Faites une recherche à travers les informations du Centre du patrimoine mondial.

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Parc national de Serengeti

République-Unie de Tanzanie
Facteurs affectant le bien en 2018*
  • Activités illégales
  • Exploitation hydraulique
  • Grandes installations linéaires
  • Infrastructures de transport aérien
  • Infrastructures de transport de surface
  • Infrastructures hydrauliques
  • Sécheresses
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Impacts potentiels d'un projet hydroélectrique au Kenya 
  • Ressources en eau réduites et polluées 
  • Infrastructures hydrauliques
  • Impact potentiel de l'installation de câbles optiques
  • Infrastructures de transport aérien
  • Infrastructures de transport de surface
  • Activités illégales y compris le braconnage 
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2018
Demandes approuvées : 4 (de 1989-1999)
Montant total approuvé : 59 500 dollars E.U.
1999 Project Planning Workshop for Strengthening ... (Approuvé)   7 500 dollars E.U.
1999 UNESCO'S Toyota LandCruisers originally destined for ... (Approuvé)   10 000 dollars E.U.
1990 Additional contribution towards the purchase of a ... (Approuvé)   12 000 dollars E.U.
1989 Purchase of a film-van and accessories for Serengeti ... (Approuvé)   30 000 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2018**

Novembre 2010: Mission de suivi réactif conjointe Centre du patrimoine mondial/UICN

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2018

L’État partie a soumis un rapport sur l’état de conservation le 1er décembre 2017, disponible à http://whc.unesco.org/fr/list/156/documents, contenant les informations suivantes :

  • Les opérations anti-braconnage à travers l’écosystème de Serengeti ont été intensifiées grâce à la présence de patrouilles conjointes détachées par les États parties de Tanzanie et du Kenya. Le nombre d’éléphants victimes de braconnage entre 2014/15 et 2016/17 a régressé de 16 à 8 ; aucun braconnage de rhinocéros n’a été signalé ; il y a davantage de véhicules de patrouille et d’avions légers de surveillance aérienne, de même qu’un plus grand nombre de braconniers appréhendés (de 845 à 1 028) ;
  • Selon les rapports de recherche, plusieurs facteurs peuvent avoir contribué au mouvement des éléphants de Mara vers Serengeti, y compris la disponibilité de l’eau à Serengeti, la perte d’habitat progressive et l’installation de clôtures dans le bassin de la Mara ;
  • L’évaluation stratégique environnementale (ESE) du plan directeur d’aménagement du système global de transport et de commerce a été finalisée et le plan approuvé. Ce dernier ne prévoit pas d’évolution majeure dans le bien ;
  • Les consultations des parties prenantes ont traité de l’annexion du Golfe de Speke ; la proposition est actuellement examinée par les ministères compétents avant d’être soumise au Parlement ;
  • L’élaboration de l’étude de faisabilité et la conception préliminaire de la voie de contournement aménagée au sud de Serengeti a débuté et sera finalisée d’ici septembre 2018, tandis qu’un avant-projet de choix d’options de routes est d’ores et déjà disponible ;
  • L’évaluation d’impact environnemental (EIE) des options de revêtement de la chaussée pour le tronçon Naabi Hill-Seronera traversant le bien sera entreprise une fois que les travaux de voierie auront progressé pour le bien du patrimoine mondial de la zone de conservation de Ngorongoro ;
  • La Tanzanie et le Kenya cherchent à pouvoir établir un plan de gestion conjoint du bassin de la rivière Mara ;
  • L’EIE relative à l’extension de l’aéroport de Mugumu a été révisée et approuvée, mais sa mise en œuvre n’a pas commencé en raison de contraintes financières.

Le 16 mars 2018, l’État partie a soumis l’évaluation d’impact environnemental et social (EIES) de l’aéroport de Mugumu (datée de juillet 2014), ainsi que la proposition d’annexion du Golfe de Speke.

Dans sa lettre du 2 mai 2017, le Centre du patrimoine mondial a demandé des renseignements aux États parties du Kenya et de Tanzanie sur une série de barrages envisagés dans les deux pays, en amont du bien, susceptibles d’affecter le cours de la rivière Mara. Le 13 février 2018, l’État partie du Kenya a confirmé que les barrages de Norera et Mugango installés sur les rivières Amala et Nyangores ont des EIE préliminaires. Une EIE a été réalisée pour la cascade de barrages de l’Ewaso Ng’iro.

Le 27 septembre 2017, le Centre du patrimoine mondial a envoyé à l’initiateur du projet et à l’État partie une analyse de l’UICN sur l’énoncé du projet prévoyant la construction du lodge touristique de Belabela dans l’enceinte du parc.

Le 2 novembre 2016 et le 15 janvier 2018, le Centre du patrimoine mondial a sollicité les observations de l’État partie sur le processus d’appel d’offres pour la construction de la grand-route Arusha-Musoma traversant la partie Nord du bien.

Le 5 décembre 2017, le Centre du patrimoine mondial a demandé à l’État partie de confirmer la disponibilité d’un nouveau plan de gestion du bien, suite à l’expiration du plan général de gestion 2006-2016 et de le soumettre au Centre du patrimoine mondial.

La Tanzanie n’a pas encore répondu jusqu’à maintenant aux demandes susmentionnées.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2018

Le succès obtenu face au braconnage d’éléphants et de rhinocéros est appréciable. Il est extrêmement important de continuer à développer une collaboration effective avec l’État partie du Kenya dans le bassin de la Mara et d’élaborer un plan de gestion conjoint du bassin afin de gérer durablement les ressources en eau qui maintiennent l’écosystème de Serengeti et la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien. La construction de barrages servant à la production d’hydroélectricité et à l’irrigation en amont du bien au Kenya est d’autant plus préoccupante que ces derniers pourraient affecter le débit d’eau. Les impacts potentiels des barrages sur le lac Natron en Tanzanie pourraient se répercuter indirectement sur l’intégrité du système lacustre du Kenya dans le bien du patrimoine mondial de la Grande vallée du Rift au Kenya. Toutes les études préliminaires disponibles et les EIE complètes de ces barrages devraient être soumises au Centre du patrimoine mondial pour examen par l’UICN avant toute prise de décision.

Notant que l’ESE et le plan directeur d’aménagement du système global de transport et de commerce sont finalisés, il est recommandé que le Comité réitère sa demande (décision 40 COM 7B.83) de soumettre ces documents au Centre du patrimoine mondial pour examen.

Les progrès accomplis dans l’étude de faisabilité et la conception préliminaire d’options pour la voie de contournement de la partie sud sont louables. Le rapport présentant une sélection d’options de routes, l’étude de faisabilité et la conception préliminaire, accompagnée d’une carte des alignements proposés, devraient être soumis pour examen au Centre du patrimoine mondial dès que ces dossiers seront disponibles. Comme les travaux de construction ont semble-t-il commencé sur la route allant de Mbo wa Mbu à Loliondo, il est important que le Comité rappelle à l’État partie ses engagements pris en 2011, de conserver le tronçon de 53 km de la Porte Kleins à Tabora B qui traverse le bien comme une route en gravier, sous la direction des Parc nationaux de Tanzanie (TANAPA), essentiellement réservée à des fins touristiques et administratives (décision 35 COM 7B.7), et en 2014, d’abandonner le projet de construction de la route nord à travers le bien (décision 38 COM 7B.94).

L’idée de construire un gîte touristique permanent dans la zone du bien « peu usitée », près d’une route de migration du gnou, paraît incompatible avec le plan général de gestion (PGG) 2006-2016 et devrait faire l’objet d’une EIE conformément à la Note consultative de l’UICN et soumise pour examen. Le statut du PGG obsolète est à confirmer, tandis que le nouveau plan de gestion devrait être soumis au Centre du patrimoine mondial.

La proposition d’annexion du Golfe de Speke est d’autant mieux accueillie qu’elle ajoutera une aire écologiquement importante au bien. Compte tenu des éventuels coûts socio-économiques de l’extension, il faudrait garantir un juste dédommagement à toutes les communautés affectées qui résidaient légalement dans la zone proposée. Le Centre du patrimoine mondial devrait être tenu informé des progrès de l’extension souhaitée, ce qui nécessiterait une demande de modification des limites.

La modernisation de l’aéroport de Mugumu a été repensée suite aux plans initiaux de construction d’un aéroport international et ne risquera plus de porter atteinte à la VUE du bien. En cas d’exécution du projet, l’État partie devra contrôler et veiller à atténuer tout impact potentiel indirect sur le bien.

Compte tenu des projets de barrages envisagés dans le bassin de la Mara, il est recommandé que le Comité demande à l’État partie d’inviter une mission de suivi réactif conjointe Centre du patrimoine mondial/UICN sur le bien, qui devrait aussi rencontrer des représentants de l’État partie du Kenya afin de mesurer les risques que pose la série de barrages prévue en amont du bien, ainsi que tout autre équipement susceptible d’avoir des impacts potentiels sur le bien. La mission devrait également donner suite aux décisions et recommandations des missions précédentes et évaluer le cadre de gestion et de gouvernance actuel du bien.

Décisions adoptées par le Comité en 2018
42 COM 7B.96
Parc national de Serengeti (République-Unie de Tanzanie) (N 156)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/18/42.COM/7B,
  2. Rappelant les décisions 35 COM 7B.7, 38 COM 7B.94 et 40 COM 7B.83 adoptées à ses 35e (UNESCO, 2011), 38e (Doha, 2014) et 40e (Istanbul/UNESCO, 2016) sessions respectivement,
  3. Salue les efforts de l’État partie dans sa lutte contre le braconnage, contribuant à réduire progressivement le braconnage des éléphants et continuer d’éviter toute forme de braconnage de rhinocéros dans le bien ;
  4. Observe avec vive inquiétude qu’une série de barrages a été proposée en amont du bien au Kenya, ce qui pourrait avoir une incidence négative sur la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du Parc national de Serengeti et le système lacustre du Kenya dans les biens du patrimoine mondial de la Grande vallée du Rift, et demande à l’État partie du Kenya de soumettre sans plus tarder pour examen au Centre du patrimoine mondial toutes les études préliminaires et les évaluations d’impact environnemental (EIE) complètes qui sont disponibles ;
  5. Réitère sa demande aux États parties de Tanzanie et du Kenya d’élaborer et de mettre en œuvre un plan de gestion conjoint du bassin de la rivière Mara afin de garantir une gestion durable des ressources en eau, et demande également à l’État partie de Tanzanie d’informer le Centre du patrimoine mondial sur l’état d’avancement du plan de gestion général 2006-2016 ;
  6. Apprécie le fait que l’État partie entreprenne une étude de faisabilité parallèlement à un avant-projet considérant deux options pour la voie de contournement au sud de Serengeti et demande en outre à l’État partie de les soumettre au Centre du patrimoine mondial pour examen dès qu’ils seront disponibles :
    1. Le rapport présentant une sélection d’options de routes et l’étude de faisabilité avec un avant-projet, incluant une carte des alignements proposés, dont l’achèvement est prévu d’ici la fin septembre 2018,
    2. L’évaluation stratégique environnementale (ESE) et le plan directeur d’aménagement du système global de transport et de commerce ;
  7. Demande par ailleurs à l’État partie de réaffirmer ses engagements de maintenir le revêtement de gravier sur la route Nord qui traverse le bien, sous la direction des Parcs nationaux de Tanzanie (TANAPA), de la réserver essentiellement à des fins touristiques et administratives (décision 35 COM 7B.7) et d’abandonner la construction de la grand-route Nord proposée (décision 38 COM 7B.94) ;
  8. Considère que le lodge de Belabela proposé dans la « zone peu usitée » du bien, près d’une route de migration du gnou, pourrait constituer un péril potentiel pour la VUE du bien et demande de plus à l’État partie d’entreprendre une EIE du projet de lodge, ainsi qu’une évaluation spécifique des impacts potentiels sur la VUE, conformément à la Note consultative du patrimoine mondial de l’UICN sur l’évaluation environnementale, et de la soumettre pour examen au Centre du patrimoine mondial ;
  9. Se félicite de la proposition d’annexion du Golfe de Speke écologiquement important dans le bien, ce qui nécessiterait de demander une modification des limites conformément aux dispositions appropriées énoncées dans les Orientations, et encourage l’État partie à assurer le dédommagement des communautés affectées qui résidaient légalement dans l’aire proposée et d’en tenir informé le Centre du patrimoine mondial ;
  10. Note que, d’après l’EIE soumise pour examen, la modernisation de l’aéroport de Mugumu a été fortement restreinte par rapport aux plans initiaux de construction d’un aéroport international, considère également que cela ne représentera plus de sérieux péril pour la VUE du bien, mais demande en outre à l’État partie de contrôler et atténuer tous les impacts potentiels indirects au cas où le projet serait exécuté ;
  11. Demande également à l’État partie d’inviter une mission de suivi réactif conjointe Centre du patrimoine mondial/UICN sur le bien, qui devrait aussi s’entretenir avec les représentants de l’État partie du Kenya afin d’évaluer les risques que posent les barrages proposés en amont du bien au Kenya et tout autre aménagement susceptible de porter atteinte à la VUE du bien ;
  12. Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2019, un rapport d’étape et d’ici le 1er décembre 2019, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 44e session en 2020.
Projet de décision : 42 COM 7B.96

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/18/42.COM/7B,
  2. Rappelant les décisions 35 COM 7B.7, 38 COM 7B.94 et 40 COM 7B.83 adoptées à ses 35e (UNESCO, 2011), 38e (Doha, 2014) et 40e (Istanbul/UNESCO, 2016) sessions respectivement,
  3. Salue les efforts de l’État partie dans sa lutte contre le braconnage, contribuant à réduire progressivement le braconnage des éléphants et continuer d’éviter toute forme de braconnage de rhinocéros dans le bien ;
  4. Observe avec vive inquiétude qu’une série de barrages a été proposée en amont du bien au Kenya, ce qui pourrait avoir une incidence négative sur la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du Parc national de Serengeti et le système lacustre du Kenya dans les biens du patrimoine mondial de la Grande vallée du Rift, et demande à l’État partie du Kenya de soumettre sans plus tarder pour examen au Centre du patrimoine mondial toutes les études préliminaires et les évaluations d’impact environnemental (EIE) complètes qui sont disponibles ;
  5. Réitère sa demande aux États parties de Tanzanie et du Kenya d’élaborer et de mettre en œuvre un plan de gestion conjoint du bassin de la rivière Mara afin de garantir une gestion durable des ressources en eau, et demande également à l’État partie de Tanzanie d’informer le Centre du patrimoine mondial sur l’état d’avancement du plan de gestion général 2006-2016 ;
  6. Apprécie le fait que l’État partie entreprenne une étude de faisabilité parallèlement à un avant-projet considérant deux options pour la voie de contournement au sud de Serengeti et demande en outre à l’État partie de les soumettre au Centre du patrimoine mondial pour examen dès qu’ils seront disponibles :
    1. Le rapport présentant une sélection d’options de routes et l’étude de faisabilité avec un avant-projet, incluant une carte des alignements proposés, dont l’achèvement est prévu d’ici la fin septembre 2018,
    2. L’évaluation stratégique environnementale (ESE) et le plan directeur d’aménagement du système global de transport et de commerce ;
  7. Demande par ailleurs à l’État partie de réaffirmer ses engagements de maintenir le revêtement de gravier sur la route Nord qui traverse le bien, sous la direction des Parcs nationaux de Tanzanie (TANAPA), de la réserver essentiellement à des fins touristiques et administratives (décision 35 COM 7B.7) et d’abandonner la construction de la grand-route Nord proposée (décision 38 COM 7B.94) ;
  8. Considère que le lodge de Belabela proposé dans la « zone peu usitée » du bien, près d’une route de migration du gnou, pourrait constituer un péril potentiel pour la VUE du bien et demande de plus à l’État partie d’entreprendre une EIE du projet de lodge, ainsi qu’une évaluation spécifique des impacts potentiels sur la VUE, conformément à la Note consultative du patrimoine mondial de l’UICN sur l’évaluation environnementale, et de la soumettre pour examen au Centre du patrimoine mondial ;
  9. Se félicite de la proposition d’annexion du Golfe de Speke écologiquement important dans le bien, ce qui nécessiterait de demander une modification des limites conformément aux dispositions appropriées énoncées dans les Orientations, et encourage l’État partie à assurer le dédommagement des communautés affectées qui résidaient légalement dans l’aire proposée et d’en tenir informé le Centre du patrimoine mondial ;
  10. Note que, d’après l’EIE soumise pour examen, la modernisation de l’aéroport de Mugumu a été fortement restreinte par rapport aux plans initiaux de construction d’un aéroport international, considère également que cela ne représentera plus de sérieux péril pour la VUE du bien, mais demande en outre à l’État partie de contrôler et atténuer tous les impacts potentiels indirects au cas où le projet serait exécuté ;
  11. Demande également à l’État partie d’inviter une mission de suivi réactif conjointe Centre du patrimoine mondial/UICN sur le bien, qui devrait aussi s’entretenir avec les représentants de l’État partie du Kenya afin d’évaluer les risques que posent les barrages proposés en amont du bien au Kenya et tout autre aménagement susceptible de porter atteinte à la VUE du bien ;
  12. Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1erfévrier 2019, un rapport d’étape et d’ici le 1er décembre 2019, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 44e session en 2020.
Année du rapport : 2018
République-Unie de Tanzanie
Date d'inscription : 1981
Catégorie : Naturel
Critères : (vii)(x)
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2017) .pdf
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* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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