Région des montagnes Bleues
Facteurs affectant le bien en 2021*
- Exploitation minière
- Infrastructures de transport aérien
- Infrastructures hydrauliques
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
- Infrastructures de transport aérien (construction de l’aéroport Western Sydney)
- Exploitation minière
- Infrastructures hydrauliques (proposition de rehaussement du mur du barrage de Warragamba)
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2021
Montant total approuvé : 0 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2021**
Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2021
Suite aux gigantesques feux de brousse qui ont touché le bien, l’État partie a soumis des rapports sur les impacts de ces feux sur le bien les 22 janvier et 23 avril 2020 respectivement. L’État partie a soumis un rapport sur l'état de conservation du bien le 18 décembre 2020, en réponse à la Décision 43 COM 7B.2, disponible à http://whc.unesco.org/fr/list/917/documents/, suivi d’une mise à jour le 3 juin 2021. Ces documents rendent compte des faits suivants :
- Selon les dernières estimations, 71 % des terres ont été ravagées par les feux de forêt de 2019-2020. Il est par ailleurs confirmé qu’une opération ciblée de lutte contre l’incendie a empêché des pertes significatives de peuplements de pin Wollemi, important attribut de la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien ; cependant, quelques impacts se sont produits. Il est estimé que plus de 300 espèces menacées ou migratoires ont été affectées, dont beaucoup sont des attributs de la VUE du bien. Des programmes ciblés de surveillance pour mesurer l’impact et suivre le rétablissement des espèces sont mis en œuvre par le Gouvernement de Nouvelle-Galles du Sud (NGS). Des évaluations sont également menées afin de déterminer l'impact sur les différentes espèces d’eucalyptus dont la diversité est l’une des principales caractéristiques de la VUE du bien. Même si la plupart des espèces d’eucalyptus sont très adaptées au feu, leur rétablissement dépend de plusieurs facteurs affectant la régénération ;
- Les impacts sur le patrimoine culturel aborigène suscitent également de vives inquiétudes et la planification du rétablissement post-incendie s’effectue avec les communautés aborigènes locales ;
- Le Gouvernement australien a annoncé en janvier 2020 un plan de relance doté d'une enveloppe de 50 millions de dollars AU (soit 35 millions de dollars EU) pour des interventions immédiates et un plan de rétablissement des habitats et des espèces sauvages à plus long terme. Les recommandations présentées par la Commission royale sur les dispositions nationales en matière de catastrophes naturelles visant à renforcer la gestion des urgences ainsi que la prévention des risques liés au climat et aux catastrophes naturelles sont en cours d’application (voir aussi le rapport sur les Forêts humides Gondwana de l’Australie, au titre du point 7B.89 de la présente session) ;
- De nouvelles mises à jour sont présentées sur l’investissement et les programmes de rétablissement, y compris la modélisation et la cartographie des risques d’incendie spécifiques aux attributs de la VUE du bien et la répartition des aires de refuges écologiques potentiels ;
- Huit projets miniers à proximité du bien sont soumis à des évaluations environnementales dans le respect de la Loi sur la protection de l’environnement et la conservation de la biodiversité (PECB). Une évaluation des impacts cumulatifs des projets miniers existants et prévus à proximité du bien a été lancée et se poursuit, avec une évaluation spécifique de tous les facteurs de stress qui présentent un risque pour la VUE du bien ;
- Une Déclaration d'impact environnemental (Environmental Impact Statement: EIS) est en préparation au sujet de la surélévation du mur du barrage de Warragamba afin de mesurer pleinement tous les impacts potentiels sur la VUE du bien et ses autres valeurs, y compris le patrimoine culturel aborigène, et elle sera soumise au Centre du patrimoine mondial. Un exemplaire de l’EIS a été remis aux Gouvernements australien et de la NGS pour examen, et les travaux sont en cours pour répondre aux questions qu’ils soulèvent avant la mise au point de l'EIS aux fins de consultation Le Gouvernement australien a également demandé que l'initiateur du projet, Water NSW, analyse les impacts des incendies de 2019-2020, sachant que la zone d’inondation temporaire prévisible a été brûlée à 70 % ;
- En ce qui concerne l'aéroport Western Sydney, il est indiqué que la configuration de l'espace aérien et des trajectoires de vol est à l’étude et fera ensuite l’objet d’un processus d’évaluation environnementale qui devrait commencer en 2021 ;
- Le projet d’un plan stratégique révisé pour le bien, qui prendra en considération toutes les menaces potentielles auquel ce dernier est exposé, y compris celles provenant d’activités au-delà de ses limites, est en cours d’élaboration et fera ultérieurement l’objet d’une consultation auprès des communautés aborigènes avec les évaluations environnementales requises.
Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2021
Les méga-feux qui ont affecté ce bien et d’autres sites australiens du patrimoine mondial en 2019-2020 sont notés avec une vive inquiétude. Les informations détaillées fournies par l’État partie sur les réponses de gestion immédiates, l’évaluation préliminaire des impacts, ainsi que les engagements de financement et les stratégies de récupération à plus long terme sont accueillis favorablement. Il y a lieu de féliciter l'État partie pour ses interventions de lutte contre le feu, y compris celles qui ciblaient de manière spécifique certains attributs de la VUE du bien, tels que les peuplements de pins Wollemi. Il est recommandé que le Comité demande à l’État partie de communiquer au Centre du patrimoine mondial une mise à jour sur le processus d’évaluation des impacts des incendies sur la VUE du bien et les perspectives de rétablissement des attributs affectés, dès que de nouvelles informations importantes seront disponibles.
Les informations données par l’État partie au sujet de la préparation de l'EIS relative au projet de surélévation du mur du barrage de Warragamba sont notées. Le Centre du patrimoine mondial et l'UICN continuent de recevoir les informations émanant de tiers qui mettent en question la rigueur du processus d'EIS. Il est par conséquent recommandé que le Comité réitère sa demande à l’État partie de veiller à ce que, conformément à ses précédents engagements, l’actuel processus de préparation de l'EIS mesure pleinement tous les impacts potentiels sur la VUE du bien et ses autres valeurs, y compris le patrimoine culturel aborigène. Compte tenu de l’impact significatif des incendies de 2019-2020 sur le bien, il sera aussi particulièrement important d’entreprendre une nouvelle évaluation approfondie de la manière dont les impacts potentiels de l'élévation du mur pourraient exacerber les incidences des feux de forêt, sachant qu’il a été constaté que 70 % de la zone d’inondation temporaire prévisible a brûlé. Une telle évaluation devrait aussi considérer les perspectives de rétablissement à moyen et à plus long terme des habitats et des espèces principales qui y vivent.
Les nouvelles mises à jour présentées par l’État partie sur la configuration de l'espace aérien et des trajectoires de vol pour l'aéroport Western Sydney et son évaluation environnementale subséquente, l’évaluation des impacts cumulatifs des projets miniers existants et prévus à proximité du bien, ainsi que la mise au point détaillée d’un plan stratégique révisé pour le bien, y compris la consultation planifiée avec les communautés aborigènes, sont notées. Il est recommandé que le Comité demande à l’État partie de soumettre ces documents et les résultats de leurs évaluations au Centre du patrimoine mondial, pour examen par l'UICN dès qu’ils seront disponibles.
Au vu des enjeux multiples qui affectent potentiellement le bien et du fait que bon nombre d’impacts des feux de brousse de 2019-2020 nécessiteraient d’être pris en compte dans l'EIS, il est recommandé que l’État partie s’adresse à l'UICN pour le conseiller dans la préparation des documents de planification de l'EIS avant leur finalisation et l’élaboration de plans de rétablissement du bien à plus long terme après les incendies.
Comme le changement climatique est une menace croissante pour ce bien et d’autres sites du patrimoine mondial en Australie, le Comité pourrait souhaiter rappeler la Décision 41 COM 7 (Cracovie, 2017) qui réitère l’importance que revêt pour les États parties la mise en œuvre la plus ambitieuse de l’Accord de Paris de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) et salue les efforts de l’État partie pour développer une compréhension des effets prévus résultant du changement climatique par rapport à la VUE du bien et renforcer la résilience aux défis climatiques et aux catastrophes.
Reconnaissant que deux des biens du patrimoine mondial en Australie ont été particulièrement touchés par les feux saisonniers de 2019-2020 (p. ex. la Région des montagnes Bleues et les Forêts humides Gondwana), les efforts menés grâce à la Commission royale sur les dispositions nationales en matière de catastrophes naturelles pour tirer les leçons de l’expérience, émettre des recommandations sur les moyens de renforcer la gestion des urgences ainsi que la réduction des risques liés au climat et aux catastrophes naturelles, et avancer des réformes basées sur l’expérience, sont accueillis favorablement.
L'État partie devrait être incité à partager les enseignements tirés avec les autres États parties confrontés à des menaces similaires (voir aussi la section II.F du document WHC/21/44.COM/7), promouvoir l’échange de savoir sur les stratégies de gestion des feux pour les biens du patrimoine mondial naturel.
Résumé des interventions
Décisions adoptées par le Comité en 2021
44 COM 7B.180
Région des montagnes Bleues (Australie) (N 917)
Le Comité du patrimoine mondial,
- Ayant examiné le document WHC/21/44.COM/7B.Add,
- Rappelant la Décision 43 COM 7B.2, adoptée à sa 43e session (Bakou, 2019),
- Se déclare très vivement préoccupé par les incendies sans précédent qui ont frappé une grande partie du bien et lourdement impacté certaines zones et habitats, et félicite l’État partie pour l’immédiateté de ses interventions dans la lutte contre le feu, y compris celles ayant ciblé des attributs spécifiques de la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien, comme les peuplements de pins Wollemi ;
- Accueille favorablement les informations fournies par l’État partie concernant les réponses de gestion immédiates aux feux de brousse de 2019-2020, y compris l'évaluation des impacts directs et indirects, les plans d’action à plus long terme et la prise en considération des engagements de financement pour assurer le rétablissement à long terme, et demande à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, pour examen par l'UICN, une mise à jour du processus d’évaluation des impacts de feux sur la VUE du bien et ses perspectives de rétablissement, dès que ces informations importantes auront été recueillies ;
- Prend note des informations communiquées par l’État partie au sujet de la préparation de la Déclaration d'impact environnemental (Environmental Impact Statement : EIS) relative au projet de surélévation du mur du barrage de Warragamba, réitère sa demande à l’État partie de veiller à ce que, conformément à ses engagements, le processus actuel de préparation de l'EIS mesure pleinement tous les impacts potentiels sur la VUE du bien et ses autres valeurs, y compris le patrimoine culturel aborigène, et demande également à l’État partie d’évaluer de façon approfondie si l'élévation du mur est susceptible ou non d’exacerber l’impact des feux de brousse sur le bien et d’entraver les perspectives de rétablissement à moyen et plus long terme des habitats et espèces clés dans les zones d’inondation temporaire prévisibles, et de soumettre l'EIS au Centre du patrimoine mondial, pour examen par l'UICN, avant son approbation définitive ;
- Note le lancement d’une évaluation des impacts cumulatifs des projets miniers existants et planifiés à proximité du bien, y compris une évaluation spécifique de tous les facteurs de stress qui présentent un risque pour la VUE du bien, et la confirmation de la configuration de l'espace aérien et des trajectoires de vol prévus pour l'aéroport Western Sydney et son évaluation environnementale ultérieure, et demande en outre à l’État partie de soumettre les résultats de ces processus au Centre du patrimoine mondial, pour examen par l'UICN, dès qu’ils seront disponibles ;
- Accueille aussi favorablement la poursuite du développement d’un plan stratégique révisé du bien et la confirmation que ce plan fera l’objet d’une consultation avec les communautés aborigènes et sera soumis à l’évaluation environnementale requise, et réitère également sa demande à l’État partie de veiller à ce que les menaces potentielles sur le bien résultant d’activités à l’extérieur de ses limites, en particulier des activités minières, soient pleinement intégrées dans le développement de ce cadre de gestion ;
- Encourage l’État partie à s’adresser à l'UICN pour le conseiller sur la préparation des documents de planification de l'EIS avant leur finalisation, ainsi que sur le développement de plans de rétablissement de la VUE du bien à plus long terme après les incendies ;
- Rappelant également la Décision 41 COM 7, adoptée à sa 41e session (Cracovie, 2017) qui réitère l’importance pour les États parties d’entreprendre la mise en œuvre la plus ambitieuse de l’Accord de Paris de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), note avec inquiétude que le changement climatique est reconnu comme une menace croissante pour le bien et salue en outre les efforts de l’État partie pour développer une compréhension des effets prévus résultant du changement climatique par rapport à la VUE du bien et renforcer la résilience aux défis climatiques et aux catastrophes ;
- Apprécie les efforts menés par le biais de la Commission royale sur les dispositions nationales en matière de catastrophes naturelles pour tirer les leçons de l’expérience, émettre des recommandations sur les moyens d’améliorer la gestion des urgences ainsi que la réduction des risques liés au climat et aux catastrophes naturelles, et appliquer les réformes basées sur l’expérience, et encourage également l’État partie à partager les enseignements tirés avec d’autres États parties à la Convention confrontés à des menaces similaires, promouvoir l’échange de savoir sur les stratégies de gestion des feux sur les biens du patrimoine mondial naturel;
- Demande par ailleurs à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er décembre 2022, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 46e session.
Projet de décision : 44 COM 7B.180
Le Comité du patrimoine mondial,
- Ayant examiné le document WHC/21/44.COM/7B.Add,
- Rappelant la Décision 43 COM 7B.2, adoptée à sa 43e session (Bakou, 2019),
- Se déclare très vivement préoccupé par les incendies sans précédent qui ont frappé une grande partie du bien et lourdement impacté certaines zones et habitats, et félicite l’État partie pour l’immédiateté de ses interventions dans la lutte contre le feu, y compris celles ayant ciblé des attributs spécifiques de la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien, comme les peuplements de pins Wollemi ;
- Accueille favorablement les informations fournies par l’État partie concernant les réponses de gestion immédiates aux feux de brousse de 2019-2020, y compris l'évaluation des impacts directs et indirects, les plans d’action à plus long terme et la prise en considération des engagements de financement pour assurer le rétablissement à long terme, et demande à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, pour examen par l'UICN, une mise à jour du processus d’évaluation des impacts de feux sur la VUE du bien et ses perspectives de rétablissement, dès que ces informations importantes auront été recueillies ;
- Prend note des informations communiquées par l’État partie au sujet de la préparation de la Déclaration d'impact environnemental (Environmental Impact Statement : EIS) relative au projet de surélévation du mur du barrage de Warragamba, réitère sa demande à l’État partie de veiller à ce que, conformément à ses engagements, le processus actuel de préparation de l'EIS mesure pleinement tous les impacts potentiels sur la VUE du bien et ses autres valeurs, y compris le patrimoine culturel aborigène, et demande également à l’État partie d’évaluer de façon approfondie si l'élévation du mur est susceptible ou non d’exacerber l’impact des feux de brousse sur le bien et d’entraver les perspectives de rétablissement à moyen et plus long terme des habitats et espèces clés dans les zones d’inondation temporaire prévisibles, et de soumettre l'EIS au Centre du patrimoine mondial, pour examen par l'UICN, avant son approbation définitive ;
- Note le lancement d’une évaluation des impacts cumulatifs des projets miniers existants et planifiés à proximité du bien, y compris une évaluation spécifique de tous les facteurs de stress qui présentent un risque pour la VUE du bien, et la confirmation de la configuration de l'espace aérien et des trajectoires de vol prévus pour l'aéroport Western Sydney et son évaluation environnementale ultérieure, et demande en outre à l’État partie de soumettre les résultats de ces processus au Centre du patrimoine mondial, pour examen par l'UICN, dès qu’ils seront disponibles ;
- Accueille aussi favorablement la poursuite du développement d’un plan stratégique révisé du bien et la confirmation que ce plan fera l’objet d’une consultation avec les communautés aborigènes et sera soumis à l’évaluation environnementale requise, et réitère également sa demande à l’État partie de veiller à ce que les menaces potentielles sur le bien résultant d’activités à l’extérieur de ses limites, en particulier des activités minières, soient pleinement intégrées dans le développement de ce cadre de gestion ;
- Encourage l’État partie à s’adresser à l'UICN pour le conseiller sur la préparation des documents de planification de l'EIS avant leur finalisation, ainsi que sur le développement de plans de rétablissement de la VUE du bien à plus long terme après les incendies ;
- Rappelant également la Décision 41 COM 7, adoptée à sa 41e session (Cracovie, 2017) qui réitère l’importance pour les États parties d’entreprendre la mise en œuvre la plus ambitieuse de l’Accord de Paris de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), note avec inquiétude que le changement climatique est reconnu comme une menace croissante pour le bien et salue en outre les efforts de l’État partie pour développer une compréhension des effets prévus résultant du changement climatique par rapport à la VUE du bien et renforcer la résilience aux défis climatiques et aux catastrophes ;
- Apprécie les efforts menés par le biais de la Commission royale sur les dispositions nationales en matière de catastrophes naturelles pour tirer les leçons de l’expérience, émettre des recommandations sur les moyens d’améliorer la gestion des urgences ainsi que la réduction des risques liés au climat et aux catastrophes naturelles, et appliquer les réformes basées sur l’expérience, et encourage également l’État partie à partager les enseignements tirés avec d’autres États parties à la Convention confrontés à des menaces similaires, promouvoir l’échange de savoir sur les stratégies de gestion des feux sur les biens du patrimoine mondial naturel;
- Demande par ailleurs à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1erdécembre 2022, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 46e session en 2023.
Exports
* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).
** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.