité du bien et réaménagement du port
Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2013
Montant total accordé: 19 173 dollars EU entre 1997 et 2001 pour la Campagne de sauvegarde internationale
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2013
Montant total approuvé : 29 000 dollars E.U.
2001 | Installation of Plaques and Publication of Leaflets to ... (Approuvé) | 2 500 dollars E.U. |
2001 | Geoarchaeological study for the ancient ports of Tyre (Approuvé) | 20 000 dollars E.U. |
1999 | Photo Exhibition on Lebanese (Baalbeck and Tyre) and ... (Approuvé) | 2 500 dollars E.U. |
1986 | Consultancy to evaluate damage to Tyre (Approuvé) | 4 000 dollars E.U. |
Missions sur le bien jusqu'en 2013**
2004 : mission d'évaluation par le Bureau de l'UNESCO à Beyrouth ; septembre 2006 : mission de l'UNESCO après le conflit de l’été 2006 ; février 2009 : mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS ; septembre 2012 : mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS.
Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2013
L’État partie a soumis un rapport complet sur l’état de conservation du bien le 18 février 2013. Ce rapport détaille les actions menées en réponse aux recommandations du Comité du patrimoine mondial à ses précédentes sessions. Du 8 au 14 septembre 2012, une mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS a été effectuée et son rapport de mission est consultable à l’adresse Internet suivante : https://whc.unesco.org/fr/sessions/37COM/documents/
a) Limites du bien et zone tampon
L’État partie décrit le processus mis en place pour l’étude des limites du bien et la définition de la zone tampon, longuement discuté lors de la mission de suivi réactif de 2012. L’État partie note également l’avancement réalisé dans la formulation de mesures en vue d’établir une protection juridique appropriée du bien et de son cadre considérés comme un tout, dès l’approbation des limites révisées. Cela inclura la rédaction d’un acte (décret d’inscription) qui primera sur le décret d’urbanisme de la zone concernée, et montrera à tous les partenaires concernés que l’établissement de la zone tampon est un outil de protection sans ambiguïté. D’autres actions prévoient d’inclure la création d’une zone de protection maritime (ZPM) qui sera officiellement soumise au Conseil des Ministres pour étude. La mission a noté qu’il était essentiel que le projet de zone tampon tienne compte de l’étude géophysique menée le long du tracé de l’autoroute, ainsi que de la carte archéologique. Elle a aussi vivement engagé l’État partie à rationaliser la protection des aires maritimes, dans le cadre d’un vaste processus de consultation au niveau public et privé.
Une demande de modification mineure des limites a été soumise par l’État partie le 1er février 2013 et sera examinée par le Comité du patrimoine mondial au point 8 de l’ordre du jour (voir le document WHC-13/37.COM/8B).
b) Conservation et gestion du bien
Sur ce point, l’État partie indique qu’il a centré ses efforts sur l’élaboration et la mise en œuvre du Plan d’action (2012-2014) qui comporte douze objectifs principaux pour renforcer la gestion et la conservation d’ensemble du bien. Le Plan d’action inclut l’identification d’une liste d’activités classés par priorité selon les objectifs et comporte un calendrier de mise en œuvre, des mesures de suivi, un organisme de financement et des budgets. L’État partie décrit le statut actuel de chaque action prévue. Des progrès ont été faits pour obtenir un financement complémentaire, embaucher plus de personnel pour le bien, entreprendre une recherche scientifique, favoriser le renforcement des capacités, élargir la sensibilisation et l’éducation, agir pour améliorer les mesures de conservation et d’entretien. La nécessité de se conformer aux normes des pratiques de conservation a également été soulignée. Concernant l’entretien, vu le peu de ressources actuellement disponibles, la Direction générale des Antiquités (DGA) s’est mis d’accord avec la Municipalité de Tyr/Sour pour réaliser des activités précises dont le nettoyage et le désherbage réguliers du site, la collecte des ordures, l’entretien des portes et palissades, entre autres. Des appels d’offres ont aussi été lancés pour le projet de stratégie d’interprétation qui devrait être mené à bien sur deux ans.
Concernant les mesures de renforcement du cadre urbain, le rapport indique que le projet Patrimoine culturel et développement urbain (CHUD), financé par la Banque mondiale, vise à revitaliser le centre historique de la ville, et que les interventions sont donc limitées au cadre immédiat du bien. La mission a noté que l’absence de plan de gestion d’ensemble continue à freiner l’efficacité des actions mises en œuvre car il manque encore une stratégie cohérente de conservation permettant de traiter l’intégration des zones patrimoniales dans le tissu urbain moderne. La mission souligne que les activités actuellement réalisées via le Plan d’action peuvent être considérées comme des mesures préparatoires à la rédaction du Plan de gestion. Elle a également évoqué l’intérêt exprimé par la Municipalité de Tyr pour améliorer les mécanismes de planification par l’établissement d’un Plan stratégique à long terme pour Tyr et l’intégration d’aspects environnementaux, culturels et sociaux dans un processus de planification et de prise de décision à long terme. Concernant l’état de conservation du bien, la mission a noté l’amélioration des installations d’infrastructure de services, bien qu’il reste beaucoup à faire en termes de conservation des vestiges archéologiques et des surfaces décorées, et de mise en valeur du bien. Il est souligné combien il est nécessaire – dans le contexte de la formulation du plan de gestion – d’élaborer un plan de préparation aux risques, une stratégie cohérente de mise en valeur, ainsi que des directives pour les interventions de conservation et des mesures de systématisation des évaluations de l’état matériel et des pratiques de suivi, à la fois pour la conservation de la pratique et pour l’efficacité des interventions.
c) Mécanismes de coordination et système de gestion du bien
Le rapport signale que l’absence de coordination entre les différents organismes qui réalisent actuellement les projets à l’intérieur du bien a eu un impact sur l’efficacité de la gestion du bien. Plusieurs réunions se sont tenues entre la DGA et l’Unité chargée de la gestion du projet CHUD pour établir un plan de suivi et des mécanismes de consultation à mettre en œuvre. La DGA élabore aussi actuellement un cadre général, un processus de communication et des consultations préparatoires à appliquer et à respecter par les entités chargées d’interventions prévues à l’intérieur ou à proximité des cinq sites libanais du patrimoine mondial. L’État partie annonce aussi l’élaboration d’un projet intitulé « Sauvegarde, valorisation et qualité de la gestion : utilisation de modèles de gestion pour les sites archéologiques et les contextes urbains (Archeomedsites) », pour financement potentiel par l’Union européenne, pour améliorer les processus de gouvernance en matière de protection des sites archéologiques. La mission a noté que l’insuffisance de personnel dans tous les services de la DGA et les ressources financières limitées expliquent essentiellement les défauts du système de gestion actuel. Elle a cependant précisé que des processus sont actuellement en place pour définir les moyens appropriés de traiter ces problèmes. Elle a souligné la nécessité pressante d’améliorer la coordination entre la gestion du CHUD et la DGA pour contrôler efficacement les activités au niveau de la mise en œuvre.
d) Cadre législatif et mesures réglementaires
Le rapport met en exergue les actions réalisées pour concrétiser l’actuel cadre législatif, réglementaire et de communication auprès des partenaires concernés. La mission a noté que, malgré l’existence d’un cadre législatif en place, de nombreuses parties des zones urbaines entourant les sites archéologiques manquent de réglementation ou de contrôle gouvernemental.
e) Documentation et inventaire
Des actions ont été réalisées en permanence pour répondre à la nécessité identifiée de disposer d’informations actualisées et méthodiquement ordonnées pour le bien, y compris pour les sites archéologiques subaquatiques. L’inventaire va non seulement faciliter le suivi de l’état de conservation du bien mais aussi fournir des informations de base pour l’interprétation et la mise en valeur du bien. Le rapport mentionne aussi l’avancement de l’achèvement de la carte archéologique de Tyr, du levé géophysique et du creusement expérimental de tranchées pour achever la carte des risques. La mission a noté que la carte archéologique de Tyr est régulièrement actualisée et que des ressources ont été affectées au renforcement de la documentation et des inventaires. Elle considère que les informations collectées à partir de projets d’aménagements privés doivent être également intégrées à ce corpus documentaire.
f) Nouveaux aménagements d’infrastructure
L’État partie fait part des projets du Conseil pour le développement et la reconstruction (CDR) concernant l’aménagement d’un réseau de transport. Il indique que, vu l’impact potentiel sur des sites archéologiques non fouillés, il est essentiel de procéder à des recherches archéologiques. La DGA va adopter une démarche proactive ; elle va demander au CDR d’entreprendre des évaluations d’impact sur le patrimoine pour prendre des décisions en connaissance de cause s’il fallait procéder à d’éventuelles modifications de tracé ou à d’autres actions nécessaires avant le lancement d’appels d’offre pour la réalisation des projets. La mission a souligné que le moratoire sur la construction sur des terrains publics, bien que non officiellement renouvelé, est toujours en vigueur. La mission s’est cependant déclarée préoccupée à cause de projets susceptibles d’avoir un impact sur le bien – notamment l’autoroute nationale du Sud et l’échangeur autoroutier de Tel el Maachouk. Dans le premier cas, aucune évaluation d’impact sur le patrimoine n’a été menée pour prendre en compte non seulement les impacts potentiels sur les vestiges en surface, mais aussi les conséquences de la circulation. Une étude sur la circulation a été recommandée à cet effet. Concernant l’échangeur de Tel el-Maachouk, la mission considère qu’il faut disposer d’informations techniques incluant des indications de la présence de tous les vestiges archéologiques, ainsi que des élévations et des sections. La mission considère qu’il convient d’abandonner le projet de cette sortie d’autoroute jusqu’à ce que l’on ait précisé le statut du projet de réseau routier urbain secondaire et de ses ronds-points, et que l’on ait entrepris l’évaluation d’impact sur le patrimoine.
Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2013
Le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives recommandent que le Comité accueille favorablement l’engagement de l’État partie à la mise en œuvre de mesures pour traiter les problèmes urgents du bien, en particulier la mise en œuvre systématique du Plan d’action (2012-2014). Malgré les progrès réalisés jusqu’ici, ils considèrent qu’il reste beaucoup à faire en matière de conservation, de protection et de gestion du bien. Les recommandations de la mission de suivi réactif de 2012 constituent une ligne d’action claire pour le bien à court terme.
Résumé des interventions
Décisions adoptées par le Comité en 2013
37 COM 7B.52
Tyr (Liban) (C 299)
Le Comité du patrimoine mondial,
1. Ayant examiné le document WHC-13/37.COM/7B,
2. Rappelant la décision 36 COM 7B.52 , adoptée à sa 36e session (Saint-Pétersbourg, 2012),
3. Prend acte des informations complètes fournies par l’État partie sur la mise en œuvre d’actions pour traiter les problèmes urgents de conservation et de gestion, et le prie instamment de poursuivre la mise en œuvre systématique du Plan d’action 2012-2014 ;
4. Prend note de la mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS de septembre 2012 et prie aussi instamment l’État partie de mettre en œuvre ses recommandations, et en particulier de veiller à ce qui suit :
a) entreprendre un processus de planification pour l’élaboration d’un plan de gestion du bien et y inclure des dispositions sur la stratégie de conservation, la préparation aux risques, la mise en valeur et l’interprétation, ainsi que des mesures réglementaires,
b) s’assurer que la structure de gestion devienne totalement opérationnelle en garantissant les ressources adéquates pour tous les aspects de la documentation, de la conservation et du suivi,
c) établir une zone de protection maritime autour des rivages de Tyr,
d) améliorer les pratiques actuelles d’entretien concernant le contrôle de la végétation et mettre en place des mesures de prévention contre l’incendie ainsi que des réseaux de drainage et d’égouts appropriés,
e) établir un programme de sauvetage des mosaïques détachées et assurer leur protection jusqu’à ce qu’une décision soit prise pour leur conservation et leur restauration,
f) suivre les interventions de conservation pour évaluer leur efficacité et utiliser les résultats du suivi pour documenter l’élaboration de la stratégie de conservation,
g) continuer à mettre au point et à appliquer le cadre de coordination du Projet archéologique de Baalbek et Tyr (BTAP) et renforcer la coopération entre la Direction générale des Antiquités (DGA), le projet Patrimoine culturel et développement urbain (CHUD), le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives pour suivre effectivement la conception et la mise en œuvre du projet ;
5. Demande à l’État partie de réaliser une étude complète de la circulation précisant tous les projets de réseaux routiers urbains et de ronds-points, ainsi que des évaluations d’impact sur le patrimoine de l’autoroute du Sud et de son échangeur de Tel el Maachouk, et de soumettre cette étude au Centre du patrimoine mondial pour étude par les Organisations consultatives ;
6. Demande également à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2015 , un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et la mise en œuvre de ce qui précède, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 39e session en 2015.
37 COM 8B.45
Biens culturels - Examen des modifications mineures des limites : Tyr (Liban)
Le Comité du patrimoine mondial,
1. Ayant examiné les documents WHC-13/37.COM/8B.Add et WHC-13/37.COM/INF.8B1.Add,
2. Renvoie l’examen de la proposition de modification mineure des limites et de la zone tampon proposée pour Tyr , Liban , à l’État partie afin de lui permettre de :
a) envisager d’inclure dans le bien l’archéologie sous-marine en suivant la limite de la zone de protection de l’archéologie maritime faisant partie de la zone de protection maritime (MPZ) en cours d’approbation, ainsi que les vestiges de la tour située le long de la rue Hamra, les vestiges ré-enfouis de la basilique byzantine et l’aqueduc,
b) élaborer une carte archéologique complète et mise à jour indiquant les vestiges physiques, les zones à potentiel archéologique, d’après les résultats des investigations les plus récentes, et les zones protégées classées, qui pourraient servir de référence fiable pour toute modification mineure des limites,
c) envisager la création d’une zone tampon maritime sur la base de la zone tampon de protection maritime (MB), de la zone de protection côtière (MC) et de la zone de protection de l’environnement marin (ME) de la MPZ,
d) préparer une carte du district de Tyr, incluant les municipalités adjacentes dont le territoire a livré des vestiges archéologiques ou possède un potentiel archéologique, décrivant les vestiges et zones existants et les régimes de protection appliqués selon les dispositions juridiques et de planification, cette carte servant de base pour la création d’une zone tampon qui soit fonctionnellement liée au bien et puisse donc contribuer à préserver sa valeur universelle exceptionnelle et protéger son intégrité,
e) fournir des informations détaillées sur la manière dont la zone tampon fonctionnerait pour contribuer à la protection et au maintien de la valeur universelle exceptionnelle du bien et dont les parties prenantes intéressées sont impliquées.
Projet de décision : 37 COM 7B.52
Le Comité du patrimoine mondial,
1. Ayant examiné le document WHC-13/37.COM/7B,
2. Rappelant la décision 36 COM 7B.52, adoptée à sa 36e session (Saint-Pétersbourg, 2012),
3. Prend acte des informations complètes fournies par l’État partie sur la mise en œuvre d’actions pour traiter les problèmes urgents de conservation et de gestion, et le prie instamment de poursuivre la mise en œuvre systématique du Plan d’action 2012-2014 ;
4. Prend note de la mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS de septembre 2012 et prie aussi instamment l’État partie de mettre en œuvre ses recommandations, et en particulier de veiller à ce qui suit :
a) Entreprendre un processus de planification pour l’élaboration d’un plan de gestion du bien et y inclure des dispositions sur la stratégie de conservation, la préparation aux risques, la mise en valeur et l’interprétation, ainsi que des mesures réglementaires,
b) S’assurer que la structure de gestion devienne totalement opérationnelle en garantissant les ressources adéquates pour tous les aspects de la documentation, de la conservation et du suivi,
c) Établir une zone de protection maritime autour des rivages de Tyr,
d) Améliorer les pratiques actuelles d’entretien concernant le contrôle de la végétation et mettre en place des mesures de prévention contre l’incendie ainsi que des réseaux de drainage et d’égouts appropriés ;
e) Établir un programme de sauvetage des mosaïques détachées et assurer leur protection jusqu’à ce qu’une décision soit prise pour leur conservation et leur restauration,
f) Suivre les interventions de conservation pour évaluer leur efficacité et utiliser les résultats du suivi pour documenter l’élaboration de la stratégie de conservation,
g) Continuer à mettre au point et à appliquer le cadre de coordination du Projet archéologique de Baalbek et Tyr (BTAP) et renforcer la coopération entre la Direction générale des Antiquités (DGA), le projet Patrimoine culturel et développement urbain (CHUD), le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives pour suivre effectivement la conception et la mise en œuvre du projet ;
5. Demande à l’État partie de réaliser une étude complète de la circulation précisant tous les projets de réseaux routiers urbains et de ronds-points, ainsi que des évaluations d’impact sur le patrimoine de l’autoroute du Sud et de son échangeur de Tel el Maachouk, et de soumettre cette étude au Centre du patrimoine mondial pour étude par les Organisations consultatives ;
6. Demande également à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2015, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et la mise en œuvre de ce qui précède, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 39e session en 2015.
Exports
* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).
** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.