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Parcs nationaux du Lac Turkana

Kenya
Facteurs affectant le bien en 2016*
  • Activités illégales
  • Infrastructures hydrauliques
  • Modification du régime des sols
  • Pétrole/gaz
  • Système de gestion/plan de gestion
  • Élevage de bétail / pacage d’animaux domestiques
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Impact du barrage Gibe III
  • Autres aménagements hydroélectriques prévus et projets connexes d’irrigation à grande échelle dans la région de l’Omo
  • Exploration pétrolière
  • Populations animales et pression liée au braconnage et pacage du bétail
  • Impacts de la vision de développement étendu pour le nord du Kenya
  • Capacité de gestion du KWS et des MNK
  • Redéfinition des limites du bien
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2016
Demandes approuvées : 2 (de 2000-2001)
Montant total approuvé : 35 300 dollars E.U.
2001 Finalising the nomination files for "Lake Turkana ... (Approuvé)   10 000 dollars E.U.
2000 Management Plan Project: "Sibiloi/Central Island ... (Approuvé)   25 300 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2016**

Mars 201 et avril 2015 : missions conjointes de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN 

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2016

L’État partie a soumis, le 1er février 2016, un rapport intérimaire sur l’état de conservation du bien, et le 16 février 2016, un rapport conjoint sur les discussions bilatérales entre le Kenya et l’Éthiopie qui est disponible à https://whc.unesco.org/fr/list/801/documents/. Ces deux documents présentent les informations suivantes:

  • Le 7 décembre 2015, les États parties du Kenya et de l’Éthiopie ont signé, en présence du Président kenyan et du Premier ministre éthiopien, un protocole d’accord sur un « Programme transfrontalier intégré en faveur de la paix durable et de la transformation socioéconomique » qui vise à promouvoir la protection de l’environnement, le commerce, le développement et la coexistence pacifique dans leurs régions frontalières ;
  • Du 8 au 12 février 2016, les États parties se sont rencontrés pour débattre des modalités d’une évaluation environnementale stratégique (EES). Au terme de cette rencontre un accord a été conclu afin d’établir un Comité de pilotage et de rédiger un projet de termes de référence pour l’EES. Une fois finalisé, le cahier des charges sera soumis à la Commission ministérielle conjointe afin d’envisager le financement de l’EES ;
  • Aucun recensement des populations de faune sauvage n’a été entrepris ;
  • Un groupe conjoint d’experts en charge du suivi de la gestion des ressources naturelles dans le bassin hydrographique a été établi. Placé sous l’autorité de la Commission ministérielle conjointe Kenya-Éthiopie, il doit veiller à ce que tout impact négatif potentiel sur la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien soit évité ;
  • Le projet conjoint entre les États parties et le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) sur « le développement durable du Lac Turkana et de ses bassins hydrographiques » est en cours ;
  • L’achèvement et la mise en œuvre à suivre du projet de plan de gestion 2014 par le Service en charge de la faune et la flore sauvages du Kenya (Kenya Wildlife Service – KWS) sont dans l’attente de la fin des consultations des communautés locales et des autres acteurs concernés ;
  • Le Gouvernement du Comté de Marsabit, au Kenya, a lancé un programme de forage destiné à approvisionner en eau le bétail évoluant à l’extérieur du Parc national de Sibiloi.
Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2016

On ne saurait dire si le protocole d’accord signé entre les États parties du Kenya et de l’Éthiopie prévoit des dispositions afin d’éviter, minimiser et atténuer les impacts sur le Lac Turkana du barrage Gibe III, des projets de barrages précédemment présentés Gibe IV et V et du système d’irrigation Kuraz Sugar. Dans le cadre de cette initiative conjointe, il est essentiel de prendre en considération les conclusions de l’EES et de veiller à ce que le débit des eaux de la rivière Omo vers le Lac Turkana soit suffisant.

L’affirmation des États parties selon laquelle ils se conformeront au calendrier établi par le Comité (décision 39 COM 7B.4) pour la réalisation et la soumission de l’EES est appréciée. Il en va de même pour les intentions exprimées d’évaluer pleinement les impacts potentiels sur la VUE du bien. Toutefois, rappelant que le Comité, dans sa décision 39 COM 7B.4, a demandé aux États parties de démontrer d’ici le 1er février 2016 des progrès significatifs dans la préparation de l’EES, il est pris note avec une vive préoccupation que les seuls progrès rapportés concernent l’élaboration des termes de référence de cette évaluation. Cela soulève des inquiétudes quant à la possibilité d’achever l’EES d’ici 2018, comme demandé par le Comité, en particulier parce que l’étude préliminaire à l’EES n’est pas encore terminée. Il est par ailleurs pris note avec une certaine inquiétude que l’étude préliminaire à l’EES prévue par les termes de référence se limitera à l’identification des projets de développement qui sont susceptibles d’avoir un impact direct sur la VUE du bien. Une EES devrait être un outil précieux pour les États parties afin qu’ils puissent identifier les impacts cumulatifs, notamment les impacts potentiels directs et indirects, et les mesures d’atténuation ainsi que les alternatives les moins dommageables et les plus durables à tous les projets de développement ayant un impact sur le bassin du Lac Turkana, notamment le barrage Gibe III et les projets de barrage précédemment présentés Gibe IV et V, situés en Éthiopie, ainsi que l’exploration pétrolière, le barrage existant de Turkwell et le projet d’énergie éolienne du Lac Turkana au Kenya, et ce, afin de garantir la protection de la VUE. Il est recommandé au Comité de demander aux États parties du Kenya et de l’Éthiopie de veiller à ce que l’EES soit réalisée selon les normes internationales généralement acceptées et conformément à la « Note consultative de l’UICN sur le patrimoine mondial : l’évaluation environnementale ». Il est également recommandé au Comité de prier instamment l’État partie de réviser les termes de référence, en consultation avec le Centre du patrimoine mondial, l’UICN ainsi que le PNUE. Il conviendrait que cette révision soit suivie d’une procédure d’appel d’offre international afin de recruter une société indépendante en charge de réaliser l’EES. Il est par ailleurs recommandé au Comité de demander aux États parties de soumettre le rapport sur l’étude préliminaire au Centre du patrimoine mondial, pour examen par l’UICN, dès qu’il sera disponible, et au plus tard le 1er février 2017.

On attend du projet du PNUE qu’il contribue au développement national au Kenya et en Éthiopie en fournissant des données et des informations scientifiquement fondées qui serviront de base à une politique et une prise de décision avisées et à un renforcement des capacités de gestion de l’écosystème. En tant que tel, on estime que ce projet constitue une opportunité de taille pour soutenir les États parties dans la mise en œuvre des demandes du Comité, y compris celles relatives à l’EES. Par ailleurs, la prise en compte, dans le cadre du travail du PNUE, des préoccupations exprimées par le Comité est essentielle.

S’agissant du recensement des espèces clés de faune sauvage sur le territoire du bien, l’absence d’action mise en œuvre est très préoccupante en raison du manque continu de données actualisées sur le nombre des populations et leurs tendances alors que les pressions exercées par le surpâturage, la surpêche et le braconnage demeurent. Il est noté que le projet de plan de gestion est en attente de l’achèvement des consultations des acteurs concernés, toutefois, l’État partie du Kenya n’a pas actualisé les informations relatives à la mise en œuvre des autres recommandations de la mission de 2012, comme demandé à plusieurs reprises par le Comité. Parmi ces recommandations, on citera l’élaboration d’une stratégie de réduction de la pression exercée par le pâturage, l’évaluation de la faisabilité de la réintroduction d’espèces emblématiques, l’établissement sur le terrain de personnel permanent du KWS et le renforcement de l’application de la loi grâce aux données collectées par un outil de surveillance spatiale et de rapports (Spatial Monitoring and Reporting Tool - SMART).

Il est également regrettable que, contrairement à ce qui avait été demandé par le Comité (décision 39 COM 7B.4), aucune réponse n’ait été donnée aux recommandations de la mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN de 2015. En l’absence de toute information actualisée concernant les principales menaces précédemment identifiées, telles que la mise en eau du barrage hydroélectrique Gibe III et le projet d’extension du système d’irrigation Kuraz Sugar, la préoccupation du Comité ne peut être qu’à nouveau exprimée. Il est recommandé au Comité de prier instamment les États parties du Kenya et de l’Éthiopie de veiller à la mise en œuvre en temps opportun des recommandations de la mission et de soumettre au Comité, à sa prochaine session, un rapport détaillé sur les progrès réalisés.

Décisions adoptées par le Comité en 2016
40 COM 7B.80
Parcs nationaux du Lac Turkana (Kenya) (N 801bis)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/16/40.COM/7B.Add,
  2. Rappelant la décision 39 COM 7B.4, adoptée à sa 39e session (Bonn, 2015),
  3. Regrette qu’aucune réponse n’ait été donnée par les États parties du Kenya et de l’Éthiopie aux recommandations de la mission de 2015 et note avec la plus vive préoccupation qu’aucune information mise à jour n’est communiquée sur l’état actuel du projet de système d’irrigation Kuraz Sugar, sur la mise en eau du réservoir Gibe III et sur les mesures prises pour atténuer les impacts de ceux-ci sur le bien ;
  4. Regrettant que les progrès dans la préparation de l’évaluation environnementale stratégique (EES) se soient limités à l’élaboration d’un projet des termes de référence, note avec préoccupation que ceux-ci ne semblent pas prévoir d’intégrer les projets de développement susceptibles d’avoir un impact indirect ou cumulatif sur la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien, et prie instamment les États parties du Kenya et de l’Éthiopie de réviser les termes de référence, en consultation avec le Centre du patrimoine mondial, l’UICN et le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), et de veiller à ce que l’EES soit réalisée selon des normes internationales généralement acceptées et conformément à la « Note consultative de l’UICN sur le patrimoine mondial : l’évaluation environnementale » afin de permettre l’identification de mesures d’atténuation et d’alternatives les moins dommageables et les plus durables à tous les projets de développement ayant un impact sur le bassin du Lac Turkana ;
  5. Demande aux États parties du Kenya et de l’Éthiopie de veiller à ce qu’un appel d’offre international soit organisé, sur la base des termes de référence révisés, afin que soit recrutée une société indépendante pour réaliser l’EES, et de soumettre le rapport de l’étude préliminaire à l’EES au Centre du patrimoine mondial, pour examen par l’UICN, dès qu’elle sera disponible et au plus tard le 1er février 2017 ;
  6. Demande également au Centre du patrimoine mondial et au PNUE de travailler efficacement avec les États parties du Kenya et de l’Éthiopie sur le projet conjoint Éthiopie-Kenya, soutenu par le PNUE, en faveur du développement durable dans la région du Lac Turkana et ses bassins, afin de soutenir les deux États parties dans la mise en œuvre des demandes faites par le Comité, y compris celles relatives à l’EES, et de veiller à ce que les préoccupations exprimées par le Comité soient activement prises en considération dans le cadre du travail du PNUE ;
  7. Demande en outre aux États parties du Kenya et de l’Éthiopie de fournir des informations détaillées complémentaires sur le protocole d’accord du « Programme transfrontalier intégré en faveur du développement durable et de la transformation socioéconomique », de s’assurer que le débit des eaux de la rivière Omo est suffisant pour conserver la VUE du bien, et d’intégrer les conclusions de l’EES au programme transfrontalier ;
  8. Note l’établissement d’un groupe d’experts conjoint en charge du suivi de la gestion des ressources naturelles du bassin, placé sous l’autorité de la Commission ministérielle conjointe Éthiopie-Kenya, et demande en outre aux États parties de fournir des informations détaillées complémentaires sur les termes de référence de cette commission et de ce groupe d’experts conjoint ;
  9. Regrette également qu’aucun recensement des populations de faune sauvage n’ait été réalisé ou ne soit prévu afin d’établir des données de référence des espèces clés de faune sauvage présentes sur le territoire du bien, et réitère sa demande à l’État partie du Kenya afin qu’il mette en œuvre de toute urgence toutes les recommandations exceptionnelles de la mission de 2012 ;
  10. Demande par ailleurs à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er décembre 2017, un rapport sur les progrès réalisés dans la mise en œuvre des recommandations de la mission de 2015 et la réalisation de l’EES, et sur l’état d’avancement de la mise en eau du barrage hydroélectrique Gibe III, du projet d’extension du système d’irrigation Kuraz Sugar et de tout autre projet de développement susceptible d’avoir un impact potentiel sur la VUE du bien, notamment l’exploration pétrolière et le projet de ferme éolienne du Lac Turkana au Kenya, et de soumettre d’ici le 1er décembre 2017, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 42e session en 2018.
Projet de décision : 40 COM 7B.80

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/16/40.COM/7B.Add,
  2. Rappelant la décision 39 COM 7B.4, adoptée à sa 39e session (Bonn, 2015),
  3. Regrette qu’aucune réponse n’ait été donnée par les États parties du Kenya et de l’Éthiopie aux recommandations de la mission de 2015 et note avec la plus vive préoccupation qu’aucune information mise à jour n’est communiquée sur l’état actuel du projet de système d’irrigation Kuraz Sugar, sur la mise en eau du réservoir Gibe III et sur les mesures prises pour atténuer les impacts de ceux-ci sur le bien ;
  4. Regrettant que les progrès dans la préparation de l’évaluation environnementale stratégique (EES) se soient limités à l’élaboration d’un projet des termes de référence, note avec préoccupation que ceux-ci ne semblent pas prévoir d’intégrer les projets de développement susceptibles d’avoir un impact indirect ou cumulatif sur la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien, et prie instamment les États parties du Kenya et de l’Éthiopie de réviser les termes de référence, en consultation avec le Centre du patrimoine mondial, l’UICN et le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), et de veiller à ce que l’EES soit réalisée selon des normes internationales généralement acceptées et conformément à la « Note consultative de l’UICN sur le patrimoine mondial : l’évaluation environnementale » afin de permettre l’identification de mesures d’atténuation et d’alternatives les moins dommageables et les plus durables à tous les projets de développement ayant un impact sur le bassin du Lac Turkana ;
  5. Demande aux États parties du Kenya et de l’Éthiopie de veiller à ce qu’un appel d’offre international soit organisé, sur la base des termes de référence révisés, afin que soit recrutée une société indépendante pour réaliser l’EES, et de soumettre le rapport de l’étude préliminaire à l’EES au Centre du patrimoine mondial, pour examen par l’UICN, dès qu’elle sera disponible et au plus tard le 1er février 2017 ;
  6. Demande également au Centre du patrimoine mondial et au PNUE de travailler efficacement avec les États parties du Kenya et de l’Éthiopie sur le projet conjoint Éthiopie-Kenya, soutenu par le PNUE, en faveur du développement durable dans la région du Lac Turkana et ses bassins, afin de soutenir les deux États parties dans la mise en œuvre des demandes faites par le Comité, y compris celles relatives à l’EES, et de veiller à ce que les préoccupations exprimées par le Comité soient activement prises en considération dans le cadre du travail du PNUE ;
  7. Demande en outre aux États parties du Kenya et de l’Éthiopie de fournir des informations détaillées complémentaires sur le protocole d’accord du « Programme transfrontalier intégré en faveur du développement durable et de la transformation socioéconomique », de s’assurer que le débit des eaux de la rivière Omo est suffisant pour conserver la VUE du bien, et d’intégrer les conclusions de l’EES au programme transfrontalier ;
  8. Note l’établissement d’un groupe d’experts conjoint en charge du suivi de la gestion des ressources naturelles du bassin, placé sous l’autorité de la Commission ministérielle conjointe Éthiopie-Kenya, et demande en outre aux États parties de fournir des informations détaillées complémentaires sur les termes de référence de cette commission et de ce groupe d’experts conjoint ;
  9. Regrette également qu’aucun recensement des populations de faune sauvage n’ait été réalisé ou ne soit prévu afin d’établir des données de référence des espèces clés de faune sauvage présentes sur le territoire du bien, et réitère sa demande à l’État partie du Kenya afin qu’il mette en œuvre de toute urgence toutes les recommandations exceptionnelles de la mission de 2012 ;
  10. Demande par ailleurs à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er décembre 2017, un rapport sur les progrès réalisés dans la mise en œuvre des recommandations de la mission de 2015 et la réalisation de l’EES, et sur l’état d’avancement de la mise en eau du barrage hydroélectrique Gibe III, du projet d’extension du système d’irrigation Kuraz Sugar et de tout autre projet de développement susceptible d’avoir un impact potentiel sur la VUE du bien, notamment l’exploration pétrolière et le projet de ferme éolienne du Lac Turkana au Kenya, et de soumettre d’ici le 1er décembre 2017, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 42e session en 2018.
Année du rapport : 2016
Kenya
Date d'inscription : 1997
Catégorie : Naturel
Critères : (viii)(x)
Liste en péril (dates) : 2018-présent
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2016) .pdf
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* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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