Faites une recherche à travers les informations du Centre du patrimoine mondial.

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Tyr

Liban
Facteurs affectant le bien en 2021*
  • Cadre juridique
  • Eau (pluie/nappe phréatique)
  • Erosion et envasement / dépôt
  • Habitat
  • Impacts des activités touristiques / de loisirs des visiteurs
  • Infrastructures de transport de surface
  • Ressources humaines
  • Système de gestion/plan de gestion
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Nécessité de mettre en place une campagne internationale de sauvegarde (problème résolu)
  • Construction d'un complexe touristique (remblaiement de la baie) (problème résolu)
  • Projet de construction d'un grand marché aux poissons (problème résolu)
  • Projet de construction d'une autoroute côtière (problème résolu)
  • Projet de construction d'un nouveau port de plaisance touristique (problème résolu)
  • Projet d'autoroute (problème résolu)
  • Besoin d'un plan urbain général pour la ville
  • Absence de mécanisme de gestion (y compris de législation)
  • Habitat : Construction non contrôlée de logements à proximité du bien
  • Système de gestion/plan de gestion : Absence d'un plan de gestion, limites imprécises du bien et statut juridique sur l'étendue du bien
  • Cadre juridique : Cadre juridique insuffisant pour une zone tampon efficace, ainsi que l'absence d'une zone de protection maritime autour des côtes de Tyr
  • Ressources humaines : Système de gestion affecté par la pénurie de ressources humaines qui entraîne directement une insuffisance d'entretien, de contrôle de la végétation et de prévention des incendies et l'absence d'un plan de préservation cohérent
  • Infrastructures de transport : planification des grands axes routiers à proximité du bien et intentions locales répétées de réaménagement du port
  • Conditions environnementales locales en bord de mer affectant la structure physique, en particulier les surfaces en pierre tendre
  • Drainage insuffisant des eaux stagnantes et débit incontrôlé des eaux de surface nuisent aux fondations des murs et à la stabilité des structures.
Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2021

Montant total accordé : 19 173 dollars EU (1997-2001) pour la Campagne de sauvegarde internationale ; 362 391 dollars EU (2015-2017) de l’Agence italienne de coopération au développement par le biais du Conseil libanais pour le développement et la reconstruction (CDR); 320 673 dollars EU du gouvernement Libanais pour un exercice de renforcement des capacités

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2021
Demandes approuvées : 4 (de 1986-2001)
Montant total approuvé : 29 000 dollars E.U.
2001 Installation of Plaques and Publication of Leaflets to ... (Approuvé)   2 500 dollars E.U.
2001 Geoarchaeological study for the ancient ports of Tyre (Approuvé)   20 000 dollars E.U.
1999 Photo Exhibition on Lebanese (Baalbeck and Tyre) and ... (Approuvé)   2 500 dollars E.U.
1986 Consultancy to evaluate damage to Tyre (Approuvé)   4 000 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2021**

2004 : mission d'évaluation par le Bureau de l'UNESCO à Beyrouth ; septembre 2006 : mission de l'UNESCO après le conflit de l’été 2006 ; février 2009 : mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS ; septembre 2012 : mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS ; février 2017 : visite du bien par le Centre du patrimoine mondial; octobre 2018 : mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS


Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2021

Le 4 mars 2021, l’État partie a soumis un rapport sur l’état de conservation du bien, disponible à http://whc.unesco.org/fr/list/299/documents. Les informations concernant plusieurs problèmes de conservation abordés par le Comité à ses sessions précédentes sont présentées comme suit :

  • L'aménagement du terrain destiné au parking adjacent à l'élément du patrimoine mondial d'Al-Bass a été suspendu. Comme recommandé par le Comité, les négociations avec la municipalité sur les modalités de la gestion du parking se poursuivent et sont en partie achevées ;
  • Le document cadre du plan de gestion est en cours de révision en collaboration avec des experts internationaux pour intégrer les recommandations du Comité. La série d'activités prévues, dont un atelier avec le bureau de l'UNESCO de Beyrouth, a dû être reportée en raison de la pandémie, et il est prévu que le plan de gestion soit adopté en 2021 ;
  • L'identification des limites du bien et de sa zone tampon a été menée sur la base du plan d'urbanisme de 2002 de la ville de Tyr, en consultation avec divers organismes gouvernementaux, et devrait être finalisée en 2022 ;
  • Une enquête, prévue et budgétée, devant déterminer les limites de la zone de protection maritime a dû être reportée en raison de la pandémie de Covid-19 et est reprogrammée pour 2021 ;
  • Différentes mesures de conservation ont été planifiées et réalisées depuis 2020, en tenant compte des commentaires de plusieurs missions d'experts internationaux. L'accent est actuellement mis sur la qualification du personnel local grâce à une collaboration avec l'ICCROM et le Getty Conservation Institute dans le cadre de l'initiative MOSAIKON ;
  • Le plan de transport et de mobilité de Tyr n'a pas été modifié et reste en place comme indiqué précédemment.

En février 2020, le Centre du patrimoine mondial a reçu des informations de la part de tiers concernant un projet dans le cadre du programme CHUD (Cultural Heritage and Urban Development Project) de Tyr, qui propose une « amélioration »  du littoral adjacent à la zone archéologique de l’élément du patrimoine mondial de la ville antique de Tyr. Il est proposé de rendre la pointe de terre isolée accessible à la circulation automobile, de créer des places de stationnement et de remplacer les paillottes des restaurants actuels, qui datent d’il y a trente ans et sont utilisées en saison, par des terrasses de restaurant modernisées construites directement au-dessus et entre les vestiges archéologiques sous-marins. Le Centre du patrimoine mondial a demandé des éclaircissements à l'État partie à ce sujet.

L'État partie rapporte que le pays a été gravement touché par la pandémie de COVID-19 et la crise économique actuelle.

En février 2021, une marée noire en Méditerranée a atteint la côte sud du Liban, impactant la réserve naturelle de la côte de Tyr. Selon les informations reçues par le Centre du patrimoine mondial, le bien n'a pas été directement touché, mais les vestiges archéologiques subaquatiques appartenant au bien du patrimoine mondial ont peut-être été affectés, ce qui pourrait nécessiter une évaluation.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2021

Le Comité souhaitera peut-être prendre acte des difficultés rencontrées par les autorités nationales face à la pandémie de COVID-19 en cours et la crise économique nationale, qui affectent gravement les secteurs public et privé. Il est noté que ces facteurs externes ont ralenti de nombreuses activités de l'État partie.

Il est également noté qu'un accord a été conclu entre les parties concernées sur les modalités de gestion d'un parking municipal qui sera créé dans les limites de la zone archéologique. Il est recommandé au Comité de demander que les détails de cet accord soient soumis à l'examen des Organisations consultatives.

Bien que les autorités aient pris certaines mesures pour mettre en œuvre les recommandations des décisions du Comité du patrimoine mondial, nombre de problèmes importants de conservation et de gestion n'ont pas été résolus et les facteurs déjà identifiés comme affectant le bien demeurent.

Il est en particulier regrettable que le rapport ne mentionne aucun progrès dans la mise en œuvre des recommandations de la mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS de 2018. La mission avait identifié des failles dans le système de gestion du bien, dues en partie au manque persistant de ressources humaines, qui entraîne un manque important d'entretien. La gestion est également entravée par les règles de fonctionnement rigides du programme de financement international pour la mise en œuvre de mesures de conservation dans le cadre du projet archéologique de Baalbek Tyr (BTAP). L'État partie n'a fourni aucune information sur le suivi de l'impact des nombreuses mesures de conservation précédentes sur les vestiges archéologiques. Outre des pratiques de conservation in situ adaptées aux mosaïques, une évaluation de l'efficacité des mesures de conservation précédentes est nécessaire comme base factuelle pour la prise de décisions à venir et comme référence pour la formation continue des nouveaux effectifs.

En particulier, la démarche de reconstruction/anastylose partielle des éléments archéologiques démontés doit être reconsidérée de toute urgence, en se concentrant sur des interventions et une protection a minima, y compris la ré-inhumation complète du sanctuaire d'Apollon, afin de conserver l'authenticité des vestiges archéologiques existants. Cet aspect holistique des « enseignements tirés » est nécessaire pour la stratégie globale de conservation et de mise en valeur de l'ensemble du bien, au-delà des interventions individuelles suggérées par la mission de 2018.

À la lumière des informations reçues de tiers, la manière dont l'État partie applique les mécanismes juridiques pour protéger certaines zones archéologiques sensibles et le cadre plus large du bien reste confuse.

Le plan actuel de transport et de mobilité de Tyr, inchangé, a particulièrement préoccupé le Comité, car il manque une étude complète de l'ensemble du réseau routier urbain et du projet d'autoroute et de son impact potentiel sur le bien du patrimoine mondial. Il est rappelé qu'une évaluation d'impact sur le patrimoine (EIP) et les résultats des études géophysiques et des recherches archéologiques doivent être pris en compte dans l'étude.

Il est également rappelé que ces précisions sont considérées comme une partie essentielle de l'élaboration d'une modification mineure des limites, comme l'a recommandé le Comité précédemment, et que, outre l'établissement des limites du bien, l'adoption d'une zone de protection maritime est une demande insistante du Comité depuis de nombreuses années.

Il est recommandé au Comité de demander instamment à l'État partie d'accorder la plus haute priorité à l'achèvement du document cadre du plan de gestion, car il s'agit du document de référence pour aborder les problèmes affectant le bien, et de soumettre le document révisé au Centre du patrimoine mondial pour examen par les Organisations consultatives.

Il est recommandé au Comité de réitérer sa demande à l'État partie de répondre à ses précédentes demandes (décisions 39 COM 7B.54, 41 COM 7B.83, 43 COM 7B.50), et de mettre en œuvre les recommandations de la mission de 2018.

Décisions adoptées par le Comité en 2021
44 COM 7B.132
Tyre (Liban) (C 299)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/21/44.COM/7B,
  2. Rappelant les décisions 37 COM 8B.45, 39 COM 7B.54, 41 COM 7B.83 et 43 COM 7B.50 adoptées à ses 37e (Phnom Penh, 2013), 39e (Bonn, 2015), 41e (Cracovie, 2017) et 43e (Bakou, 2019) sessions respectivement,
  3. Prenant note de la conclusion d'un accord partiel entre les principales parties concernées (DGA, municipalité de Tyr) sur la création d'un parking municipal à l'intérieur de la zone archéologique, encourage l'État partie à soumettre les détails de cet arrangement et les détails de la conception du parking au Centre du patrimoine mondial pour examen par les Organisations consultatives ;
  4. Prie instamment l'État partie de mettre en œuvre les décisions adoptées par le Comité du patrimoine mondial, notamment les décisions 39 COM 7B.54, 41 COM 7B.83 et 43 COM 7B.50, et ce, conformément aux exigences de la Convention du patrimoine mondial en matière de rapports ;
  5. Demande à l'État partie de soumettre dans les meilleurs délais le cadre révisé du plan de gestion au Centre du patrimoine mondial pour examen par les Organisations consultatives et d'accélérer l'achèvement et la mise en œuvre du plan de gestion ; et prie aussi instamment l'État partie de poursuivre ses efforts pour fournir les ressources nécessaires à l’entretien régulier du bien sur le long terme, y compris le contrôle de la végétation, la prévention des incendies et la sauvegarde des mosaïques, sur la base des pratiques qui ont fait leurs preuves dans le cadre du projet archéologique de Baalbek et de Tyr ;
  6. Réitère sa demande à l'État partie de mettre en œuvre les recommandations de la mission de suivi réactif de 2018, en accordant une attention particulière aux points suivants :
    1. établir une stratégie de gestion globale pour le bien, qui couvre tous les aspects de la documentation, de la conservation et du suivi, en résumant dans un manuel les connaissances sur les techniques et les procédures, avec un plan d'action actualisé, en tant qu’élément central du futur plan de gestion du bien, comprenant :
      1. des approches pour améliorer les pratiques d'entretien actuelles concernant la végétation, le drainage et le contrôle des eaux usées grâce à des mesures préventives appropriées,
      2. des principes d'interventions a minima pour la conservation des mosaïques et des structures, selon les enseignements tirés des projets pilotes,
      3. un protocole de suivi qui sera à la disposition de la recherche scientifique en matière de conservation et qui permettra d'évaluer l'efficacité des mesures de conservation,
      4. une stratégie globale de mise en valeur du bien illustrant la compréhension actuelle de ses valeurs telles qu'elles s’expriment par les diverses technologies architectoniques et les pratiques funéraires des générations passées, ainsi que les défis en matière de conservation,
    2. envisager d'intégrer le plan de gestion aux plans de développement régional et urbain et de circulation et mobilité pour gérer les pressions du développement à long terme ;
  7. Réitère également sa demande à l'État partie de réviser les limites proposées du bien, d'identifier une zone tampon et d'élaborer des réglementations et des procédures pour la protection de la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien, conformément à la décision 37 COM 8B.45, et de soumettre une modification mineure des limites, conformément aux paragraphes 107, 164 et à l'annexe 11 des Orientations, pour examen par les Organisations consultatives ;
  8. Réitère en outre sa demande à l’État partie d’établir une zone de protection maritime autour du littoral de Tyr ;
  9. Réitère par ailleurs sa demande d'engager une étude approfondie de la circulation et du réseau routier urbain et de soumettre cette étude au Centre du patrimoine mondial pour examen par les Organisations consultatives, et rappelle à l'État partie ses obligations de soumettre, conformément au paragraphe 172 des Orientations, le détail des projets de routes et d'infrastructures envisagés sur le bien, y compris les évaluations d'impact sur le patrimoine (EIP) de la route côtière et autres grands projets d'infrastructures, réalisées conformément au Guide de l'ICOMOS pour les EIP appliquées aux biens culturels du patrimoine mondial ;
  10. Demande également à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1erfévrier 2022 un rapport sur les progrès effectués et d’ici le 1er décembre 2022, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 46e
Projet de décision : 44 COM 7B.132

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/21/44.COM/7B,
  2. Rappelant les décisions 37 COM 8B.45, 39 COM 7B.54, 41 COM 7B.83 et 43 COM 7B.50 adoptées à ses 37e (Phnom Penh, 2013), 39e (Bonn, 2015), 41e (Cracovie, 2017) et 43e (Bakou, 2019) sessions respectivement,
  3. Prenant note de la conclusion d'un accord partiel entre les principales parties concernées (DGA, municipalité de Tyr) sur la création d'un parking municipal à l'intérieur de la zone archéologique, encourage l'État partie à soumettre les détails de cet arrangement et les détails de la conception du parking au Centre du patrimoine mondial pour examen par les Organisations consultatives ;
  4. Prie instamment l'État partie de mettre en œuvre les décisions adoptées par le Comité du patrimoine mondial, notamment les décisions 39 COM 7B.54, 41 COM 7B.83 et 43 COM 7B.50, et ce, conformément aux exigences de la Convention du patrimoine mondial en matière de rapports ;
  5. Demande à l'État partie de soumettre dans les meilleurs délais le cadre révisé du plan de gestion au Centre du patrimoine mondial pour examen par les Organisations consultatives et d'accélérer l'achèvement et la mise en œuvre du plan de gestion ; et prie aussi instamment l'État partie de poursuivre ses efforts pour fournir les ressources nécessaires à l’entretien régulier du bien sur le long terme, y compris le contrôle de la végétation, la prévention des incendies et la sauvegarde des mosaïques, sur la base des pratiques qui ont fait leurs preuves dans le cadre du projet archéologique de Baalbek et de Tyr ;
  6. Réitère sa demande à l'État partie de mettre en œuvre les recommandations de la mission de suivi réactif de 2018, en accordant une attention particulière aux points suivants :
    1. établir une stratégie de gestion globale pour le bien, qui couvre tous les aspects de la documentation, de la conservation et du suivi, en résumant dans un manuel les connaissances sur les techniques et les procédures, avec un plan d'action actualisé, en tant qu’élément central du futur plan de gestion du bien, comprenant :
      1. des approches pour améliorer les pratiques d'entretien actuelles concernant la végétation, le drainage et le contrôle des eaux usées grâce à des mesures préventives appropriées,
      2. des principes d'interventions a minima pour la conservation des mosaïques et des structures, selon les enseignements tirés des projets pilotes,
      3. un protocole de suivi qui sera à la disposition de la recherche scientifique en matière de conservation et qui permettra d'évaluer l'efficacité des mesures de conservation,
      4. une stratégie globale de mise en valeur du bien illustrant la compréhension actuelle de ses valeurs telles qu'elles s’expriment par les diverses technologies architectoniques et les pratiques funéraires des générations passées, ainsi que les défis en matière de conservation,
    2. envisager d'intégrer le plan de gestion aux plans de développement régional et urbain et de circulation et mobilité pour gérer les pressions du développement à long terme ;
  7. Réitère également sa demande à l'État partie de réviser les limites proposées du bien, d'identifier une zone tampon et d'élaborer des réglementations et des procédures pour la protection de la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien, conformément à la décision 37 COM 8B.45, et de soumettre une modification mineure des limites, conformément aux paragraphes 107, 164 et à l'annexe 11 des Orientations, pour examen par les Organisations consultatives ;
  8. Réitère en outre sa demande à l’État partie d’établir une zone de protection maritime autour du littoral de Tyr ;
  9. Réitère par ailleurs sa demande d'engager une étude approfondie de la circulation et du réseau routier urbain et de soumettre cette étude au Centre du patrimoine mondial pour examen par les Organisations consultatives, et rappelle à l'État partie ses obligations de soumettre, conformément au paragraphe 172 des Orientations, le détail des projets de routes et d'infrastructures envisagés sur le bien, y compris les évaluations d'impact sur le patrimoine (EIP) de la route côtière et autres grands projets d'infrastructures, réalisées conformément au Guide de l'ICOMOS pour les EIP appliquées aux biens culturels du patrimoine mondial ;
  10. Demande également à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2022 un rapport sur les progrès effectués et d’ici le 1er décembre 2022, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 46e session en 2023.
Année du rapport : 2021
Liban
Date d'inscription : 1984
Catégorie : Culturel
Critères : (iii)(vi)
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2021) .pdf
arrow_circle_right 44COM (2021)
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* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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