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Sanctuaire de baleines d'El Vizcaino

Mexique
Facteurs affectant le bien en 1999*
  • Infrastructures de transport maritime
  • Installations localisées
  • Autres menaces :

    Déclin des populations d'animaux marins

Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Production industrielle de sel
  • Construction d'une jetée d'un kilomètre de long
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 1999
Demandes approuvées : 0
Montant total approuvé : 0 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 1999**

août 1999: mission conjointe de suivi Centre du patrimoine mondial / UICN

Information présentée au Bureau du Comité du patrimoine mondial en 1999

Résumé des précédentes délibérations : A sa vingt-deuxième session extraordinaire (novembre 1998), le Bureau a rappelé qu'en 1996-1997, l'Etat partie a créé un Comité scientifique qui a fixé des conditions écologiques très strictes aux partisans d'un projet de production industrielle de sel et a réussi à écarter les menaces que la construction de cette installation aurait pu représenter pour l'intégrité du site. Le Bureau a été informé d'un renouveau d'intérêt pour le projet de construction d'une installation de production industrielle de sel qui menaçait de nouveau le site. Plusieurs organisations de conservation demandaient qu'El Vizcaino soit inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril. L'UICN a signalé que de nouveaux sites de peuplement s'installaient dans la région et que le surcroît de pollution et la surpêche décimaient les espèces menacées et endémiques. Certaines indications révélaient un déclin de la population de divers mammifères marins, crustacés et tortues de mer uniques dans la région. L'UICN a recommandé l'envoi d'une mission sur place en 1999 pour évaluer les menaces à l'intégrité du site et juger si El Vizcaino devait être ou non inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril.

Le Bureau a été informé qu'un rapport présenté par l’Etat partie le 26 novembre 1998 montrait que ce dernier ne considérait pas le site en péril. Un représentant de l’Agence mexicaine pour l’environnement (SEMARNAP) a informé le Bureau qu’il n’y avait aucune indication d'un déclin de la population des divers mammifères marins, crustacés ou tortues dans la région. Il a indiqué que les lagons d'El Vizcaino n'étaient pas en péril et que le Mexique possède une structure juridique forte qui réglemente toutes les activités sur le site. Le gouvernement continue à prendre des mesures pour renforcer la réglementation sur l'environnement afin de préserver les ressources marines du site et la réserve est incluse dans le programme du FEM concernant dix zones mexicaines prioritaires. Selon lui, la population de baleines grises se reconstitue et n'a pas été affectée par l'extraction de sel. Il a souligné que son gouvernement n'a pas autorisé de projet de construction ou d'extension de l'usine de production de sel. Le comité scientifique international créé par la SEMARNAP va passer en revue l'étude d'impact environnemental dès son achèvement. Le gouvernement mexicain ne va par conséquent autoriser aucun projet susceptible de mettre en danger la conservation du site et il n'y a pas de raison d'inscrire le site sur la Liste du patrimoine mondial en péril. Le Bureau a demandé au Centre de transmettre à l'UICN pour étude le nouveau rapport présenté par l’Etat partie le 26 novembre 1998. Le Bureau a été satisfait de noter que l'Etat partie, dès réception des commentaires de l'UICN sur le rapport, invitera une mission à se rendre sur site dès que possible. Le Bureau a demandé que la mission prépare un rapport actualisé sur l'état de conservation du site et le présente à la vingt-troisième session du Comité en 1999.

Nouvelles informations : L'UICN a étudié le rapport présenté par l’Etat partie le 26 novembre 1998 et a noté qu'il est plutôt général et ne fournit pas d'évaluation détaillée des impacts sur les valeurs naturelles de patrimoine mondial. La portée et l'ampleur des projets d'expansion de l'usine actuelle de production de sel ne sont pas clairement indiquées dans le rapport. Celui-ci ne mentionne pas le fait que L'Institut national mexicain d'écologie a refusé un projet similaire en 1994. Le rapport, alors qu'il insiste fortement sur la structure juridique et institutionnelle existante pour la gestion de cette aire, fournit peu d'informations sur l'application de la réglementation et les activités de gestion du site. L'UICN a fait remarquer qu'alors que la baleine grise a été transférée de l'Appendice I à l'Appendice II de la Convention CITES, la population de baleines grises du Pacifique vivant dans cette zone a été maintenue à l'Appendice I. Le rapport prétend que les utilisations des ressources sont conformes aux objectifs de gestion de la Réserve de biosphère d'El Vizcaino mais il est important que le site du patrimoine mondial soit géré de manière à conserver les valeurs qui ont permis son inscription sur la Liste du patrimoine mondial. Une coalition informelle de groupes de défense de l'environnement a porté plainte auprès du procureur fédéral mexicain en arguant du fait que la Exportadora de Sal SA (ESSA) a violé les lois sur l'environnement dans ses usines de traitement de sel de Guerrero Negro ; elle demande que le procureur inculpe l'ESSA. La tortue de mer, espèce protégée au niveau international depuis 1996, est l'élément central de ce procès. Un rapport rédigé par "Profeda" en juillet 1998 souligne que les décès des tortues de mer sont dus à des rejets toxiques de saumure provenant des usines de traitement de sel. L'UICN note que les informations du gouvernement, des ONG et d'autres experts sont contradictoires en ce qui concerne les problèmes écologiques de cette région. Le rapport gouvernemental du 26 novembre 1998 ne contient pas de données scientifiques et fondées sur le suivi pour étayer l'affirmation que les lagons ne sont pas en danger. Le rapport ne permet pas de trancher sur les questions soulevées par les ONG concernant les questions écologiques et de conservation sur ce site. Il est par conséquent urgent d'envoyer une mission qui consultera toutes les parties concernées, évaluera la situation en ce domaine et définira les plans et engagements relatifs à l'expansion de l'usine de production de sel. Le Centre a transmis à l’Etat partie pour commentaires les observations de l'UICN sur le rapport ainsi qu'un projet de cahier des charges concernant une mission. En attendant, le Centre a reçu plus de 20 000 lettres de protestations (en plus des 30 000 reçues durant la dernière session du Comité à Kyoto, Japon) adressées au Président du Comité et demandant l'inclusion du site sur la Liste du patrimoine mondial en péril. La poursuite des négociations entre le Centre, l’Etat partie et l'UICN a abouti à ce que la délégation permanente du Mexique auprès de l’UNESCO propose au Centre, par lettre du 7 mai 1999, un cahier des charges révisé et invite une mission UICN/Centre à se rendre sur place du 14 au 19 juin 1999. Ces propositions sont à l'étude.

Action requise

Le Bureau pourrait souhaiter étudier les nouvelles informations qui seront fournies lors de sa session et prendre les décisions appropriées à cet égard.

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 1999

Résumé des précédents débats :

Vingt-deuxième session du Comité – Annexe IV, p. 98.

Vingt-troisième session ordinaire du Bureau – paragraphe IV.35.

 

Nouvelles informations : Suite à la demande du Comité du patrimoine mondial et de son Bureau et à l’invitation des autorités mexicaines, une mission a été effectuée au Sanctuaire de baleines d’El Vizcaino du 23 au 28 août 1999. Le rapport complet et les recommandations de la mission figurent dans le document d’information WHC-99/CONF.208/INF.6.

Décisions adoptées par le Comité en 1999
23 BUR IV.B.35
Sanctuaire de baleines d'El Vizcaino (Mexique)

A sa vingt-deuxième session extraordinaire, le Bureau a rappelé qu'en 1996-1997, l'État partie a créé un Comité scientifique qui a fixé des conditions écologiques très strictes aux partisans d'un projet de production industrielle de sel et a réussi à écarter les menaces que la construction de cette installation aurait pu représenter pour l'intégrité du site. Le Bureau a été informé d'un renouveau d'intérêt pour le projet de construction d'une installation de production industrielle de sel qui menaçait de nouveau le site. Plusieurs organisations de conservation demandaient qu'El Vizcaino soit inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril. L'UICN a signalé que de nouveaux sites de peuplement s'installaient dans la région et que le surcroît de pollution et la surpêche décimaient les espèces menacées et endémiques. Certaines indications révélaient un déclin de la population de divers mammifères marins, crustacés et tortues de mer uniques dans la région. L'UICN a recommandé l'envoi d'une mission sur place en 1999 pour évaluer les menaces à l'intégrité du site et juger si El Vizcaino devait être ou non inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril.

Le Bureau a été informé qu'un rapport présenté par l’État partie le 26 novembre 1998 montrait que ce dernier ne considérait pas le site en péril. Un représentant de l’Agence mexicaine pour l’environnement (SEMARNAP) a informé le Bureau qu’il n’y avait aucune indication d'un déclin de la population des divers mammifères marins, crustacés ou tortues dans la région. Il a indiqué que les lagons d'El Vizcaino n'étaient pas en péril et que le Mexique possède une structure juridique forte qui réglemente toutes les activités sur le site. Le gouvernement continue à prendre des mesures pour renforcer la réglementation sur l'environnement afin de préserver les ressources marines du site et la réserve est incluse dans le programme du FEM concernant dix zones mexicaines prioritaires. Selon lui, la population de baleines grises se reconstitue et n'a pas été affectée par l'extraction de sel. Il a souligné que son gouvernement n'a pas autorisé de projet de construction ou d'extension de l'usine de production de sel. Le comité scientifique international créé par la SEMARNAP, et qui en 1997-1998 avait écarté les menaces de construction d’une installation de production de sel, va passer en revue l'étude d'impact environnemental dès son achèvement. Le gouvernement mexicain ne va par conséquent autoriser aucun projet susceptible de mettre en danger la conservation du site et il n'y a pas de raison d'inscrire le site sur la Liste du patrimoine mondial en péril. Le Bureau a demandé au Centre de transmettre à l'UICN pour étude le nouveau rapport présenté par l’État partie le 26 novembre 1998. Le Bureau a été satisfait de noter que l'Etat partie, dès réception des commentaires de l'UICN sur le rapport, invitera une mission à se rendre sur site dès que possible. Le Bureau a demandé que la mission prépare un rapport actualisé sur l'état de conservation du site et le présente à la vingt-troisième session du Comité en 1999.

Le Bureau a été informé que le Centre avait transmis le cahier des charges aux autorités mexicaines et que la Délégation permanente du Mexique auprès de l’UNESCO a proposé, par sa lettre du 7 mai 1999, un nouveau cahier des charges révisé ainsi qu'une invitation pour la mission.

L'UICN a noté que la mission de suivi se rendra sur le site à la fin de 1999 et que le cahier des charges de cette mission avait été discuté et approuvé. L'UICN a considéré que cela était essentiel car les informations concernant les problèmes qui se posent dans cette région sont contradictoires. L'UICN a noté que la mission devrait traiter de manière appropriée les points suivants : (a) la portée et l'étendue des projets associés à la production de sel et les impacts potentiels sur les valeurs de patrimoine mondial du site ; (b) la situation de la population de baleines grises du Pacifique (CITES, Appendice I) ; et (c) les impacts d'autres activités, y compris les nouveaux villages, la pollution et la surpêche dans le périmètre du site. Il faut attendre les résultats de la mission pour tirer des conclusions.

L'observateur du Mexique a renouvelé l'invitation des autorités mexicaines concernant une mission sur site et rappelé que le mandat de la mission devait être celui qui avait été approuvé par le Bureau à Kyoto. Le texte complet de sa déclaration figure en Annexe IV.

Le Bureau a remercié le gouvernement mexicain d'avoir invité le Centre à se rendre au Sanctuaire de baleines d'El Vizcaino en coopération avec l'UICN. Le Bureau a renouvelé sa demande formulée à sa vingt-deuxième session extraordinaire – que la mission prépare un rapport actualisé sur le Sanctuaire de baleines d'El Vizcaino et le présente à la vingt-troisième session du Comité en 1999.

23 COM X.B.25
SOC : Sanctuaire de baleines d'El Vizcaino (Mexique)

X.25 Sanctuaire de baleines d'El Vizcaino (Mexique)

Le Comité a rappelé les rapports de la vingt-troisième session ordinaire et de la vingt-troisième session extraordinaire du Bureau sur l'état de conservation de ce bien.

Le Comité a noté que, suite à sa demande et à l'invitation des autorités mexicaines, une mission a été effectuée au Sanctuaire de baleines d'El Vizcaino du 23 au 28 août 1999. Le rapport complet et les recommandations de la mission figurent dans le document d'information WHC-99/CONF.209/INF.20.

Le Secrétariat a rendu compte du rapport et des principaux résultats de la mission. Les questions ont été jugées extrêmement complexes et ne pouvaient certainement pas se réduire à la préoccupation pour une seule espèce ou un fait isolé. En effet, l'équipe a examiné point par point un ensemble de questions sur la structure de la gestion, l'intégrité du site, l'état de la population de baleines, la production saline, l'utilisation durable et le tourisme. L'aire de patrimoine mondial, composée de deux lagons Ojo de Liebre et San Ignacio, conserve sa qualité et son importance en tant qu'habitat largement naturel et répond aux critères et aux conditions d'intégrité qui lui ont valu son inscription en 1993. Le Comité a été informé que la mission avait invité le gouvernement mexicain à tenir entièrement compte des valeurs de patrimoine mondial du site lors de l'évaluation du projet, c'est-à-dire non seulement de la situation de la population de baleines grises et des autres espèces animales, mais aussi de l'intégrité du paysage et de l'écosystème.

L'UICN a fait remarquer qu'elle avait participé à la mission de l'UNESCO et que le rapport technique était crédible et complet. L'UICN soutient les efforts du gouvernement mexicain pour assurer la protection du site, notamment au niveau du développement des capacités et de la participation de la population locale et a mis l'accent sur quelques recommandations spécifiques du rapport. L'UICN a indiqué que les activités existantes de production de sel au lagon d'Ojo de Liebre ne devaient pas avoir d'impact sur la population de baleines grises. L'UICN a insisté sur le fait que si une quelconque modification de la situation actuelle du site se produisait, elle réévaluerait sa position.

Le Délégué du Canada a approuvé les conclusions de la mission et a félicité le gouvernement mexicain de son effort de protection. Il a fait part de ses préoccupations quant à un dommage potentiel que pourrait causer à ce site un nouveau développement industriel important et il a engagé l'État partie à prendre pleinement en compte les valeurs du patrimoine mondial, en particulier toutes les mesures prises pour protéger ce site du patrimoine mondial.

La Déléguée de la Belgique a fait remarquer que le public était intéressé et devrait en conséquence être informé du développement de cette question.

Le Président a noté l'aspect prospectif de la décision et fait part de sa confiance en l'État partie pour protéger totalement le site. Il a indiqué qu'il ne se posait pas de problèmes actuellement, comme l'indique le rapport. Il a informé le Comité qu'il avait luimême rencontré les représentants des ONG pour écouter leur point de vue. Le Président a assuré que le Comité coopérerait totalement avec l'État partie et qu'en cas de modifications de l'état de conservation du site, il contacterait les autorités compétentes.

Le Délégué du Mexique a remercié le Président de sa déclaration. Il a exprimé sa gratitude au Comité du patrimoine mondial et souligné l'engagement de toutes les parties concernées. Il a cité le rapport pour illustrer ses propos : « L'équipe de la mission a été impressionnée par l'état actuel de l'ensemble du site et elle a apprécié les efforts permanents de la population locale, du personnel de la Réserve de biosphère, de la compagnie Exportadora de Sal (ESSA) et des organismes de contrôle du gouvernement pour maintenir et renforcer l'intégrité du site. L'équipe de la mission a été notamment rassurée sur l'état de conservation des baleines grises et a souhaité souligner l'importance de l'engagement prouvé du Mexique en faveur du suivi des populations de baleines, de la recherche scientifique et de la protection de l'habitat de cette espèce clé du site du patrimoine mondial. » Le gouvernement mexicain a approuvé les recommandations formulées et informé le Comité que des mesures avaient déjà été prises, en particulier en ce qui concerne la vérification de plein gré des comptes et la diversification du tourisme. Enfin, il a insisté sur le fait que le gouvernement mexicain réaffirme sa volonté politique de maintenir et de renforcer sa collaboration avec le Comité du patrimoine mondial afin de préserver les valeurs exceptionnelles d'El Vizcaino.

Suite à la discussion, le Comité a pris la décision suivante :

« Le Comité a pris note du rapport de la mission et des recommandations tels qu'ils figurent dans le document WHC- 99/CONF.209/INF.20. Le Comité a noté que le site du patrimoine mondial, en l'état actuel des choses, n'est pas en danger et que les données scientifiques indiquent que la population de baleines n'est pas menacée et continue d'augmenter. Toutefois, s'il y avait des changements notoires dans la situation actuelle, documentés par des témoignages circonstanciés, la conclusion sur le statut du site dans le cadre de la Convention du patrimoine mondial devrait être promptement réévaluée en collaboration et en coordination avec l'Etat partie, et cette nouvelle information devrait être soumise à toutes les parties concernées et au Comité du patrimoine mondial pour considération. »

Le Président a remercié l'État partie de sa collaboration et le Comité pour ses débats.

Le Bureau pourrait souhaiter transmettre le rapport précité au Comité pour examen et recommander l’adoption du texte suivant :

« Le Bureau prend note du rapport de la mission et des recommandations tels qu’ils figurent dans le document WHC-99/CONF.208/INF.6. Le Bureau pourrait souhaiter transmettre ces recommandations au Comité du patrimoine mondial pour étude. Le Bureau pourrait souhaiter noter que si l’on assistait à un changement significatif de la situation actuelle, étayé sur des preuves adéquates, il faudrait revoir rapidement la conclusion concernant la situation du site aux termes de la Convention du patrimoine mondial en collaboration et en coordination avec l’Etat partie et il faudrait confier son étude appropriée à toutes les parties concernées et au Comité du patrimoine mondial. » 

Année du rapport : 1999
Mexique
Date d'inscription : 1993
Catégorie : Naturel
Critères : (x)
Exports

* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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