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Îles Galápagos

Équateur
Facteurs affectant le bien en 2018*
  • Activités illégales
  • Cadre juridique
  • Espèces envahissantes/exotiques terrestres
  • Gouvernance
  • Identité, cohésion sociale, modifications de la population locale / des communautés
  • Impacts des activités touristiques / de loisirs des visiteurs
  • Pêche/collecte de ressources aquatiques
  • Vastes infrastructures et/ou installations touristiques / de loisirs
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Activités illégales
  • Cadre juridique (mise en œuvre inappropriée de la loi spéciale sur les Galápagos)
  • Gouvernance
  • Identité, cohésion sociale, modifications de la population locale / des communautés
  • Pêche/collecte de ressources aquatiques
  • Pêche illégale, non déclarée et non réglementée / ramassage de ressources aquatiques.
  • Vastes infrastructures et/ou installations touristiques / de loisir
  • Espèces envahissantes étrangères / biosécurité (mesures de quarantaine inappropriées et inefficaces) 
  • Identité, cohésion sociale, évolution de la population locale (fort taux d'immigration) 
  • Importantes infrastructures hôtelières et connexes
Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2018

Montant total accordé au bien : 3,5 millions de dollars EU pour la capitalisation d’un fonds en dépôt pour les espèces introduites, gestion des espèces introduites, études de gestion du tourisme et autre soutien technique.

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2018
Demandes approuvées : 25 (de 1979-2001)
Montant total approuvé : 567 850 dollars E.U.
2001 Emergency assistance request for Galapagos Islands ... (Approuvé)   50 000 dollars E.U.
1998 Ecological Monitoring in the Galapagos Archipelago - ... (Approuvé)   92 500 dollars E.U.
1998 Urgent development of ecological monitoring through a ... (Approuvé)   20 000 dollars E.U.
1996 Preparation of Interpretation Materials for the ... (Non approuvé)   0 dollars E.U.
1994 Fire figthing equipment for Galapagos (Approuvé)   50 000 dollars E.U.
1992 Revision of the management plan for Galapagos Islands (Approuvé)   29 000 dollars E.U.
1992 One fellowship for an officer from the Galapagos ... (Approuvé)   3 100 dollars E.U.
1992 Support to 3 resource persons and organization of a ... (Approuvé)   15 000 dollars E.U.
1992 Financial contribution to a training course organized ... (Approuvé)   20 000 dollars E.U.
1990 Training in Costa Rica of one specialist from the ... (Approuvé)   2 000 dollars E.U.
1990 Study to investigate the impacts of tourism on ... (Approuvé)   14 000 dollars E.U.
1989 Purchase of 2 motor-boats and spare parts, as well as ... (Approuvé)   59 500 dollars E.U.
1989 Financial contribution to the Charles Darwin Foundation ... (Approuvé)   20 000 dollars E.U.
1989 One study grant enabling the superintendent of ... (Approuvé)   4 000 dollars E.U.
1988 Purchase of 4 boats for strengthening the protection of ... (Approuvé)   54 000 dollars E.U.
1988 Consultancy services for reviewing and preparing a ... (Approuvé)   4 250 dollars E.U.
1987 1.5 month consultancy mission to follow-up the zoning ... (Approuvé)   2 500 dollars E.U.
1987 Contribution to consultancy mission for the development ... (Approuvé)   2 000 dollars E.U.
1987 Provision of 2 experts for 3.5 months to advise on the ... (Approuvé)   15 000 dollars E.U.
1986 Financial support to the environmental education and ... (Approuvé)   20 000 dollars E.U.
1985 Contribution to the training of an environmental ... (Approuvé)   2 500 dollars E.U.
1985 4-month training in management of protected areas ... (Approuvé)   6 000 dollars E.U.
1985 Contribution to purchase of equipment for Galapagos ... (Approuvé)   10 500 dollars E.U.
1982 Financial contribution to a national training course ... (Approuvé)   10 000 dollars E.U.
1979 Purchase of equipment to eliminate invasive species in ... (Approuvé)   50 000 dollars E.U.
1979 Training seminar in the Galapagos (Approuvé)   12 000 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2018**

Juin 1996 : mission de suivi réactif conjointe UNESCO/UICN (en présence du président du Comité du patrimoine mondial) ; février 2003 : mission de l’UNESCO ; juin 2003 : mission de l'UNESCO ; avril 2005 : visite informelle de l’UNESCO ; février/mars 2006 : mission de suivi réactif conjointe UNESCO/UICN ; avril 2007 : mission de suivi réactif conjointe Centre du patrimoine mondial/UICN (en présence du président du Comité du patrimoine mondial) ; avril 2009 : visite informelle de l’UNESCO ; avril-mai 2010 : mission de suivi réactif conjointe Centre du patrimoine mondial/UICN; août 2017 : mission de suivi réactif de l’UICN

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2018

Une mission de suivi réactif de l’UICN a visité le bien du 21 au 25 août 2017 et l’État partie a soumis un rapport sur l’état de conservation du bien le 1er décembre 2017. Les deux rapports sont disponibles à http://whc.unesco.org/fr/list/1/documents/. L’État partie a fourni les informations suivantes :

  • Plusieurs réglementations et instruments proposés ont été développés dans le cadre de la « Loi de régime spécial pour la conservation et le développement durable dans la Province des Galápagos » (LOREG 2015) qui comprend un chapitre introduisant des sanctions plus sévères en cas d’infraction à l’environnement, à la biosécurité et autres ;
  • La gestion des déchets solide a progressé grâce au renforcement des infrastructures de recyclage, de compostage et de décharge pour les déchets non recyclables. Les systèmes de gestion des eaux usées en sont à différents stades de mise en œuvre dans les îles ;
  • Un nouveau système de zonage a été proposé et approuvé par accord ministériel au milieu de l’année 2016 et sa mise en œuvre a commencé en 2017. Il intègre des zones protégées terrestres et marines dans les mêmes catégories d’utilisation. Les quatre zones définies sont des zones immatérielles, d’utilisation durable, de conservation et de transition, et 25 types d’utilisation ont été identifiés, avec des activités permises et des conditions requises. Près de 34% du bien relèvent de zones où les activités extractives sont interdites. Le sanctuaire marin de Darwin et Wolf, établi dans les îles du nord, est une zone de conservation supplémentaire ;
  • Un système de suivi et de surveillance des navires de pêche est en place dans la réserve marine des Galápagos. Malgré des efforts importants, les activités de pêche illégale dans le bien restent un problème et la pêche industrielle internationale illégale dans la région demeure fortement préoccupante, illustrée par l’arraisonnement d’un bateau chinois en août 2017 transportant plus de 600 tonnes de poissons, dont la plus grande partie étaient des espèces de requins inscrites sur la Liste rouge des espèces menacées de l’UICN. Les États parties notent que la pêche illégale a des répercussions sur toute la région, qui requièrent une action régionale coordonnée ;
  • Les Réglementations de gestion de l’hébergement touristique dans les Galápagos définissent les types d’hébergement et leurs exigences minimales de conformité environnementale. Un recensement des infrastructures touristiques a été entrepris en 2015 et 2016 et tous les hébergements précédemment non réglementaires ont été mis en conformité avec les nouvelles normes. On note à cette occasion un excédent de capacité d’hébergement. Entre septembre 2016 et septembre 2017, la fréquentation touristique a augmenté de 4,25%. En 2016 et 2017, des mesures ont été prises pour s’assurer que le tourisme conserve un niveau viable, notamment en conservant la limite du nombre des vols établie en 2012 et un moratoire sur le développement de nouveaux projets touristiques. L’État partie s’engage à promouvoir un modèle de croissance zéro du tourisme.
  • Du point de vue de la biosécurité, l’installation de manutention au port de Guayaquil n’est toujours pas construite. Néanmoins, le nombre d’employés de l’Agence de biosécurité des Galápagos (AGB) a augmenté et, en 2016, 100% des vols commerciaux et privés et des différents types de navires ont été inspectés. De nouveaux équipements ont été installés et la construction d’un nouveau laboratoire spécialisé est prévue.
Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2018

Les efforts importants actuellement fournis par l’État partie pour lutter contre les problèmes connus de longue date ainsi que pour renforcer la gouvernance et les dispositifs institutionnels relatifs à la gestion du bien méritent d’être salués.

La mission de 2017 a confirmé l’ensemble des importants progrès dans la lutte contre les nombreuses menaces qui pèsent sur le bien. Elle a noté cependant que certaines des demandes formulées en 2010 par le Comité, au moment du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril, sont restées sans réponses. Il est recommandé que le Comité demande à l’État partie de traiter toutes les questions en suspens, en particulier celles qui ont trait à la gestion du tourisme et à la biosécurité, comme évoqué plus en détail ci-après, et de mettre en œuvre les recommandations des missions de 2017, y compris celles qui sont liées à de nouveaux problèmes émergeants tels que la pêche illégale.

L’amélioration de l’infrastructure de la gestion des déchets solides et des eaux usées est bienvenue. Ces efforts devraient cependant garantir que toutes les îles disposent de systèmes de gestion des déchets adéquats. L’installation d’unités de traitement des eaux usées devrait être encouragée dans les plus grands équipements d’hébergements touristiques. Malgré les efforts de l’État partie tendant à réduire les déchets plastiques, le plastique déposé sur les rivages par les courants océaniques demeure un problème.

Le nouveau système de zonage et le nouveau sanctuaire marin de Darwin et Wolf dans le bien sont les bienvenus et il est recommandé que le Comité demande à l’État partie de fournir des ressources adéquates afin de permettre la mise en œuvre des restrictions qui s’appliquent à ces zones et assurent la préservation de la valeur universelle exceptionnelle du bien (VUE).

Il est noté avec inquiétude que la pêche illégale de bateaux étrangers dans et hors du bien continue de faire peser une grave menace sur la VUE du bien et requiert une attention immédiate. Il est recommandé que le Comité demande à l’État partie de poursuivre ses efforts de lutte contre la pêche illégale, y compris en renforçant la coopération avec les États parties de la Colombie, du Costa Ricaet du Panama par le biais de mécanismes internationaux tels que la coopération dans le Corridor marin du Pacifique oriental tropical et la concentration des efforts autour des quatre biens marins du patrimoine mondial naturel situés dans cette région. En outre, il est recommandé que le Comité demande à l’État partie de poursuivre la collaboration avec des États parties dont on a découvert que des navires de pêche pratiquaient une pêche illégale dans le bien ou pêchaient illégalement des espèces migratoires qui font partie de la VUE du bien.

Il est recommandé que le Comité note avec satisfaction les différents progrès dans les contrôles de la biosécurité et l’emplacement approuvé du port de Guayaquil. La mission de 2017 signale cependant que la construction du port n’a pas encore commencé en raison du manque de financement et que la mise en œuvre du projet du port de Baltra n’a pas beaucoup progressé. Il est par conséquent nécessaire d’insister sur la nécessité d’établir les deux ports afin de contrôler la biosécurité, comme cela a été demandé dans les décisions passées.

Les diverses mesures prises pour limiter la croissance incontrôlée du tourisme sont notées, toutefois l’augmentation actuelle du nombre de visiteurs et son impact sur les écosystèmes fragiles sont des facteurs qui requièrent l’attention. L’État partie a noté l’engagement à promouvoir un modèle de croissance zéro du tourisme qui devrait être développé et adopté en tant que priorité. Il est suggéré que ce modèle soit intégré dans un plan de gestion actualisé actuellement en cours de révision et que ses mesures soient maintenues à long terme en tant que réglementations permanentes, notamment en maintenant la limite du nombre de vols et le moratoire sur le développement de nouveaux projets touristiques.

Décisions adoptées par le Comité en 2018
42 COM 7B.85
Îles Galápagos (Équateur) (N 1bis)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/18/42.COM/7B,
  2. Rappelant la décision 40 COM 7B.74, adoptée à sa 40session (Istanbul/UNESCO, 2016),
  3. Félicite l’État partie pour les progrès réalisés dans la consolidation de la gouvernance et les dispositifs institutionnels relatifs à la gestion du bien et dans le traitement des problèmes connus de longue date menaçant le bien ;
  4. Note avec inquiétude que, malgré ces progrès, certaines des demandes formulées à la 34e session en 2010, lorsque le bien a été retiré de la Liste du patrimoine mondial en péril, demeurent sans réponse et prie instamment l’État partie de mettre en œuvre toutes les demandes en suspens, en particulier celles liées à la gestion du tourisme et à la biosécurité, et demande à l’État partie de mettre en œuvre pleinement les recommandations faites par la mission de suivi réactif de l’UICN de 2017 ;
  5. Prend note des diverses mesures mises en œuvre par l’État partie pour décourager une croissance rapide et incontrôlée du tourisme dans le bien, et de son engagement pour un modèle de croissance zéro du tourisme, et réitère sa demande à l’État partie de développer et mettre en œuvre une stratégie de tourisme clairement définie qui garantisse que des mesures adéquates soient maintenues à long terme en tant que réglementations permanentes, notamment le moratoire sur la construction de nouveaux projets touristiques et les limites sur le nombre de vols ;
  6. Accueille favorablement l’établissement d’un nouveau système de zonage dans le bien, y compris un nouveau sanctuaire marin et la désignation d’autres zones marines interdites à la pêche et demande à l’État partie de fournir des ressources adéquates pour permettre l’application des restrictions s’appliquant à ces zones et assurer la préservation de la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien ;
  7. Note aussi avec inquiétude que la pêche illégale de bateaux étrangers dans et hors du bien continue de faire peser une menace sur sa VUE et demande également à l’État partie de poursuivre ses efforts pour faire face à cette menace y compris en :
    1. s’appuyant sur la collaboration en cours entre les États parties de la Colombie, du Costa Rica, de l’Équateur et du Panama pour lutter contre la pêche illégale internationale dans le cadre de la coopération du Corridor marin du Pacifique oriental tropical et d’autre mécanismes régionaux appropriés, en se concentrant sur les quatre biens marins du patrimoine mondial naturel de la région,
    2. renforçant la collaboration avec d’autres États parties, dont les bateaux de pêche pratiquent la pêche illégale dans le bien ou la pêche illégale d’espèces migratoires qui font partie de la VUE du bien ;
  8. Demande en outre à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er décembre 2019, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 44e session en 2020.
Projet de décision : 42 COM 7B.85

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/18/42.COM/7B,
  2. Rappelant la décision 40 COM 7B.74, adoptée à sa 40esession (Istanbul/UNESCO, 2016),
  3. Félicite l’État partie pour les progrès réalisés dans la consolidation de la gouvernance et les dispositifs institutionnels relatifs à la gestion du bien et dans le traitement des problèmes connus de longue date menaçant le bien ;
  4. Note avec inquiétude que, malgré ces progrès, certaines des demandes formulées à la 34e session en 2010, lorsque le bien a été retiré de la Liste du patrimoine mondial en péril, demeurent sans réponse et prie instamment l’État partie de mettre en œuvre toutes les demandes en suspens, en particulier celles liées à la gestion du tourisme et à la biosécurité, et demande à l’État partie de mettre en œuvre pleinement les recommandations faites par la mission de suivi réactif de l’UICN de 2017 ;
  5. Prend note des diverses mesures mises en œuvre par l’État partie pour décourager une croissance rapide et incontrôlée du tourisme dans le bien, et de son engagement pour un modèle de croissance zéro du tourisme, et réitère sa demande à l’État partie de développer et mettre en œuvre une stratégie de tourisme clairement définie qui garantisse que des mesures adéquates soient maintenues à long terme en tant que réglementations permanentes, notamment le moratoire sur la construction de nouveaux projets touristiques et les limites sur le nombre de vols ;
  6. Accueille favorablement l’établissement d’un nouveau système de zonage dans le bien, y compris un nouveau sanctuaire marin et la désignation d’autres zones marines interdites à la pêche et demande à l’État partie de fournir des ressources adéquates pour permettre l’application des restrictions s’appliquant à ces zones et assurer la préservation de la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien ;
  7. Note aussi avec inquiétude que la pêche illégale de bateaux étrangers dans et hors du bien continue de faire peser une menace sur sa VUE et demande également à l’État partie de poursuivre ses efforts pour faire face à cette menace y compris en :
    1. s’appuyant sur la collaboration en cours entre les États parties de la Colombie, du Costa Rica, de l’Équateur et du Panama pour lutter contre la pêche illégale internationale dans le cadre de la coopération du Corridor marin du Pacifique oriental tropical et d’autre mécanismes régionaux appropriés, en se concentrant sur les quatre biens marins du patrimoine mondial naturel de la région,
    2. renforçant la collaboration avec d’autres États parties, dont les bateaux de pêche pratiquent la pêche illégale dans le bien ou la pêche illégale d’espèces migratoires qui font partie de la VUE du bien ;
  8. Demande en outre à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1erdécembre 2019, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 44e session en 2020.
Année du rapport : 2018
Équateur
Date d'inscription : 1978
Catégorie : Naturel
Critères : (vii)(viii)(ix)(x)
Liste en péril (dates) : 2007-2010
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2017) .pdf
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* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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