Le Bureau a été informé que le site était, à la date de l'inscription, l'un des plus importants refuges de rhinocéros noirs, avec une population de 500 individus. Les dix derniers rhinocéros sont actuellement en cours de capture pour être transférés et protégés de manière intensive. Le site n'a jamais reçu d'assistance au titre du Fonds du patrimoine mondial pour contrôler le braconnage.
Le Bureau a exprimé sa vive préoccupation quant à la perte de l'une des valeurs du site en tant que patrimoine mondial et a demandé au Centre de travailler en étroite collaboration avec le Secrétariat de CITES et l'UICN pour définir les leçons à tirer de cette regrettable expérience. Ce cas spécifique pourrait être utilisé pour coordonner les efforts à entreprendre par les Secrétariats de la Convention du patrimoine mondial et de la Convention CITES.