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Parc national de Keoladeo

Inde
Facteurs affectant le bien en 2023*
  • Autres modifications du climat
  • Déchets solides
  • Espèces envahissantes / exotiques d’eau douce
  • Espèces envahissantes/exotiques terrestres
  • Exploitation hydraulique
  • Infrastructures hydrauliques
  • Système de gestion/plan de gestion
  • Autres menaces :

    Disparition de grues sibériennes

Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Espèces terrestres envahissantes/exotiques (Prosopis, Paspalum)
  • Espèces envahissantes/exotiques d'eau douce (Eichhornia, Clarias gariepinus)
  • Exploitation hydraulique
  • Infrastructures hydrauliques
  • Système de gestion/Plan de gestion (nécessité de mettre à jour le Plan de gestion ; gestion de l’eau inadéquate : Qualité et quantité insuffisantes d’approvisionnement en eau et concurrence entre les différents usagers ; mesures inadaptées pour le suivi systématique de la population aviaire)
  • Déchets solides (dépôt de carcasses de bovins à proximité du bien)
  • Autres modifications du climat (forte variabilité naturelle des précipitations)
  • Autres facteurs : disparition des grues sibériennes
Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2023

Montant total accordé au bien : 80 000 dollars EU (projet « Mise en valeur de notre patrimoine » sur l'évaluation de l'efficacité de la gestion). Entre 2007 et 2015, la Fondation des Nations Unies a alloué au programme de l’Inde pour le patrimoine mondial un financement dont a bénéficié le projet (en vue d’améliorer l’efficacité de la gestion et de renforcer les compétences du personnel ; d’accroître l’engagement des communautés locales dans la gestion du site et de promouvoir le développement durable ; et de sensibiliser par la communication et le plaidoyer)

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2023
Demandes approuvées : 0
Montant total approuvé : 0 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2023**

Mars 2005 : visite du Centre du patrimoine mondial sur le site ; mars 2008 : mission de suivi réactif conjointe Centre du patrimoine mondial/UICN ; février 2023 : mission de suivi réactif de l’UICN

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2023

Le 1er décembre 2022, l'État partie a soumis un rapport sur l'état de conservation, qui est disponible à https://whc.unesco.org/en/list/340/documents et fait état des éléments suivants :

  • Le bien est alimenté en eau par le projet de conduite de [la rivière] Chambal, le canal de Govardhan et le barrage de Pachna. La région où se trouve le bien ayant reçu de bonnes précipitations au cours des années précédentes, le parc a bénéficié de l'apport en eau minimum requis pour les îlots de zones humides. La direction du parc continue de chercher des solutions pour assurer un approvisionnement en eau adéquat à long terme pour le bien ;
  • Le département des forêts de l'État (SFD) est pleinement engagé à protéger la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien. Après avoir reçu de bonnes précipitations les années précédentes et de l'eau des sources susmentionnées, l'approvisionnement en eau de la station de traitement des eaux usées de la ville de Bharatpur reste à l'étude, mais aucune eau n'a encore été déversée dans le bien. L'administration du parc comprend les points soulevés par le Comité du patrimoine mondial et va veiller à mettre en place un système de suivi rigoureux ;
  • Le SFD consulte les hautes autorités en vue de la préparation d'un plan directeur zonal pour la zone naturelle sensible (ZNS) ;
  • La révision du plan de gestion est maintenant terminée ;
    La gestion des espèces envahissantes Prosopis juliflora, jacinthe d'eau (Eichhornia crassipes), Paspalum distichum, poisson-chat africain (Clarias gariepinus) et vétiver (Vetivaria zizanioides) se poursuit. Le SFD a alloué 20,0 lakh de roupies (environ 24 500 dollars EU) à l'élimination de P. juliflora au titre du plan d'opération annuel, l'élimination dans les différents îlots étant entreprise par la direction du parc. L'élimination du poisson-chat africain se poursuit avec l'aide de la communauté locale. Le plan de gestion du bien pour les dix prochaines années compte un chapitre consacré à une stratégie d'élimination des espèces envahissantes ;
  • Les autorités du parc effectuent un suivi systématique des héronnières et des populations d'oiseaux d'eau à l'intérieur du parc, ce qui fournit des informations importantes pour aider l'administration à mieux gérer l'habitat des oiseaux. Une étude des héronnières avec comptage des nids est réalisée de façon périodique. Un recensement des oiseaux d'eau impliquant des volontaires de la communauté locale est entrepris à pied. Le suivi des populations aviaires au sein du bien et dans les environs est prévu et sera intégré et documenté dans le plan de gestion ;
  • L'administration civile a interdit la mise en décharge des carcasses de bétail à proximité du parc. Les autorités du parc ont pris toutes les mesures nécessaires pour résoudre le problème et surveillent en permanence le site de décharge.

Du 13 au 17 février 2023, le bien a reçu la visite d’une mission de suivi réactif de l'UICN, dont le rapport est disponible à https://whc.unesco.org/en/list/340/documents.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2023

Conformément aux préoccupations précédemment exprimées, la mission de suivi réactif de l'UICN a souligné que la question primordiale pour le bien reste d'obtenir un approvisionnement en eau suffisant pour maintenir sa VUE. Tout en notant que l'État partie a fait des avancées notables au cours des dix dernières années pour remédier à ce problème, la quantité d'eau disponible la plupart des années reste inférieure au niveau minimum considéré nécessaire. La demande d'eau de la part d'autres utilisateurs (agriculture et usages domestiques par exemple) continuant d'augmenter, il est important de prévenir toute nouvelle détérioration de l'état écologique du bien et de restaurer ses processus hydrologiques naturels. Il est donc recommandé que l'État partie trouve une solution stratégique à long terme pour un approvisionnement en eau adéquat, notamment en évaluant rapidement les points suivants : clarifier les besoins en eau du bien (par exemple, un chiffre largement accepté de 550 millions de pieds cubes (mcft) a été identifié dans les années 1980 tandis que le plan de gestion 2017-2027 considère que 650 mcft sont nécessaires) ; préciser les processus hydrologiques se rapportant au bien ; prendre en considération la qualité de l'eau des différentes sources d'eau ; et faciliter les lâchers d'eau pour garantir qu'une quantité suffisante d'eau atteint le bien en attendant qu'une solution à long terme soit trouvée. Bien que l'État partie rapporte que les stations de traitement des eaux usées de la ville de Bharatpur sont toujours considérées comme source d'eau potentielle, la mission a été assurée que cela n'est plus le cas. L'eau provenant de ces stations ne doit pas être prise en considération, sauf s'il est clairement établi que l'intégrité hydrologique du bien ne serait pas compromise.

La mission a noté que le plan de gestion révisé 2017-2027 du bien a été approuvé en 2021, avec huit objectifs de gestion portant sur la qualité de l'eau, la restauration des habitats, la protection du bien, le maintien et le développement de l'écotourisme, l'adoption d'une approche à l’échelle du paysage, les communautés locales, la gestion et le suivi fondés sur la recherche, et l'amélioration de l'efficacité de la gestion. En particulier, le plan de gestion a souligné le défi que représentait l'approvisionnement en eau et l'articulation des travaux nécessaires pour lutter contre les espèces envahissantes. Cependant, la mission a souligné qu’un lien explicite avec la VUE reste manquant, avec la nécessité évidente de veiller à ce que les actions du plan de gestion contribuent explicitement et directement à la conservation de la VUE. Par exemple, une déclaration définissant plus clairement l'état de conservation souhaité pour le bien dans l’optique de réaliser la vision du plan de gestion qui vise à restaurer « toute la splendeur écologique », ainsi que des objectifs de gestion explicites, serait utile.

Il est regrettable que le plan de gestion révisé n'ait pas été soumis au Centre du patrimoine mondial pour examen par l'UICN avant sa finalisation et son approbation, comme demandé dans la décision 44 COM 7B.92. Notant que le plan de gestion final a été transmis pendant la mission, il est recommandé à l'État partie de revoir le plan de gestion conformément aux recommandations de la mission en se concentrant spécifiquement sur la gestion de la VUE, d'identifier les lacunes à court terme dans le traitement des problèmes et des besoins urgents de gestion, et d'assurer le développement en temps voulu d'un plan de gestion actualisé liant explicitement les actions aux attributs qui véhiculent la VUE avant son expiration en 2027. Le 40e anniversaire de l'inscription du bien en 2025 est une occasion opportune.

La mission a souligné qu'il n'existe pas de liste claire des attributs qui véhiculent la VUE, ni de programme de suivi à long terme, ce qui ne permet pas aux autorités de suivre et d'évaluer clairement l'évolution de la VUE au fil du temps. Il est donc recommandé d'identifier ces attributs pour orienter le suivi, la protection et la gestion à long terme du bien.

Concernant le suivi des oiseaux, la mission a souligné qu'un programme de suivi scientifique basé sur les attributs est nécessaire pour guider les décisions de gestion, et que le statut actuel de la grue de Sibérie, qui n'a pas été enregistrée dans le bien depuis 2001/2002 et qui est considérée sur la liste rouge des espèces menacées de l'UICN comme probablement éteinte dans la région, doit se retrouver de manière appropriée dans le suivi, la gestion et la communication. La mission a estimé qu'il n'y a aucune chance que l'espèce passe l'hiver sur le bien sans restauration de la voie de migration ni gestion transfrontalière coordonnée à l'échelle régionale.

Il est encourageant de constater que les actions de lutte contre les espèces envahissantes se poursuivent, notamment par le biais du plan de gestion et d'un budget consacré à P. juliflora, qui reste une menace pour l'intégrité du bien. Il est recommandé d'établir une stratégie de gestion adaptative à long terme pour les espèces envahissantes qui tienne compte des caractéristiques biologiques de P. juliflora, dispose d'un programme de suivi permettant d'évaluer l'impact de la gestion et les réponses nécessaires, s'appuie sur une expertise scientifique comme celle du groupe de spécialistes des espèces envahissantes de la Commission de sauvegarde des espèces de l'UICN, si nécessaire, et dans le cadre de laquelle les actions proposées dans le plan de gestion sont réexaminées et harmonisées avec les besoins à long terme.

La consultation en cours pour la préparation d'un plan directeur zonal pour la ZNS est notée. Il est recommandé de continuer à encourager l'État partie à envisager d'officialiser la zone comme zone tampon du patrimoine mondial par le biais d'une modification mineure des limites.

L'État partie et la mission confirment que la question de la mise en décharge des carcasses de bovins a été traitée.

Décisions adoptées par le Comité en 2023
45 COM 7B.82
Parc national de Keoladeo (Inde) (N 340)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/23/45.COM/7B,
  2. Rappelant la Décision 44 COM 7B.92, adoptée à sa 44e session élargie (Fuzhou/en ligne, 2021).
  3. Note les efforts continus de l'État partie pour assurer un approvisionnement en eau suffisant et adéquat au bien, toutefois se redit le plus grandement préoccupé par le fait que l'approvisionnement en eau reste la plupart du temps inférieur au niveau minimum considéré nécessaire pour le fonctionnement écologique du bien ;
  4. Regrette que l'État partie n'ait pas soumis le plan de gestion révisé au Centre du patrimoine mondial pour examen par l'UICN avant sa finalisation et son approbation, comme demandé par le Comité ; et prend note du fait que le plan de gestion 2017-2027 a été achevé et qu'il a été remis à la mission de suivi réactif de l'UICN de 2023 ;
  5. Accueille favorablement les efforts continus de l'État partie pour lutter contre les espèces exotiques envahissantes au sein du bien, notamment priorités du plan de gestion révisé 2017-2027 et budget spécifique ;
  6. Demande également à l'État partie de mettre en œuvre les recommandations de la mission de 2023, notamment de :
    1. Établir une liste claire des attributs qui véhiculent la valeur universelle exceptionnelle (VUE) afin d’éclairer le suivi, la protection et la gestion à long terme du bien,
    2. Trouver une solution stratégique à long terme pour l'approvisionnement en eau, notamment en évaluant rapidement les éléments suivants afin d’orienter les priorités de gestion :
      1. Clarifier les besoins en eau du bien,
      2. Prendre en compte la qualité de l'eau provenant de différentes sources,
      3. Assurer des lâchers d'eau de manière à ce qu'une quantité suffisante d'eau atteigne le bien,
      4. Préciser les processus hydrologiques se rapportant au bien,
      5. Veiller à ce qu'aucune eau ne provienne des stations de traitement des eaux usées, à moins qu'il ne soit clairement prouvé que l'intégrité hydrologique du bien et sa VUE ne seront pas compromises.
    3. Veiller à ce que le statut actuel de la grue de Sibérie se retrouve fidèlement dans le suivi et la gestion du bien,
    4. Mettre en place un programme de suivi scientifique basé sur les attributs qui véhiculent la VUE afin d’orienter la gestion du bien, comme suit :
      1. Examiner les informations existantes de manière aussi complète et analytique que possible,
      2. Concevoir un programme de suivi, analyse et rapports scientifiquement fondé,
      3. Il conviendrait d'envisager un programme de suivi écologique plus large qui permettrait de contrôler la santé de l'écosystème, en particulier de la zone humide,
    5. Établir une stratégie de gestion adaptative à long terme pour les espèces envahissantes,
    6. Réviser le plan de gestion 2017-2027 en se concentrant explicitement sur la gestion de la VUE du bien,
    7. Veiller à ce que plan de gestion et prise de décision soient spécifiquement axés sur la VUE du bien, notamment que les activités planifiées contribuent de manière explicite et transparente à sa protection et à sa gestion. À court terme, réévaluer la pertinence de la mise en place prévue d'un programme de gestion ex situ pour quatre espèces de mammifères et la meilleure utilisation des ressources compte tenu d'autres priorités de gestion urgentes en ce qui concerne la VUE ;
  7. Prend note du fait que l'élaboration d'un plan directeur zonal pour la zone naturelle sensible autour du bien est toujours en cours, et encourage à nouveau l'État partie à envisager d'officialiser la zone naturelle sensible comme zone tampon du patrimoine mondial en soumettant une proposition de modification mineure des limites, conformément au paragraphe 164 des Orientations ;
  8. Prend également note du fait que la question de la mise en décharge de carcasses de bovins à proximité du bien a été résolue ;
  9. Demande enfin à l'État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1erdécembre 2024, un rapport actualisé sur l'état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points susmentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 47e session. 
Projet de décision : 45 COM 7B.82

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/23/45.COM/7B,
  2. Rappelant la Décision 44 COM 7B.92, adoptée à sa 44e session élargie (Fuzhou/en ligne, 2021).
  3. Note les efforts continus de l'État partie pour assurer un approvisionnement en eau suffisant et adéquat au bien, toutefois se redit le plus grandement préoccupé par le fait que l'approvisionnement en eau reste la plupart du temps inférieur au niveau minimum considéré nécessaire pour le fonctionnement écologique du bien ;
  4. Regrette que l'État partie n'ait pas soumis le plan de gestion révisé au Centre du patrimoine mondial pour examen par l'UICN avant sa finalisation et son approbation, comme demandé par le Comité ; et prend note du fait que le plan de gestion 2017-2027 a été achevé et qu'il a été remis à la mission de suivi réactif de l'UICN de 2023 ;
  5. Accueille favorablement les efforts continus de l'État partie pour lutter contre les espèces exotiques envahissantes au sein du bien, notamment priorités du plan de gestion révisé 2017-2027 et budget spécifique ;
  6. Demande également à l'État partie de mettre en œuvre les recommandations de la mission de 2023, notamment de :
    1. Établir une liste claire des attributs qui véhiculent la valeur universelle exceptionnelle (VUE) afin d’éclairer le suivi, la protection et la gestion à long terme du bien,
    2. Trouver une solution stratégique à long terme pour l'approvisionnement en eau, notamment en évaluant rapidement les éléments suivants afin d’orienter les priorités de gestion :

(i) Clarifier les besoins en eau du bien,

(ii) Prendre en compte la qualité de l'eau provenant de différentes sources,

(iii) Assurer des lâchers d'eau de manière à ce qu'une quantité suffisante d'eau atteigne le bien,

(iv) Préciser les processus hydrologiques se rapportant au bien,

(v) Veiller à ce qu'aucune eau ne provienne des stations de traitement des eaux usées, à moins qu'il ne soit clairement prouvé que l'intégrité hydrologique du bien et sa VUE ne seront pas compromises.

  1. Veiller à ce que le statut actuel de la grue de Sibérie se retrouve fidèlement dans le suivi et la gestion du bien,
  2. Mettre en place un programme de suivi scientifique basé sur les attributs qui véhiculent la VUE afin d’orienter la gestion du bien, comme suit :

(i) Examiner les informations existantes de manière aussi complète et analytique que possible,

(ii) Concevoir un programme de suivi, analyse et rapports scientifiquement fondé,

(iii) Il conviendrait d'envisager un programme de suivi écologique plus large qui permettrait de contrôler la santé de l'écosystème, en particulier de la zone humide,

  1. Établir une stratégie de gestion adaptative à long terme pour les espèces envahissantes,
  2. Réviser le plan de gestion 2017-2027 en se concentrant explicitement sur la gestion de la VUE du bien,
  3. Veiller à ce que plan de gestion et prise de décision soient spécifiquement axés sur la VUE du bien, notamment que les activités planifiées contribuent de manière explicite et transparente à sa protection et à sa gestion. À court terme, réévaluer la pertinence de la mise en place prévue d'un programme de gestion ex situ pour quatre espèces de mammifères et la meilleure utilisation des ressources compte tenu d'autres priorités de gestion urgentes en ce qui concerne la VUE ;
  • Prend note du fait que l'élaboration d'un plan directeur zonal pour la zone naturelle sensible autour du bien est toujours en cours, et encourage à nouveau l'État partie à envisager d'officialiser la zone naturelle sensible comme zone tampon du patrimoine mondial en soumettant une proposition de modification mineure des limites, conformément au paragraphe 164 des Orientations ;
  • Prend également note du fait que la question de la mise en décharge de carcasses de bovins à proximité du bien a été résolue ;
  • Demande enfin à l'État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er décembre 2024, un rapport actualisé sur l'état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points susmentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 47e session.
Année du rapport : 2023
Inde
Date d'inscription : 1985
Catégorie : Naturel
Critères : (x)
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2022) .pdf
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* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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