L’UICN a constaté une évolution favorable de la situation sur le site, mais s’est déclarée préoccupée pour les raisons suivantes : (a) quelles mesures étaient prises pour s’assurer que les déchets toxiques qui vont maintenant se déverser dans l’ancien puits de mine ne s’infiltrent pas dans l’aquifère environnant ; (b) la nécessite de coordonner les mesures entre les différents acteurs, y compris les autorités nationales et régionales. Cette coordination est indispensable pour traiter les questions de terrain à l’échelon régional et leur impact sur le site.
Le Bureau a noté les efforts permanents de l’État partie pour nettoyer le secteur, qui indiquent une régénération progressive du bassin du Guadiamar. Le Bureau a instamment demandé à l’État partie d’accélérer la mise en œuvre du projet de restauration Doñana 2005, d’organiser la réunion d’étude, comme il a été demandé à la dernière session du Comité du patrimoine mondial, et d’informer le Centre, avant le 15 septembre 2000, de dates indicatives et d’un programme pour la réunion d’étude.