Faites une recherche à travers les informations du Centre du patrimoine mondial.

i
ii
iii
iv
v
vi
vii
viii
ix
x

Parc national de Serengeti

République-Unie de Tanzanie
Facteurs affectant le bien en 2023*
  • Activités illégales
  • Exploitation hydraulique
  • Grandes installations linéaires
  • Infrastructures de transport aérien
  • Infrastructures de transport de surface
  • Infrastructures hydrauliques
  • Sécheresses
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Impacts potentiels d'un projet hydroélectrique au Kenya 
  • Ressources en eau réduites et polluées 
  • Infrastructures hydrauliques
  • Impact potentiel de l'installation de câbles optiques
  • Infrastructures de transport aérien
  • Infrastructures de transport de surface
  • Activités illégales y compris le braconnage 
Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2023

Néant

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2023
Demandes approuvées : 4 (de 1989-1999)
Montant total approuvé : 59 500 dollars E.U.
1999 Project Planning Workshop for Strengthening ... (Approuvé)   7 500 dollars E.U.
1999 UNESCO'S Toyota LandCruisers originally destined for ... (Approuvé)   10 000 dollars E.U.
1990 Additional contribution towards the purchase of a ... (Approuvé)   12 000 dollars E.U.
1989 Purchase of a film-van and accessories for Serengeti ... (Approuvé)   30 000 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2023**

Novembre 2010 : Mission de suivi réactif conjointe Centre du patrimoine mondial/UICN

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2023

Le 13 février 2023, l'État partie a soumis un rapport sur l'état de conservation disponible à https://whc.unesco.org/fr/list/156/documents, comprenant les informations suivantes :

  • le plan de répartition des ressources en eau (WAP) de la Tanzanie pour la rivière Mara, accompagné d’une évaluation des débits environnementaux, a été finalisé et approuvé en 2020. Il est envisagé de l'harmoniser avec celui du Kenya en élaborant un plan conjoint de répartition des ressources en eau (JWAP). Ce plan sera coordonné par l’intermédiaire de la Communauté d'Afrique de l'Est par le Secrétariat de la Commission du bassin du lac Victoria (LVBC) ;
  • l'État partie de la Tanzanie n'a pas d'autres informations à fournir sur les projets de construction de barrages dans le bassin de la rivière Mara au Kenya ;
  • la proposition d'annexer le golfe de Speke au parc national de Serengeti a été approuvée. La modification des limites et l'indemnisation des communautés affectées seront effectuées conformément à la décision du Comité et sous réserve des lois tanzaniennes en vigueur en la matière ;
  • les documents demandés dans la décision 44 COM 7B.36 seront mis à disposition lors de la mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN demandée en 2018 et 2021 ;
  • la confirmation réitérée du fait que le tronçon de la route nord qui traverse le Parc national du Serengeti de Tabora B à la porte Klein à l’intérieur du bien sera maintenu avec un revêtement en gravier et restera sous la direction de TANAPA ;
  • l’engagement renouvelé de soumettre tout projet de développement majeur à une étude d'impact environnemental et social (EIES), en tenant compte des impacts cumulatifs à court et à long terme ;
  • la volonté d’accueillir la mission de suivi réactif demandée après avoir confirmé les dates et convenu des termes de référence (TdR). L'État partie est également disposé à inviter l'État partie du Kenya à se joindre à la mission, comme demandé ;
  • la volonté de coopérer avec l'État partie du Kenya pour la proposition d'inscription de « La vallée du Grand Rift africain – Le Maasai Mara », qui figure sur la liste indicative du Kenya.

Le 14 mars 2023, le Centre du patrimoine mondial a transmis à l'État partie des informations reçues de tiers concernant la construction d'un terrain de golf près du Fort Ikoma, à proximité du bien. Selon les informations reçues, le terrain de golf était en cours de construction et une partie du projet était achevée. À ce jour, aucune réponse n'a été reçue de la part de l'État partie.

Le 15 mars 2023, le Centre du patrimoine mondial a envoyé un courrier à l'État partie pour lui demander une lettre d'invitation pour une mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN. Le 6 juin 2023, l'État partie a envoyé une lettre d’invitation au Centre du patrimoine mondial pour effectuer cette mission. Le Centre du patrimoine mondial est en contact avec l'UICN pour fixer les dates de cette mission.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2023

Les efforts déployés actuellement par la Tanzanie et le Kenya pour élaborer un plan conjoint de répartition des ressources en eau (JWAP) pour le bassin de la rivière Mara sont accueillis favorablement. Toutefois, il est préoccupant de constater qu'il n’existe aucune information actualisée sur l'état d'avancement de l’ensemble des projets de barrages dans le bassin de la rivière Mara, en particulier les différents projets proposés au Kenya. Il faut rappeler que l'eau de la rivière Mara et de ses affluents est vitale pour la survie de la faune sauvage du bien, pour maintenir le fonctionnement écologique de l'écosystème plus large du Serengeti et la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien et du Réseau des lacs du Kenya dans la vallée du Grand Rift, bien du patrimoine mondial. Les niveaux d'eau de la rivière Mara seraient déjà bas en raison de la récente sécheresse au Kenya, qui est probablement liée au changement climatique. Il est donc recommandé au Comité de réitérer sa préoccupation à propos du projet de barrage envisagé et de prier instamment de ne prendre aucune décision concernant le développement d’infrastructures qui pourraient affecter le débit d'eau de la rivière Mara avant que le JWAP ne soit approuvé et que les impacts sur la VUE du bien ne soient évalués de manière approfondie. L'évaluation de l'état des projets de barrage et de leur impact potentiel sur la VUE du bien sera au cœur de la mission de suivi réactif demandée ; il est donc essentiel que l'État partie du Kenya fasse le point sur l'état d’avancement des projets de barrage avant la mission et s'assure qu’ils figurent dans le programme de la mission.

L'approbation du projet d'inclusion du golfe de Speke dans le parc est accueillie favorablement, car cela permettrait à la faune sauvage du bien d'avoir un accès permanent à l'approvisionnement en eau du lac Victoria, indispensable en cas de sécheresse. Lorsque l'inclusion dans le parc national sera achevée, il est recommandé que l'État partie prépare une extension du bien du patrimoine mondial pour refléter le nouveau zonage du parc.

Il est regrettable que l'État partie n'ait pas soumis les documents demandés par le Comité, c’est-à-dire : (1) le plan de gestion du bien 2014-2024 approuvé, comprenant des informations sur toute modification du zonage du bien, (2) le rapport sur le choix de l'option retenue pour le tracé de la route de contournement sud, l'étude de faisabilité et l'avant-projet, comprenant une carte des tracés envisagés et (3) l'évaluation environnementale stratégique (EES) et le plan directeur pour le développement du système global de transport et de commerce. Il est important que ces documents soient transmis au Centre du patrimoine mondial avant la mission de suivi réactif prévue.

Le rapport de l'État partie ne fournit pas non plus de mise à jour sur l'état de la route de contournement sud comme alternative au développement de la route nord qui traverse la partie nord du bien. Si l'on peut se féliciter que l'État partie ait reconfirmé son engagement à ce que le tronçon de la route nord qui traverse le Parc national du Serengeti dans le périmètre du bien sera maintenu avec un revêtement en gravier et restera sous la direction de TANAPA, il n'a pas précisé son engagement antérieur à réserver la route principalement à des fins administratives et touristiques (Décision 35 COM 7B.7), comme le demandait la décision précédente.

L'information selon laquelle un terrain de golf est en construction près de Fort Ikoma est préoccupante. Cet endroit fait partie de la zone de gestion de la faune sauvage d'Ikoma et, bien qu'il ne soit pas inclus dans le bien, il est situé sur la principale voie de migration des gnous. Il est donc probable que ce projet entravera encore davantage la migration. Il est de plus en plus évident que les gnous modifient leurs schémas de migration pour éviter les infrastructures anthropogéniques. La densité croissante de lodges, de camps de tentes et d'autres infrastructures touristiques dans le bien et le long des itinéraires de migration dans l'écosystème plus large du Serengeti est donc susceptible d'avoir un impact sur la migration des gnous, l'un des principaux attributs de la valeur universelle exceptionnelle. Compte tenu de son impact potentiel sur la VUE, le développement du terrain de golf devrait faire l'objet d'une EIES complète, conformément au nouveau Guide et boîte à outils pour les évaluations d'impact dans un contexte de patrimoine mondial.

Notant que l’État partie a invité la mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN comme demandé par le Comité (Décision 44 COM 7B.15) le 6 juin 2023, il est recommandé que la mission ait lieu dans les meilleurs délais.

Décisions adoptées par le Comité en 2023
45 COM 7B.76
Parc national de Serengeti (République-Unie de Tanzanie) (N 156)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/23/45.COM/7B.Add,
  2. Rappelant les décisions 35 COM 7B.7, 38 COM 7B.94, 42 COM 7B.96 and 44 COM 7B.[86] adoptées à ses 35e (UNESCO, 2011), 38e (Doha, 2014) et 42e (Manama, 2018) sessions et à sa 44e session élargie (Fuzhou/en ligne, 2021) respectivement,
  3. Exprime sa préoccupation constante concernant les projets de barrages proposés en amont du bien dans le bassin de la rivière Mara, qui pourraient avoir un impact négatif sur la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du Parc national de Serengeti et du Réseau des lacs du Kenya dans la vallée du Grand Rift, biens du patrimoine mondial;
  4. Se félicite des efforts déployés actuellement par les États parties de la République-Unie de Tanzanie et du Kenya pour élaborer un plan conjoint de répartition des eaux (JWAP) pour le bassin de la rivière Mara, mais note avec préoccupation qu'il n’existe aucune information actualisée sur l'état d'avancement de l’ensemble des projets de barrages dans le bassin du fleuve Mara, en particulier les différents projets proposés au Kenya ;
  5. Réitère sa demande aux États parties de la République-Unie de Tanzanie et du Kenya de soumettre au Centre du patrimoine mondial dans les meilleurs délais, et avant la mission de suivi réactif demandée, un état des lieux actualisé de tous les projets de barrages proposés dans le bassin de la rivière Mara et les prie de nouveau instamment de ne prendre aucune décision sur le développement d’infrastructures qui pourraient affecter le débit d'eau dans la rivière Mara avant que le JWAP ne soit approuvé et que les impacts sur la VUE du bien ne soient évalués de manière approfondie ;
  6. Se félicite également de l'approbation par l'État partie de l'extension du Parc national de Serengeti pour inclure le golfe de Speke, important sur le plan écologique, et encourage l'État partie à soumettre une modification des limites pour refléter cette extension sur le bien du patrimoine mondial, conformément aux dispositions des Orientations, dès que le processus d'extension sera achevé conformément à la législation nationale ;
  7. Regrette qu'en dépit de sa précédente demande, l'État partie n'ait pas soumis les dfférents documents demandés dans la décision 42 COM 7B.96 et prie de nouveau instamment l'État partie de soumettre les documents suivants dans les meilleurs délais, et avant la mission de suivi réactif demandée :
    1. le plan de gestion du bien 2014-2024 approuvé, y compris les informations concernant tout changement de zonage du bien,
    2. le rapport sur le choix des options de tracé, l'étude de faisabilité et l'avant-projet, y compris une carte des tracés proposés,
    3. l'évaluation environnementale stratégique (EES) et le plan directeur pour le développement du système global de transport et de commerce ;
  8. Tout en notant que l'État partie confirme qu’il maintiendra la route nord traversant le bien avec un revêtement en gravier sous la direction des parcs nationaux de Tanzanie (TANAPA), réitère sa demande à l’État partie de confirmer son engagement précédent de réserver la route principalement à des fins administratives et touristiques (Décision 35 COM 7B.7) et d'abandonner la construction de l'autoroute nord envisagée (Décision 38 COM 7B.94) ;
  9. Se déclare préoccupé par le projet de construction d'un terrain de golf dans l'aire de gestion de la faune sauvage d'Ikoma, adjacente au bien et constituant un couloir de migration essentiel pour les gnous, et demande à l'État partie, compte tenu de son impact potentiel sur la VUE du bien, de suspendre la poursuite de ce projet tant qu'une étude d'impact environnemental et social (EIES) complète, conforme au nouveau Guide et boîte à outils pour les études d'impact dans un contexte de patrimoine mondial, n’aura pas été soumise au Centre du patrimoine mondial et examinée par l'UICN, conformément aux exigences des Orientations ;
  10. Note également avec préoccupation que la densité croissante de lodges, de camps de tentes et d'autres infrastructures touristiques dans le bien et le long des itinéraires de migration dans l'écosystème plus large du Serengeti est de plus en plus susceptible d'avoir un impact sur la migration des gnous, l'un des principaux attributs de la VUE ;
  11. Note également que l'État partie a finalement invité la mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN demandée et demande également que la mission soit effectuée dans les meilleurs délais pour examiner l'état de conservation du bien, notamment toutes les menaces et les problèmes évoqués ci-dessus, ainsi que pour évaluer la mise en œuvre des décisions précédentes du Comité et des recommandations de la mission ;
  12. Demande à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2024, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 46e session. 
Projet de décision : 45 COM 7B.76

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/23/45.COM/7B.Add,
  2. Rappelant les décisions 35 COM 7B.7, 38 COM 7B.94, 42 COM 7B.96 et 44 COM 7B.15 adoptées à ses 35e (UNESCO, 2011), 38e (Doha, 2014) et 42e (Manama, 2018) sessions et à sa 44e session élargie (Fuzhou/en ligne, 2021) respectivement,
  3. Exprime sa préoccupation constante concernant les projets de barrages proposés en amont du bien dans le bassin de la rivière Mara, qui pourraient avoir un impact négatif sur la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du Parc national de Serengeti et du Réseau des lacs du Kenya dans la vallée du Grand Rift, biens du patrimoine mondial ;
  4. Se félicite des efforts déployés actuellement par les États parties de la République-Unie de Tanzanie et du Kenya pour élaborer un plan conjoint de répartition des eaux (JWAP) pour le bassin de la rivière Mara, mais note avec préoccupation qu'il n’existe aucune information actualisée sur l'état d'avancement de l’ensemble des projets de barrages dans le bassin du fleuve Mara, en particulier les différents projets proposés au Kenya ;
  5. Réitère sa demande aux États parties de la République-Unie de Tanzanie et du Kenya de soumettre au Centre du patrimoine mondial dans les meilleurs délais, et avant la mission de suivi réactif demandée, un état des lieux actualisé de tous les projets de barrages proposés dans le bassin de la rivière Mara et les prie de nouveau instamment de ne prendre aucune décision sur le développement d’infrastructures qui pourraient affecter le débit d'eau dans la rivière Mara avant que le JWAP ne soit approuvé et que les impacts sur la VUE du bien ne soient évalués de manière approfondie ;
  6. Se félicite également de l'approbation par l'État partie de l'extension du Parc national de Serengeti pour inclure le golfe de Speke, important sur le plan écologique, et encourage l'État partie à soumettre une modification des limites pour refléter cette extension sur le bien du patrimoine mondial, conformément aux dispositions des Orientations, dès que le processus d'extension sera achevé conformément à la législation nationale ;
  7. Regrette qu'en dépit de sa précédente demande, l'État partie n'ait pas soumis les dfférents documents demandés dans la décision 42 COM 7B.96 et prie de nouveau instamment l'État partie de soumettre les documents suivants dans les meilleurs délais, et avant la mission de suivi réactif demandée :
    1. le plan de gestion du bien 2014-2024 approuvé, y compris les informations concernant tout changement de zonage du bien,
    2. le rapport sur le choix des options de tracé, l'étude de faisabilité et l'avant-projet, y compris une carte des tracés proposés,
    3. l'évaluation environnementale stratégique (EES) et le plan directeur pour le développement du système global de transport et de commerce ;
  8. Tout en notant que l'État partie confirme qu’il maintiendra la route nord traversant le bien avec un revêtement en gravier sous la direction des parcs nationaux de Tanzanie (TANAPA), réitère sa demande à l’État partie de confirmer son engagement précédent de réserver la route principalement à des fins administratives et touristiques (Décision 35 COM 7B.7) et d'abandonner la construction de l'autoroute nord envisagée (Décision 38 COM 7B.94) ;
  9. Se déclare préoccupé par le projet de construction d'un terrain de golf dans l'aire de gestion de la faune sauvage d'Ikoma, adjacente au bien et constituant un couloir de migration essentiel pour les gnous, et demande à l'État partie, compte tenu de son impact potentiel sur la VUE du bien, de suspendre la poursuite de ce projet tant qu'une étude d'impact environnemental et social (EIES) complète, conforme au nouveau Guide et boîte à outils pour les études d'impact dans un contexte de patrimoine mondial, n’aura pas été soumise au Centre du patrimoine mondial et examinée par l'UICN, conformément aux exigences des Orientations ;
  10. Note également avec préoccupation que la densité croissante de lodges, de camps de tentes et d'autres infrastructures touristiques dans le bien et le long des itinéraires de migration dans l'écosystème plus large du Serengeti est de plus en plus susceptible d'avoir un impact sur la migration des gnous, l'un des principaux attributs de la VUE ;
  11. Note également que l'État partie a finalement invité la mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN demandée et demande également que la mission soit effectuée dans les meilleurs délais pour examiner l'état de conservation du bien, notamment toutes les menaces et les problèmes évoqués ci-dessus, ainsi que pour évaluer la mise en œuvre des décisions précédentes du Comité et des recommandations de la mission ;
  12. Demande à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2024, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 46e session.
Année du rapport : 2023
République-Unie de Tanzanie
Date d'inscription : 1981
Catégorie : Naturel
Critères : (vii)(x)
Documents examinés par le Comité
arrow_circle_right 45COM (2023)
Exports

* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


top