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Volcans du Kamchatka

Fédération de Russie
Facteurs affectant le bien en 2010*
  • Activités illégales
  • Exploitation minière
  • Incendies (d’origine naturelle)
  • Infrastructures de transport de surface
  • Infrastructures liées aux énergies renouvelables
  • Pétrole/gaz
  • Système de gestion/plan de gestion
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents

a) Pêche au saumon illégale ;

b) Extraction minière d'or ;

c) Gazoduc ;

d) Installation d'une centrale électrique géothermique ;

e) Incendies de forêt ;

f) Modification des limites du bien ;

g) Construction de la route Esso-Palana. 

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2010
Demandes approuvées : 0
Montant total approuvé : 0 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2010**

1997 : mission d'information de l'UICN ; 2004 : mission conjointe Centre du patrimoine mondial / UICN ; 2007 : mission Centre du patrimoine mondial / UICN

 

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2010

L’État partie a soumis un rapport détaillé sur l’état de conservation du bien daté du 1er mars 2010. Ce rapport donne un état actualisé de la mise en œuvre des recommandations de la mission de suivi réactifCentre du patrimoine mondial / UICN de 2007, en particulier des recommandations visant à renforcer la protection et la gestion du bien, et apporte des précisions sur ce qu’il en est en termes de prospection géologique et d’exploitation minière au sein du parc naturel de Bystrinsky, en tant qu’élément du bien en série, comme demandé par la décision 32 COM 7B.23.

Le bien en série se compose de six zones protégées, dont deux parcs naturels fédéraux (réserve de biosphère de Kronotsky et sanctuaire du Kamchatka méridional) et quatre parcs nationaux (Nalychevo, Bystrinsky, Klyuchevskoy et Kamchatka méridional).

 

a) Protection légale et gestion

L’État partie rend compte comme suit de la mise en œuvre de la recommandation formulée par la mission de suivi de 2007 sur la protection et la gestion du bien:

i) Mise en place d’une structure de gestion efficace pour l’ensemble du bien : le rapport indique que précédemment les quatre parcs naturels sous tutelle régionale étaient gérés par quatre institutions territoriales (TSI). Ces dernières ont été fusionnées en une seule TSI ‘Volcans du Kamchatka’. Le rapport signale également que de nouvelles réglementations pour les Volcans du Kamchatka sont en train d’être produites pour améliorer le degré de protection environnementale du bien. Selon le rapport, cette structure de gestion centralisée pour les éléments du bien sous tutelle régionale améliorera leur conservation et gestion et permettra la création d’une structure de suivi amélioré.

Le rapport annonce également l’approbation de nouvelles réglementations pour les Volcans du Kamchatka qui définissent leur régime spécifique de protection et d’utilisation des sols et règlemente les restrictions d’utilisation des ressources pour les 4 parcs naturels sous tutelle régionale. Le rapport ne fournit malheureusement aucun autre détail mais l’UICN a été avertie par d’autres sources que ces nouvelles réglementations autorisent certaines activités de développement qui étaient précédemment interdites, dont la prospection géologique et l’exploitation minière. Le Centre du patrimoine mondial et l’UICN sont préoccupés par cette information et recommandent de demander à l’État partie de soumettre une copie de ces réglementations, dans l’une des langues de travail, au Centre du patrimoine mondial dès que possible. Ils notent que la mission de 2007 a conclu que l’état de protection des parcs naturels n’était pas suffisant pour protéger leur intégrité et pouvait autoriser certaines activités incompatibles avec le statut de patrimoine mondial. Par conséquent, la mission de 2007 recommandait de leur accorder le statut de parc national, comme initialement envisagé dans la proposition d’inscription, ou de réviser leur zonage, en prévoyant des zones de protection intégrales adéquates pour garantir la préservation de la valeur universelle exceptionnelle. Le Centre du patrimoine mondial et l’UICN considèrent que ce point doit être traité de manière urgente. Le Centre du patrimoine mondial et l’UICN accueillent avec satisfaction la création de la structure de gestion centralisée pour les 4 éléments régionaux du bien mais rappellent la nécessité de mettre en place une structure de coordination globale pour l’ensemble du bien, couvrant les deux éléments sous tutelle fédérale et les quatre éléments sous tutelle régionale.

ii)  Établissement d’un plan de gestion intégrée pour l’ensemble du bien. Le rapport signale qu’un plan de gestion intégrée pour le bien est en cours de rédaction avec le soutien du projet du PNUD/FEM ”Apporter la preuve d’une conservation durable de la biodiversité dans quatre zones protégées de l’Oblast du Kamchatka en Russie” mais n’est pas encore finalisé. Toutefois, le rapport ne dit pas clairement si ce plan envisage l’ensemble des 6 éléments du bien ou seulement les 4 parcs naturels. Le Centre du patrimoine mondial et l’UICN répètent qu’un plan de gestion général pour l’ensemble du bien est nécessaire, avec des objectifs de gestion fondés sur la valeur universelle exceptionnelle du bien.

iii)  Mise en place ou révision des plans de gestion de chacun des parcs qui composent le bien : l’État partie fait savoir que les plans de gestion pour tous les parcs qui composent le bien ont été actualisés. Toutefois, il n’est pas dit clairement si les plans définissent leurs objectifs de gestion d’après la valeur universelle exceptionnelle et l’intégrité du bien, comme recommandé par la mission de 2007, ni de quelle manière ils seront dotés en moyens pour garantir leur mise en œuvre. Il n’est également pas dit clairement si les plans de gestion récemment actualisés pour ces parcs incluent une révision de leur zonage pour mieux préserver leurs valeurs liées à la biodiversité, comme recommandé par la mission de 2007. Aucune information n’a été donnée sur la recommandation de la mission de 2007 concernant l’instauration d’une politique d’accès aux parcs naturels dans le cadre de leurs plans de gestion.

iv)  Délimitation précise du bien dans le cadre du plan de gestion grâce au géo-référencement : les limites identifiées lors de l’inscription ont été géoréférencées en 2009, comme recommandé par la mission de 2007. Si aucune limite n’a été modifiée, le géo-référencement a révélé que la plupart des éléments du bien sont plus étendus qu’initialement indiqué lors de l’inscription : le Centre du patrimoine mondial et l’UICN accueillent avec satisfaction ce travail et recommandent à l’État partie de soumettre des cartes détaillées actualisées de l’ensemble du bien dès que possible.

v)  Personnel et budgets pour le bien :le rapport donne des informations sur la dotation en personnel du bien et les budgets des 4 parcs naturels. Le rapport précise que le nombre de gardes reste insuffisant par rapport à la taille du bien. Cela est en particulier vrai pour les parcs naturels. Le rapport précise que pour y remédier, des brigades de lutte contre le braconnage ont été mises en place au niveau régional, avec des employés d’autres agences de surveillance. Les budgets des éléments fédéraux et régionaux du site restent également inadéquats pour répondre aux besoins de gestion.

b) Exploitation minière

En 2009, le Centre du patrimoine mondial et l’UICN ont pris note de rapports d’ONG sur des projets de modification des réglementations du parc national de Bystrinsky autorisant la prospection géologique, ainsi que des projets de modification des limites du parc consentant l’exploitation minière. L’État partie confirme qu’aucun projet minier ni géothermique n’a lieu au sein du bien ni qu’aucune prospection géologique n’est réalisée dans aucun des éléments du site, ni n’est prévue à l’avenir. Le Centre du patrimoine mondial et l’UICN accueillent avec satisfaction cette confirmation mais restent préoccupés par les nouvelles réglementations pour les ‘Volcans du Kamchatka’ qui, selon les informations reçues par l’UICN, devraient autoriser la prospection géologique au sein des parcs naturels.

c) Pêche au saumon illégale

Même si l’État partie n’a pas soumis de rapport scientifique sur l’état de conservation de la population de saumons dans le bien, des informations ont été fournies sur l’état actuel de ces populations et l’impact de la pêche illégale. S’il est interdit de pêcher le saumon dans les deux zones protégées fédérales, la pêche commerciale réglementée, la pêche de loisir et la pêche indigène sont autorisées dans les parcs naturels conformément aux quotas établis par l’agence fédérale de pêche (et non par l’administration des parcs naturels) sur des sites de pêche donnés. Les informations spécifiques suivantes ont été fournies :

i) Réserve de biosphère de Kronotsky : la réserve de Kronotsky abrite l’un des plus grands stocks de saumons reproducteurs, les populations sont stables et ne sont pas affectées par la surexploitation ni la pêche illégale.

ii) Sanctuaire de faune et de flore sauvages du Kamchatka méridional : le sanctuaire est situé sur le plus grand territoire de saumons rouges reproducteurs d’Asie et le rapport indique que la montaison annuelle est supérieure à 2 millions d’individus mais que la pression due à la pêche illégale est élevée. L’administration de la réserve a resserré les contrôles au niveau de la limite sud du parc.

iii) Parc naturel de Nalychevo : les cours d’eau du parc sont aisément accessibles par la route, ce qui facilite la pêche illégale. Les données de 2008 de l’Institut de pêche du Kamchatka pour la rivière Nalychevo indiquent que le volume de saumons illégalement pêchés varie entre 77% et 93% de la montaison totale. La population de saumons rouges, illégalement pêchée à 93% en 2008, est très en danger. L’État partie rapporte que des actions ont été mises en œuvre pour traiter la pêche illégale, notamment interdiction de pêcher au filet, délégation de pouvoir à des patrouilles de lutte contre la pêche illégale et création d’une zone tampon à l’ouest de l’estuaire de la Nalychevo.

iv) Parc naturel de Bystrinsky & parc naturel de Klyuchevskoy : aucune pêche commerciale n’est réalisée en dehors de la pêche de subsistance par les communautés autochtones afin de satisfaire leurs besoins. Le rapport indique qu’aucune pêche illégale n’a été détectée dans ces régions.

v) Parc naturel du Kamchatka méridional : si en 2009, les prises officielles de saumons étaient relativement faibles, on constate une forte pêche illégale de caviar rouge dans le nord du parc, et des patrouilles ont signalé des camps de pêche illégale abandonnés sur le côté est du parc. Dans l’ensemble, l’Institut de pêche du Kamchatka considèrerait que l’état des populations de saumons dans ce parc est relativement satisfaisant, malgré l’importance de la pêche illégale.

L’État partie signale que le nombre de brigades de lutte contre la pêche illégale patrouillant les quatre parcs naturels a considérablement augmenté et que diverses autres mesures sont mises en œuvre pour traiter le problème de la pêche illégale, notamment l’élimination des conditions qui favorisent la pêche illégale commerciale et le déploiement de points de contrôle supplémentaires sur les axes clés lors de la saison de pêche illégale.

Le Centre du patrimoine mondial et UICN accueillent avec satisfaction les données communiquées sur les populations de saumons mais notent que le rapport ne montre pas de quelle manière évoluent ces populations depuis l’inscription. Toutefois, les données fournies font état d’une importante pression due à la pêche illégale dans trois éléments du bien. Une question préoccupante pour laquelle des efforts sont nécessaires, pour notamment accroître encore le nombre et la fréquence de brigades anti-pêche illégale et de points de contrôle routiers dans ces régions. L’UICN note que les brigades de lutte contre la pêche illégale ont été créées en partie avec le soutien financier du projet PNUD/ FEM qui doit se terminer en 2010 et le WWF. Il devrait être demandé à l’État partie de veiller à ce qu’un financement approprié soit accordé aux brigades de lutte contre la pêche illégale, au cas où les fonds externes viendraient à manquer.

L’UICN a également reçu des informations sur l’approbation d’une saison 2010 de pêche au filet dérivant, avec des quotas fixés approximativement à 48,5 millions de livres de saumon pour les bateaux russes et japonais dans la zone économique exclusive russe (incluant la péninsule du Kamchatka et la mer de Béring). Un fait préoccupant dans la mesure où cela peut affecter la viabilité des populations de saumons qui regagnent les cours d’eau du bien pour se reproduire. Le Centre du patrimoine mondial et l’UICN demandent à l’État partie de fournir des informations sur les impacts probables de la pêche au filet dérivant sur les populations de saumons du bien.

d) Braconnage

Le rapport de l’État partie fait part de chiffres sur les populations actuelles d’espèces données au sein de la réserve de biosphère de Kronotsky mais aucune donnée sur les tendances démographiques des espèces sauvages clés dans l’ensemble du bien. L’UICN a été informée par des experts travaillant sur site que les populations de certaines espèces connaîtraient un déclin significatif. En dehors du saumon, les espèces touchées par un déclin inquiétant sont le renne sauvage et le mouflon. Selon les rapports reçus par l’UICN, la population de rennes au sein du bien, qui était restée stable ces 10 dernières années, a chuté de manière significative en 2009 et les populations de mouflons ont été diminuées par trois ces sept dernières années. L’interdiction de chasse du mouflon, actuellement en vigueur, doit prendre fin en 2010, et l’UICN considère qu’une approche plus intégrée, soutenue par un financement adéquat, est nécessaire pour traiter le déclin de la population de mouflons au sein du bien. Le Centre du patrimoine mondial et l’UICN rappellent la nécessité d’entreprendre un suivi régulier des espèces sauvages clés au moyen d’évaluations aériennes et terrestres et de faire part des résultats obtenus.

En conclusion, le Centre du patrimoine mondial et l’UICN accueillent favorablement les progrès accomplis dans la mise en œuvre de certaines des recommandations de la mission de 2007. Toutefois, ils expriment leur inquiétude quant au déclin marqué de plusieurs espèces sauvages clés au sein du bien et à l’augmentation de la pêche illégale du saumon. Le Centre du patrimoine mondial et l’UICN rappellent l’urgence d’une gestion et protection consolidées du bien, en particulier en développant un plan de gestion général et une structure de coordination pour le bien et des mesures pour renforcer le statut de protection des parcs naturels. Ils sont préoccupés par les rapports indiquant que les réglementations pour les Volcans du Kamchatka permettraient des activités de développement incompatibles avec le statut de patrimoine mondial, notamment exploitation minière et prospection géologique.

 

Décisions adoptées par le Comité en 2010
34 COM 7B.23
Volcans du Kamchatka (Fédération de Russie) (N 765bis)

Le Comité du patrimoine mondial,

1. Ayant examiné le document WHC-10/34.COM/7B.Add,

2. Rappelant la décision 32 COM 7B.23, adoptée à sa 32e session (Québec, 2008),

3. Accueille avec satisfaction les efforts de l'État partie pour améliorer la gestion et la protection du bien, y compris le travail en cours sur le développement d'un projet de plan de gestion intégrée et la délimitation précise des limites du bien ;

4. Demande à l'État partie de soumettre, dès que possible, une carte détaillée actualisée du bien, ainsi qu'une copie du plan de gestion intégrée ;

5. Exprime son inquiétude quant au déclin continu rapporté de plusieurs espèces sauvages clés au sein du bien, notamment saumons du Pacifique, ce qui prouve l'urgence de renforcer davantage la gestion et la protection du bien, comme recommandé par la mission de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN de 2007 ;

6. Exprime également son inquiétude sur l'affaiblissement rapporté de la protection légale du bien en raison de l'application des réglementations pour les Volcans du Kamchatka et demande également à l'État partie de soumettre une copie de ces réglementations au Centre du patrimoine mondial dans l'une des langues de travail de la Convention d'ici le 1er novembre 2010 ;

7. Réitère sa demande à l'État partie de mettre pleinement en œuvre les recommandations de la mission de suivi réactif de 2007, en particulier la nécessité de renforcer davantage la protection des quatre parcs naturels régionaux et de développer un plan de gestion général ainsi qu'une structure de coordination ;

8. Rappelle son invitation à l'État partie d'envisager la promulgation d'une loi nationale pour la gestion de l'ensemble des biens du patrimoine mondial naturel afin de traiter la question des plans, cadres et normes de gestion conjoints et des affectations de fonds pour l'ensemble des biens naturels composés de zones protégées sous tutelle fédérale et régionale ;

9. Demande en outre à l'État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d'ici le 1er février 2012, un rapport sur l'État de conservation du bien, incluant des données sur les tendances démographiques des principales espèces sauvages au sein du bien depuis son inscription et sur les progrès accomplis dans la mise en œuvre de toutes les recommandations de la mission de 2007, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 36e session en 2012.

Projet de décision : 34 COM 7B.23

Le Comité du patrimoine mondial,

1. Ayant examiné le document WHC-10/34.COM/7B.Add,

2. Rappelant la décision 32 COM 7B.23,adoptée à sa 32e session (Québec, 2008),

3. Accueille avec satisfaction les efforts de l’État partie pour améliorer la gestion et la protection du bien, y compris le travail en cours sur le développement d’un projet de plan de gestion intégrée et la délimitation précise des limites du bien ;

4. Demande à l’État partie de soumettre, dès que possible, une carte détaillée actualisée du bien, ainsi qu’une copie du plan de gestion intégrée ;

5. Exprime son inquiétude quant au déclin continu rapporté de plusieurs espèces sauvages clés au sein du bien, notamment saumons du Pacifique, ce qui prouve l’urgence de renforcer davantage la gestion et la protection du bien, comme recommandé par la mission de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN de 2007 ;

6. Exprime également son inquiétudesur l’affaiblissement rapporté de la protection légale du bien en raison de l’application des réglementations pour les Volcans du Kamchatka et demande également à l’État partie de soumettre une copie de ces réglementations au Centre du patrimoine mondial dans l’une des langues de travail de la Convention d’ici le 1er novembre 2010 ;

7. Réitère sa demande à l’État partie de mettre pleinement en œuvre les recommandations de la mission de suivi réactif de 2007, en particulier la nécessité de renforcer davantage la protection des quatre parcs naturels régionaux et de développer un plan de gestion général ainsi qu’une structure de coordination ;

8. Rappelle son invitation à l’État partie d’envisager la promulgation d’une loi nationale pour la gestion de l’ensemble des biens du patrimoine mondial naturel afin de traiter la question des plans, cadres et normes de gestion conjoints et des affectations de fonds pour l’ensemble des biens naturels composés de zones protégées sous tutelle fédérale et régionale ;

9. Demande en outre à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2012, un rapport sur l’état de conservation du bien, incluant des données sur les tendances démographiques des principales espèces sauvages au sein du bien depuis son inscription et sur les progrès accomplis dans la mise en œuvre de toutes les recommandations de la mission de 2007, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 36esession en 2012.

 

Année du rapport : 2010
Fédération de Russie
Date d'inscription : 1996
Catégorie : Naturel
Critères : (vii)(viii)(ix)(x)
Documents examinés par le Comité
arrow_circle_right 34COM (2010)
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* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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