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Résolution 3 GA 1-6
Ouverture de l’Assemblée générale par le Directeur général

  1. La troisième Assemblée générale des États parties à la Convention pour la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel a eu lieu le 7 octobre 1980 à Belgrade (Yougoslavie), lors de la 21session de la Conférence générale.
  2. Quarante-huit des cinquante-trois États qui étaient parties à la Convention au 7 octobre 1980 et possédaient donc le droit de vote étaient représentés lors de la réunion, à savoir : Afghanistan, Algérie, Argentine, Australie, Bolivie, Brésil, Bulgarie, Canada, Chili, Costa Rica, Chypre, Danemark, Équateur, Égypte, Éthiopie, France, République fédérale d’Allemagne, Ghana, Guinée, Guyane, Haïti, Honduras, Inde, Italie, Jordanie, Mali, Monaco, Maroc, Népal, Nigéria, Norvège, Pakistan, Panama, Pologne, Arabie saoudite, Sénégal, Seychelles, Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste, Sri Lanka, Soudan, Suisse, République arabe syrienne, Tunisie, République-Unie de Tanzanie, États-Unis d’Amérique, Yougoslavie et Zaïre.
  3. Des représentants des États suivants, non parties à la Convention, étaient également présents à l’Assemblée générale en tant qu’observateurs : Autriche, Cuba, Finlande, Japon, Madagascar, Malawi, Pays-Bas, Oman, Thaïlande, Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord et Uruguay. Des représentants du Conseil international des monuments et des sites (ICOMOS), l’une des organisations consultatives auprès du Comité du patrimoine mondial, de l’Organisation arabe pour l’éducation, la culture et les sciences (ALECSO) et du Conseil international des musées (ICOM) ont également assisté à la réunion en tant qu’observateurs
  4. La liste des participants à l’Assemblée générale figure à l’annexe I du présent document.
  5. Conformément au Règlement intérieur de l’Assemblée générale tel qu’adopté par la deuxième Assemblée générale des États parties (à Paris, le 24 novembre 1978), le Secrétariat de l’UNESCO a assuré le Secrétariat de l’Assemblée.
  6. Lors de l’ouverture de la réunion, le Directeur général a déclaré que la Convention, qui rassemblait à présent 53 États parties, était devenue pleinement opérationnelle depuis la première Assemblée générale organisée en 1976. Jusqu’ici, 85 sites culturels et naturels avaient été inscrits sur la Liste du patrimoine mondial. Lors de la sélection de ces biens, le Comité du patrimoine mondial a particulièrement veillé à ce que seuls ceux possédant une valeur universelle exceptionnelle incontestable soient sur la Liste, afin d’assurer la crédibilité de cette dernière. En ce qui concerne l’application de la Convention, le Directeur général a attiré l’attention sur la nécessité de ne favoriser ni le patrimoine culturel, ni le patrimoine naturel, notamment pour parvenir à un meilleur équilibre entre les spécialistes de ces deux domaines parmi les professionnels participant aux travaux du Comité. La valeur revêtue par la Liste du patrimoine mondial, du point de vue de l’information du public comme de l’éducation, a été soulignée par le Directeur général, qui a décrit les différentes activités de sensibilisation déjà menées et celles prévues. Il s’est montré convaincu que ces efforts seraient activement poursuivis au niveau national et a rappelé qu’il avait suggéré d’installer systématiquement une plaque sur chaque site figurant sur la Liste. Le Directeur général a informé l’Assemblée que des activités de coopération technique d’un montant de 550 000 dollars des États-Unis, dont plus de 200 000 dollars dévolus à la formation, avaient déjà été financées dans 18 pays, et qu’en outre, le Comité avait récemment autorisé le financement d’autres activités de coopération technique d’un budget total d’un peu plus de 1 million de dollars. Le Directeur général a conclu en espérant que de nombreux autres États participeraient bientôt au système de sauvegarde institué par la Convention, afin que la communauté internationale dans son ensemble puisse prendre part à cette mission salutaire de protection du patrimoine mondial, culturel et naturel.
Documents
CC-80/CONF.018/6
Compte-rendu des travaux
Contexte de la Résolution
CC-80/CONF.018/6
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