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Parc national de Sagarmatha

Népal
Facteurs affectant le bien en 2021*
  • Activités illégales
  • Apport excessif d’énergie
  • Autres modifications du climat
  • Collecte de plantes sauvages à des fins de subsistance
  • Déchets solides
  • Exploitation de carrières
  • Exploitation forestière/production de bois
  • Exploitation minière
  • Impacts des activités touristiques / de loisirs des visiteurs
  • Pollution atmosphérique
  • Vastes infrastructures et/ou installations touristiques / de loisirs
  • Élevage de bétail / pacage d’animaux domestiques
  • Autres menaces :

    Conflit homme-faune

Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Pollution atmosphérique
  • Activités illégales (braconnage)
  • Impacts du tourisme / visiteurs / loisirs (augmentation rapide et commercialisation d’un tourisme alpinistique, incluant le développement de resorts et de sentiers)
  • Conséquences de l’utilisation d’infrastructures de transport (pollution sonore et impacts visuels de l’usage d’hélicoptères)
  • Élevage de bétail / pâturage d’animaux domestiques
  • Grands centres d’hébergement et infrastructures afférentes (fondement juridique flou pour la création et l’exploitation du Kongde View Resort, y compris sentiers d’accès)
  • Exploitation minière
  • Autres impacts du changement climatique
  • Exploitation de carrières
  • Déchets solides (gestion inadéquate des déchets solides et liquides)
  • Activité forestière / production de bois (ramassage de bois de chauffe)
  • Autres : conflit homme-faune ; cueillette de plantes sauvages comestibles
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2021
Demandes approuvées : 7 (de 1980-1999)
Montant total approuvé : 232 097 dollars E.U.
1999 Donor Meeting for the Sagarmatha National Park (Approuvé)   7 000 dollars E.U.
1999 Training of the Chief Warden of the Sagarmatha National ... (Approuvé)   8 202 dollars E.U.
1998 Upgrading of interpretation displays and visitor ... (Approuvé)   15 000 dollars E.U.
1983 Reafforestation programme, improvement of the display ... (Approuvé)   10 000 dollars E.U.
1982 Specialist services of an energy adviser and financial ... (Approuvé)   61 995 dollars E.U.
1981 Financial contribution and specialist services for a ... (Approuvé)   54 900 dollars E.U.
1980 Energy adviser, equipment and financial assistance for ... (Approuvé)   75 000 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2021**

Juin 1985 : mission de l’UNESCO ; Décembre 2002 : mission de suivi de l'UICN ; mai 2016 : mission de conseil de l’UICN

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2021

Le 1er septembre 2019, l’État partie a soumis une traduction anglaise de la décision de la Cour suprême concernant le Kongde View Resort au Centre du patrimoine mondial et a soumis, le 8 janvier 2020, un rapport sur l’état de conservation du bien, qui est disponible à http://whc.unesco.org/fr/list/120/documents/ et répond à la décision 42 COM 7B.70 comme suit :

  • Le Comité de contrôle de la pollution de Sagarmatha (CCPS) a placé des conteneurs à déchets solides le long des sentiers de trekking, ce qui s’est traduit par la collecte de 10 000 kg de déchets en 2018 de la région de l’Everest. L’État partie a établi d’autres plans pour nettoyer le camp de base de l’Everest ;
  • La fréquentation touristique a atteint le nombre record de 58 030 personnes en 2018-2019, comparé au précédent record de 25 000 en 2015 ;
  • Des contrôles inopinés sont réalisés sur les hélicoptères qui survolent le bien pour confirmer qu’ils servent à des opérations de secours et non pas à des fins touristiques ;
  • La collecte de bois de chauffe a été interdite dans la partie Namche du bien, et les opérations de police n’ont signalé aucun cas d’activités illégales au sein du bien ;
  • Le projet de réduction des risques financé par le PNUD sur les dangers des inondations et des débordements des lacs glaciaires a progressivement été abandonné ; néanmoins, les populations locales restent impliquées dans le suivi et le système d’alerte précoce en aval ;
  • Les communautés locales continuent de refuser la proposition de formalisation de la zone tampon existante du parc en vertu de la Convention du patrimoine mondial ;
  • L’Étude d’impact environnemental (EIE) pour un projet de fibre optique a été soumise au Centre du patrimoine mondial le 9 mai 2019. Après réception de l’analyse technique de l’UICN le 21 novembre 2019, l’État partie a demandé aux promoteurs du projet de revoir et réviser l’EIE.

L’État partie rend également compte du défi et du risque croissants que le changement climatique continue de faire peser sur la protection de la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien, essentiellement en lien avec la fonte des glaciers.

Le 6 janvier 2020, le Centre du patrimoine mondial a transmis une information émanant de tiers à l’État partie sur les impacts de la forte affluence sur le bien. L’État partie a répondu le 28 janvier 2020, reconnaissant le nombre croissant de visiteurs et évoquant des projets d’élaboration d’un plan de gestion du tourisme couvrant les impacts sur la VUE.

Le 4 mai 2020, le Centre du patrimoine mondial a demandé des éclaircissements à l’État partie sur la récente découverte de sept carcasses de chevrotains porte-musc au sein du bien ainsi que de 60 pièges, très vraisemblablement en lien avec le trafic de musc. Aucune réponse n’a été reçue à l’heure de rédaction du présent document.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2021

Les conséquences de l’essor du tourisme continuent d’être une préoccupation croissante pour la protection du bien, comme cela est vu sur l’ensemble des biens du patrimoine mondial dans le monde entier. Tandis que les efforts accomplis jusqu’ici sont appréciés, une approche plus proactive et stratégique s’impose d’urgence pour faire face aux défis actuels. À cet égard, il est positif d’apprendre l’intention de l’État partie d’élaborer le très attendu et nécessaire plan de gestion du tourisme. Ce plan devrait être éclairé par une étude de capacité de charge des visiteurs, qui établirait une capacité d’accueil appropriée pour le bien, en particulier lors de la saison haute lorsque l’encombrement sur les voies d’alpinisme a été rapporté. Le plan devrait également être harmonisé avec l’actuel plan de gestion et sa prochaine version puisqu’il expire en 2020. Tout en notant que l’État partie procède à des contrôles inopinés sur les hélicoptères, il est important de rappeler que la mission de conseil de 2016 a signalé que près de 70 % des vols d’hélicoptères au sein du bien sont liés au tourisme. Par conséquent, des restrictions et une gestion plus rigoureuses pour réglementer l’usage de l’hélicoptère au sein du bien et des zones tampons du parc désignées au niveau national sont nécessaires et devraient être prises en compte dans le plan de gestion général révisé et le plan de gestion du tourisme.

Rappelant que, en 2016, l’État partie s’est inquiété du nombre croissant de cas de ramassage illégal de bois de chauffe à l’intérieur du bien, l’absence confirmée de cas rapportés d’activités illégales est favorablement accueillie. Néanmoins, l’État partie devrait être encouragé à poursuivre ses efforts de surveillance et à intégrer cela et les interventions connexes dans le nouveau plan de gestion, comme il se doit. Le braconnage récent de chevrotains porte-musc menacés est inquiétant et suggère la nécessité de revoir et consolider les mesures au sein du bien pour prévenir tout autre acte de braconnage.

Il est préoccupant que la décision de la Cour suprême concernant le Kongde View Resort ait donné raison au complexe, qui est situé à l’intérieur du bien et en activité depuis 2007. Étant donné les inquiétudes exprimées par le Comité depuis quelques années sur l’éventail de menaces sérieuses que le resort fait peser sur la VUE du bien, le Comité peut prier l’État partie d’élaborer un plan environnemental détaillé pour atténuer les impacts du complexe, de soumettre ce plan au Centre du patrimoine mondial pour examen par l’UICN, et de prendre toutes les mesures nécessaires pour en suivre la mise en œuvre.

Le projet de fibre optique envisagé a de potentielles répercussions positives pour les populations locales mais, comme cela a été communiqué à l’État partie, nécessite une planification et une prise en compte plus poussées de ses potentiels impacts sur la VUE du bien. Il devrait être demandé à l’État partie de soumettre une EIE révisée au Centre du patrimoine mondial pour nouvel examen par l’UICN avant que toute décision sur laquelle il serait difficile de revenir ne soit prise, conformément au paragraphe 172 des Orientations.

L’engagement continu des collectivités locales depuis la fin du projet soutenu par le PNUD est positif. Le changement climatique est une menace mondiale, et l’État partie devrait être encouragé à continuer d’en suivre les impacts sur la VUE du bien et à intensifier ses efforts pour accroître la résilience au niveau du bien, tout en incluant une stratégie d’adaptation au climat dans le nouveau plan de gestion (voir décision 41 COM 7).

Aucune réponse n’a été apportée à la précédente demande du Comité d’élaborer un système de zonage à l’intérieur du bien. Un système de zonage devrait être catégorisé selon les exigences de protection écosystémique et culturelle et est clairement distinct d’une zone tampon. L’UICN est disposée à fournir exemples et conseils à l’État partie.

Les efforts accrus de l’État partie pour collaborer avec les communautés locales afin de reconnaître l’actuelle zone tampon du parc national dans le système du patrimoine mondial sont grandement appréciés. Partant du constat que le soutien et l’accord des communautés locales sont fondamentaux pour donner suite à cette proposition, l’État partie devrait être encouragé à poursuivre son dialogue et ses efforts de formalisation de la zone tampon avec le soutien de la population locale et à la soumettre comme proposition de modification mineure des limites en temps opportun.

Décisions adoptées par le Comité en 2021
44 COM 7B.96
Parc national de Sagarmatha (Népal) (N 120)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/21/44.COM/7B,
  2. Rappelant les décisions 41 COM 7 et 42 COM 7B.70, adoptées à ses 41e (Cracovie, 2017) et 42e (Manama, 2018) sessions respectivement,
  3. Notant avec inquiétude les impacts rapportés du nombre croissant de visiteurs sur le bien, accueille favorablement l’intention de l’État partie d’élaborer un plan de gestion du tourisme et demande à l’État partie de :
    1. Réaliser une étude de capacité de charge des visiteurs, qui établirait une capacité d’accueil appropriée pour le bien, en particulier lors de la saison haute, et d’en utiliser les conclusions pour éclairer le plan de gestion du tourisme,
    2. Voir de quelle manière la surveillance et la réglementation des vols d’hélicoptères liés au tourisme au sein du bien et des zones tampons du parc désignées au niveau national peuvent être renforcées pour en réduire les impacts,
    3. Veiller à ce que le plan de gestion du tourisme soit en adéquation avec le plan de gestion 2016-2020 pour le bien et sa nouvelle version ;
  4. Rappelant également ses précédentes inquiétudes concernant l’éventail de menaces sérieuses que le Kongde View Resort, situé à l’intérieur du bien, fait peser sur sa valeur universelle exceptionnelle (VUE), exprime son inquiétude quant à la décision de la Cour suprême en faveur du complexe et prie instamment l’État partie de développer un plan environnemental détaillé pour atténuer les impacts du resort, de soumettre ce plan au Centre du patrimoine mondial pour examen par l’UICN, et de prendre toutes les mesures nécessaires pour en suivre la mise en œuvre ;
  5. Accueille aussi favorablement la décision de l’État partie de demander une révision de l’étude d’impact environnemental (EIE) pour le projet de fibre optique sur la base des commentaires apportés par l’UICN, et demande également à l’État partie de soumettre une nouvelle EIE au Centre du patrimoine mondial pour examen complémentaire par l’UICN avant que toute décision sur laquelle il serait difficile de revenir ne soit prise, conformément au paragraphe 172 des Orientations ;
  6. Soulignant la distinction entre système de zonage et zone tampon, réitère sa demande à l’État partie d’élaborer un système de zonage, notamment comme moyen de garantir des dispositions adéquates pour les villages enclavés situés dans le bien ;
  7. Note avec satisfaction qu’il n’y a actuellement aucun cas rapporté de ramassage illégal de bois de chauffe au sein du bien et encourage l’État partie à poursuivre ses efforts de surveillance à cet égard et à intégrer cela et les interventions connexes dans le nouveau plan de gestion, comme il se doit ;
  8. Note également avec inquiétude le braconnage rapporté de chevrotains porte-musc au sein du bien et demande en outre à l’État partie de revoir et consolider les mesures pour prévenir tout autre acte de braconnage ;
  9. Apprécie les mesures prises par l’État partie pour consulter les communautés locales concernant la formalisation de la zone tampon du parc national désignée au niveau national comme zone tampon pour le bien, et encourage également l’État partie à poursuivre ce dialogue dans l’optique de formaliser une zone tampon, avec le soutien de la population locale et, en temps opportun, à soumettre au Centre du patrimoine mondial une proposition de modification mineure des limites pour examen par le Comité, conformément au paragraphe 164 des Orientations ;
  10. Note en outre avec inquiétude les impacts croissants du changement climatique sur la VUE du bien et le bien-être des populations locales et demande par ailleurs à l’État partie de continuer à surveiller les impacts du changement climatique sur la VUE du bien, d’intensifier ses efforts pour accroître la résilience au niveau du bien, et d’élaborer et mettre en œuvre une stratégie d’adaptation au climat, qui devrait être intégrée dans la nouvelle version du plan de gestion ;
  11. Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er décembre 2022, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 46e
Projet de décision : 44 COM 7B.96

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/21/44.COM/7B,
  2. Rappelant les décisions 41 COM 7 et 42 COM 7B.70, adoptées à ses 41e (Cracovie, 2017) et 42e (Manama, 2018) sessions respectivement,
  3. Notant avec inquiétude les impacts rapportés du nombre croissant de visiteurs sur le bien, accueille favorablement l’intention de l’État partie d’élaborer un plan de gestion du tourisme et demande à l’État partie de :
    1. Réaliser une étude de capacité de charge des visiteurs, qui établirait une capacité d’accueil appropriée pour le bien, en particulier lors de la saison haute, et d’en utiliser les conclusions pour éclairer le plan de gestion du tourisme,
    2. Voir de quelle manière la surveillance et la réglementation des vols d’hélicoptères liés au tourisme au sein du bien et des zones tampons du parc désignées au niveau national peuvent être renforcées pour en réduire les impacts,
    3. Veiller à ce que le plan de gestion du tourisme soit en adéquation avec le plan de gestion 2016-2020 pour le bien et sa nouvelle version ;
  4. Rappelant également ses précédentes inquiétudes concernant l’éventail de menaces sérieuses que le Kongde View Resort, situé à l’intérieur du bien, fait peser sur sa valeur universelle exceptionnelle (VUE), exprime son inquiétude quant à la décision de la Cour suprême en faveur du complexe et prie instamment l’État partie de développer un plan environnemental détaillé pour atténuer les impacts du resort, de soumettre ce plan au Centre du patrimoine mondial pour examen par l’UICN, et de prendre toutes les mesures nécessaires pour en suivre la mise en œuvre ;
  5. Accueille aussi favorablement la décision de l’État partie de demander une révision de l’étude d’impact environnemental (EIE) pour le projet de fibre optique sur la base des commentaires apportés par l’UICN, et demande également à l’État partie de soumettre une nouvelle EIE au Centre du patrimoine mondial pour examen complémentaire par l’UICN avant que toute décision sur laquelle il serait difficile de revenir ne soit prise, conformément au paragraphe 172 des Orientations ;
  6. Soulignant la distinction entre système de zonage et zone tampon, réitère sa demande à l’État partie d’élaborer un système de zonage, notamment comme moyen de garantir des dispositions adéquates pour les villages enclavés situés dans le bien ;
  7. Note avec satisfaction qu’il n’y a actuellement aucun cas rapporté de ramassage illégal de bois de chauffe au sein du bien et encourage l’État partie à poursuivre ses efforts de surveillance à cet égard et à intégrer cela et les interventions connexes dans le nouveau plan de gestion, comme il se doit ;
  8. Note également avec inquiétude le braconnage rapporté de chevrotains porte-musc au sein du bien et demande en outre à l’État partie de revoir et consolider les mesures pour prévenir tout autre acte de braconnage ;
  9. Apprécie les mesures prises par l’État partie pour consulter les communautés locales concernant la formalisation de la zone tampon du parc national désignée au niveau national comme zone tampon pour le bien, et encourage également l’État partie à poursuivre ce dialogue dans l’optique de formaliser une zone tampon, avec le soutien de la population locale et, en temps opportun, à soumettre au Centre du patrimoine mondial une proposition de modification mineure des limites pour examen par le Comité, conformément au paragraphe 164 des Orientations ;
  10. Note en outre avec inquiétude les impacts croissants du changement climatique sur la VUE du bien et le bien-être des populations locales et demande par ailleurs à l’État partie de continuer à surveiller les impacts du changement climatique sur la VUE du bien, d’intensifier ses efforts pour accroître la résilience au niveau du bien, et d’élaborer et mettre en œuvre une stratégie d’adaptation au climat, qui devrait être intégrée dans la nouvelle version du plan de gestion ;
  11. Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1erdécembre 2022, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 46e session en 2023.
Année du rapport : 2021
Népal
Date d'inscription : 1979
Catégorie : Naturel
Critères : (vii)
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2019) .pdf
Proposé initialement pour examen en 2020
arrow_circle_right 44COM (2021)
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* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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