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173 Décisions
0 Résolutions
Année (début) : 1995close
Année (fin) : 1995close
Par année
La dixième Assemblée générale des États parties à la Convention concernant la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel, s'est tenue à Paris, au siège de l'UNESCO, les 2 et 3 novembre 1995, pendant la vingt-huitième session de la Conférence générale. Cent dix-neuf États parties à la Convention étaient représentés à cette réunion. Les représentants de deux organisations non-gouvernementales et de la Commission des Communautés européennes ont assisté à la réunion, en qualité d’observateurs. Plusieurs autres observateurs y ont également participé. Conformément au Règlement ...
5. Dans son allocution d'ouverture, le Directeur général adjoint, représentant le Directeur général, a évoqué les progrès de la mise en œuvre de la Convention du patrimoine mondial, à laquelle 143 États étaient actuellement parties; la Liste du patrimoine mondial comptait, depuis la dix-septième session du Comité, 440 biens, situés dans 100 États parties. Il a souligné que la volonté de préserver la diversité de notre patrimoine culturel et naturel a permis d'accomplir des réalisations notables et a renforcé le sentiment d'appartenance à une communauté mondiale où doivent s'accroître la ...
6. L'Assemblée générale a élu par acclamation M. S. Kronfol (Liban) Président. L'Assemblée générale a également élu à l'unanimité les représentants du Brésil, du Niger et du Japon vice-présidents et M. J. Jelen (Hongrie), rapporteur.
7. Après avoir déplacé au point 9 de l'ordre du jour l'examen des nouvelles activités de suivi et au point 10 les élections au Comité du patrimoine mondial, l'Assemblée générale a adopté son projet d'ordre du jour.8. Sur une motion d'ordre de la Slovénie qui a rappelé une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU et une décision de la Conférence générale de l'UNESCO, et après avoir entendu l'avis du Conseiller juridique, l'Assemblée générale a décidé que la République fédérale de Yougoslavie (Serbie et Monténégro) ne pouvait pas participer à cette 10e session.
9. Conformément à la recommandation faite par le Comité du patrimoine mondial lors de sa dix-septième session, le Président du Comité, M. Adul Wichiencharoen (Thaïlande) a présenté à l'Assemblée générale le rapport que le Comité adresse à la Conférence générale de l'UNESCO. Le texte de la présentation de M. Wichiencharoen figure en annexe I du présent document. L'Assemblée générale a pris note de ce rapport.
10. L'Assemblée générale a examiné le document WHC-95/CONF. 204/3 présentant l'état des comptes du Fonds du patrimoine mondial, conformément au règlement financier du Fonds. Un état de la situation des contributions au 28 octobre 1995, remplaçant le document WHC-95/CONF.204/3 Add., a également été distribué en séance. L'Assemblée a en outre été informée que les contributions suivantes avaient été reçues depuis le 28 octobre 1995: Etat partie Somme (dollars US) Année de Contribution Algérie 10.768 solde 1993, 1994 and 1995 Argentine 129 solde ...
12. L'Assemblée générale a décidé à l'unanimité que, pour l'exercice 1996-1997, le montant des contributions obligatoires à verser au Fonds du patrimoine mondial, calculées en dollars des États-Unis d'Amérique, serait maintenu à 1% du montant des contributions des États parties au budget ordinaire de l'UNESCO, conformément à l'article 16, paragraphe 1, de la Convention, comme il en avait été décidé au neuf précédentes Assemblées générales.
13. Le Président de l'Assemblée générale explique alors les raisons pour lesquelles il est proposé de simplifier la procédure en vigueur pour les élections du Comité du patrimoine mondial, afin d'éviter un nombre excessif de tours de scrutin. Cette simplification, contenue dans les amendements proposés aux articles 13.8, 13.9 et 13.10 du Règlement intérieur de l'Assemblée générale (cf. document WHC-95/CONF.204/5), consisterait à procéder à quatre tours de scrutins à la majorité absolue et de passer à la majorité simple à partir du 5ème tour, en procédant alors à un tirage au sort dans le ...
15. Ce point de l'ordre du jour a été présenté par le Président du Comité du patrimoine mondial, le Dr Adul Wichiencharoen (Thaïlande), qui a résumé le contenu de son rapport sur ce sujet tel qu'il apparaît dans le document de travail WHC-95/CONF.204/7 (voir note [1]) et le projet de résolution qu'il avait préparé pour cette Assemblée générale (WHC-95/CONF.204/DR.1). Il a rappelé que le Comité du patrimoine mondial, à la suite d'un long processus de consultations, discussions et expériences pratiques dans plusieurs États parties et dans diverses régions, notamment en Amérique latine et ...
34. Au titre du point 10 de l'ordre du jour, l'Assemblée générale a été appelée à élire sept membres du Comité du patrimoine mondial, en remplacement des sept membres ci-après, dont le mandat devait expirer à la fin de la vingt-huitième session de la Conférence générale: Colombie, Indonésie, Oman, Pérou, Sénégal, République arabe syrienne et Thaïlande. Après que le Nigéria ait retiré sa candidature, et que la Colombie se soit désistée en faveur de l'Equateur, lecture a été donnée à l'Assemblée de la liste des 28 États parties qui présentaient leur candidature: Algérie, Argentine, ...
43. Le représentant de l'Allemagne a informé l'Assemblée générale que la dix-neuvième session du Comité du patrimoine mondial aurait lieu dans son pays, à Berlin, et invité tous les États parties à s'y rendre.44. Le représentant du Mexique et le représentant de l'Italie ont chacun proposé d'accueillir dans leur pays la 20ème session du Comité du patrimoine mondial. L'Assemblée générale a remercié ces deux États de leur généreuse invitation et décidé que cette question serait examinée lors de la 19ème session du Comité.45. Aucune autre question n'ayant ensuite été soulevée au titre des ...
Le Bureau a rappelé que ce site a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en 1983 et placé sur la Liste du patrimoine mondial en péril en 1992. Un rapport sur les efforts de l'État partie en matière de restauration a été présenté à la dernière session du Bureau. Deux projets d'assistance internationale à petite échelle financés par le Fonds du patrimoine mondial sont en cours sur le site qui bénéficie également d'assistance internationale d'autres sources. Le 29 juin 1995, le Centre du patrimoine mondial a reçu un rapport préparé par le ministère de l'Environnement de la ...
Le Bureau a rappelé que le site a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril en 1992. Des missions ont été effectuées sur place en 1992 et 1993. La situation reste critique par suite du conflit armé et de la situation politique dans la région qui ne s'est pas améliorée. Lé Comité a décidé à sa 18e session de maintenir le site sur la Liste du patrimoine mondial en péril et une autre mission d'enquête doit être programmée pour le site en 1995-1996, particulièrement dans la forêt vierge de Korkaova Uvala. Etant donné la poursuite du conflit armé dans la région, le Bureau ...
Le Bureau a rappelé que le site a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en 1983 et a été porté sur la Liste du patrimoine mondial en péril en 1992 à cause des menaces que représentaient le braconnage, les empiétements à l'intérieur des limites et la construction non planifiée d'une route. Un projet d'assistance internationale est en cours, dans le cadre du Fonds du patrimoine mondial et la partie "équipement" du projet a été menée à bien en 1994. De plus, le Centre du patrimoine mondial a reçu en mars 1995 un rapport préliminaire de l'INEFAN (Instituto Ecuatoriano Forestal ...
Le Bureau a rappelé que le site a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril en 1992 à cause d'un projet de prospection minière et des menaces dues à l'arrivée d'un grand nombre de réfugiés des pays voisins. Une mission d'experts a été entreprise en 1993 et les propositions de révision des limites du site ont été acceptées par la 17e session du Comité en 1993. Un projet d'assistance internationale dans le cadre du Fonds du patrimoine mondial a été mené en 1994 et un rapport a été présenté à la 18e session du Comité du patrimoine mondial. Les ministères français de la ...
Le Bureau a rappelé qu'à sa 18e session, le Comité du patrimoine mondial avait pris note de l'information fournie par le Gouvernement indien, par l'intermédiaire du Délégué permanent, selon laquelle "si les représentants du Centre du patrimoine mondial et du Comité du patrimoine mondial désirent visiter New Delhi, Assam et Manas pour discuter ou voir le site, ils seront volontiers accueillis par les autorités concernées du Gouvernement indien". Dans la même lettre, les autorités indiennes indiquaient également que le Gouvernement indien ferait participer des ONG au niveau local au suivi ...
Le Bureau a rappelé que le site a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril en 1993, étant donné le nombre croissant de menaces qui pèsent sur lui depuis son inscription sur la Liste en 1979. L'Etat fédéral et les autorités locales, ainsi que des fondations privées, se sont réunis pour fournir un soutien financier important pour la gestion du site et sa restauration à long terme. Le Comité a pris note d'un rapport détaillé préparé par les autorités américaines, rapport qui a été présenté à sa 18e session. Le Centre du patrimoine mondial a reçu un rapport de suivi du ...
Le Parc national des Virunga, inscrit selon les critères (ii) (iii) et (iv) en 1979, a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril en décembre 1994, à la suite des événements tragiques au Rwanda qui ont provoqué une arrivée massive de réfugiés en provenance de ce pays. Le Parc national des Virunga, situé à la frontière entre le Rwanda et l'Ouganda, a été déstabilisé par l'arrivée incontrôlée de réfugiés, cause de déforestation et de braconnage sur les sites. Le Bureau a rappelé que la Présidente du Comité du patrimoine mondial avait approuvé l'octroi d'une assistance ...
Le Bureau a rappelé que ce site mixte a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en 1982 et que le Bureau à sa 18e session en juillet 1994 avait discuté de plusieurs rapports qui faisaient état d'opérations d'abattage dans les zones adjacentes à celle du site du patrimoine mondial. L'UICN a fait une mise à jour de la situation et a rappelé deux sujets de préoccupation évoqués : d'une part, il existe un territoire couvert de forêts à l'extérieur du site qui pourrait posséder des valeurs de site de patrimoine mondial et, d'autre part, les activités d'abattage et de construction de ...
Le Bureau a rappelé que le site a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en 1988 et a fait l'objet d'un rapport de suivi à la 16e session du Comité à Santa Fe. A l'époque, le système de gestion avait échoué et le site était particulièrement menacé. Il avait été recommandé que le Centre du patrimoine mondial effectue une mission sur place. L'instabilité a continué à prévaloir en 1993 et 1994. En 1994, un nouveau Gouvernement a été nommé et la Compagnie générale d'aéronautique (CGA), entreprise française, a décidé de tenter une expérience touristique pour laquelle elle a ...
Le Bureau a rappelé, à la demande du Délégué de l'Allemagne, les discussions qui avaient eu lieu lors des précédentes sessions sur l'état de conservation du site ainsi que sur les mesures à prendre en faveur de la Réserve marine des Galapagos. Par lettre du 27 janvier 1995, le Centre' a demandé aux autorités équatoriennes de fournir des informations à temps pour la session du Bureau mais il n'a reçu aucune réponse. Le Représentant de l'UICN a informé le Bureau que la situation sur le site ne s'était pas améliorée mais que le temps avait manqué pour présenter un rapport à cette ...
Le Bureau a rappelé que le site a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en 1978 et a pris note des résultats d'un rapport sur l'atelier traitant de "La gestion du Parc national du massif du Simen" qui s'est tenu à Gondar du 15 au 17 février 1995, ainsi que d'un rapport de 40 pages sur "l'Etude de base sur le massif du Simen" préparé par l'Université de Berne (Suisse).
Le Centre a informé le Bureau qu'il avait reçu un rapport de la Fundaciôn Rio Platano au sujet de ce site qui a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en 1982. Le rapport fait étatd'intrusions agricoles à la limite ouest du site. Des informations complémentaires ont été obtenues le 12 avril 1995 sur le programme de réforme de l'aménagement du territoire et sa mise en oeuvre dans le nord-est du Honduras. Le programme d'implantation menace plusieurs zones protégées. Le Centre a pris contact avec les autorités concernées pour obtenir d'autres informations à ce sujet. Le ...
Le Centre a informé le Bureau qu'il avait reçu plusieurs lettres concernant l'abattage de forêts de hêtres à l'extérieur du site du patrimoine mondial et qu'il les a transmises pour examen à l'UICN. Le Bureau a rappelé que le site a été inscrit en 1993 et que le Comité avait à l'époque recommandé d'effectuer une revue du site au bout de trois ans. Le Bureau a invité le Centre à organiser une mission afin d'étudier "l'avancement de la mise en oeuvre du plan de gestion en ce qui concerne les exigences de la Convention du patrimoine mondial.
Le Bureau a été informé que la Division de l'Equipement de l'UNESCO, en coopération avec le Centre, a envoyé une mission sur ce site du patrimoine mondial en avril 1995, afin de passer en revue les projets d'assistance internationale sur le site et d'effectuer une évaluation et une estimation des besoins futurs. La mission a effectué une revue détaillée des projets d'assistance technique au titre du Fonds du patrimoine mondial (y compris l'achat de bateaux) et a contribué à l'élaboration de projets appropriés, notamment un inventaire écologique des régions côtières des îles du ...
Le Bureau a pris note du rapport oral sur le site présenté par l'UICN indiquant que Mitsubishi Corporation, en partenariat avec le Gouvernement mexicain, projette de transformer une partie du lagon en salines pour la production industrielle de sel. Il est prévu de construire une jetée d'un kilomètre de long, ce qui nuirait aux baleines grises dans le lagon. Le Bureau a recommandé d'écrire une lettre aux autorités pour leur faire part des sujets de préoccupation évoqués à cette 19e session du Bureau et leur demander une réponse officielle quant à la situation dans le site.
Le Bureau a rappelé qu'à la 18e session du Comité du patrimoine mondial, l'UICN avait été chargée de présenter au Bureau une évaluation des limites révisées de ce site, en se fondant sur le rapport du consultant travaillant au plan prévu pour cette zone. Toutefois, les autorités omanaises, qui ont engagé un consultant, ont demandé un délai pour le rapport jusqu'au 30 juillet 1995. Dès réception du rapport, une évaluation sera préparée pour présentation à la 19e session du Comité. L'UICN s'est montré préoccupée que le rapport ne soit toujours pas disponible bien que le Comité du ...
Le représentant de l’IUCN a informé le Bureau qu’une première mission avait pu être entreprise sur ce site du patrimoine mondial. Elle a permis de passer en revue l'état du site, les moyens en personnel et les ressources du Parc, le tourisme et autres questions telles que des menaces éventuelles dues à des projets d'exploitation minière, de barrage et de construction de routes. Le Bureau a demandé au Centre : (1) d'écrire une lettre d'encouragement aux responsables de la gestion du Parc ; (2) d'écrire une lettre de la part du Président du Comité du patrimoine mondial, adressée ...
Le Bureau a rappelé que le Parc national de Bwindi a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en 1994. Des rapports provenant de différentes sources, y compris du WWF, ont indiqué que quatre gorilles de montagne avaient été tués sur le site en mars 1995. L'UICN a informé le Bureau qu'une enquête à ce sujet était actuellement en cours en Ouganda. Le Bureau a demandé au Centre d'informer les autorités ougandaises de sa sérieuse préoccupation concernant la diminution de la population de gorilles de montagne, et d'obtenir des informations sur les mesures prises à cet égard afin ...
Le Centre du patrimoine mondial a été informé le 15 septembre 1994 d'un projet de construction de route à l'intérieur du site. La proposition implique la déviation d'une autoroute sur 3 km, ce qui a fait l'objet d'une étude d'impact environnemental. Le National Park Service des États-Unis et l'UICN avaient été chargés par la 18e session du Comité de suivre cette affaire. Le Centre a informé le Bureau qu'il avait reçu en mai 1995 un rapport préliminaire de suivi de la part du National Park Service ; ce rapport indique que le Département des Transports de Californie (CDT) a proposé ...
Le Centre a informé le Bureau qu'un groupe de quatorze organisations nord-américaines de protection de la nature lui avait adressé une documentation détaillée concernant le Parc national de Yellowstone. Ces documents posent de sérieuses questions sur des dommages potentiels que pourrait subir le Parc, en particulier par suite d'un projet d'exploitation minière. Un avant-projet de déclaration d'impact sur l'environnement est en cours. Le Centre a pris contact avec les autorités américaines pour les informer de ses préoccupations. Des lettres du National Park Service et du Secrétaire ...
Le Bureau a rappelé que le transfert d'un camp de réfugiés en 1994 avait permis d'améliorer la situation du Parc de Kahuzi­Biega ; il semble moins menacé que le Parc des Virunga mais la situation reste cependant très grave. Le Centre a informé le Bureau qu'un nouveau centre d'accueil pour les visiteurs avait été construit grâce à un financement des autorités allemandes et de la GTZ. De plus, Kahuzi-Biega a obtenu des fonds de la coopération européenne. Un rapport d'avancement sur l'assistance d'urgence fournie par le Fonds du patrimoine mondial a également été reçu. Le ...
Le Bureau a rappelé que l'impact du tourisme et le projet de construction d'un barrage sur le site avaient fait l'objet de discussions lors de plusieurs réunions du Comité et du Bureau. L'UICN a informé le Bureau que l'Agence canadienne de développement (CIDA) avait accordé 350.000 dollars canadiens au bureau de l'UICN au Zimbabwe pour réaliser une planification de la gestion et des études d'impact sur l'environnement en vue d'une meilleure protection du site. Le Bureau a demandé au Centre d'écrire une lettre à la CIDA pour la féliciter de ses efforts pour protéger ce site du patrimoine ...
A sa 18ème session, le Comité avait demandé au Centre du patrimoine mondial de veiller à l'envoi d'une mission de "suivi" pour évaluer l'état de conservation de l'ensemble du site (44 ha). Une mission composée de deux experts, le Professeur Spini (architecte) et Mme Antongini (anthropologue) a quitté Paris au début de juillet pour Abomey. Ces deux experts, qui ont travaillé sur le site, ont été désignés par la Direction du patrimoine du Bénin et il leur a été demandé de: i) reprendre le dossier de classement du site et le compléter conformément au nouveau format des propositions ...
Le Secrétariat a informé le Bureau que, dans le cadre de l'assistance fournie par le Secrétariat de l'UNESCO auprès des autorités cambodgiennes pour la mise en oeuvre des obligations découlant de l'inscription du site d'Angkor sur la Liste du patrimoine mondial en péril en 1992, un expert juridique a été envoyé par l'UNESCO en mars 1995, pour finaliser la législation en matière de protection du patrimoine culturel en vue de son adoption et de son application. En ce qui concerne la mise en place d'un organisme national de protection et de gestion du site, l'UNESCO se félicite que les ...
Sites : Angkor
Le Bureau a pris note des informations fournies par le Secrétariat sur l'avancement de l'installation d'un centre de documentation et d'une unité de coordination pour les travaux de restauration dans la vieille ville. Il a également noté la coopération du Secrétariat avec les autorités nationales et locales pour former le personnel nécessaire et acheter l'équipement requis. Le Bureau a demandé au Secrétariat de contrôler la mise en oeuvre de l'assistance et de présenter un rapport d'avancement au Comité du patrimoine mondial à sa 19e session. Le Bureau a recommandé au Comité de ...
Les autorités maliennes se sont engagées à lancer un projet de chantier-pilote auquel seraient associés les comités de gestion et les maçons responsables des 3 mosquées de Djingareiber, Sankoré et Sidi Yahia qui sont inscrites sur la Liste du patrimoine mondial en péril. Elles ont signé en juin dernier avec le Centre du patrimoine mondial un contrat qui permettra la réalisation de la première phase du projet, c'est-à-dire la collecte des informations et les préparatifs du chantier-pilote qui se déroulera en 1996. Les autorités maliennes auront besoin, lors de la mise en oeuvre de ...
Sites : Tombouctou
Après avoir pris connaissance du rapport du Secrétariat sur les deux missions d'experts organisées avec la coopération des autorités nationales (décembre 1994 et mai-juin 1995), le Bureau remercie les autorités omanaises pour leur active collaboration avec l'UNESCO pour la préservation du Fort de Bahla. Il apprécie tout particulièrement leur volonté de suivre les conseils des experts spécialistes de l'architecture en terre envoyés sur place, ce qui lui paraît également être la seule manière de préserver l'authenticité du monument à laquelle il convient de continuer d'accorder la ...
Sites : Fort de Bahla
Le Bureau a pris note des informations fournies par le Secrétariat selon lesquelles le cours sur la conservation de l'adobe qui devait se tenir à l'origine sur le site en 1995 a été remis à 1996. Il a donc décidé d'attendre les résultats de l'évaluation de la politique et des pratiques de conservation dans la Zone archéologique de Chan Chan, évaluation qui sera entreprise dans le cadre de ce cours. Le Bureau a recommandé au Comité de maintenir le site sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
Le Bureau a pris note des informations fournies par le Secrétariat sur les mesures prises pour mettre en oeuvre le projet de coopération technique approuvé par le Comité à sa 18e session. Le Bureau a demandé au Secrétariat' de contrôler la mise en oeuvre de l'assistance technique et l'effet de l'équipement sur l'état de ce site et de tenir le Comité informé des résultats. Le Bureau a recommandé au Comité de maintenir le site sur la Liste du patrimoine mondial en péril jusqu'à ce que l'on ait connaissance des résultats ainsi que d'un rapport sur l'effet de l'assistance technique dans ...
Le Secrétariat a informé le Bureau que la Division du patrimoine culturel de l'UNESCO a organisé une projet de mission de suivi en décembre 1994 pour ces deux sites culturels du Bangladesh inscrits sur la Liste du patrimoine mondial en 1985. La mission a fait état de l'avancement des deux projets financés par le Fonds-en-dépôt Japonais à l'UNESCO pour le patrimoine culturel, dans le cadre de la campagne internationale de sauvegarde de Paharpur et Bagerhat. La mission, tout en notant avec satisfaction les progrès réalisés en ce qui concerne la documentation archéologique et ...
Après avoir pris connaissance du rapport de la mission d'experts de l'UNESCO invitée par le Gouvernement égyptien du ler au 6 avril 1995 pour contribuer à définir des mesures propres à assurer la conservation du site du patrimoine mondial de la Zone des Pyramides de Guizeh à Dahchour, le Bureau adresse toutes ses félicitations et ses vifs remerciements aux autorités égyptiennes pour l'ensemble des décisions prises à ce jour et des actions déjà entreprises : 1)      le choix d'un nouveau tracé passant au nord du site du patrimoine mondial pour la bretelle de ...
Le Secrétariat a informé le Bureau que, conformément à la demande du Comité du patrimoine mondial à sa 18e session, les autorités grecques avaient fourni des informations sur la protection juridique et les mesures de gestion prévues pour la ville. Le Bureau a demandé que le Secrétariat examine les informations disponibles en collaboration avec l'ICOMOS et qu'il présente un rapport à ce sujet à sa prochaine session de décembre 1995.
Le Secrétariat a informé le Bureau que le représentant de l'UNESCO à la Troisième réunion internationale d'experts sur Borobudur, tenue sur le site en janvier 1995, a indiqué que le groupe d'experts avait exprimé sa satisfaction devant l'état de conservation de Borobudur qui a fait l'objet d'une Campagne internationale de sauvegarde de la part de l'UNESCO en 1972, bien que le site n'ait été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial qu'en 1991. La réunion a formulé, entre autres, les recommandations suivantes : (i) éviter à l'avenir les actions ou les activités susceptibles de perturber ...
Le Centre a informé le Bureau que la Division du patrimoine culturel de l'UNESCO a entrepris une mission en Iran en décembre 1994. Cette mission comportait une enquête préliminaire sur l'état de conservation du Meidan Emam d'Ispahan, bien du patrimoine mondial. Les observations ont porté surtout sur les points suivants : (i) inquiétude due à l'importance de la circulation dans la vieille ville, particulièrement sur la place du Meidan Emam qui, comme les monuments qui l'entourent, se trouve dans la zone protégée. Le projet de construction d'un passage souterrain pour réduire les ...
Le Centre a informé le Bureau que la première mission conjointe Japon/UNESCO pour l'identification de projets sur ce site du patrimoine mondial inscrit en 1979, a eu lieu en février 1995. Elle a observé qu'en dépit de l'application d'une bonne méthode traditionnelle de conservation, consistant à couvrir chaque année les constructions exposées avec du "kargel" (mélange de boue et de paille) , le site a continué à se détériorer en l'absence d'une méthode fiable de conservation durable des constructions en brique crue, qui sont exposées chaque année à de fortes pluies. La mission a ...
Sites : Tchoga Zanbil
Le Bureau, ayant été informé du pillage des sites archéologiques d'Irak, et en particulier de Hatra, recommande aux États parties de faire tout leur possible pour empêcher le trafic illicite d'objets archéologiques et de sculptures provenant de ce site.
Sites : Hatra
Après avoir pris connaissance du rapport du Secrétariat et des compléments de l'ICOMOS, le Bureau a remercié les autorités jordaniennes d'avoir pris si rapidement des mesures dans le sens souhaité par le Comité et les a félicité de leur volonté d'assurer une préservation à long terme du site. De manière à disposer de tous les éléments nécessaires à l'évaluation de la proposition d'extension du site, il leur a demandé de bien vouloir confirmer avant le ler octobre qu'aucun nouveau projet de construction d'hôtel ne sera autorisé à Wadi Musa et sur la route de Taybeh, que le Petra ...
Sites : Petra
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