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81 Décisions
0 Résolutions
Année (début) : 1999close
Année (fin) : 1999close
Session : 23BUR 1999close
Par année
Le Bureau a noté que les rapports sur l’état de conservation de trois des quinze sites du patrimoine naturel inscrits sur la Liste du patrimoine mondial en péril, soit la Réserve naturelle de Srébarna (Bulgarie), le Parc national des Everglades et le Parc national de Yellowstone (États-Unis d’Amérique) sont attendus d’ici le 15 septembre 1999 et seront présentés à la vingt-troisième session ordinaire du Comité qui doit se réunir du 29 novembre au 4 décembre à Marrakech, Maroc. Le Bureau a étudié les rapports sur l’état de conservation des douze biens suivants du ...
Le Bureau a rappelé que le braconnage incontrôlé commis par des groupes armés avait entraîné la mort de quatre membres du personnel du Parc en 1997, décimé plus de 80% des populations de faune sauvage du Parc et arrêté le tourisme. Le Comité, à sa vingt et unième session (Naples, 1997), avait pris acte avec satisfaction de l’intention de l’État partie de confier la responsabilité de la gestion du site à une Fondation privée et il avait demandé au Centre et à l'UICN de prendre contact avec le gouvernement et la Fondation pour préparer un rapport détaillé sur l'état ...
Le Comité et le Bureau se sont déclarés sérieusement préoccupés de l’état de conservation de ces quatre sites lors de leurs sessions annuelles car l’Est du pays est de plus en plus déchiré par la guerre depuis 1994. Les espoirs de paix au second semestre 1998 ont été de courte durée et de nouveaux combats ont éclaté dans tout l’est de la RDC. Le Bureau a rappelé que le Comité, à sa dernière session (Kyoto, 1998) avait demandé au Centre et à l’UICN de consulter l'ICCN (Institut Congolais pour la Conservation de la Nature) et des ONG internationales de conservation ...
Le Bureau a rappelé que le Comité, à sa dernière session (Kyoto, 1998), a été informé que la construction de la route Guamote-Macas constitue le problème principal de ce Parc et que l’on n’a pas réalisé d'évaluation d'impact environnemental. Le chantier avance lentement mais cause de très graves dommages à l'environnement. Seul un court tronçon de la route est situé à l'intérieur du site du patrimoine mondial ; le reste de son tracé constitue la limite sud du Parc. Le Comité a noté qu’au cours du second semestre 1998, les contraintes économiques avaient abouti à ...
Le Bureau a rappelé que les autorités régionales de Bahir Dar, où est situé ce site, ont fait part de leur désaccord quant à la décision du Comité d'inclure le Simen sur la Liste du patrimoine mondial en péril en 1996. Depuis, le Département éthiopien de la faune sauvage et des parcs nationaux d’Ethiopie, le Bureau de l'UNESCO à Addis-Abeba et le Centre ont continué à informer les autorités de Bahir Dar sur la signification et les conséquences de la décision du Comité d'inclure le Simen sur la Liste du patrimoine mondial en péril. A sa dernière session (Kyoto, 1998), le ...
Le Bureau a rappelé que le Comité, à sa dernière session (Kyoto, 1998) a observé qu’en dépit d’un effort de deux à trois ans, la création d’une fondation ou d'un fonds-en-dépôt pour la conservation du Mont Nimba semblait de moins en moins envisageable dans un proche avenir. Le Comité a noté que le Secrétaire exécutif permanent du Comité national du MAB pour la Guinée avait informé le Centre que la Compagnie minière du Mont Nimba (NIMCO) avait été dissoute par le gouvernement et qu'aucune autre entreprise n’avait été créée pour la remplacer. Convenant avec ...
Le Comité, à sa dernière session (Kyoto, 1998), a rappelé que l'État partie met actuellement en œuvre un plan d'action correctif en onze points depuis 1996. Un plan de gestion du site est en cours d'élaboration dans le cadre d'un projet financé par GTZ-KFW (Allemagne) et avec l’appui d’une contribution de 30.000 EU dollars du Fonds du patrimoine mondial. Le Comité a été informé d'un projet de construction hydroélectrique (Patuca II) à réaliser à proximité de la Réserve qui pourrait entraîner l’ouverture de nouvelles routes d'accès à la Réserve, une réduction du ...
Le Bureau a rappelé que le Comité, à sa dernière session (Kyoto, 1998), a appris que la mise en œuvre du plan de réhabilitation progressait de manière satisfaisante. Le Comité a également appris que la construction de bâtiments de postes de garde et de logements pour le personnel à entreprendre avec la seconde tranche de 90.000 dollars EU a été retardée en raison de mauvaises conditions climatiques dans la région en 1998. Le Comité a été informé que malgré l'amélioration des conditions de sécurité à Manas et aux alentours, le problème de l'insurrection est toujours bien présent et ...
Le Bureau a rappelé que le Comité avait recommandé (Naples, 1997) l'envoi d'une mission sur ce site pour évaluer son état de conservation afin de déterminer si l'on pouvait le retirer de la Liste du patrimoine mondial en péril. A sa dernière session (Kyoto, 1998), le Comité a noté les résultats de la mission Centre/Etat partie/UICN sur le site (septembre-octobre 1998) et ceux de précédentes missions de l'UICN-Niger indiquant une augmentation du nombre de la plupart des espèces sauvages. La flore semble en majeure partie intacte, excepté dans certaines vallées où elle a été utilisée ...
Le Bureau a rappelé qu'à sa dernière session (juin 1998), tout en étant préoccupé de l’efficience de la réhabilitation du site, il avait engagé l'État partie à prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer une mise en œuvre rapide et efficace du programme de réhabilitation de l'Ichkeul. Il avait également recommandé l'envoi d'une mission d'experts sur le site. Cette mission était destinée à étudier comme il convient la possibilité de mettre au point un programme de réhabilitation amélioré de l'Ichkeul afin de lui conserver son statut de site du patrimoine mondial et de laisser ...
Le Bureau, après étude de l’état de conservation du site et vu les informations complémentaires fournies par le Directeur du Centre du patrimoine mondial, l’ICOMOS et les membres du Bureau, s’est félicité du travail exemplaire réalisé par l’Autorité pour la protection du site et l’aménagement de la région d’Angkor (APSARA) et le Comité international de coordination pour la sauvegarde et le développement du site historique d’Angkor (ICC). Le Bureau a noté qu’une centaine de projets étaient en cours de mise en œuvre par plus d’une ...
Sites : Angkor
Le Bureau a pris note du progrès réalisé dans la préparation du plan quinquennal de conservation. Le Bureau étudiera les progrès réalisés dans deux ans afin de voir s’il peut recommander au Comité le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril. Le Bureau a recommandé que le Comité, à sa vingt-troisième session, approuve cette procédure. Par ailleurs, le Bureau a invité les autorités omanaises à augmenter leur contribution financière aux missions afin de permettre aux spécialistes de continuer à soutenir les autorités dans la mise en oeuvre du plan quinquennal.
Sites : Fort de Bahla
L’ICOMOS a présenté un rapport sur l’état des biens du patrimoine mondial culturel en Amérique centrale après le passage de l’ouragan Mitch en octobre/novembre 1998. Le rapport a été rédigé par un expert de l’ICOMOS à la suite d’une mission récente sur les sites. L’ICOMOS a fourni des informations sur cinq sites culturels : Joya de Ceren (El Salvador) : Les toits protecteurs se sont avérés inadaptés pour protéger les parties fouillées de ce site. Le fait que le sol volcanique ait été détrempé de manière prolongée a entraîné un ...
A sa vingt et unième session (Naples, 1997), le Comité a été informé par les autorités australiennes des conditions rigoureuses de respect de l’environnement mises en place pour contrôler les activités d’aménagement de la région d’Hinchinbrook et d’autres mesures mises en œuvre pour renforcer la conservation de La Grande Barrière. A sa vingt-deuxième session (Kyoto, 1998), le Comité a noté que les autorités australiennes avaient utilisé les résultats de l’étude financière de la Direction du Parc marin de la Grande Barrière (GBRMPA) pour améliorer encore ...
A sa vingt-deuxième session, le Bureau a été informé de la délivrance d’un permis de prospection pétrolière par le gouvernement d’Australie occidentale pour une zone située dans le périmètre du site du patrimoine mondial. L’observateur de l’Australie a assuré le Bureau qu’aucun aménagement ne serait autorisé s’il menaçait les valeurs du patrimoine mondial du site. L’UICN s'est toutefois déclarée préoccupée de l’octroi d’une autorisation de prospection par les gouvernements d'Etat pour des emplacements situés à l'intérieur de zones de patrimoine mondial et elle a appelé à resserrer les ...
Le Bureau a appris à sa vingt-deuxième session que le Ministre du Commonwealth pour l'Environnement avait jugé que la suppression de la végétation qui pourrait avoir été effectuée dans le périmètre de ce bien ne faisait pas courir de risque aux valeurs de patrimoine mondial du site. A sa vingt-deuxième session extraordinaire (Kyoto, 1998), le Bureau a été informé que les dispositions concernant la gestion de ce site étaient tout à fait opérationnelles et bénéficiaient de toute la confiance du gouvernement du Commonwealth d'Australie. Le plan de gestion, effectif depuis le 1er septembre ...
Le Comité, quand il a inscrit ce bien sur la Liste du patrimoine mondial (Naples, 1997), a demandé de la documentation sur les ressources marines entourant ce site. Les autorités australiennes ont informé la vingt-deuxième session extraordinaire du Bureau (Kyoto, 1998) que la Division australienne de l'Antarctique a accordé un financement du Commonwealth pour collationner et analyser les données existantes sur les milieux benthiques qui entourent ce bien, y compris les eaux territoriales. Conformément aux plans de l'Australie prévoyant de créer une aire protégée marine dans la région, le ...
Le Comité, lorsqu'il a inscrit Les Sundarbans du Bangladesh sur la Liste du patrimoine mondial (Naples, 1997), a incité les autorités du Bangladesh et de l'Inde à discuter des possibilités de création d'un site transfrontalier qui comprendrait le Parc national des Sundarbans, site du patrimoine mondial en Inde. Le ministère de l'Environnement et des Forêts du Bangladesh, avec l'appui de la Banque asiatique pour le développement, entreprend un projet de plusieurs millions de dollars intitulé "Projet de conservation de la biodiversité des Sundarbans". Le site du patrimoine mondial des ...
A sa vingt-deuxième session extraordinaire (Kyoto, 1998), le Bureau a félicité les autorités polonaises pour leur proposition d'extension de la Forêt Bialowieza et a renouvelé sa précédente demande selon laquelle les deux États parties doivent coopérer à l'élaboration d'un plan de gestion pour la partie située au Bélarus et envisager de retirer la clôture qui sépare les deux parties. L'UICN a informé le Bureau que l'évaluation qu'elle a réalisée de l'extension de la Forêt Bialowieza de Pologne serait présentée à la vingt-troisième session extraordinaire du Bureau. L'UICN présentera ...
Depuis 1997, le Bureau et le Comité ont demandé à plusieurs reprises la fermeture permanente de la route de 18 km traversant le Parc qui avait été illégalement rouverte par la population locale. A sa vingt-deuxième session, le Bureau a demandé l’envoi d’une mission Centre/UICN pour étudier la situation et fournir une assistance à l'État partie pour limiter les menaces sur le Parc. La vingt-deuxième session extraordinaire du Bureau (novembre 1998) a été informée d'une nouvelle menace à l'intégrité d'Iguaçu due à des plans prévoyant le remplissage d'un réservoir ...
A sa vingt et unième session, le Comité s'était déclaré très préoccupé des menaces potentielles à l'intégrité de ce site causées par le projet de la Mine Cheviot destiné à exploiter une grande mine de charbon à ciel ouvert située à 2,8 km de la partie du Parc national Jasper incluse dans ce bien. Le Bureau a noté que Parcs Canada a informé le Centre d’une audience de la Cour fédérale du Canada du 1er au 3 mars 1999 sur ce cas et de la décision prise par la Cour le 8 avril 1999. La Cour fédérale du Canada a annulé l’autorisation d’août 1998 donnée en vertu de ...
En novembre 1997, l'UICN a été informée que des conflits entre des groupes armés avaient interdit l'accès du personnel à une importante partie du Parc et que cela avait mis un terme au tourisme dans la région. La vingt-deuxième session du Bureau  a demandé à l'UICN d'étudier un rapport adressé au Centre par les autorités colombiennes et de soumettre ses conclusions à sa vingt-deuxième session extraordinaire. L'UICN a informé le Bureau en novembre 1998 qu'une très importante restructuration des services colombiens de conservation était en cours pour déléguer la responsabilité de la ...
Le Centre a informé le Bureau que le Parc national de la Salonga est le seul des cinq sites de la République démocratique du Congo qui n'ait pas été inclus sur la Liste du patrimoine mondial en péril et, qu'étant situé au centre du pays, il est donc moins affecté par les conflits armés en cours dans l'est du pays. Le Centre a toutefois proposé au Bureau d'inclure le Parc national de la Salonga, avec les quatre autres sites de la RDC sur la Liste du patrimoine mondial en péril. Ainsi, la Salonga profiterait de tous les efforts que va entreprendre l'équipe spéciale créée lors du séminaire ...
A sa vingt-deuxième session, le Bureau a été informé d'un projet de construction de téléphérique qui traverserait le Parc, proposé par un particulier concerné par le développement du tourisme. La faisabilité du projet n'était pas certaine étant donné les fortes pluies, les grands vents et le terrain escarpé caractéristiques de ce site. Le Bureau a noté que la construction d'importants équipements d'accès dans ces lieux n'était pas compatible avec le plan de gestion du Parc et il a convenu avec l'UICN que les autorités dominiquaises devaient se montrer très prudentes lors de l'étude de ...
A sa dernière session, le Comité a félicité le gouvernement équatorien d'avoir assuré l'adoption de la loi spéciale sur les Galapagos le 18 mars 1998 par le Service officiel de l'Enregistrement des Galapagos en tant que Loi n° 278 et a décidé de ne pas inclure les Galapagos sur la Liste du patrimoine mondial en péril. La loi prévoit l'extension de la limite extérieure de la réserve marine de 24 à 64 km des côtes et la création d'une importante réserve de 130 000 km² pour la conservation de la biodiversité marine où ne seront autorisés que le tourisme et la pêche ...
Ce site abrite la plus forte population de grands rhinocéros à une corne ; un recensement réalisé en 1993 a fait état de 1 164 animaux dans le Parc. Parmi les autres espèces importantes, on compte le cerf des marais, le tigre, l'éléphant et le buffle d'eau. Une pluviométrie record en 1998 a entraîné des crues exceptionnelles du Brahmapoutre et certaines parties du Parc se sont trouvées sous 6 mètres d'eau. Une zone de plus d'un kilomètre carré de la plaine a disparu et le Directeur du Parc a informé l'UICN que l'inondation avait causé la perte d'environ 652 animaux, dont ...
Depuis l'inscription du site sur la Liste en 1991, celui-ci a bénéficié d'une assistance financière du Fonds pour l'achat de bateaux et pour former le personnel à la gestion d'une aire protégée marine à Queensland, Australie. Un rapport de suivi sur le site a été fourni au Centre en 1995 par l'intermédiaire du Bureau de l’UNESCO à Jakarta. L'UICN a informé le Centre qu'elle avait reçu un rapport signalant un développement de la pêche illégale utilisant de la dynamite et du cyanure dans les eaux côtières, ce qui a eu un sérieux impact sur de grandes étendues de corail ...
A sa vingt-deuxième session extraordinaire, le Bureau a rappelé qu'en 1996-1997, l'État partie a créé un Comité scientifique qui a fixé des conditions écologiques très strictes aux partisans d'un projet de production industrielle de sel et a réussi à écarter les menaces que la construction de cette installation aurait pu représenter pour l'intégrité du site. Le Bureau a été informé d'un renouveau d'intérêt pour le projet de construction d'une installation de production industrielle de sel qui menaçait de nouveau le site. Plusieurs organisations de conservation demandaient qu'El ...
Le Bureau a rappelé qu'en 1997, les autorités omanaises ont présenté un plan de zonage provisoire qui prévoyait une nouvelle limite extérieure et des limites provisoires pour cinq zones de gestion. Elles ont également fourni de brèves descriptions de leurs plans de mise en œuvre de plusieurs projets, ainsi qu'un rapport sur la situation de la population d'oryx dans le Sanctuaire. A sa vingt-deuxième session (juin 1998), le Bureau s'est rallié à la position de l'UICN selon laquelle il vaudrait mieux réétudier le plan de zonage et les autres projets qui lui sont associés après la mise au ...
A sa vingt-deuxième session, le Bureau a été informé qu'un consortium minier canado-péruvien était sur le point d'obtenir l'accord d'exploitation de l'un des plus grands gisements de cuivre et de zinc du monde à Antamina, à 20 km à l’est de ce Parc. L'exploitation minière commencera en 2001 pour une durée de 20 ans. Le Bureau a noté que les concentrés provenant de cette mine pourraient être acheminés du site d'extraction à la côte par une route centrale qui traverse le Parc ou par une route au sud qui entoure le Parc. La société minière avait accepté d'emprunter la route ...
A sa vingt-deuxième session, le Bureau a été informé qu'il existait plusieurs lois sur la protection nationale du lac et que la Douma avait adopté la loi fédérale sur "La protection du Lac Baïkal" qui avait toutefois fait l’objet d’un veto du Président. La loi avait été présentée en troisième lecture à la Douma en prenant en compte les commentaires dus à l’intervention du Président. Les autorités russes n'étaient pas parvenues à une conclusion concernant la réinstallation de l’usine de pâte à papier de Baïkalsk, qui compte parmi les principaux ...
Sites : Lac Baïkal
A sa vingt-deuxième session (juin 1998), le Bureau a été informé qu'un énorme bassin de retenue de la mine d'Aznalcòllar, appartenant à l'entreprise canado-suédoise Boliden-Apirsa, a lâché, provoquant une catastrophe écologique. Bien que la majeure partie du flux toxique ait été détournée du Parc national, les zones attenantes ont été sérieusement polluées. Le Bureau a été informé que le déversement pourrait atteindre la zone de patrimoine mondial au fur et à mesure de la dispersion des agents polluants. L'État partie avait présenté un certain nombre de rapports techniques ...
A sa vingt-deuxième session extraordinaire, le Bureau a été informé d'incendies qui avaient affecté la Thaïlande ainsi que d'autres pays de la région. Le Bureau a appris que le Président avait approuvé l'octroi d'une somme de 20.000 dollars pour un projet de recherche, de formation et de sensibilisation des populations locales à la prévention et au contrôle des incendies de forêts dans le périmètre du site et aux alentours. Ce projet prévoit la mise en œuvre d'activités communes pour le personnel du site et des représentants des communautés locales afin de traiter de la ...
Le Bureau a rappelé les conditions d’insécurité qui règnent dans ce site et qui ont abouti à l’assassinat de huit touristes qui visitaient le site pour voir les gorilles de montagne, ainsi que de quatre membres du personnel du camp. Le Centre a informé le Bureau que la Forêt de Bwindi avait également été touchée suite aux conflits armés dans la région africaine des Grands Lacs, comme dans les sites de la République démocratique du Congo qui ont été inscrits sur le Liste du patrimoine mondial en péril. Bwindi a également besoin des efforts particuliers du Centre et de ...
Le Bureau, à sa vingt-troisième session ordinaire, a été informé par le Centre de la poursuite et de l’aggravation des activités des rebelles et de l’insécurité dans les régions de Kasese et de Bandibugyo, qui englobe les monts Rwenzori. Par lettre du 14 mai 1999, l’organisme ougandais chargé de la protection de la faune sauvage a informé le Centre que le Parc national des Monts Rwenzori n’est pas sûr depuis 1997, qu’il a donc été fermé et qu’aucune importante activité de conservation n’a été réalisée. L’impact négatif à long terme sur ...
Sites : Monts Rwenzori
Le Bureau, à sa vingt-deuxième session extraordinaire, a été informé que le Centre avait transmis à l'UICN pour étude le rapport préparé par Greenpeace International intitulé "Le site du patrimoine mondial de St. Kilda menacé par un projet de prospection et de production pétrolières à la frontière de l'Atlantique". Ce rapport avait fait sérieusement craindre des impacts potentiels sur le site, en particulier en cas de déversement possible de pétrole qui pourrait résulter de l'utilisation de production flottante, stockage et installations de dégagement (FPSO). Il existe d'importantes ...
A à sa vingt et unième session (Naples 1997), le Comité a exprimé sa préoccupation devant les menaces dues au projet d'édification d'une série de lignes électriques à travers ce Parc. A sa vingt-deuxième session (juin 1998), le Bureau a appris que le Président du Venezuela avait réaffirmé l'engagement de son gouvernement envers la protection du site et qu'il avait salué la possibilité d'une mission UNESCO sur site pour évaluer le projet et définir les limites du site. A sa dernière session (Kyoto, 1998), le Bureau a demandé au Centre et à l’UICN d’organiser une mission à ...
A sa vingt-deuxième session, le Bureau avait noté que l'étude du gouvernement vietnamien et de la JICA sur la gestion de l'environnement de la Baie d'Ha-Long avait débuté en février 1998 et devait être achevée en octobre 1999. Le Bureau a été informé de l'accord de prêt signé en mars 1998 par le gouvernement vietnamien et l'OECF, Japon, pour la construction du pont de Bai Chay qui doit relier la plage de Bai Chay à la ville d'Ha-Long en surplombant la baie de Bai Chay. L'accord prévoyait une étude de faisabilité ainsi qu'une étude d'impact environnemental du projet de construction du ...
Le Bureau a rappelé qu'à sa vingt-deuxième session extraordinaire, il a été informé de l'étude par l'UICN du "Rapport sur la portée des impacts potentiels associés au développement proposé de l'ensemble hôtelier de Mosi-oa-Tunya". Ce rapport a été commandé par Sun International, société qui voudrait développer cet ensemble hôtelier du côté zambien de ce site transfrontalier du patrimoine mondial. L'UICN avait souligné les principaux points préoccupants suivants : (a) l'emplacement du projet d'aménagement est situé dans le périmètre de l'aire de patrimoine mondial ...
Le Secrétariat a ouvert les débats en se référant au résumé des récentes délibérations du Comité et de son Bureau concernant le Parc national du Kakadu figurant dans le document WHC-99/CONF.204/5 qui présentait également des informations concernant la mise en œuvre des décisions de la vingt-deuxième session du Comité jusqu’à la date de rédaction définitive du document à la fin du mois de mai. Les décisions ultérieures du Comité du patrimoine mondial à sa vingt-deuxième session à Kyoto en décembre 1998 sont inclus dans leur totalité dans le même document de travail. Conformément au ...
A sa vingt-deuxième session (juin 1998), le Bureau a noté que l’Accord régional sur l’exploitation forestière en Tasmanie (RFA), signé par les gouvernements du Commonwealth et de Tasmanie le 8 novembre 1997, a permis : (i) l'établissement d’un système de réserve considérablement augmentée pour le domaine forestier de Tasmanie; (ii) la participation des signataires à une nouvelle évaluation des grands thèmes australiens liés au patrimoine mondial ; et (iii) l'instauration de discussions entre les signataires sur les possibilités de nouvelles propositions ...
A ses vingt-deuxièmes sessions ordinaire (juin 1998) et extraordinaire (novembre 1998), le Bureau a été informé de la situation provoquée par les éruptions du mont Ruapehu en 1995 et 1996. Le lac du cratère a été drainé et un important amoncellement de cendres en a empêché l'écoulement. Lorsque le lac du cratère va de nouveau se remplir, probablement dans les années à venir, il risque de se produire un effondrement rapide du barrage de cendres suivi d'une importante coulée de boue. Les gestionnaires du Parc sont confrontés à un dilemme : soit laisser la nature faire son œuvre et mettre en ...
Le Secrétariat a informé le Bureau que la délégation permanente du Pérou auprès de l'UNESCO avait invité une mission d’experts au Pérou pour observer in situ les applications du Plan directeur pour Machupicchu. Il a également indiqué que l’Institut national pour les ressources naturelles (INRENA) et l’Institut national pour la culture (INC) avaient fourni des informations sur la création d’une Unité de gestion pour le Sanctuaire qui était prévue dans le Plan de gestion de Machupicchu et dans le Plan national pour les aires protégées, et que sa première réunion ...
Le Bureau a pris note des informations fournies par la Commission nationale des musées, des monuments et des sites indiquant que : (1) une installation industrielle était prévue à 700 mètres de la place centrale de la mission, que les deux seraient séparées par une zone de protection de 170 hectares de végétation dense et que cela n'affecterait pas les valeurs de la mission ; et (2) le plan de l'installation industrielle a abouti à la mise au point d'un nouveau plan d'accès à la mission, mieux adapté. Le Bureau a demandé aux autorités de présenter avant le 15 septembre 1999, ...
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