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97 Décisions
0 Résolutions
Année (début) : 1991close
Année (fin) : 1991close
Par année
La huitième Assemblée générale des États parties à la Convention concernant la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel s'est tenue à Paris le 2 novembre 1991, pendant la vingt-sixième session de la Conférence générale. Quatre-vingt-un des cent dix-sept États parties à la Convention à la date du 31 octobre 1991 et disposant du droit de vote étaient représentés à cette réunion. Un Etat venant de ratifier la Convention était également représenté. Les représentants de dix États non parties à la Convention ont participé à l'Assemblée générale en qualité d'observateurs. Les ...
7. L'Assemblée générale a élu par acclamation M. A. Wichiencharoen (Thaïlande), Président. L'Assemblée générale a également élu à l'unanimité les représentants du Brésil, du Maroc, du Pakistan et du Sénégal, vice-présidents et Mme C. Delaporta (Grèce), rapporteur.
8. L'ordre du jour de la session a été adopté à l'unanimité après interversion des points 7 et 8 de l'ordre du jour provisoire.
12.Au cours de l'examen du point 7 de l'ordre du jour portant sur les moyens d'assurer au sein du Comité du patrimoine mondial une représentation équitable des différentes régions et cultures du monde, l'Assemblée a souhaité que lui soient présentés régulièrement des tableaux préparés par le Secrétariat, l'un présentant pour chaque État partie les périodes durant lesquelles il a siégé au Comité, l'autre montrant la répartition selon les différents régions de la participation des États membres du Comité. Un délégué a rappelé que la septième Assemblée générale s'était interrogée sur ...
13. Au titre de l'examen du point 8 de son ordre du jour, l'Assemblée générale a été appelée à élire sept membres du Comité du patrimoine mondial, en remplacement des sept membres ci-après, dont le mandat devait expirer à la fin de la vingt-sixième session de la Conférence générale : Bulgarie, Canada, Grèce, Inde, Mexique, République-Unie de Tanzanie et Yémen. Lecture a été donnée à l'Assemblée de la liste des États parties qui avaient présenté leur candidature. Conformément à l'article 16, paragraphe 5, de la Convention, la liste des candidats a été limitée aux États parties qui avaient ...
18. Au titre du point 9 de l'ordre du jour "Questions diverses", le représentant de la Mauritanie, soutenu en cela par un autre délégué, a demandé que soit mentionné dans le compte rendu des débats qu'il regrettait de constater que les élections n'avaient en rien amélioré l'équilibre géographique, dont chacun s'accordait à dire qu'il était nécessaire. En effet, aucun Etat d'Afrique au sud du Sahara n'ayant été élu, cette région se trouvait ainsi représentée au Comité par un seul Etat. Il a, par ailleurs, été suggéré que le Secrétariat prépare pour la prochaine Assemblée générale un projet ...
19. Le Président a tenu à appeler l'attention des délégués sur un projet d'amendement, présenté par 48 États membres de l'UNESCO, portant sur le "renforcement de l'action de l'UNESCO pour la protection du patrimoine culturel mondial" qui devait être soumis à la Conférence générale en séance plénière. Après s'être félicité de l'esprit positif qui s'était dégagé tout au long des débats, le Président a déclaré close la huitième Assemblée générale des États parties à la Convention du patrimoine mondial.
31. Le Bureau a rappelé que le Comité, à sa précédente session, s'était déclaré gravement préoccupé par les menaces d'infection par la brucellose et la tuberculose qui pesaient sur les 3.200 bisons vivant encore dans le parc ainsi que par des opérations d'exploitation forestière. Le Bureau a été informé d'une menace à plus long terme pour l'intégrité du site, résultant d'activités entreprises en amont, le long des fleuves Peace et Athabasca, et notamment de l'agrandissement d'usines de pâtes à papier, d'opérations d'exploitation forestière et de la construction de barrages. Ces ...
Le Bureau a noté avec satisfaction que le Cabinet australien avait décidé de ne pas autoriser d'exploitation minière à Coronation Hill, localité située dans une zone dont il est envisagé de proposer l'incorporation à ce site du patrimoine mondial dans le cadre de la phase III de son extension. L'observateur australien a signalé au Bureau que la phase III envisagée accroîtrait d'encore 6.000 km2 environ la superficie du parc national et a demandé si, pour cette nouvelle extension, il y avait lieu de suivre la procédure fixée pour les nouvelles propositions d'inscription. Le Bureau a ...
Le Bureau a rappelé que le Comité, lorsqu'il avait inscrit ce site sur la Liste du patrimoine mondial en 1988, avait demandé à l'UICN de soumettre en 1991 un rapport sur la mise en place d'un régime de gestion efficace. Il a noté qu'une agence de gestion avait bien été créée, mais que son directeur et son personnel n'avaient été que récemment nommés, que le processus de planification de la gestion souffrait de retards et qu'aucun crédit supplémentaire n'avait été prévu pour les activités de gestion sur le terrain. Le Bureau s'est en outre montré préoccupé du rythme de développement du ...
Le Bureau a rappelé que ces deux sites couvrent la même zone de chutes d'eau qui s'étend sur le territoire des deux pays. Le Bureau a noté avec préoccupation que, pour des raisons touristiques, huit hélicoptères survolent aujourd'hui simultanément le site, causant de graves nuisances acoustiques dans un cadre par ailleurs complètement naturel, et que plus de 7.000 visiteurs avaient déposé des plaintes à ce sujet. Le Bureau a en outre noté que des organisations non gouvernementales locales s'étaient élevées contre ces vols, qu'elles tenaient pour une activité inopportune et contraire aux ...
Le Bureau a noté avec satisfaction qu'une extension importante du site, visant à y englober une vaste zone des monts Rhodope, était actuellement à l'étude. Le Bureau a tenu à encourager les autorités bulgares à mettre en oeuvre ce projet et à envisager de soumettre une demande d'inscription révisée couvrant cette expansion du site. Le Bureau a également pris note des observations du représentant de l'UICN, selon lequel la création d'un site transfrontière avec la Grèce, englobant des zones du territoire grec adjacentes au parc de Pirin, ouvrait des perspectives extrêmement prometteuses. ...
Le Bureau a noté que, pour permettre l'exploitation de certains gisements de gaz sous-jacents au site et appartenant à des intérêts privés, les limites du site 'avaient été modifiées (retrait d'une superficie de 566 ha et adjonction d'une zone de 591 ha de plus grande valeur géologique). Notant avec satisfaction que cette substitution avait reçu l'agrément de l'Agence provinciale des parcs de l'Alberta et que le recours à des techniques de forage oblique éviterait de porter atteinte à l'intégrité du site, le Bureau a néanmoins fait savoir que le forage de puits à l'intérieur du ...
Le Bureau a noté avec préoccupation que, malgré la présence d'un projet de la Communauté Economique Européenne d'envergure, ce parc ne disposait toujours pas d'un plan de gestion ; le parc était toujours soumis à un braconnage intensif, bien qu'en diminution sensible en particulier sur les éléphants; et la perte de six gardes victimes des braconniers avait dû être déplorée au début de l'année. Le Bureau a souhaité adresser un message de condoléance et de sympathie aux familles des victimes; le Bureau a en outre recommandé qu'un plan de gestion soit élaboré et que sur ce point le ...
Le Bureau a noté avec satisfaction que, conformément à la demande exprimée par le Comité à sa précédente session, les autorités panaméennes avaient donné leur accord à l'inscription de ce parc national transfrontière comme site unique sur la Liste du patrimoine mondial. Le Bureau a instamment prié les autorités costariciennes d'apporter au Secrétariat des éclaircissements quant à leur position sur ce sujet. Le Bureau a rappelé qu'à la même session, le Comité avait demandé à ces dernières de revoir les limites du site sur leur territoire sur la base des recommandations formulées par ...
Le Bureau a noté avec satisfaction qu'un projet d'aménagement des infrastructures du parc, financé par la Banque mondiale à concurrence de 500 millions de francs CFA, était en cours; ce projet devrait notamment permettre d'améliorer la surveillance et de lutter contre le braconnage local. Le Bureau a également noté que la Côte d'Ivoire souhaitait se doter d'une station de recherche, destinée à étudier les écosystèmes du parc et à aider à assurer un suivi dans la gestion du site, et a recommandé que le Secrétariat recherche des fonds bi et multilatéraux à cette fin et que cet effort ...
Le Comité a noté avec satisfaction que ce parc bénéficiait d'un appui important de la part de la coopération allemande et du WWF pour la recherche et la conservation du site et l'intégration à l'avenir des zones périphériques dans un plan d'aménagement d'ensemble. Des menaces pesaient toutefois encore sur le site, du fait du braconnage et de l'arrivée de réfugiés du Libéria dans cette zone. Le Bureau a en conséquence souhaité encourager les partenaires de la Côte d'Ivoire a renforcer le projet en cours, en prenant en compte les travaux déjà effectués par la station de recherche de ...
Le Bureau a rappelé que ce site avait été l'une des premières zones naturelles inscrites sur la Liste du patrimoine mondial. Les troubles civils qui avaient éclaté dans la région avaient contraint le personnel de la WCO à l'abandonner en 1985. Depuis lors, rien n'a été fait pour contrôler l'état de conservation du site et l'on ne dispose d'aucun rapport fiable à ce sujet. Un nouveau gouvernement étant en cours de formation, le Bureau a demandé au Secrétariat de prendre contact avec la délégation permanente de l'Ethiopie auprès de l'UNESCO pour rechercher les moyens d'obtenir une ...
Le Secrétariat a indiqué qu'il avait reçu et transmis aux autorités françaises une nouvelle lettre émanant d'une association française de protection de l'environnement qui faisait état de menaces pesant sur le site du fait de deux projets, la construction d'une porcherie industrielle d'une part et d'un parc de loisirs d'autre part. L'observateur de la France a, en réponse, assuré le Bureau que les autorisations n'avaient été données pour aucun de ces deux projets, et que l'extension de la protection du site du Mont Saint Michel au plan national était en cours. Le Bureau a pris acte avec ...
Le Bureau a pris note du rapport de l'UICN concernant le projet d'exploitation d'un gisement de fer qui, s'il se situait en dehors de la réserve naturelle stricte, se trouvait néanmoins à l'intérieur du site inscrit en 1981 sur la Liste du patrimoine mondial. Il a également pris note de l'intervention de l'observateur de la Guinée, présentant les engagements convenus dans le nouveau plan de gestion de la réserve de la biosphère du Mont Nimba, que les autorités guinéennes venaient d’adresser au Secrétariat, et des effortsde ces autorités pour concilier les problèmes du développement ...
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