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Tombouctou

Mali
Facteurs affectant le bien en 2014*
  • Destruction délibérée du patrimoine
  • Guerre
  • Système de gestion/plan de gestion
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Absence de gestion du site
  • Conflit armé
Menaces pour lesquelles le bien a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril
  • Occupation du site par des groupes armés,
  • Absence de gestion,
  • Destruction de 9 des 16 mausolées du bien et de 2 mausolées de la mosquée de Djingareyber, ainsi que de la porte côté ouest de la mosquée de Sidi Yahia.
Etat de conservation souhaité pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril

En cours de rédaction

Mesures correctives pour le bien

En cours de rédaction

Calendrier pour la mise en œuvre des mesures correctives
En cours de rédaction
Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2014

Montant total accordé: 100 000 dollars EU du fonds en dépôt italien ; Fonds d’urgence de l’UNESCO : 25 000 dollars EU

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2014
Demandes approuvées : 7 (de 1981-2012)
Montant total approuvé : 188 315 dollars E.U.
2012 Assistance internationale d’urgence pour la protection ... (Approuvé)   24 200 dollars E.U.
2004 Emergency Assistance request for Timbuktu (three main ... (Approuvé)   50 000 dollars E.U.
1995 Second phase of the pilot project for the conservation ... (Approuvé)   40 000 dollars E.U.
1994 Safeguarding of 3 mosques in Timbuktu (Sankore, ... (Approuvé)   15 500 dollars E.U.
1990 Timbuktu: consolidation of the Djingareiber mosque and ... (Approuvé)   45 138 dollars E.U.
1989 Mission for the preparation of a proposal for putting ... (Approuvé)   5 500 dollars E.U.
1981 Provision of one expert and financial assistance for ... (Approuvé)   7 977 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2014**

2002, 2004, 2005, 2006 : missions du Centre du patrimoine mondial ; 2008, 2009 et 2010 : missions conjointes de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ ICOMOS ; mai, octobre et décembre 2012 : Missions d’urgence de l’UNESCO au Mali, juin 2013 : Mission d’évaluation de l’UNESCO à Tombouctou

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2014

L’Etat partie a soumis le rapport sur l’état de conservation de Tombouctou le 22 mars 2014. Ce rapport est disponible sur le lien https://whc.unesco.org/fr/list/119/documents/. Il fait état des actions suivantes mises en place dans le cadre du plan d’action de l’UNESCO  adopté le 18 février 2013, suite à la décision 37 COM 7A.19 :

  • La réouverture en juillet 2013, des bureaux de la Mission culturelle de Tombouctou, afin de reprendre les activités quotidiennes de gestion du site du patrimoine mondial.
  • La création par le ministère de la culture, le 31 mai 2013, du Comité national pour la réhabilitation du patrimoine culturel des régions nord du Mali, et d’une cellule technique d’appui à la mise en œuvre du Plan d’action le 6 août 2013 (Décision n° 000138). Ces deux entités viennent désormais en appui technique à la Direction Nationale du Patrimoine Culturel et à la Mission culturelle de Tombouctou.
  • L’organisation de plusieurs missions conjointes avec des experts internationaux et nationaux, visant à recueillir des données historiques, anthropologiques et architecturales sur les mausolées des saints détruits à Tombouctou (août et octobre 2013), ainsi que sur les bibliothèques de manuscrits (novembre 2013).
  • L’organisation à Mopti (décembre 2013), d’un atelier de formation de maçons issus de Tombouctou, Gao, Djenne et Bandiagara, visant à échanger sur les différentes techniques de construction et d’entretien.
  • La préparation d’un document de stratégie de reconstruction des mausolées, en étroite consultation avec les imams des mosquées du patrimoine mondial, les chefs maçons, et les familles responsables de la gestion des mausolées. Ce document de stratégie sera transmis à l’ICOMOS pour commentaires et au Comité du patrimoine mondial pour approbation à sa 38e session (Doha, 2014).
  • Le démarrage des travaux de reconstruction des mausolées, le 14 mars 2014, qui a concerné en premier lieu les deux mausolées Sheik Babadjer et Amadou Fulani, contigus au mur d’enceinte ouest de la  mosquée de Djingareyber.

Le rapport de l’Etat partie fait également mention d’un attentat perpétré le 28 septembre 2013, et qui visait le camp militaire Albakaye Kounta situé à 200 m de la mosquée de Djingareyber. Cet attentat suicide a provoqué d’importants dégâts sur les trois mosquées de la ville et sur les nombreux bâtiments et habitations alentour. Des travaux urgents de consolidation ont été menés grâce à un appui financier mis à disposition par l’UNESCO.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2014

A ces informations fournies dans le rapport, il faut rajouter les efforts de levée de fonds fournis par l’UNESCO et le Mali qui ont déjà permis de récolter près de 3 millions de dollars sur les 11 millions nécessaires à la réhabilitation et à la reconstruction du patrimoine culturel malien affecté par la crise, incluant Tombouctou, de la part des donateurs suivants : Suisse, Union européenne, Association Internationale des Maires Francophones (AIMF), Norvège, Pays-Bas, Royaume du Bahreïn, Fonds pour le patrimoine mondial africain (AWHF), Croatie, Andorre, et Ile Maurice. 

Il convient de noter les nombreuses actions positives qui ont été mises en œuvre par l’Etat partie dans le but d’assurer une reconstruction des mausolées visant à ne pas aggraver les risques de perte de la valeur universelle exceptionnelle du bien. Les différentes études historiques et architecturales qui ont été menées permettront de mieux comprendre la signification culturelle de ces éléments, de documenter les destructions en leur état, et de mieux envisager la logique des choix de reconstruction de chacun des mausolées. Il convient également de rappeler l’importance du travail de collecte de toute documentation sur chacun des mausolées, compte-tenu du caractère et de la spécificité uniques de chacun d’entre-deux, et de rappeler également la nécessité de fournir une justification détaillée des choix techniques ayant abouti à leurs reconstructions respectives. L’Etat partie est encouragé à achever le travail de documentation commencé en juin 2013, ainsi que toutes les études et diagnostics qui sont encore nécessaires pour définir les différentes solutions techniques de reconstruction, et l’état physique auquel chacun des mausolées sera reconstruit.

Il est recommandé que le Comité prenne note avec satisfaction de la préparation d’une stratégie de réhabilitation et de reconstruction du patrimoine culturel endommagé du nord du Mali, qui détaille la méthode de reconstruction des mausolées détruits, et apprécier particulièrement la large place donnée au rôle des communautés et plus particulièrement aux familles responsables et à la corporation des maçons dans ce processus. L’approche qui consiste à procéder par étape, d’abord avec les 2 mausolées de la mosquée de Djingareyber, et qui a consisté à documenter au quotidien cette reconstruction, afin de mieux comprendre l’organisation du chantier, les relations de travail entre les maçons et les familles propriétaires, et planifier la reconstruction du restant des mausolées, est également la bienvenue. Il est recommandé que le Comité du patrimoine mondial recommande à l’Etat partie de lancer la révision du plan de conservation et de gestion du bien. Le retour progressif des communautés déplacées à cause du conflit est aussi un indicateur positif qui permettra le maintien durable et la conservation des éléments architecturaux du bien.

Enfin, Il est recommandé que le Comité du patrimoine mondial demande à l’Etat partie d’inviter une mission de suivi réactif à Tombouctou, afin de faire le point sur les travaux de reconstruction des mausolées, sur la réhabilitation des mosquées, et sur l’état global de conservation du bien.

Décisions adoptées par le Comité en 2014
38 COM 7A.24
Tombouctou (Mali) (C 119rev)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC-14/38.COM/7A.Add,
  2. Rappelant la décision 37 COM 7A.19, adoptée à sa 37e session (Phnom Penh, 2013),
  3. Félicite l’État partie pour avoir accompli des progrès significatifs qui ont permis de lancer la reconstruction des mausolées le 14 mars 2014 ;
  4. Note avec satisfaction la préparation d’une stratégie de réhabilitation et de reconstruction du patrimoine culturel endommagé du nord du Mali, qui détaille la méthode de reconstruction des mausolées détruits, et apprécie la place donnée au rôle des communautés, aux familles responsables et à la corporation des maçons dans ce processus ;
  5. Accueille avec satisfaction la reconstruction des deux mausolées contigus au mur d’enceinte ouest de la mosquée de Djingareyber (Sheik Babadjer et Amadou Fulani), ainsi que le travail de documentation quotidienne qui a été entrepris tout au long de cette reconstruction, dans le but de mieux comprendre l’organisation du chantier, les relations de travail entre les maçons et les familles propriétaires, et planifier la reconstruction du restant des mausolées.
  6. Rappelle l’importance du travail de constitution d’une documentation fournie sur chacun des mausolées, compte-tenu du caractère et de la spécificité uniques de chacun d’entre-deux, et encourage l’État partie à achever le travail de documentation commencé en juin 2013, ainsi que toutes les études et diagnostics qui sont encore nécessaires pour définir les différentes solutions techniques de reconstruction, et l’état physique auquel chacun des mausolées sera reconstruit et de soumettre les résultats pour examen;
  7. Remercie l’ensemble des pays et institutions qui ont contribué financièrement au plan d’action de l’UNESCO et du Mali, adopté le 18 février 2013 à Paris, et plus particulièrement la Suisse, l’Union européenne, l’Association Internationale des Maires Francophones (AIMF), la Norvège, les Pays-Bas, le Royaume du Bahreïn, le Fonds pour le patrimoine mondial africain (AWHF), la Croatie, Andorre, et l’Ile Maurice ;
  8. Demande à l’État partie d’inviter une mission conjointe Centre du patrimoine mondial/ICOMOS/ICCROM pour évaluer l’état général de conservation du bien et les progrès réalisés dans la reconstruction des mausolées et la réhabilitation des mosquées, préparer l’ensemble des mesures correctives, ainsi qu’un État de conservation souhaité pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril ;
  9. Demande également à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2015, un rapport, incluant un résumé exécutif d’une page, sur l’état de conservation du bien et faisant état de la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 39e session en 2015 ;
  10. Décide de poursuivre l’application du Mécanisme de suivi renforcé du bien;
  11. Décide également de maintenir Tombouctou (Mali) sur la Liste du patrimoine mondial en péril. 
38 COM 8C.2
Mise a jour de la Liste du patrimoine mondial en péril (sites maintenus)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné les rapports sur l’état de conservation des biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial en péril (WHC-14/38.COM/7A et WHC-14/38.COM/7A.Add),
  2. Décide de maintenir les biens suivants sur la Liste du patrimoine mondial en péril :
  • Afghanistan, Minaret et vestiges archéologiques de Djam (décision 38 COM 7A.14)
  • Afghanistan, Paysage culturel et vestiges archéologiques de la vallée de Bamiyan (décision 38 COM 7A.15)
  • Belize, Réseau de réserves du récif de la barrière du Belize (décision 38 COM 7A.31)
  • Chili, Usines de salpêtre de Humberstone et de Santa Laura (décision 38 COM 7A.21)
  • Colombie, Parc national de Los Katíos (décision 38 COM 7A.32)
  • Côte d'Ivoire, Parc national de la Comoé (décision 38 COM 7A.35)
  • Côte d'Ivoire / Guinée, Réserve naturelle intégrale du mont Nimba (décision 38 COM 7A.36)
  • Égypte, Abou Mena (décision 38 COM 7A.1)
  • États-Unis d'Amérique, Parc national des Everglades (décision 38 COM 7A.30)
  • Éthiopie, Parc national du Simien (décision 38 COM 7A.43)
  • Géorgie, Cathédrale de Bagrati et monastère de Ghélati (décision 38 COM 7A.16)
  • Géorgie, Monuments historiques de Mtskheta (décision 38 COM 7A.17)
  • Honduras, Réserve de la Biosphère Río Plátano (décision 38 COM 7A.33)
  • Îles Salomon, Rennell Est (décision 38 COM 7A.29)
  • Indonésie, Patrimoine des forêts tropicales ombrophiles de Sumatra (décision 38 COM 7A.28)
  • Iraq, Assour (Qal'at Cherqat) (décision 38 COM 7A.2)
  • Iraq, Ville archéologique de Samarra (décision 38 COM 7A.3)
  • Jérusalem, Vieille ville de Jérusalem et ses remparts (décision 38 COM 7A.4)
  • Madagascar, Forêts humides de l’Atsinanana (décision 38 COM 7A.44)
  • Mali, Tombouctou (décision 38 COM 7A.24)
  • Mali, Tombeau des Askia (décision 38 COM 7A.25)
  • Niger, Réserves naturelles de l'Aïr et du Ténéré (décision 38 COM 7A.45)
  • Palestine, Lieu de naissance de Jésus : l’église de la Nativité et la route de pèlerinage, Bethléem (décision 38 COM 7A.5)
  • Panama, Fortifications de la côte caraïbe du Panama : Portobelo – San Lorenzo (décision 38 COM 7A.20)
  • Pérou, Zone archéologique de Chan Chan (décision 38 COM 7A.22)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Damas (décision 38 COM 7A.12)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Bosra (décision 38 COM 7A.12)
  • République arabe syrienne, Site de Palmyre (décision 38 COM 7A.12)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville d'Alep (décision 38 COM 7A.12)
  • République arabe syrienne, Crac des Chevaliers et Qal’at Salah El-Din (décision 38 COM 7A.12)
  • République arabe syrienne, Villages antiques du Nord de la Syrie (décision 38 COM 7A.12)
  • République centrafricaine, Parc national du Manovo-Gounda St Floris (décision 38 COM 7A.34)
  • République démocratique du Congo, Parc national des Virunga (décision 38 COM 7A.37)
  • République démocratique du Congo, Parc national de Kahuzi-Biega (décision 38 COM 7A.38)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Garamba (décision 38 COM 7A.39)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Salonga (décision 38 COM 7A.40)
  • République démocratique du Congo, Réserve de faune à okapis (décision 38 COM 7A.41)
  • Sénégal, Parc national du Niokolo-Koba (décision 38 COM 7A.46)
  • Serbie, Monuments médiévaux au Kosovo (décision 38 COM 7A.18)
  • Ouganda, Tombes des rois du Buganda à Kasubi (décision 38 COM 7A.26)
  • Royaume-Uni de Grande Bretagne et d'Irlande du Nord, Liverpool – Port marchand (décision 38 COM 7A.19)
  • Venezuela, Coro et son port (décision 38 COM 7A.23)
  • Yémen, Ville historique de Zabid (décision 38 COM 7A.13)
Projet de décision :   38 COM 7A.24

Le Comité du patrimoine mondial,

1.  Ayant examiné le document WHC-14/38.COM/7A.Add,

2.  Rappelant la décision 37 COM 7A.19, adoptée à sa 37e session (Phnom Penh, 2013),

3.  Félicite l’Etat partie pour avoir accompli des progrès significatifs qui ont permis de lancer la reconstruction des mausolées le 14 mars 2014 ;

4.  Note avec satisfaction la préparation d’une stratégie de réhabilitation et de reconstruction du patrimoine culturel endommagé du nord du Mali, qui détaille la méthode de reconstruction des mausolées détruits, et apprécie la place donnée au rôle des communautés, aux familles responsables et à la corporation des maçons dans ce processus ;

5.  Accueille avec satisfaction la reconstruction des deux mausolées contigus au mur d’enceinte ouest de la mosquée de Djingareyber (Sheik Babadjer et Amadou Fulani), ainsi que le travail de documentation quotidienne qui a été entrepris tout au long de cette reconstruction, dans le but de mieux comprendre l’organisation du chantier, les relations de travail entre les maçons et les familles propriétaires, et planifier la reconstruction du restant des mausolées.

6.  Rappelle l’importance du travail de constitution d’une documentation fournie sur chacun des mausolées, compte-tenu du caractère et de la spécificité uniques de chacun d’entre-deux, et encourage l’Etat partie à achever le travail de documentation commencé en juin 2013, ainsi que toutes les études et diagnostics qui sont encore nécessaires pour définir les différentes solutions techniques de reconstruction, et l’état physique auquel chacun des mausolées sera reconstruit et de soumettre les résultats pour examen;

7.  Remercie l’ensemble des pays et institutions qui ont contribué financièrement au plan d’action de l’UNESCO et du Mali, adopté le 18 février 2013 à Paris, et plus particulièrement la Suisse, l’Union européenne, l’Association Internationale des Maires Francophones (AIMF), la Norvège, les Pays-Bas, le Royaume du Bahreïn, le Fonds pour le patrimoine mondial africain (AWHF), la Croatie, Andorre, et l’Ile Maurice ;

8.  Demande à l’Etat partie d’inviter une mission conjointe Centre du patrimoine mondial/ICOMOS/ICCROM pour évaluer l’état général de conservation du bien et les progrès réalisés dans la reconstruction des mausolées et la réhabilitation des mosquées, préparer l’ensemble des mesures correctives, ainsi qu’un Etat de conservation souhaité pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril ;

9.  Demande également à l’Etat partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2015, un rapport, incluant un résumé exécutif d’une page, sur l’état de conservation du bien et faisant état de la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 39e session en 2015 ;

10.  Décide de poursuivre l’application du Mécanisme de suivi renforcé du bien;

11.  Décide également de maintenir Tombouctou (Mali) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.

Année du rapport : 2014
Mali
Date d'inscription : 1988
Catégorie : Culturel
Critères : (ii)(iv)(v)
Liste en péril (dates) : 1990-2005, 2012-présent
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2014) .pdf
arrow_circle_right 38COM (2014)
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* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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