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Réseau des lacs du Kenya dans la vallée du Grand Rift

Kenya
Facteurs affectant le bien en 2023*
  • Gouvernance
  • Habitat
  • Système de gestion/plan de gestion
  • Vastes infrastructures et/ou installations touristiques / de loisirs
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Gouvernance
  • Habitat
  • Vastes installations touristiques et infrastructures associées
  • Système de gestion/plan de gestion
  • Infrastructures liées aux énergies renouvelables (problème résolu)
Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2023

Montant total accordé : 17 283 dollars EU du bureau régional de l’UNESCO en Afrique de l’Est (2015-2016)

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2023
Demandes approuvées : 3 (de 1999-2006)
Montant total approuvé : 45 000 dollars E.U.
2006 Regional experts meeting on the harmonization of sites ... (Approuvé)  
2003 Second International Expert Meeting on Great Rift Valley (Non approuvé)   0 dollars E.U.
2001 Great Rift Valley as a mixed nomination (Approuvé)   15 000 dollars E.U.
1999 Preparation of nomination file for "Great Rift Valley ... (Approuvé)   30 000 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2023**

Néant

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2023

L’État partie a soumis un rapport sur l’état de conservation du bien le 25 mars 2022, disponible à https://whc.unesco.org/fr/list/1060/documents/ et rendant compte de ce qui suit :

L’élévation du niveau des lacs se poursuit dans les trois composantes du bien. En réponse, en 2020 une équipe technique nationale multi-organisations a été constituée avec le PNUD, l’USAID et l’UNESCO pour mener une étude détaillée sur les impacts qui en résultent ;

Selon l’étude, consultable en ligne sur http://www.environment.go.ke/wp-content/uploads/2021/10/MENR_Scoping_Report_Latest-5-07-21.pdf, l’élévation des niveaux d’eau est essentiellement attribuée à l’augmentation des précipitations dans la région liée aux changements climatiques aggravés par la dégradation et le changement d’affectation des sols dans les bassins hydrographiques. Les liens possibles avec des bouleversements géologiques sont encore méconnus ;

Outre les impacts socio-économiques, la perte de vies et de moyens de subsistance, l’endommagement d’infrastructures, la végétation ripicole est en train de disparaître tandis que les niveaux de salinité et de pH des lacs baissent, entraînant des impacts sur la biodiversité, y compris une réduction des populations de flamants nains ;

L’inondation de la station d’épuration de Nakuru a favorisé le déversement d’eaux usées non traitées dans les lacs et a eu un effet préjudiciable sur la qualité des eaux lacustres ;

L’étude recommande une liste d’actions à court, moyen et long terme, notamment la délocalisation et la réhabilitation des stations d’épuration, la cartographie et le balisage des sols ripicoles de manière à indiquer les nouveaux niveaux des lacs, créer des zones tampons et mettre en place un dispositif de suivi. L’étude recommande aussi de finaliser la stratégie nationale de gestion des bassins lacustres qui permettra de guider la gestion durable et coordonnée des ressources des bassins, mais également d’établir des plans comtaux d'aménagement résilients au climat pour délimiter les nouveaux marqueurs des hautes eaux et l’utilisation directe des terres. Des fonds sont sollicités pour mettre en œuvre ces recommandations ;

Le plan de gestion de la réserve nationale du lac Bogoria est mis en œuvre par le Gouvernement du comté de Baringo, en étroite collaboration avec le Kenya Wildlife Service. L’élévation des niveaux des lacs s’est répercutée sur le plan de zonage qui sera revu une fois que ces niveaux seront redescendus et lors de la réhabilitation des infrastructures en cours ;

L’État partie a entamé des discussions entre les partenaires, les propriétaires terriens et les détenteurs de droits fonciers entre les lacs Nakuru et Naivasha afin d’explorer les possibilités de sécurisation d’un corridor entre les deux lacs. Un projet conceptuel a été élaboré en utilisant les terres gouvernementales sous la forme de tracés le long d’un pipeline et d’une ligne électrique existants qui relient les lacs ;

Une réunion tenue en janvier 2020 à Naivasha a permis de débattre et de trouver un accord sur le système de gestion coordonnée des trois éléments du bien ;

La ligne électrique Olkaria-Lessos-Kisumu qui a été installée est maintenant sous tension et l’État partie poursuit la mise en œuvre du programme de suivi comme recommandé par le rapport conjoint multi-organisations.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2023

L’élévation continuelle du niveau d’eau de tous les lacs du bien est fort inquiétante car elle a des impacts socio-économiques préjudiciables, modifie les limites des lacs pour la gestion, abaisse le pH et la salinité des lacs et affecte la biodiversité de manière négative. Le déclin de la population de flamants nains, attribut essentiel de la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien, suscite en particulier de vives préoccupations. Il est recommandé que les États parties du Kenya, d’Éthiopie et de Tanzanie soient incités à entreprendre une étude conjointe dans le Rift est-africain et à définir un plan d’action pour le flamant nain pour la région, avec la coopération du groupe de spécialistes des flamants UICN/CSE. Lors de l’inscription, le Comité du patrimoine mondial avait encouragé les États parties du Kenya et de la République-Unie de Tanzanie, ainsi que les autres États parties concernés, à coopérer en faveur de la bonne conservation du lac Natron et des autres lacs de la région, et à considérer de nouvelles extensions de biens en série potentielles dans le cadre d’un bien en série transnational potentiel.

Il est préoccupant que le rapport d'orientation sur le niveau d’eau indique qu’en dépit du fait que la cause de l’élévation du niveau des lacs semble largement due au changement climatique, le problème est aussi aggravé par le changement d’utilisation des terres et des pratiques dans le bassin lacustre qui provoquent le ruissellement croissant et, par voie de conséquence, le déversement de plus gros volumes d’eau dans les lacs. Les recommandations du rapport d'orientation incluant la cartographie des zones ripicoles et la relocalisation ou la réhabilitation des stations d’épuration, la sensibilisation aux effets du changement climatique, ainsi que la création de zones tampons devraient être mises en œuvre parallèlement à la nécessité de mener une action urgente, en étroite collaboration avec les communautés locales, pour remédier à la déforestation et à la dégradation des terres dans le bassin, en particulier dans l’escarpement de Mau, comme déjà recommandé lors de l’inscription.

L’engagement de l’État partie avec les parties prenantes, les propriétaires terriens et les détenteurs de droits fonciers sur la faisabilité de la sécurisation d’un corridor faunique entre les lacs Nakuru et Naivasha est noté, bien qu’il ne précise pas explicitement s’il inclut le corridor entre les lacs Nakuru et Elementaita. Il est rappelé qu’au moment de l’inscription, il y avait eu un accord de principe entre le Kenya Wildlife Service et Soysambu Conservancy concernant l’ouverture d’un corridor faunique entre les lacs Nakuru et Elementaita, et que cela était jugé important pour protéger la connectivité écologique de ces composantes. S’il est vrai que la proposition d’un corridor faunique qui suit le tracé existant a ses avantages, la sélection et la configuration du site devraient se baser sur une évaluation des besoins propres aux espèces spécifiques pour permettre au corridor potentiel de s’adapter au mouvement de chaque espèce cible. Cela devrait s’accompagner d’un programme de suivi approprié pour mesurer l’efficacité du corridor. Il est recommandé que l’État partie communique davantage d’informations sur cette proposition et que le Comité réitère sa demande à l’État partie de considérer l’extension éventuelle et l’officialisation de la zone tampon afin de restaurer la connectivité et de continuer à renforcer la protection.

Il est regrettable qu’aucun détail concernant la réunion de janvier 2020 sur le système de gestion coordonnée des trois éléments du bien n’ait été communiqué, tel que les principales conclusions, les décisions ou les personnes qui ont été consultées.

Il est noté que le plan de zonage sera révisé une fois que les niveaux des lacs seront redescendus et à mesure que l'infrastructure sera réhabilitée. Toutefois, il faudrait rappeler à l’État partie les décisions antérieures du Comité (39 COM 7B.5 et 41 COM 7B.21) préconisant d’établir et de mettre en œuvre une réglementation claire et stricte, en collaboration avec tous les partenaires et les détenteurs de droits fonciers, interdire tout aménagement à proximité immédiate des zones sensibles qui pourrait porter atteinte à la VUE du bien.

Il est regrettable que l’État partie n’ait communiqué aucune information au sujet de la mission de conservation des oiseaux d'eau migrateurs d'Afrique-Eurasie (AEWA) planifiée depuis 2020 et ait procédé au lieu de cela à la mise sous tension de la ligne électrique Olkaria-Lessos-Kisumu qui passe le long du lac Elementaita et qui pourrait causer une mortalité accrue des oiseaux, y compris du flamant nain. Il est recommandé que l’État partie procure une mise à jour sur la mission de l’AEWA avec ses recommandations si elles sont disponibles, surveille les mortalités d’oiseaux le long de la ligne électrique et rende compte des mesures d’atténuation et de leur efficacité pour limiter la mortalité des oiseaux.

Décisions adoptées par le Comité en 2023
45 COM 7B.7
Réseau des lacs du Kenya dans la vallée du Grand Rift (Kenya) (N 1060rev)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/23/45.COM/7B,
  2. Rappelant les Décisions 39 COM 7B.541 COM 7B.2143 COM 7B.33 et 44 COM 7B.175, adoptées à ses 39e (Bonn, 2015), 41e (Cracovie, 2017), 43e sessions (Bakou, 2019) et à sa 44e session élargie (Fuzhou/en ligne, 2021) respectivement,
  3. Exprime son extrême préoccupation quant aux impacts de l’élévation continue du niveau d’eau de tous les lacs du bien, causant des modifications des limites, du pH et de la salinité des lacs, et ayant des effets néfastes sur la biodiversité, en particulier le déclin alarmant de la population de flamants nains, attribut essentiel de la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien ;
  4. Encourage l’État partie du Kenya, avec le soutien de l’Éthiopie et de la République-Unie de Tanzanie, à entreprendre une étude conjointe permettant de mieux comprendre les changements au sein des populations de flamants nains dans le Rift est-africain et développer un plan d’action du flamant nain pour la région, en coopération avec le groupe de spécialistes des flamants UICN/CSE ;
  5. Rappelle qu’au moment de l’inscription, le Comité du patrimoine mondial dans sa Décision 35 COM 8B.6 avait encouragé les États parties du Kenya et de la République-Unie de Tanzanie, et d’autres États parties concernés à coopérer pour assurer la bonne conservation du lac Natron et d’autres lacs de la région, et à considérer de nouvelles extensions en série potentielles dans le cadre d’un bien en série du patrimoine mondial transnational potentiel ;
  6. Note les conclusions du rapport d'orientation produit par l’équipe multi-organisations sur les impacts de l’élévation des niveaux des eaux lacustres et encourage l’État partie à mettre en œuvre les recommandations de l’étude, à savoir la réalisation de nouveaux levés des zones ripicoles, le balisage des nouvelles limites, le suivi permanent du site, la relocalisation ou la réhabilitation des stations d’épuration près du lac Nakuru et des autres lacs, la sensibilisation aux impacts du changement climatique, ainsi que l’établissement de zones tampons parallèlement aux mesures à prendre d’urgence, en étroite collaboration avec les communautés locales, pour remédier à la déforestation et à la dégradation des sols dans le bassin, en particulier dans l’escarpement de Mau ;
  7. Se félicite des discussions de l’État partie avec les parties prenantes visant à sécuriser un corridor faunique entre le lac Nakuru et le lac Naivasha en utilisant le tracé et en créant un groupe de réflexion, en élaborant une note conceptuelle et un plan de travail, mais considère que la sélection et la configuration du site du corridor faunique devraient se baser sur une évaluation des besoins propres aux espèces spécifiques permettant au corridor potentiel de s’adapter au mouvement de chaque espèce cible, et demande donc également à l’État partie de procurer de plus amples informations sur ce concept ;
  8. Note également qu’une réunion a été organisée en 2020 à Naivasha pour convenir de la coordination de la gestion des trois composantes du bien, et demande en outre à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial un rapport et les mesures de suivi adoptées pour faire appliquer ses décisions ;
  9. Notant en outre que l’élévation des niveaux des lacs a affecté le plan de zonage du bien qui sera revu une fois que les niveaux des lacs seront redescendus, réitère sa demande à l’État partie d’établir et de mettre en œuvre une réglementation qui interdise tout aménagement à proximité immédiate des zones fragiles et des zones tampons sensibles du bien ;
  10. Regrette vivement que l’État partie n’ait pas arrêté le projet de ligne à haute tension Olkaria-Lessos-Kisumu qui passe le long du lac Elementaita et est maintenant sous tension, en dépit des inquiétudes qui subsistent quant à l’impact potentiel du projet sur la VUE du bien, et prie instamment l’État partie de rendre compte du statut de la mission de conservation des oiseaux d'eau migrateurs d'Afrique-Eurasie (AEWA) en incluant ses recommandations si elles sont disponibles, le suivi des mortalités d’oiseaux le long de la ligne électrique, et de rendre compte des mesures d’atténuation et de leur efficacité pour limiter la mortalité des oiseaux ;
  11. Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1erdécembre 2024, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 47e session.
Projet de décision : 45 COM 7B.7

Le Comité du patrimoine mondial,

Ayant examiné le document WHC/23/45.COM/7B,

Rappelant les Décisions 39 COM 7B.541 COM 7B.2143 COM 7B.33 et 44 COM 7B.175, adoptées à ses 39e (Bonn, 2015), 41e (Cracovie, 2017), 43e sessions (Bakou, 2019) et à sa 44e session élargie (Fuzhou/en ligne, 2021) respectivement,

Exprime son extrême préoccupation quant aux impacts de l’élévation continue du niveau d’eau de tous les lacs du bien, causant des modifications des limites, du pH et de la salinité des lacs, et ayant des effets néfastes sur la biodiversité, en particulier le déclin alarmant de la population de flamants nains, attribut essentiel de la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien ;

Encourage l’État partie du Kenya, avec le soutien de l’Éthiopie et de la République-Unie de Tanzanie, à entreprendre une étude conjointe permettant de mieux comprendre les changements au sein des populations de flamants nains dans le Rift est-africain et développer un plan d’action du flamant nain pour la région, en coopération avec le groupe de spécialistes des flamants UICN/CSE ;

Rappelle qu’au moment de l’inscription, le Comité du patrimoine mondial dans sa Décision 35 COM 8B.6 avait encouragé les États parties du Kenya et de la République-Unie de Tanzanie, et d’autres États parties concernés à coopérer pour assurer la bonne conservation du lac Natron et d’autres lacs de la région, et à considérer de nouvelles extensions en série potentielles dans le cadre d’un bien en série du patrimoine mondial transnational potentiel ;

Note les conclusions du rapport d'orientation produit par l’équipe multi-organisations sur les impacts de l’élévation des niveaux des eaux lacustres et demande à l’État partie de mettre en œuvre les recommandations de l’étude, à savoir la réalisation de nouveaux levés des zones ripicoles, le balisage des nouvelles limites, le suivi permanent du site, la relocalisation ou la réhabilitation des stations d’épuration près du lac Nakuru et des autres lacs, la sensibilisation aux impacts du changement climatique, ainsi que l’établissement de zones tampons parallèlement aux mesures à prendre d’urgence, en étroite collaboration avec les communautés locales, pour remédier à la déforestation et à la dégradation des sols dans le bassin, en particulier dans l’escarpement de Mau ;

Se félicite des discussions de l’État partie avec les parties prenantes visant à sécuriser un corridor faunique entre le lac Nakuru et le lac Naivasha en utilisant le tracé et en créant un groupe de réflexion, en élaborant une note conceptuelle et un plan de travail, mais considère que la sélection et la configuration du site du corridor faunique devraient se baser sur une évaluation des besoins propres aux espèces spécifiques permettant au corridor potentiel de s’adapter au mouvement de chaque espèce cible, et demande donc également à l’État partie de procurer de plus amples informations sur ce concept, y compris sur la manière dont la connectivité avec le lac Elementaita est envisagée, et de considérer l’extension éventuelle et l’officialisation de la zone tampon pour restaurer la connectivité et continuer à renforcer la protection ;

Note également qu’une réunion a été organisée en 2020 à Naivasha pour convenir de la coordination de la gestion des trois éléments du bien, et demande en outre à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial le rapport de cette réunion et les mesures de suivi adoptées pour faire appliquer ses décisions ;

Notant en outre que l’élévation des niveaux des lacs a affecté le plan de zonage du bien qui sera revu une fois que les niveaux des lacs seront redescendus, réitère sa demande à l’État partie d’établir et de mettre en œuvre une réglementation stricte qui interdise tout aménagement à proximité immédiate des zones fragiles et des zones tampons sensibles du bien ;

Regrette vivement que l’État partie n’ait pas arrêté le projet de ligne à haute tension Olkaria-Lessos-Kisumu qui passe le long du lac Elementaita et est maintenant sous tension, en dépit des inquiétudes qui subsistent quant à l’impact potentiel du projet sur la VUE du bien, et prie instamment l’État partie de rendre compte du statut de la mission de conservation des oiseaux d'eau migrateurs d'Afrique-Eurasie (AEWA) en incluant ses recommandations si elles sont disponibles, le suivi des mortalités d’oiseaux le long de la ligne électrique, et de rendre compte des mesures d’atténuation et de leur efficacité pour limiter la mortalité des oiseaux ;

Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er décembre 2024, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 47e session.

Année du rapport : 2023
Kenya
Date d'inscription : 2011
Catégorie : Naturel
Critères : (vii)(ix)(x)
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2022) .pdf
Proposé initialement pour examen en 2022
arrow_circle_right 45COM (2023)
Exports

* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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