Faites une recherche à travers les informations du Centre du patrimoine mondial.

i
ii
iii
iv
v
vi
vii
viii
ix
x

Parc national de la Comoé

Côte d'Ivoire
Facteurs affectant le bien en 2015*
  • Activités illégales
  • Incendies (d’origine naturelle)
  • Modification du régime des sols
  • Système de gestion/plan de gestion
  • Troubles civils
  • Élevage de bétail / pacage d’animaux domestiques
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Conflits et instabilité politique
  • Insuffisance du contrôle de la gestion et des accès au bien
  • Braconnage
  • Empiètement : occupation humaine et pression exercée par l’activité agricole
  • Feux de brousse
Menaces pour lesquelles le bien a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril
  • Crise politico-militaire qu’a connue la Côte d'Ivoire de 2002 à 2010
  • Braconnage des animaux sauvages et incendies provoqués par les braconniers
  • Surpâturage par les grands troupeaux de bétail
  • Absence de mécanisme de gestion efficace
Etat de conservation souhaité pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril
Mesures correctives pour le bien
Calendrier pour la mise en œuvre des mesures correctives
Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2015

Montant total accordé: 50.000 dollars EU dans le cadre du programme de l’UNESCO « L’homme et la biosphère » et par le Fonds de réponse rapide

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2015
Demandes approuvées : 3 (de 1988-1999)
Montant total approuvé : 97 000 dollars E.U.
1999 Strengthening the Protection of the Comoe National Park (Approuvé)   50 000 dollars E.U.
1993 Purchase of an all-terrain vehicle for Comoe National ... (Approuvé)   30 000 dollars E.U.
1988 Purchase of a vehicle for Comoe National Park (Approuvé)   17 000 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2015**

Janvier 2013 : mission de suivi réactif UICN ; Juin 2006 : mission de suivi conjointe Centre du patrimoine mondial/UICN 

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2015

Le 27 janvier 2015, l’État partie a soumis un rapport sur l’état de conservation du bien, disponible en ligne à https://whc.unesco.org/fr/list/227/documents/. Ce rapport donne les informations suivantes :

  • Le recensement aérien du bien a eu lieu en avril 2014, permettant la comparaison avec le recensement entrepris en 2010. La comparaison montre une croissance démographique globale du nombre de bovidés, même si l’on observe un déclin chez le buffle. Un recensement des chimpanzés était en cours en janvier 2015 ; un recensement des éléphants est nécessaire mais n’est pas prévu ;
  • Le ministère de l’Industrie et des Mines confirme l’absence d’exploration ou d’exploitation minière au sein du bien, et qu’aucune Évaluation d’impact environnemental (EIE) n’a été menée concernant des projets miniers au nord du bien. Néanmoins, l’exploitation minière illégale de l’or a beaucoup augmenté depuis la fin 2014, et des mesures sont en train d’être prises pour répondre à cette menace grave pour le bien ;
  • Un plan de gestion actualisé 2015-2024, qui prend en compte le plan de réhabilitation, a été approuvé en décembre 2014. La mise en œuvre du plan de réhabilitation dans son ensemble commencera en 2015. Entre-temps, la réhabilitation des infrastructures continue, dont celle des bornes frontière ;
  • Un financement important est fourni par l’État partie et ses partenaires pour la gestion durable du bien, y compris une conversion de créance avec l’Allemagne d’un montant de 10 millions d’euros depuis octobre 2014 ;
  • Le directeur du parc et la brigade mobile ont été déplacés à Bouna, se rapprochant ainsi du bien, ce qui a permis le renforcement et l’intensification des activités de surveillance. Cela a conduit à une réduction importante des pressions anthropiques comme le braconnage, l’empiètement et le pâturage illégal ;
  • 23 Associations villageoises pour la conservation et le développement (AVCD) ont été établies dans les villages qui entourent le bien. En 2014, la participation des communautés locales aux patrouilles représentait 20 % de l’effort total. La mobilisation de ces communautés s’est aussi traduite par des projets alternatifs de subsistance et des activités de sensibilisation ;

Les avancées permettant d’atteindre l’État souhaité de conservation en vue d’un retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR) sont également présentées dans ce rapport.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2015

La confirmation qu’aucun permis d’exploitation minière n’a été accordé au sein du bien est accueillie favorablement. Néanmoins, on doit rappeler que la mission de 2013 avait mis en évidence deux permis d’exploration minière concernant des terrains immédiatement situés au nord du bien. Les impacts potentiels de ces permis sur la Valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien devraient être évalués, conformément à la Note consultative de l’UICN sur le patrimoine mondial : l’évaluation environnementale.

Il est noté avec préoccupation que le nombre de mines d’or illégales a beaucoup augmenté depuis la fin 2014. Étant donné que les effets des mines d’or illégales n’affectent pas seulement le bien, mais la plupart des aires protégées en Côte d’Ivoire, un soutien politique de niveau national est crucial, en particulier par la dotation de ressources appropriées pour répondre à cette menace, ainsi qu’une application réglementaire forte pour empêcher les transgressions.

L’État partie a effectué des avancées importantes en répondant aux pressions anthropiques sur le bien. La réduction de l’empiètement agricole et des pâturages illégaux entre 2010 et 2014 (environ 71 % et 98 % respectivement) est particulièrement louable, tout comme l’est la participation accrue des communautés locales aux patrouilles. Le braconnage a également diminué, mais demeure une menace importante en particulier au regard de la forte augmentation du nombre de mines d’or illégales, y compris dans des zones de grande biodiversité situées au sein du bien.

L’actualisation du plan de gestion, qui comprend le plan de réhabilitation, est accueillie favorablement. Le plan de réhabilitation devrait être prioritairement mis en œuvre afin de permettre la mise en place efficace d’autres activités de gestion, dont des patrouilles. Des ressources humaines et financières adaptées devraient être fournies pour garantir la mise en œuvre efficace de ces deux plans.

Les résultats du recensement aérien permettront de mieux définir les indicateurs du DSOCR qui concernent la conservation des bovidés. Néanmoins, afin de définir les indicateurs biologiques du DSOCR de manière globale, les données devraient aussi concerner la démographie des chimpanzés et des éléphants. Même si le recensement des chimpanzés, qui devrait être terminé d’ici la fin avril 2015, rassemble également des résultats préliminaires sur les éléphants, un recensement propre à ces derniers est toujours nécessaire afin d’établir des résultats mieux étayés. Il est noté qu’une étude a été menée en juin 2014 pour définir une méthodologie de suivi biologique du bien, méthodologie qui devrait être finalisée et mise en œuvre afin de garantir un suivi régulier du rétablissement de la faune sauvage au sein du bien, afin de faciliter la revue des avancées en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril.

Il est recommandé que le Comité maintienne le bien sur la Liste du patrimoine mondial en péril.

Décisions adoptées par le Comité en 2015
39 COM 7A.2
Parc national de la Comoé (Côte d'Ivoire) (N 227)
Le Comité du patrimoine mondial,
  1. Ayant examiné le document WHC-15/39.COM/7A,
  2. Rappelant la décision 38 COM 7A.35, adoptée à sa 38e session (Doha, 2014),
  3. Accueille favorablement les progrès continus effectués par l’État partie pour répondre aux menaces anthropiques qui pèsent sur le bien, et félicite en particulier l’État partie pour la réduction importante du nombre d’incidents signalés en matière d’empiètement agricole et de pâturage illégal, ainsi que pour la participation accrue des communautés locales aux patrouilles ;
  4. Accueille également favorablement la confirmation par l’État partie qu’aucun permis d’exploitation minière n’a été accordé au sein des limites du bien , et réitère sa demande à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial une Évaluation d’impact environnemental (EIE) pour les deux permis d’exploration qui concernent des terrains immédiatement situés au nord du bien, qui devrait inclure une évaluation de leur impact potentiel sur la Valeur universelle exceptionnelle (VUE), conformément à la Note de conseil de l’UICN sur le patrimoine mondial : l’évaluation environnementale ;
  5. Note avec préoccupation l’augmentation rapide signalée du nombre de mines d’or illégales et du risque associé de braconnage, et prie instamment l’État partie d’apporter son soutien politique au niveau national pour garantir une mise à disposition adaptée des ressources humaines et financières et une application stricte de la loi pour répondre à cette menace ;
  6. Demande à l’État partie de mettre en œuvre prioritairement le plan de réhabilitation afin de garantir la mise en œuvre effective des autres activités de gestion ;
  7. Note également que les résultats du recensement aérien permettront la définition des indicateurs biologiques de l’État souhaité de conservation en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR), et demande également à l’État partie, en concertation avec l’UICN et le Centre du patrimoine mondial, de définir les indicateurs biologiques et le calendrier de leur élaboration dès que des données supplémentaires seront disponibles sur la démographie des chimpanzés et des éléphants, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 40e session en 2016 ;
  8. Demande en outre à l’État partie de mettre en œuvre une méthodologie de suivi biologique solide et cohérente pour garantir le suivi régulier du rétablissement démographique de la faune sauvage au sein du bien, ce qui devrait faciliter la future revue des avancées effectuées en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril ;
  9. Demande par ailleurs à l’État partie d’inviter une mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN sur le bien pour examiner l’état de conservation du bien et les progrès effectués dans la mise en œuvre des points susmentionnés ;
  10. Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2016, un rapport actualisé, incluant un résumé analytique d’une page, sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 40e session en 2016 ;
  11. Décide de maintenir Parc national de la Comoé (Côte d’Ivoire) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
39 COM 8C.2
Mise à jour de la Liste du patrimoine mondial en péril

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné les rapports sur l’état de conservation des biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial en péril (WHC-15/39.COM/7A et WHC-15/39.COM/7A.Add),
  2. Décide de maintenir les biens suivants sur la Liste du patrimoine mondial en péril :
  • Afghanistan, Minaret et vestiges archéologiques de Djam (décision 39 COM 7A.38)
  • Afghanistan, Paysage culturel et vestiges archéologiques de la vallée de Bamiyan (décision 39 COM 7A.39)
  • Belize, Réseau de réserves du récif de la barrière du Belize (décision 39 COM 7A.18)
  • Bolivie (État plurinational de), Ville de Potosi (décision 39 COM 7A.44)
  • Chili, Usines de salpêtre de Humberstone et de Santa Laura (décision 39 COM 7A.45)
  • Côte d'Ivoire, Parc national de la Comoé (décision 39 COM 7A.2)
  • Côte d'Ivoire / Guinée, Réserve naturelle intégrale du mont Nimba (décision 39 COM 7A.3)
  • Égypte, Abou Mena (décision 39 COM 7A.24)
  • États-Unis d'Amérique, Parc national des Everglades (décision 39 COM 7A.17)
  • Éthiopie, Parc national du Simien (décision 39 COM 7A.10)
  • Géorgie, Cathédrale de Bagrati et monastère de Ghélati (décision 39 COM 7A.40)
  • Géorgie, Monuments historiques de Mtskheta (décision 39 COM 7A.41)
  • Honduras, Réserve de la Biosphère Río Plátano (décision 39 COM 7A.20)
  • Îles Salomon, Rennell Est (décision 39 COM 7A.16)
  • Indonésie, Patrimoine des forêts tropicales ombrophiles de Sumatra (décision 39 COM 7A.15)
  • Iraq, Assour (Qal'at Cherqat) (décision 39 COM 7A.2)
  • Iraq, Ville archéologique de Samarra (décision 39 COM 7A.25)
  • Vieille ville de Jérusalem et ses remparts (site proposé par la Jordanie) (décision 39 COM 7A.27)
  • Madagascar, Forêts humides de l’Atsinanana (décision 39 COM 7A.11)
  • Mali, Tombouctou (décision 39 COM 7A.21)
  • Mali, Tombeau des Askia (décision 39 COM 7A.22)
  • Niger, Réserves naturelles de l'Aïr et du Ténéré (décision 39 COM 7A.12)
  • Palestine, Lieu de naissance de Jésus : l’église de la Nativité et la route de pèlerinage, Bethléem (décision 39 COM 7A.28)
  • Palestine, Palestine : pays d’olives et de vignes – Paysage culturel du sud de Jérusalem, Battir (décision 39 COM 7A.29)
  • Panama, Fortifications de la côte caraïbe du Panama : Portobelo – San Lorenzo (décision 39 COM 7A.46)
  • Pérou, Zone archéologique de Chan Chan (décision 39 COM 7A.47)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Damas (décision 39 COM 7A.30)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Bosra (décision 39 COM 7A.31)
  • République arabe syrienne, Site de Palmyre (décision 39 COM 7A.32)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville d'Alep (décision 39 COM 7A.33)
  • République arabe syrienne, Crac des Chevaliers et Qal’at Salah El-Din (décision 39 COM 7A.34)
  • République arabe syrienne, Villages antiques du Nord de la Syrie (décision 39 COM 7A.35)
  • République centrafricaine, Parc national du Manovo-Gounda St Floris (décision 39 COM 7A.1)
  • République démocratique du Congo, Parc national des Virunga (décision 39 COM 7A.4)
  • République démocratique du Congo, Parc national de Kahuzi-Biega (décision 39 COM 7A.5)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Garamba (décision 39 COM 7A.6)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Salonga (décision 39 COM 7A.7)
  • République démocratique du Congo, Réserve de faune à okapis (décision 39 COM 7A.8)
  • République-Unie de Tanzanie, Réserve de gibier de Selous (décision 39 COM 7A.95)
  • Sénégal, Parc national du Niokolo-Koba (décision 39 COM 7A.13)
  • Serbie, Monuments médiévaux au Kosovo (décision 39 COM 7A.42)
  • Ouganda, Tombes des rois du Buganda à Kasubi (décision 39 COM 7A.23)
  • Royaume-Uni de Grande Bretagne et d'Irlande du Nord, Liverpool – Port marchand (décision 39 COM 7A.43)
  • Venezuela, Coro et son port (décision 39 COM 7A.48)
  • Yémen, Ville historique de Zabid (décision 39 COM 7A.37)
Projet de décision : 39 COM 7A.2

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC-15/39.COM/7A,
  2. Rappelant la décision 38 COM 7A.35, adoptée à sa 38e session (Doha, 2014),
  3. Accueille favorablement les progrès continus effectués par l’État partie pour répondre aux menaces anthropiques qui pèsent sur le bien, et félicite en particulier l’État partie pour la réduction importante du nombre d’incidents signalés en matière d’empiètement agricole et de pâturage illégal, ainsi que pour la participation accrue des communautés locales aux patrouilles ;
  4. Accueille également favorablement la confirmation par l’État partie qu’aucun permis d’exploitation minière n’a été accordé au sein des limites du bien, et réitère sa demande à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial une Évaluation d’impact environnemental (EIE) pour les deux permis d’exploration qui concernent des terrains immédiatement situés au nord du bien, qui devrait inclure une évaluation de leur impact potentiel sur la Valeur universelle exceptionnelle (VUE), conformément à la Note consultative de l’UICN sur le patrimoine mondial : l’évaluation environnementale ;
  5. Note avec préoccupation l’augmentation rapide signalée du nombre de mines d’or illégales et du risque associé de braconnage, et prie instamment l’État partie d’apporter son soutien politique au niveau national pour garantir une mise à disposition adaptée des ressources humaines et financières et une application stricte de la loi pour répondre à cette menace ;
  6. Demande à l’État partie de mettre en œuvre prioritairement le plan de réhabilitation afin de garantir la mise en œuvre effective des autres activités de gestion ;
  7. Note également que les résultats du recensement aérien permettront la définition des indicateurs biologiques de l’État souhaité de conservation en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR), et demande également à l’État partie, en concertation avec l’UICN et le Centre du patrimoine mondial, de définir les indicateurs biologiques et le calendrier de leur élaboration dès que des données supplémentaires seront disponibles sur la démographie des chimpanzés et des éléphants, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 40e session en 2016 ;
  8. Demande en outre à l’État partie de mettre en œuvre une méthodologie de suivi biologique solide et cohérente pour garantir le suivi régulier du rétablissement démographique de la faune sauvage au sein du bien, ce qui devrait faciliter la future revue des avancées effectuées en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril ;
  9. Demande par ailleurs à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2016, un rapport actualisé, incluant un résumé analytique d’une page, sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 40e session en 2016 ;
  10. Décide de maintenir Parc national de la Comoé (Côte d’Ivoire) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
Année du rapport : 2015
Côte d'Ivoire
Date d'inscription : 1983
Catégorie : Naturel
Critères : (ix)(x)
Liste en péril (dates) : 2003-2017
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2015) .pdf
arrow_circle_right 39COM (2015)
Exports

* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


top