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Systèmes d’irrigation aflaj d’Oman

Aflaj Irrigation Systems of Oman

The property includes five aflaj irrigation systems and is representative of some 3,000 such systems still in use in Oman. The origins of this system of irrigation may date back to AD 500, but archaeological evidence suggests that irrigation systems existed in this extremely arid area as early as 2500 BC. Using gravity, water is channelled from underground sources or springs to support agriculture and domestic use. The fair and effective management and sharing of water in villages and towns is still underpinned by mutual dependence and communal values and guided by astronomical observations. Numerous watchtowers built to defend the water systems form part of the site reflecting the historic dependence of communities on the aflaj system. Threatened by falling level of the underground water table, the aflaj represent an exceptionally well-preserved form of land use.

La description est disponible sous licence CC-BY-SA IGO 3.0

Systèmes d’irrigation aflaj d’Oman

Les cinq systèmes d’irrigation inscrits représentent les quelques 3 000 systèmes d’irrigation encore en activité en Oman. La construction la plus ancienne pourrait remonter aux environs de 500 apr. J.C. mais des preuves archéologiques récentes suggèrent que les systèmes d’irrigation existaient dans la région dès 2 500 av. J.-C. Ce système d’irrigation conduit l’eau des sources souterraines, par gravité, sur des kilomètres pour alimenter l’agriculture et les peuplements permanents. La gestion et le partage équitable et efficace de l’eau dans les villages et les villes sont toujours sous-tendus par des notions de dépendance mutuelle et de collectivité, et guidés par des observations astronomiques. De nombreuses tours de guet construites pour défendre les systèmes d’adduction d’eau sont intégrées au site. Elles reflètent la dépendance des communautés aux aflaj . Menacé par la baisse du niveau des eaux souterraines, l'aflaj représente une forme d’occupation des sols exceptionnellement bien conservée.

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أنظمة الري ( الأفلاج)

تمثل أنظمة الري الخمسة المسجلة حوالي 000 3 نظام ري تستعمل حتى الآن في عُمان. ويعود أقدم بناء لها إلى حوالي 500 م، ولكن الأدلة الأثرية الأخيرة تشير إلى أنّ أنظمة الري كانت موجودة في المنطقة منذ 2500 ق م. يجلب هذا النظام في الري الماء من المصادر الجوفية، على مدى كيلومترات، كي يغذي الزراعة والسكان المقيمين. تتحكم في إدارة المياه وتوزيعها توزيعًا عادلاً وفاعلاً، في المدن والقرى، مفاهيمُ التعاون المتبادل والعيش المشترك، وهي تتبع الملاحظة الفلكية. وقد ضُم إلى الموقع عدد من أبراج المراقبة التي أقيمت لحماية أنظمة الري. وهي تعكس اعتماد الناس على الأفلاج. ويهدد انخفاض مستوى المياه الجوفية نظام الأفلاج، التي تقدم شكلاً متميزًا من استثمار الأرض لا يزال محافظا عليه حتى الآن.

source: UNESCO/CPE
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阿曼的阿夫拉贾灌溉体系

这处世界遗产包含了5个阿夫拉贾(Aflaj)灌溉体系,同时也是3000个在阿曼仍然使用中的系统的典型代表。这种灌溉系统的由来可以追朔到公元500年左右,但是从考古学上的证据来看,这个应用在极端干燥地区的灌溉系统应该早在公元前2500年就已经存在。Aflaj是falai的复数形式,在传统阿拉伯语中的意思是公平地划分珍贵的稀有资源,以确保能永续性地维持这种灌溉系统的特征。在水资源方面则是利用重力,从地底或涌出的山泉中将水导出,用来供应家庭用水以及农业灌溉所需,这种灌溉系统通常能供应数公里以上的距离。至于村落及城镇间如何公平且有效的管理及分配水资源的机制,至今依然建立在彼此间的信赖和公共利益上,并且透过大量的观测数据来引导。同时这里建造了为数众多的瞭望台来保护水资源系统,从列入遗产的某些部分可反映出社区对阿夫拉贾体系的历史性依赖。其他被包含在该遗迹的建筑还有清真寺、房屋、日晷以及拍卖水的大楼。由于受到地下水水层持续下降的威胁,阿夫拉贾灌溉系统代表一种被保护得极好的土地使用形式。

source: UNESCO/CPE
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Оманские ирригационные системы «афладж»

Объект включает пять ирригационных систем «афладж», представляя около 3000 подобных систем, все еще используемых в Омане. Зарождение такого способа ирригации может относиться к 500 г. н.э., но археологические свидетельства показывают, что системы ирригации существовали в этом исключительно засушливом регионе еще в 2500 г. до н.э. «Афладж» – это множественное число от «фаладж», что на классическом арабском означает: разделять на доли и равномерно распределять ограниченные ресурсы, в чем и состоит специфичность этих ирригационных систем. Вода из подземных источников или ключей направляется под воздействием силы тяжести, зачастую на многие километры, для обеспечения сельского хозяйства и бытовых нужд. Эффективное управление и справедливое распределение воды в деревнях и городах все еще поддерживаются благодаря сохранению межобщинных связей, следованию традиционным ценностям, и основываются на астрономических наблюдениях. Многочисленные сторожевые башни, построенные для защиты водохозяйственных систем, также входящие в состав объекта Всемирного наследия, демонстрируют историческую зависимость местных сообществ от системы «афладж». В состав объекта также включены мечети, жилые дома, солнечные часы и здания для проведения водных аукционов, связанные с системой «афладж» Находящиеся под угрозой в связи с понижением уровня подземных вод, системы «афладж» представляют собой исключительно хорошо сохранившуюся форму природопользования.

source: UNESCO/CPE
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Aflajs, sistemas de irrigación de Omán

Los cinco aflajs inscritos son representativos de los 3.000 sistemas de irrigación análogos todavía utilizados en Omán. Su origen se remonta al año 500, aunque hay pruebas arqueológicas de que ya existían en esta región particularmente árida desde el año 2.500 a.C. Aprovechando la fuerza de la gravedad, hacen discurrir por canales el agua de capas subterráneas o manantiales para destinarla al regadío de cultivos o usos domésticos. La gestión y el reparto eficaz y equitativo del agua en las ciudades y pueblos se siguen basando en la solidaridad y los valores comunes de la colectividad, y continúan guiándose por observaciones astronómicas. El sitio comprende numerosas torres vigías edificadas para defender los aflajs, que ponen de relieve la importancia vital de estos sistemas de aducción de agua para las comunidades. Amenazados por el descenso del nivel de las aguas subterráneas, los aflajs son representativos de una forma de ocupación del suelo extraordinariamente bien preservada.

source: UNESCO/CPE
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アフラージュ、オマーンの灌漑システム
オマーン国ではファラジ(複数形はアフラージュ)と呼ばれる、農業用及び家庭用の灌漑システムが約3000ヵ所で稼動しており、代表的な5つが世界遺産に登録された。極端に乾燥したこの地域でのファラジの起源は、紀元500年に遡るといわれるが、紀元前2500年にはすでにファラジが存在していたとする考古的資料もある。土地の傾斜と地下水路を利用し、不足している水資源を継続的かつ公平に分配するというこの灌漑システムは、土地の有効活用の顕著な見本でもある。水の分配は天体観測により行われたため、日時計や、水系を守るための多数の観測塔、水の競売を行う建物、モスクなども世界遺産に登録された。

source: NFUAJ

Aflaj irrigatiesystemen van Oman

Dit gebied omvat vijf 'Aflaj' irrigatiesystemen en is representatief voor ongeveer 3.000 van dergelijke nog in gebruik zijnde systemen in Oman. De oorsprong van dit irrigatiesysteem dateert uit 500 na Christus, maar er zijn archeologische aanwijzingen dat irrigatiesystemen al in 2500 voor Christus bestonden in dit uiterst droge gebied. Met behulp van de zwaartekracht wordt water uit ondergrondse bronnen gekanaliseerd voor landbouw en huishoudelijk gebruik. Tal van wachttorens zijn gebouwd om de watersystemen in de gaten te houden. Het Aflaj systeem is een uitzonderlijk mooi bewaard gebleven vorm van landgebruik, die tegenwoordig wordt bedreigd door een dalende grondwaterspiegel.

Source : unesco.nl

Valeur universelle exceptionnelle

Brève synthèse

Les aflaj d'Oman sont des systèmes d'irrigation qui désignent un bien en série composé de cinq éléments constitutifs : le falaj al-Jeela, le falaj al-Muyasser, le falaj Daris, le falaj al-Malki et le falaj al-Khatmein, tous situés dans le nord d’Oman. Quatre d’entre eux sont regroupés au pied du massif al-Jabal al-Akhdar, le cinquième est situé dans la région montagneuse de Sharqiya. L’ensemble du bien représente plus de 3 000 aflaj encore en fonction en Oman.

En termes d’hydrologie, les aflaj sont des systèmes intégrés de collecte des eaux captées dans des nappes souterraines, des sources naturelles ou des eaux de crue, et acheminées via des canaux drainants creusés en tunnel ou en surface pour répondre aux besoins domestiques et agricoles. On distingue trois sortes de systèmes hydrologiques selon le type de source : aini, daoudi et ghaili.

C’est aussi une collection de paysages culturels qui illustrent l’évolution de la société et des établissements humains au cours des âges, sous l’influence des contraintes matérielles et/ou des atouts présentés par leur environnement naturel et des forces sociales, économiques et culturelles successives. Les systèmes d’irrigation sont les éléments constitutifs de paysages interactifs et interdépendants qui ont été façonnés en fonction de la disponibilité de l’eau. Les établissements et les terres agricoles représentent les utilisations traditionnelles des terres qui se sont développées avec les aflaj ; les pratiques et structures de gestion traditionnelles ont également évolué de façon à assurer l’approvisionnement en eau. Ces systèmes étaient vitaux pour l’existence des communautés qu’ils desservaient et dont ils étaient largement tributaires pour les opérations d’entretien et d’investissement.

Ces terres n’ont pu se peupler que parce que des sources d’eau y ont été découvertes et canalisées - ce qui est crucial car les conditions locales sont généralement considérées comme difficiles, avec de faibles précipitations. La gestion des sources d’eau a permis de convertir les sols en terres agricoles (presqu’entièrement dépendantes de l’irrigation), ce qui a rendu possible l’habitat permanent. Les modes de peuplement ont aussi été amplement déterminés par les demandes et les besoins de l’agriculture, avec les tours de guet et les forts érigés en position défensive auprès ou en amont de la shari’a (point de distribution de l’eau), les canaux de falaj, les maisons, les outils et pièces fabriqués à la main avec des matériaux trouvés dans les champs.

La diversité dans la nature et les dimensions des paysages de falaj à l’intérieur du site du patrimoine mondial se traduit par un large éventail de types de construction et modes de peuplement qui ont évolué pour répondre aux divers besoins des habitants. Il y a des forts, des palais fortifiés, des tours de guet, de vastes locaux aux activités multiples, des villages enclavés derrière leurs murailles, des petites maisons individuelles auprès de parcelles agricoles et des logements temporaires où résident des saisonniers venus récolter les dattes.

Le falaj al-Jeela est un excellent exemple de paysage culturel d’un falaj traditionnel qui continue à fonctionner aujourd’hui. 

Le falaj al-Muyasser présente des domaines agricoles d’une grande authenticité. Ses pratiques traditionnelles de gestion sont les mieux préservées de tous les sites. Il apporte également une contribution unique à l’éventail de types de constructions à l’intérieur du bien du patrimoine mondial, avec une particulièrement belle série de baits (forts).

Le falaj Daris dispose du plus large éventail de types de constructions et de caractéristiques de tous les éléments du bien. C’est aussi une remarquable illustration d’un paysage culturel vieux de plusieurs millénaires et encore en usage.

Le falaj Malki offre un paysage dont les types de constructions ne se rencontrent dans aucun autre élément du bien. C’est un exemple exceptionnel de paysage culturel, vieux de plusieurs millénaires, qui fonctionne encore aujourd’hui.

Le falaj al-Khatmein est un remarquable exemple de paysage culturel cohérent et interactif qui est, avec le falaj al-Jeela, le plus intact des paysages d’aflaj encore en usage. C’est le seul élément du bien qui montre comment les eaux du falaj sont utilisées tant à des fins domestiques qu’agricoles. Il contient des modes et des types de constructions qui ne se retrouvent nulle part ailleurs dans le bien.

Le bien témoigne de techniques d'occupation durable des sols extraordinairement inventives dans un environnement naturel rendu difficile. Sans aucun outil ou équipement moderne, les canaux du falaj conduisent l'eau sur des kilomètres par simple gravité. Minutieusement conçus, ils franchissent les obstacles naturels : des aqueducs et des siphons transportent l’eau maintenue à pression constante au-dessus des wadis, tandis que des galeries drainantes sont creusées dans la montagne. Des établissements se sont créés en s’adaptant aux contraintes naturelles ; quand les bonnes terres cultivables étaient rares, ils s’implantaient sur le versant des montagnes et des collines.

Le bien est un exemple éminent de paysage vivant et actif. Les aflaj d’Oman datent de quelques millénaires, mais jouent encore un rôle actif dans la société contemporaine. Malgré les progrès économiques et technologiques notables observés au cours des trente dernières années, l’eau distribuée par des milliers d’aflaj à travers le pays représente à ce jour 30 à 50 % de toute la consommation d’eau en Oman.

C’est un exemple exceptionnel de coopération communautaire et de pratiques traditionnelles de gestion des aflaj parmi lesquels beaucoup sont encore en service aujourd’hui. La distribution de parts d’eau à la communauté locale repose sur le principe du partage temporel, encourageant ainsi l’intérêt collectif à maintenir tous les niveaux d’eau. Le partage du temps est calculé à l’aide du cadran solaire de l’oasis. Puis les exploitants accèdent chacun leur tour à l’heure dite au point de distribution en déplaçant une série de vannes pour récupérer la part d’eau qui alimentera la parcelle de leur choix. Les variations des niveaux d’eau sont contrôlées en augmentant ou en diminuant la superficie irriguée selon les besoins ; par ailleurs, une certaine quantité d’eau et de terres est réservée en permanence au falaj pour financer la gestion et l’entretien journaliers.

Critère (v) : L’ensemble des aflaj représente quelque 3 000 systèmes d’irrigation encore en activité en Oman. Ces anciennes technologies d’ingénierie témoignent d’une utilisation des ressources en eau durable et de longue date pour la culture du palmier et autres productions dans des terres désertiques d’une extrême aridité. Ces systèmes reflètent la dépendance jadis totale des communautés aux aflaj, associée depuis longtemps à une gestion et un partage équitable et efficace de l’eau sous-tendus par des valeurs collectives et de dépendance mutuelle.

Intégrité

Les composantes du bien contiennent les éléments clés des paysages culturels des aflaj (canaux d’irrigation, terres agricoles, zones de peuplement et méthodes de gestion traditionnelles) et leurs interactions apparaissent clairement, mais à des degrés divers sur chaque site. Le bien inscrit reflète l’intégrité de l’ensemble du système.

Bon nombre de zones de peuplement agricole et traditionnel subsistent encore sans presque jamais avoir été l’objet d’interventions récentes. La culture du palmier dattier reste prédominante dans les plantations et les bâtiments historiques existants conservent de manière générale leur aspect d’origine.

Il y a également une bonne continuité de l’usage et de la fonction dans l’ensemble du bien, preuve d’un paysage culturel vivant et dynamique. Tous les sites continuent de bénéficier de la distribution d’eau provenant des principaux canaux du falaj pour irriguer les terres. Le système aflaj reste dépendant des techniques et pratiques de gestion traditionnelles : le flux d’eau continue de s’écouler principalement par gravité ; quelques aqueducs et siphons inversés transportent encore l’eau qui continue d’être distribuée sur la base d’un partage du temps à l’aide de vannes déplacées par chaque exploitant pour récupérer sa part d’eau à l’heure dite.

Les systèmes d’irrigation sont maintenus en bon état, toutefois l’usage et l’entretien permanents de bon nombre de constructions traditionnelles dans ces paysages posent quelques problèmes. De nouveaux projets de développement risquent de compromettre le cadre du système aflaj et de rendre la demande d’eau excessive, tandis que les palmeraies ont tendance à être remplacées par de nouveaux logements. La construction de routes qui longent ou traversent les canaux peut être dommageable.

Authenticité

La conception de base des aflaj proposés pour inscription est parfaitement authentique. On recense quelques interventions modernes comme l’utilisation de béton pour le revêtement des puits, de ciment pour consolider le haut des puits-mères et des puits d’accès, pour certaines des shari’a et dans les canaux de distribution des parcelles agricoles individuelles et des nouvelles constructions autour des peuplements. Mais l’authenticité se voit dans les matériaux traditionnels anciens qui continuent d’être utilisés pour les canaux souterrains. L’authenticité de la gestion des aflaj est incontestable. Le système traditionnel de propriété et de gestion d’une grande efficacité est complété par le soutien administratif, technique et financier du gouvernement. Les aflaj donnent l’exemple de quelques-unes des techniques anciennes d'occupation durable des sols qui perdurent à ce jour. Le système agricole fonctionne encore selon des méthodes traditionnelles. Une grande diversité d’établissements de longue date sont construits avec des matériaux traditionnels.

Éléments requis en matière de gestion et de protection

Le bien est entièrement protégé par la législation. La Loi sur l’organisation et la protection des systèmes d’irrigation aflaj (bien du patrimoine mondial) a été promulguée en 2017 par le décret royal n°39/2017. Les aflaj bénéficient d’une protection supplémentaire en vertu de la Loi de protection de l’eau promulguée par le décret royal n°29/2000. Le décret royal n° 39/2017 protège la totalité des aflaj, tant les canaux souterrains que ceux de surface depuis l’endroit où l’eau est collectée jusqu’à sa distribution dans les champs, l’environnement des canaux, les attributs de la valeur universelle exceptionnelle, la zone tampon, les bâtiments historiques, les monuments, les pratiques traditionnelles et les terres agricoles à l’intérieur du bien.

Les autres lois relatives aux parties prenantes s’appliquent à l’environnement des canaux qui est protégé par la Loi sur la protection des sources d’eau potable contre la pollution promulguée par le décret royal n° 115/2001. Les ensembles de bâtiments historiques sont protégés par la Loi de protection du patrimoine en vertu du décret n° 6/80. L’agriculture est protégée par la Loi du système agricole promulguée par le décret no 48/2006. Toutefois, l’artisanat traditionnel dans la société des aflaj est encouragé et protégé par l’Autorité publique pour le secteur de l’artisanat traditionnel qui a été établie en 2003 en vertu du décret royal no 35/2003.

Le plan de gestion des aflaj s’est achevé en 2009. Une étude topographique des cinq sites a été menée et la délimitation de chaque site a été définie avec précision. Le plan directeur du centre d’accueil des visiteurs et le système d’interprétation ont été exécutés. Une unité spéciale pour le bien du patrimoine mondial a été créée en 2007 au sein du Département des Aflaj. Les systèmes de gestion traditionnels sont encore solides et sont un facteur important pour la bonne gestion du bien.

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