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Région des montagnes Bleues

Australie
Facteurs affectant le bien en 2023*
  • Exploitation minière
  • Incendies (d’origine naturelle)
  • Infrastructures de transport aérien
  • Infrastructures hydrauliques
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Infrastructures de transport aérien (construction de l’aéroport Western Sydney)
  • Exploitation minière
  • Infrastructures hydrauliques (proposition de rehaussement du mur du barrage de Warragamba)
  • Incendies sans précédent qui ont frappé une grande partie du bien
Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2023

Néant

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2023
Demandes approuvées : 0
Montant total approuvé : 0 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2023**

Néant

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2023

L'État partie a soumis un rapport sur l’état de conservation du bien le 1er décembre 2022, qui est disponible à https://whc.unesco.org/fr/list/917/documents/ et rend compte de ce qui suit :

  • Les feux de brousse de 2019–2020 ont touché près de 739 906 hectares, soit 71% du bien. Ces incendies d’intensité variable sur l’ensemble du bien ont eu différentes répercussions selon les zones. Ces zones, ainsi que les espèces y vivant, devraient se régénérer à des rythmes différents. Des mesures globales de surveillance ont été mises en place pour assurer un suivi de leur santé et de leur récupération ;
  • Les mesures de récupération comme le contrôle ciblé des animaux errants et des mauvaises herbes, l’amélioration des pistes coupe-feu, le contrôle de l’érosion, la guérison du Pays sous l’égide des Premières Nations et les activités de conservation des espèces menacées sont en cours. Le bien constitue également une priorité au titre du Plan d’action national 2022–2032 sur les espèces menacées ;
  • L'État partie soutient, en principe, toutes les recommandations de la Commission royale sur les dispositions nationales en matière de catastrophes naturelles (Commission royale) prescrites au Commonwealth. Les recommandations sont mises en œuvre et les détails d’application des 80 recommandations sont disponibles sur le site Web de l’Agence nationale de gestion des situations d’urgence ;
  • Entre 2020 et 2022, le Gouvernement de Nouvelle-Galles du Sud (New South Wales - NSW) a versé des enveloppes financières de plus de 275 millions de dollars AU (soit environ 180 millions de dollars EU) en réponse à l’enquête du NSW sur les feux de brousse et a augmenté la capacité de réduction des risques et de réaction face aux incendies de brousse du National Parks and Wildlife Service (NPWS) de NSW ;
  • Les enseignements tirés des feux de brousse de 2019–2020 ayant touché le bien sont mis à disposition des autres États parties dans des rapports et des sites Internet ;
  • Les inondations du début et du milieu de l’année 2022 sur la côte est de l’Australie ont provoqué des glissements de terrain, des chutes d’arbres, des coulées de débris et de gros dégâts répétés en termes d’équipements et d'infrastructure. L’estimation des dommages subis est toujours en cours dans les zones les plus reculées. Les enquêtes indépendantes et parlementaires de NSW menées ultérieurement au sujet des inondations contiennent un certain nombre de recommandations qui ont été soutenues ou ont reçu l’accord de principe du Gouvernement de NSW. La mise en œuvre de certaines modalités d’évaluation d’impact des feux de brousse et mesures de rétablissement, telles que les opérations de contrôle des nuisibles et des mauvaises herbes, a été retardée en raison des inondations ;
  • Le rehaussement du mur du barrage de Warragamba proposé qui entraînerait une inondation temporaire des zones du bien, fait l’objet d’une déclaration d'impact environnemental (DIE) ;
  • Le risque résiduel sur la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien provenant d’activités minières dans des zones adjacentes au bien reste faible. Le Gouvernement de NSW a décidé, en décembre 2021 et en mai 2022 respectivement, de ne pas ouvrir à l’exploration les aires de Hawkins et Rumker, et Ganguddy-Kelgoola, près du bien, pour des raisons commerciales, culturelles et environnementales ;
  • Le plan préliminaire des trajectoires de vol pour l’aéroport international situé dans la région ouest de Sydney (Western Sydney International Airport) (Nancy-Bird Walton) a commencé en 2021, et une fois terminée, la configuration définitive sera évaluée via un processus de DIE incluant l’identification des impacts sur la VUE ;
  • L’actualisation du Plan stratégique de 2009 concernant la Région des montagnes Bleues est en cours et prendra en considération toutes les menaces potentielles sur le bien ;

Le 29 septembre 2021, l'État partie a soumis une information au Centre du patrimoine mondial selon laquelle la DIE relative au projet de rehaussement du mur du barrage de Warragamba avait été mise à la disposition du public pour examen et commentaires, et a invité le Centre du patrimoine mondial et l’UICN à soumettre leurs observations. Le Centre du patrimoine mondial a envoyé une lettre à l'État partie le 10 janvier 2022, lui faisant part des inquiétudes au sujet de l’information d’une tierce partie concernant la DIE ayant trait au projet de surélévation du mur du barrage de Warragamba et à l’annonce d’activités minières adjacentes au Parc national de Wollemi, composante du bien.

Le Centre du patrimoine mondial a envoyé une lettre à l'État partie le 12 janvier 2022, transmettant le rapport d'évaluation technique de la DIE par l’UICN, puis une lettre du 7 mars 2022 demandant une clarification du processus d’approbation ultérieur. Le 19 janvier 2022, l'État partie a transmis l'évaluation des impacts cumulatifs potentiels d’une exploitation minière sur le bien.

Le 5 avril 2022, l'État partie a répondu aux lettres des 10 et 12 janvier et du 7 mars 2022, en confirmant les détails de la DIE et les processus d’approbation du projet, et a mis en exergue les résultats de l’évaluation d’une activité minière en réponse aux préoccupations émanant d’un tiers. Le rapport d'évaluation technique de l'UICN portant sur l’évaluation des activités minières a été transmis le 22 novembre 2022 à l'État partie.

L'État partie a envoyé une lettre au Centre du patrimoine mondial le 22 novembre 2022, invitant l’UICN à livrer ses observations sur le Priority Infrastructure (PI) Report et le Response to Submission (RTS) Report sur la DIE du barrage de Warragamba.

Le 28 février 2023, l'État partie a accusé réception du rapport d'évaluation technique de l’UICN relatif à l’évaluation des activités minières et a aussi confirmé avoir pris en considération la manière dont les conclusions du rapport d'évaluation technique s’alignent sur les processus d’évaluation d’impact environnemental.

Le 4 avril 2023, le Centre du patrimoine mondial a transmis le rapport d'évaluation technique de l'UICN concernant le RTS Report, notant la conclusion de l’évaluation technique selon laquelle le projet, tel que proposé, aurait des répercussions directes sur la VUE et recommandant vivement à l'État partie de ne pas mettre à exécution le projet tel que proposé.

L'État partie a envoyé une lettre au Centre du patrimoine mondial le 23 mai 2023, l’informant, entre autres, de l’arrêt des travaux de rehaussement du mur du barrage de Warragamba après réception de l’instruction formelle d'Infrastructure NSW de ne pas mettre le projet à exécution. Des mises à jour ont, en outre, été fournies sur les investissements visant à soutenir la récupération post-incendies ; le financement de consultations auprès des Premières Nations afin d’orienter la gestion stratégique du bien et la publication d’une évaluation révisée de la variabilité du climat des biens du patrimoine mondial en Australie et une boîte à outils sur le changement climatique à l’usage des gestionnaires des biens du patrimoine mondial de l’Australie permettant d’entreprendre une planification globale de l’adaptation aux changements climatiques.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2023

Les phénomènes météorologiques extrêmes sous forme d’incendies de brousse et d’inondations entre 2019 et 2022 ont posé de gros problèmes de gestion pour le bien. Ce dernier est, certes, reconnu pour ses interactions dynamiques avec des processus naturels comme le feu, mais l’ampleur des incendies de brousse de 2019-20 qui ont ravagé environ 71% du bien soulève de grandes inquiétudes quant à sa régénération. Tout en notant le degré d’incidence varié et la récupération prévue dans les différentes zones du bien, ainsi que le retard de l'estimation des préjudices causés par les inondations, il sera important de veiller à assurer le suivi de la santé et la récupération de ces zones et espèces. Le soutien financier accordé à ces activités est jugé satisfaisant. L'État partie devrait être encouragé à poursuivre les interventions de récupération concernant les espèces envahissantes et le contrôle de l’érosion, la gestion du feu, tout comme les activités de conservation des espèces menacées.

Parmi les recommandations de la Commission royale figurent d’importantes mesures de renforcement de la gestion de l’urgence en réponse aux catastrophes à venir à l’intérieur du bien, ainsi que la réduction des risques liés au climat et aux catastrophes naturelles. Il faudrait donc demander à l'État partie de poursuivre la mise en œuvre des recommandations de manière à favoriser le rétablissement du bien suite aux catastrophes précédentes et accroître sa résilience au changement climatique. Il est heureux que les enseignements tirés des feux de brousse de 2019-2020 aient été mis à disposition par l'État partie dans des rapports et des liens publiés en ligne, ainsi que la publication de l’évaluation révisée de la variabilité du climat et la boîte à outils pour l’adaptation aux changements climatiques à l’usage des gestionnaires de site.

En ce qui concerne les impacts des inondations sur la gestion courante du bien, il faudrait demander à l'État partie d’appliquer les recommandations des enquêtes dans les inondations. Il conviendrait également de demander à l'État partie de faire une évaluation complète de tous les préjudices causés aux attributs de la VUE du bien en raison des inondations parallèlement aux efforts consentis pour restaurer les infrastructures essentielles à la bonne gestion du bien.

Il est apprécié que la proposition de rehaussement du mur du barrage de Warragamba ne soit pas adoptée, étant donné que la surélévation du mur entraînerait une inondation temporaire périodique des aires situées à l’intérieur du bien et qu’elle aurait sans doute porté directement atteinte à la VUE du bien, y compris aux associations culturelles liées à son intégrité.

Note est prise de la conclusion de l'évaluation des impacts cumulatifs potentiels des activités minières adjacentes au bien comme quoi le risque résiduel pour la VUE du bien est jugé faible. Il faudrait demander à l'État partie d’utiliser les conclusions de l'évaluation pour informer une approche stratégique pour l’approbation des futurs projets miniers et la gestion des projets d’exploitation courants, qui évite les impacts cumulatifs des activités minières sur la VUE du bien et considère les autres recommandations formulées dans l’étude technique de l’évaluation menée par l'UICN.

L’actualisation du Plan stratégique de 2009 pour la Région des montagnes Bleues inscrite au patrimoine mondial est encourageante et l'État partie devrait veiller à ce que les menaces potentielles sur le bien provenant d’activités exercées en dehors de ses limites, en particulier des activités minières, soient entièrement prises en considération dans l’élaboration de ce cadre de gestion.

Il est noté que le plan préliminaire des trajectoires de vol pour l’aéroport international de Western Sydney (Nancy-Bird Walton) a débuté en 2021, avec la confirmation que la conception finale sera évaluée par un processus d’EIE. Il faudrait demander à L'État partie de s’assurer que le processus d’évaluation d’impact est conforme au nouveau Guide et boîte à outils pour les évaluations d’impact dans un contexte de patrimoine mondial.

Décisions adoptées par le Comité en 2023
45 COM 7B.80
Région des montagnes Bleues (Australie) (N 917)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/23/45.COM/7B.Add,
  2. Rappelant la décision 44 COM 7B.180, adoptée à sa 44e session élargie (Fuzhou/en ligne, 2021),
  3. Exprime à nouveau sa plus vive préoccupation quant aux impacts des feux de brousse de 2019-20 qui ont ravagé 71% du bien, se déclare satisfait du soutien financier accordé à la récupération du bien post-incendie et encourage l'État partie à continuer d’assurer le suivi de la santé et la récupération des zones et espèces touchées par les incendies et de poursuivre les projets de récupération, y compris le contrôle des espèces envahissantes et de l’érosion, la gestion du feu et les activités de conservation des espèces menacées, tout en notant en particulier que les inondations ont retardé certaines de ces opérations ;
  4. Demande à l'État partie de continuer à mettre en œuvre les recommandations de la Commission royale dans les dispositions nationales en matière de catastrophes naturelles afin de renforcer la gestion des situations d’urgence à l’intérieur du bien, ainsi que la réduction des risques liés au climat et aux catastrophes naturelles, se déclare également satisfait du développement d’une méthodologie d’évaluation révisée de la variabilité du climat et d’une boîte à outils sur le changements climatique pour les biens du patrimoine mondial ;
  5. Apprécie les efforts de l'État partie afin de partager les enseignements tirés avec d’autres États parties à la Convention confrontés à des menaces similaires, favoriser l’échange de connaissances sur les stratégies de gestion du feu dans les biens du patrimoine mondial ;
  6. Demande également à l'État partie de mettre en œuvre les recommandations du Gouvernement de Nouvelle-Galles du Sud (NSW) et les enquêtes indépendantes sur les inondations et de maintenir les efforts visant à saisir les impacts sur la valeur universelle exceptionnelle (VUE) et aider au rétablissement des attributs de la VUE du bien, ainsi que sa fonction de gestion ;
  7. Notant que le rehaussement du mur du barrage de Warragamba aurait provoqué l’inondation des terres situées à l’intérieur du bien, ce qui aurait directement porté préjudice à sa VUE, salue en outre la décision de ne pas poursuivre le projet ;
  8. Prend note des conclusions de l'évaluation des impacts cumulatifs potentiels du projet minier sur le bien et demande en outre à l'État partie d’utiliser ces éléments pour informer une approche stratégique pour l’approbation des futurs projets miniers et la gestion des projets en cours d’exploitation, qui évite les impacts cumulatifs de l’exploitation minière sur le bien et considère toutes les recommandations formulées dans le rapport technique de l’évaluation provenant de l’UICN ;
  9. Réitère sa demande à l'État partie de veiller à ce que les menaces potentielles sur le bien résultant d’activités menées en dehors de ses limites, en particulier des activités minières, soient pleinement prises en compte dans le développement du Plan stratégique révisé de la Région des montagnes Bleues inscrite au patrimoine mondial ;
  10. Demande par ailleurs à l'État partie d’évaluer de manière exhaustive les impacts potentiels de l ‘aéroport international de Western Sydney (Nancy-Bird Walton) sur la VUE du bien, conformément au Guide et boîte à outils pour les évaluations d’impact dans un contexte de patrimoine mondial ;
  11. Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1erdécembre 2024, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 47e session. 
Projet de décision : 45 COM 7B.80

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/23/45.COM/7B.Add,
  2. Rappelant la décision 44 COM 7B.180, adoptée à sa 44e session élargie (Fuzhou/en ligne, 2021),
  3. Exprime à nouveau sa plus vive préoccupation quant aux impacts des feux de brousse de 2019-20 qui ont ravagé 71% du bien, se déclare satisfait du soutien financier accordé à la récupération du bien post-incendie et encourage l'État partie à continuer d’assurer le suivi de la santé et la récupération des zones et espèces touchées par les incendies et de poursuivre les projets de récupération, y compris le contrôle des espèces envahissantes et de l’érosion, la gestion du feu et les activités de conservation des espèces menacées, tout en notant en particulier que les inondations ont retardé certaines de ces opérations ;
  4. Demande à l'État partie de continuer à mettre en œuvre les recommandations de la Commission royale dans les dispositions nationales en matière de catastrophes naturelles afin de renforcer la gestion des situations d’urgence à l’intérieur du bien, ainsi que la réduction des risques liés au climat et aux catastrophes naturelles, se déclare également satisfait du développement d’une méthodologie d’évaluation révisée de la variabilité du climat et d’une boîte à outils sur le changements climatique pour les biens du patrimoine mondial ;
  5. Apprécie les efforts de l'État partie afin de partager les enseignements tirés avec d’autres États parties à la Convention confrontés à des menaces similaires, favoriser l’échange de connaissances sur les stratégies de gestion du feu dans les biens du patrimoine mondial ;
  6. Demande également à l'État partie de mettre en œuvre les recommandations du Gouvernement de Nouvelle-Galles du Sud (NSW) et les enquêtes indépendantes sur les inondations et de maintenir les efforts visant à saisir les impacts sur la valeur universelle exceptionnelle (VUE) et aider au rétablissement des attributs de la VUE du bien, ainsi que sa fonction de gestion ;
  7. Notant que le rehaussement du mur du barrage de Warragamba aurait provoqué l’inondation des terres situées à l’intérieur du bien, ce qui aurait directement porté préjudice à sa VUE, salue en outre la décision de ne pas poursuivre le projet ;
  8. Prend note des conclusions de l'évaluation des impacts cumulatifs potentiels du projet minier sur le bien et demande en outre à l'État partie d’utiliser ces éléments pour informer une approche stratégique pour l’approbation des futurs projets miniers et la gestion des projets en cours d’exploitation, qui évite les impacts cumulatifs de l’exploitation minière sur le bien et considère toutes les recommandations formulées dans le rapport technique de l’évaluation provenant de l’UICN ;
  9. Réitère sa demande à l'État partie de veiller à ce que les menaces potentielles sur le bien résultant d’activités menées en dehors de ses limites, en particulier des activités minières, soient pleinement prises en compte dans le développement du Plan stratégique révisé de la Région des montagnes Bleues inscrite au patrimoine mondial ;
  10. Demande par ailleurs à l'État partie d’évaluer de manière exhaustive les impacts potentiels de l ‘aéroport international de Western Sydney (Nancy-Bird Walton) sur la VUE du bien, conformément au Guide et boîte à outils pour les évaluations d’impact dans un contexte de patrimoine mondial ;
  11. Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er décembre 2024, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 47e session.
Année du rapport : 2023
Australie
Date d'inscription : 2000
Catégorie : Naturel
Critères : (ix)(x)
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2022) .pdf
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* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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