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Centre historique de Shakhrisyabz

Ouzbékistan
Facteurs affectant le bien en 2016*
  • Activités de gestion
  • Habitat
  • Système de gestion/plan de gestion
  • Autres menaces :

    Démolitions et reconstructions d’une grande zone du centre historique

Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Absence de plan global de conservation et de gestion 
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2016
Demandes approuvées : 1 (de 1999-1999)
Montant total approuvé : 15 000 dollars E.U.
1999 Training Workshop in the Preparation of World Heritage ... (Approuvé)   15 000 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2016**

Octobre 2002 : mission de suivi par un expert international ; mars 2006 : mission de suivi réactif du Bureau UNESCO de Tachkent/ICOMOS ;  mars 2016 : mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2016

Le 13 janvier 2016, l’État partie a soumis un rapport sur l’état de conservation du bien, disponible  sur : https://whc.unesco.org/fr/list/885/documents. Une mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS s’est déroulée du 28 au 31 mars 2016. Le rapport de mission est également disponible à l’adresse ci-dessus.

L’État partie a signalé que, dans le cadre du décret sur le « Programme de développement du tourisme dans la région de Kachkadaria pour la période 2013 – 2015 » adopté en 2013, et du Programme d’État de mesures complexes pour le développement et la reconstruction de la ville de Shakhrisyabz (2014 – 2016) adopté en 2014,  d’importantes améliorations sont apportées aux bâtiments historiques, aux infrastructures et à l’aspect architectural de la ville historique, y compris la construction d’hôtels modernes et de bâtiments individuels de plusieurs étages. Un comité de travail présidé par le Premier Vice-Premier Ministre approuve et suit toutes les activités requises. En outre, le ministère de la Culture et des Sports et d’autres ministères concernés assurent la mise en œuvre des travaux de préservation des bâtiments du patrimoine culturel de Shakhrisyabz.

Le programme prévoit également des améliorations du paysage urbain en procédant à la démolition de logements, et d’autres résidentiels, construits de façon arbitraire près des murs de fortification et des monuments. Parmi les autres projets, on cite la construction de bâtiments individuels et d’immeubles résidentiels bas, avec des commerces et des boutiques d’artisanat, et d’hôtels modernes ainsi que la conservation et la restauration de bâtiments historiques et d’objets du patrimoine culturel.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2016

Le rapport soumis par l’État partie n’a pas apporté de réponses aux préoccupations et aux recommandations des sessions précédentes du Comité du patrimoine mondial sur des grands projets de transformation urbaine. Par ailleurs, l’État partie n’a ni présenté de plans et de documentation détaillés de tous les travaux envisagés, ni soumis d’évaluations d’impact sur le patrimoine (EIP). Enfin, des travaux n’ont pas été arrêtés jusqu’à ce que leur évaluation et leur examen soient effectués.

La mission de 2016 a observé que des interventions majeurs  ont déjà été mises en œuvre avec la démolition de bâtiments sur une surface de 70 hectares dans la zone centrale des quartiers médiévaux (soit 30% de tout le tissu historique situé au sein des limites du bien) qui, lors de l’inscription, avait été considérée comme témoin de son histoire illustrant les pratiques de planification urbaine et l’identité socioculturelle d’une période historique importante pour Shakhrisyabz. D’anciennes zones résidentielles, des strates urbaines historiques et des bâtiments édifiés au XXe siècle ont été démolis et remplacés par des kiosques d’information touristique et un « parc à thème » moderne. Cette vaste opération a impliqué des transformations du réseau de rues anciennes, la destruction de zones traditionnellement couvertes de végétation, le remplacement du système traditionnel de gestion des eaux et la destruction de certaines maisons anciennes qui témoignaient d’un plan architectural traditionnel organisé autour d’une cour et avec une véranda (mahallas). Ces interventions ont entrainé des changements irréversibles dans l’aspect initial du centre historique de Shakhrisyabz, dans l’environnement des monuments d’intérêt architectural et dans la planification historique de la ville dans son ensemble.

Depuis que le Comité, dans sa décision 39 COM 7B.74, a formulé des demandes auxquelles l’État partie ne s’est pas conformé, la mission a pu constater de graves négatives interventions suivantes :

  • L’importante opération de reconstruction en cours, non conforme à la décision susmentionnée (paragraphe 5), a un impact très négatif sur l’aspect architectural initial du centre historique et d’autres strates culturelles dans le centre du bien, sur une bande de terrain d’environ 2 kilomètres entre l’ensemble Dorut-Tilovat et le Palais d’Ak-Sarai ;
  • Les grands travaux de restauration et de reconstruction des principaux monuments (l’ensemble Dorus Saodat, le bazar Chor-su et les bains médiévaux) ont été réalisés en ayant recours à des matériaux de restauration inappropriés, aucun d’entre eux n’étant conforme ni aux principes exposés dans les chartes et recommandations internationales en la matière (p. ex. le Document de Nara sur l’authenticité), ni à la philosophie de la conservation internationale ;
  • Les monuments et les sites sont désormais isolés dans un paysage urbain moderne, c’est là une des conséquences des interventions dans le centre historique ;
  • L’aspect original et les caractéristiques du centre ville médiéval et son évolution au cours des siècles avec des interventions architecturales modernes ont été remplacés et sont désormais invisibles ;
  • Le mur d’enceinte de la ville (environ 1 kilomètre) a été reconstruit avec une porte sur son flanc nord, une intervention qui n’est justifiée par aucune recherche scientifique adéquate ou information suffisante.

À ce jour, aucuns des travaux entrepris n’ont fait l’objet d’une EIP. Par ailleurs, aucune information n’a été communiquée au Centre du patrimoine mondial avant que des interventions irréversibles n’aient été mises en œuvre, comme demandé dans le paragraphe 172 des Orientations.

S’agissant de la gestion, la mission a observé que le Conseil des monuments n’a qu’un rôle limité dans le programme de développement et a noté l’absence d’un plan complet de conservation et de gestion, qui a été demandé par le Comité depuis 2004.

L’envergure des travaux (qui se poursuivent) et l’absence de méthodologie scientifique ont compromis  irréversiblement l’authenticité et l’intégrité du bien, menaçant ainsi potentiellement sa valeur universelle exceptionnelle (VUE).

Prenant en considération (i) les impacts du développement touristique et des projets de reconstruction en cours sur le tissu historique du bien ; (ii) les graves impacts sur l’authenticité et l’intégrité du bien ; et (iii) l’absence de plan complet de conservation et de gestion, il est recommandé au Comité d’inscrire immédiatement le bien sur la Liste du patrimoine mondial en péril, conformément au paragraphe 179(b) des Orientations.

La première étape de cette démarche permettrait d’évaluer les menaces globales pour la VUE du bien. Cette évaluation permettrait en outre de déterminer si des mesures générales d’atténuation peuvent être identifiées afin de contrecarrer ces menaces, en collaboration avec les principales parties prenantes tant au plan national qu’international, ou si les travaux entrepris ont causé des dommages irréversibles aux attributs qui confèrent la VUE, notamment à l’authenticité et à l’intégrité du bien, dans une telle mesure qu’ils ne peuvent être atténués.

En conséquence, il est également recommandé au Comité de demander à l’État partie de suspendre immédiatement tous les projets de développement et de reconstruction et d’ordonner l’arrêt de toute démolition dans les zones résidentielles traditionnelles, dans l’attente de la réalisation d’EIP, de la finalisation de politiques/d’orientations de conservation appropriées et du plan de gestion, et d’un examen détaillé des schémas de planification urbaine à grande échelle.

Il est également recommandé que l’État partie invite une mission de suivi réactif afin que celle-ci identifie la portée exacte de l’impact du développement touristique et des projets de reconstruction sur la VUE du bien, et détermine si des mesures correctives peuvent être définies ou si la VUE du bien a subi des dommages irréversibles dans une mesure telle que l’on devrait envisager de retirer le bien de la Liste du patrimoine mondial.

Enfin, il est également recommandé au Comité de demander à l’État partie de renforcer les lois et réglementations nationales en matière de protection du patrimoine culturel, en accordant une attention toute particulière aux biens du patrimoine mondial en Ouzbékistan, d’adopter des arrêtés/ réglementations destinés à soutenir la mise en œuvre de la Convention au niveau national et de renforcer la protection du patrimoine et les systèmes de gestion en établissant une agence spécialement en charge de la protection et de la gestion du bien du patrimoine mondial et de mettre à disposition de cette agence les ressources humaines et financières adéquates.

Décisions adoptées par le Comité en 2016
40 COM 7B.48
Centre historique de Shakhrisyabz (Ouzbékistan) (C 885)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/16/40.COM/7B.Add,
  2. Rappelant la décision 39 COM 7B.74, adoptée à sa 39e session (Bonn, 2015),
  3. Regrette que l’État partie n’ait pas apporté de réponses aux préoccupations, recommandations et demandes formulées dans les précédentes décisions du Comité, qu’il n’ait pas communiqué de plans et de documentation détaillés ou d’évaluations d’impact sur le patrimoine (EIP) sur le « Programme d’État de mesures complexes pour le développement et la reconstruction de la ville de Shakhrisyabz » et qu’il n’ait pas réussi à ordonner l’arrêt des travaux dans l’attente de la réalisation des évaluations et examens nécessaires ;
  4. Prend note avec une vive préoccupation du rapport soumis par la mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS de 2016 qui a observé qu’à ce jour les interventions majeurs avaient été réalisées dans le cadre du programme d’État, notamment les travaux de démolition et de reconstruction qui ont entrainé des changements irréversibles dans l’aspect initial d’une grande zone du centre historique de Shakhrisyabz, dans l’environnement des monuments d’intérêt architectural ainsi que dans les strates et la structure de la planification historique de la ville dans son ensemble ;
  5. Exprime également sa plus vive préoccupation quant à l’absence de conformité de l’État partie aux demandes formulées par le Comité dans sa décision 39 COM 7B.74, et à la menace que les interventions ci-dessus mentionnées représentent pour la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien, notamment son intégrité et son authenticité, conformément au paragraphe 179 des Orientations;
  6. Décide d’inscrire le Centre historique de Shakhrisyabz (Ouzbékistan) sur la Liste du patrimoine mondial en péril ;
  7. Prie instamment l’État partie de suspendre immédiatement tous les projets de développement touristique et de reconstruction sur le territoire du bien et dans les zones adjacentes, et demande à l’État partie, en priorité, de :
    1. Arrêter immédiatement de toute démolition des zones résidentielles traditionnelles dans l’attente de la réalisation d’évaluations d’impact sur le patrimoine (EIP), de l’élaboration et de la finalisation de politiques/d’orientations de conservation appropriées et du plan de gestion, et de l’examen détaillé des schémas de planification urbaine à grande échelle pour la ville de Shakhrisyabz,
    2. Soumettre une documentation détaillée sur les interventions de démolition et les autres travaux entrepris dans le cadre du Projet de développement touristique et de reconstruction,
    3. Renforcer les lois et réglementations nationales en matière de protection du patrimoine culturel, en accordant une attention toute particulière aux biens du patrimoine mondial en Ouzbékistan, et adopter des arrêtés/réglementations destinés à soutenir la mise en œuvre de la Convention au niveau national,
    4. Renforcer le système de protection et de gestion du patrimoine en établissant une agence spécialement en charge de la protection et de la gestion du bien du patrimoine mondial, et mettre à sa disposition les ressources humaines et financières adéquates ;
  8. Demande également à l’État partie d’inviter, de toute urgence, une mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS sur le territoire du bien afin d’identifier, en collaboration avec les principales parties prenantes tant au plan national qu’international, les menaces précises pour la VUE du bien et de déterminer si des mesures correctives et un État souhaité de conservation en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR) peuvent être élaborés, ou si les travaux entrepris jusqu’alors ont causé des dommages tellement irréversibles aux attributs qui confèrent au bien sa VUE, particulièrement son authenticité et son intégrité, que celui-ci ne peut plus transmettre la VUE pour laquelle il a été inscrit et que l’on devrait, en conséquence, envisager son possible retrait de la Liste du patrimoine mondial lors d’une prochaine session ;
40 COM 8C.1
Mise a jour de la Liste du patrimoine mondial en péril (biens inscrits)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné les rapports sur l’état de conservation des biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial (WHC/16/40.COM/7B, WHC/16/40.COM/7B.Add et WHC/16/40.COM/7B.Add.2) et les propositions d'inscription sur la Liste du patrimoine mondial (WHC/16/40.COM/8B et WHC/16/40.COM/8B.Add),
  2. Décide d’inscrire les biens suivants sur la Liste du patrimoine mondial en péril :
  • Libye, Ancienne ville de Ghadamès (décision 40 COM 7B.106)
  • Libye, Site archéologique de Cyrène (décisions 40 COM 7B.24 et 40 COM 7B.106)
  • Libye, Site archéologique de Leptis Magna (décision 40 COM 7B.106)
  • Libye, Site archéologique de Sabratha (décision 40 COM 7B.106)
  • Libye, Sites rupestres du Tadrart Acacus (décisions 40 COM 7B.25 et 40 COM 7B.106)
  • Mali, Villes anciennes de Djenné (décision 40 COM 7B.13)
  • Micronésie (États fédérés de), Nan Madol : centre cérémoniel de la Micronésie orientale (décision 40 COM 8B.22)
  • Ouzbékistan, Centre historique de Shakhrisyabz (décision 40 COM 7B.48).
Projet de décision : 40 COM 7B.48

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/16/40.COM/7B.Add,
  2. Rappelant la décision 39 COM 7B.74, adoptée à sa 39e session (Bonn, 2015),
  3. Regrette que l’État partie n’ait pas apporté de réponses aux préoccupations, recommandations et demandes formulées dans les précédentes décisions du Comité, qu’il n’ait pas communiqué de plans et de documentation détaillés ou d’évaluations d’impact sur le patrimoine (EIP) sur le « Programme d’État de mesures complexes pour le développement et la reconstruction de la ville de Shakhrisyabz » et qu’il n’ait pas réussi à ordonner l’arrêt des travaux dans l’attente de la réalisation des évaluations et examens nécessaires ;
  4. Prend note avec une vive préoccupation du rapport soumis par la mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS de 2016 qui a observé qu’à ce jour les interventions majeurs avaient été réalisées dans le cadre du programme d’État, notamment les travaux de démolition et de reconstruction qui ont entrainé des changements irréversibles dans l’aspect initial d’une grande zone du centre historique de Shakhrisyabz, dans l’environnement des monuments d’intérêt architectural ainsi que dans les strates et la structure de la planification historique de la ville dans son ensemble ;
  5. Exprime également sa plus vive préoccupation quant à l’absence de conformité de l’État partie aux demandes formulées par le Comité dans sa décision 39 COM 7B.74, et à la menace que les interventions ci-dessus mentionnées représentent pour la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien, notamment son intégrité et son authenticité, conformément au paragraphe 179 des Orientations ;
  6. Décide d’inscrire le Centre historique de Shakhrisyabz (Ouzbékistan) sur la Liste du patrimoine mondial en péril ;
  7. Prie instamment l’État partie de suspendre immédiatement tous les projets de développement touristique et de reconstruction sur le territoire du bien et dans les zones adjacentes, et demande à l’État partie, en priorité, de :
    1. Arrêter immédiatement de toute démolition des zones résidentielles traditionnelles dans l’attente de la réalisation d’évaluations d’impact sur le patrimoine (EIP), de l’élaboration et de la finalisation de politiques/d’orientations de conservation appropriées et du plan de gestion, et de l’examen détaillé des schémas de planification urbaine à grande échelle pour la ville de Shakhrisyabz,
    2. Soumettre une documentation détaillée sur les interventions de démolition et les autres travaux entrepris dans le cadre du Projet de développement touristique et de reconstruction,
    3. Renforcer les lois et réglementations nationales en matière de protection du patrimoine culturel, en accordant une attention toute particulière aux biens du patrimoine mondial en Ouzbékistan, et adopter des arrêtés/réglementations destinés à soutenir la mise en œuvre de la Convention au niveau national, 
    4. Renforcer le système de protection et de gestion du patrimoine en établissant une agence spécialement en charge de la protection et de la gestion du bien du patrimoine mondial, et mettre à sa disposition les ressources humaines et financières adéquates ;
  8. Demande également à l’État partie d’inviter, de toute urgence, une mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS sur le territoire du bien afin d’identifier, en collaboration avec les principales parties prenantes tant au plan national qu’international, les menaces précises pour la VUE du bien et de déterminer si des mesures correctives et un État souhaité de conservation en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR) peuvent être élaborés, ou si les travaux entrepris jusqu’alors ont causé des dommages tellement irréversibles aux attributs qui confèrent au bien sa VUE, particulièrement son authenticité et son intégrité, que celui-ci ne peut plus transmettre la VUE pour laquelle il a été inscrit et que l’on devrait, en conséquence, envisager son possible retrait de la Liste du patrimoine mondial lors d’une prochaine session ;
  9. Demande en outre à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2017, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 41e session en 2017.
Année du rapport : 2016
Ouzbékistan
Date d'inscription : 2000
Catégorie : Culturel
Critères : (iii)(iv)
Liste en péril (dates) : 2016-présent
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2016) .pdf
arrow_circle_right 40COM (2016)
Exports

* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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