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Les Sundarbans

Bangladesh
Facteurs affectant le bien en 2017*
  • Activités illégales
  • Exploitation forestière/production de bois
  • Infrastructures hydrauliques
  • Infrastructures liées aux énergies non renouvelables
  • Pollution des océans
  • Système de gestion/plan de gestion
  • Tempêtes
  • Autres menaces :

    Dragage de la rivière Passur

Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Pollution des océans (Niveau de salinité élevé)
  • Système de gestion/ Plan de gestion
  • Tempêtes (Perte de capacités de suivi, en raison des dommages causés par le cyclone)
  • Activités illégales (Braconnage des tigres)
  • Exploitation forestière/production de bois (Coupe de bois d’œuvre et de produits forestiers non ligneux)
  • Infrastructures liées aux énergies non renouvelables (Projet de centrale thermique)
  • Infrastructures hydrauliques (Dragage de la rivière Passur)
Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2017

Montant total accordé : 32 590 dollars EU provenant de la Suisse, à la suite de l’Appel spécial lancé par le Secteur des Relations Extérieures de l’UNESCO

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2017
Demandes approuvées : 1 (de 2008-2008)
Montant total approuvé : 75 000 dollars E.U.
2008 Re-establishing essential management capacity in the ... (Approuvé)   75 000 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2017**

Décembre 2007 : mission du Centre du patrimoine mondial; mar 2016: mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2017

Du 22 au 28 mars 2016, une mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN a visité le bien, comme demandé par le Comité dans sa décision 39 COM 7B.8. Le 10 octobre 2016, l’État partie a répondu de façon détaillée au rapport de mission et, le 28 novembre 2016, il a soumis un rapport sur l’état de conservation du bien. Tous ces rapports sont disponibles à https://whc.unesco.org/fr/list/798/documents. Les informations suivantes ont été communiquées à propos des questions précédemment évoquées par le Comité :

  • L’évaluation d’impact environnemental (EIE) pour le dragage de la rivière Pashur n’a pas été mise à jour de façon à inclure une évaluation des impacts potentiels sur la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien. Il est précisé que de telles évaluations seront réalisées pour les futurs travaux de dragage de cette rivière ;
  • La décision a été prise d’entreprendre une évaluation environnementale stratégique (EES) pour la région Sud-Ouest du Bangladesh, dans laquelle se situe le bien, qui prévoit une évaluation des impacts indirects et cumulatifs du projet de centrale thermique Maitree Super (dite centrale électrique du Rampal) d’une capacité de 1320 MW, et d’autres projets d’aménagement aux alentours du bien sur la VUE;
  • La liste des nombreuses mesures d’atténuation à mettre en œuvre au Rampal a été dressée. Il est proposé qu’une équipe de suivi indépendante surveille le projet de la centrale électrique du Rampal depuis sa construction jusqu’à la fin de sa phase d’exploitation. La recommandation de la mission d’annuler et de déplacer ce projet dans un lieu plus approprié n’est pas acceptée par l’État partie ;
  • Le projet de centrale électrique Orion n’a pas été approuvé et le projet de deuxième phase de la centrale électrique du Rampal ne sera pas mené à terme ;
  • Des informations complémentaires sont communiquées sur le suivi écologique et des résultats concernant certaines espèces de la mangrove, les tigres, les crocodiles et les cétacées sont également donnés ;
  • Il est déclaré que l’augmentation du niveau de la mer dans la Baie du Bengale est plus rapide que l’augmentation moyenne constatée dans le monde, et que des mesures d’adaptation et d’atténuation sont actuellement prises. Le rapport note que l’augmentation du niveau de la mer, l’intrusion de sel et la réduction des courants d’eau douce constituent des menaces pour l’écosystème des Sundarbans. L’État partie s’engage « à garantir la résilience maximum [des Sundarbans] face aux impacts du changement climatique » ;
  • Des mesures ont été prises pour accroitre les capacités de préparation et de réponse en cas de déversements d’hydrocarbures, avec notamment l’élaboration d’un Plan national d’urgence pour les déversements d’hydrocarbures et les risques chimiques (« National Oil Spill and Chemical Contingency Plan » - NOSCOP) et l’acquisition de trois bateaux équipés d’un système de collecte des hydrocarbures. Le déversement de décembre 2014 est qualifié de « simple accident ».

Le 16 mars 2017, à l’occasion d’une réunion au Centre du patrimoine mondial, les États parties du Bangladesh et de l’Inde ont informé la Directrice du Centre du patrimoine mondial de leur intention de renforcer la coopération transfrontalière afin de protéger les biens du patrimoine mondial « Les Sundarbans » et le « Parc national des Sundarbans ».

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2017

Les décisions de l’État partie de ne pas approuver la centrale électrique Orion, de ne pas mener à terme la deuxième phase de la centrale électrique du Rampal, et de réaliser une EES pour la région Sud-Ouest du Bangladesh sont accueillies avec satisfaction, car elles sont conformes à deux des principales recommandations de la mission de suivi réactif de 2016. Il est recommandé au Comité de demander à l’État partie de n’autoriser la mise en œuvre d’aucun projet industriel et/ou d’infrastructure de grande envergure (y compris la centrale électrique du Rampal) avant l’achèvement de l’EES.

Il est regrettable que l’EIE pour le dragage de la rivière Pashur n’ait pas été mise à jour comme demandé par le Comité. Bien que l’État partie déclare que les EIE pour les futurs travaux de dragage prendront en considération les impacts sur la VUE du bien, cet engagement ne répond pas à la préoccupation du Comité liée à une évaluation insatisfaisante des impacts des travaux de dragage actuellement prévus. Il est donc recommandé au Comité de réitérer sa demande auprès de l’État partie afin qu’il veille à ce qu’aucuns travaux de dragage ne soient entrepris avant que l’EIE soit révisée, conformément à la Note consultative de l’UICN sur le patrimoine mondial : l’évaluation environnementale.

Les informations sur le suivi écologique sont accueillies avec satisfaction. L’État partie a confirmé les conclusions de la mission selon lesquelles l’élévation du niveau de la mer, l’intrusion de sel et la réduction des courants d’eau douce constituent des menaces pour l’écosystème des Sundarbans. Il conviendrait de noter que le bien, situé dans la partie méridionale de la Réserve forestière des Sundarbans (« Sundarbans Reserve Forest » – SRF) est particulièrement vulnérable à l’augmentation du niveau de salinité. La mission a conclu que sans un afflux adéquat d’eau en provenance du bassin du Gange, la VUE du bien ne saurait être correctement et durablement protégée et maintenue. Il est pris note, à ce sujet, de la volonté de renforcer la coopération transfrontalière entre les États parties du Bangladesh et de l’Inde pour les biens des Sundarbans.

La mission a également conclu que le projet de centrale électrique du Rampal, à seulement 14 km de la SRF et 65 km du bien, était très susceptible d’avoir des impacts sur le bien, situé en aval du projet, en raison de la pollution de l’air et de l’eau, d’une augmentation substantielle du trafic des bateaux et du dragage, et d’une ponction supplémentaire d’eau douce dans un environnement dont le niveau de salinité est déjà croissant. En outre, en plus de ne pas traiter des impacts sur la VUE du bien, l’EIE du projet ne présente pas de preuves convaincantes de l’atténuation des impacts. Bien que l’État partie dresse une longue liste de mesures prises pour limiter et atténuer les impacts négatifs sur l’environnement, l’insuffisance de preuves établissant que ces mesures préviendraient les conséquences néfastes des émissions atmosphériques, des dangers liés aux cendres de charbons et des projets de transport par bateaux et de dragage des rivières nécessaires pour acheminer le charbon sur le site du projet reste inquiétante. Compte tenu de ces inquiétudes et des conclusions de la mission, il est recommandé au Comité de demander à l’État partie de ne pas poursuivre le projet de centrale électrique du Rampal sur son site actuel et de l’implanter dans un lieu mieux adapté, où il n’aurait pas d’impact négatif sur la VUE du bien. La mise en œuvre des autres étapes de ce projet ne serait pas appropriée, étant données les inquiétudes qu’il suscite et l’absence d’une évaluation exhaustive des impacts potentiels du projet sur la VUE du bien, conformément à la Note consultative de l’UICN sur le patrimoine mondial : l'évaluation environnementale. Des informations complémentaires seraient nécessaires pour permettre un examen préalable par le Comité de tels projets industriels de très grande envergure dans des zones entourant le bien.

L’élaboration du projet de NOSCOP et l’acquisition de bateaux supplémentaires équipés de systèmes de collecte des hydrocarbures déversés sont accueillies avec satisfaction. Il est toutefois préoccupant que le déversement d’hydrocarbures de décembre 2014 soit présenté comme « un simple accident » et que l’État partie n’évoque pas les conséquences de quatre autres incidents similaires qui se sont déroulés en mai 2015, octobre 2015, mars 2016 et janvier 2017, répandant de grandes quantité de charbon à proximité du bien ainsi que, dans un cas, de l’engrais potassique. La mission a noté que des impacts sur le long terme de ces déversements sur l’écosystème des Sundarbans ne sauraient être exclus. En outre, l’augmentation anticipée du trafic des bateaux liée à l’aménagement de la centrale électrique du Rampal et le projet d’extension du port de Mongla pourraient considérablement accroître les risques d’incidents de navigation. Il est recommandé au Comité de demander à l’État partie de veiller à ce qu’une fois le NOSCOP adopté, des ressources humaines et financières adéquates soient accordées pour sa mise en œuvre, et de communiquer des informations et des données complémentaires sur le suivi des impacts des récents incidents de navigation dans le temps.

Enfin, il est recommandé au Comité de demander à l’État partie de prendre des mesures urgentes afin de mettre pleinement en œuvre toutes les recommandations formulées par la mission. Bien que cette dernière ait conclu que le bien ne réponde pas aux conditions d’une inscription sur la Liste du patrimoine mondial en péril, il est précisé que la mise en œuvre immédiate des recommandations de la mission relatives aux courants d’eau douce, aux projets d’aménagements de grande envergure aux alentours du bien et à la gestion intégrée, est impérative pour empêcher que la VUE du bien ne soit atteinte de façon irréversible. Il est donc recommandé qu’en l’absence de progrès substantiels dans la mise en œuvre des points ci-dessus évoqués, le Comité considère l’inscription du bien sur Liste du patrimoine mondial en péril à sa 42e session.

Décisions adoptées par le Comité en 2017
41 COM 7B.25
Les Sundarbans (Bangladesh) (N 798)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/17/41.COM/7B,
  2. Rappelant la Décision 39 COM 7B.8, adoptée à sa 39e session (Bonn, 2015),
  3. Accueille avec satisfaction la décision de l’État partie de ne pas approuver le projet de centrale électrique Orion et la deuxième phase de la centrale électrique du Rampal,
  4. Accueille également favorablement la décision de l’État partie de réaliser une évaluation environnementale stratégique (EES) pour la région Sud-Ouest du Bangladesh, y compris le territoire du bien, et demande à l’État partie de veiller à ce que la mise en œuvre d’aucun projet industriel et/ou d’infrastructure de grande envergure ne soit autorisée avant l’achèvement de l’EES, et de soumettre un exemplaire celle-ci au Centre du patrimoine mondial pour examen par l’UICN, conformément au paragraphe 172 des Orientations, dès que celle-ci sera disponible ;
  5. Accueille aussi avec satisfaction les informations sur le suivi écologique et note avec inquiétude que l’élévation du niveau de la mer, l’intrusion de sel et la réduction des courants d’eau douce constituent des menaces pour l’écosystème des Sundarbans et que le bien est particulièrement vulnérable aux impacts liés à ces menaces ;
  6. Prend note de l’importance cruciale de la coopération transfrontalière entre les États parties du Bangladesh et de l’Inde pour les biens du patrimoine mondial « Les Sundarbans » (Bangladesh) et le « Parc national des Sundarbans » (Inde), accueille en outre avec satisfaction les efforts entrepris par les États parties pour renforcer leur collaboration, et prie instamment l’État partie du Bangladesh de mettre pleinement en œuvre les recommandations formulées par la mission de 2016 visant à assurer des afflux d’eau douce adéquats vers le bien ;
  7. Demande également à l’État partie de poursuivre ses efforts pour mettre pleinement en œuvre l’ensemble des autres recommandations de la mission de suivi réactif de 2016 ;
  8. Accueille par ailleurs avec satisfaction l’élaboration d’un Plan national d’urgence pour les déversements d’hydrocarbures et les risques chimiques (« National Oil Spill and Chemical Contingency Plan » - NOSCOP), et demande en outre à l’État partie de veiller à ce qu’une fois le NOSCOP adopté, des ressources humaines et financières adéquates soient accordées pour sa mise en œuvre, et de communiquer des informations et des données complémentaires sur le suivi des impacts sur le long terme des récents incidents de navigation ayant entrainé des déversements de matières dangereuses à proximité du bien et demande par ailleurs à l’État partie de mettre en place un système de gestion de la navigation afin d’amoindrir les impacts négatifs sur le bien, y compris les impacts des activités associées comme le dragage ;
  9. Réitère sa demande à l’État partie d’entreprendre l’évaluation d’impact environnemental (EIE) de tout futur dragage de la rivière Pashur de façon à inclure une évaluation des impacts sur la Valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien, comme demandé par le Comité ;
  10. Prend également note des préoccupations de la mission quant aux impacts environnementaux vraisemblables de la centrale électrique à charbon du Rampal, et demande par ailleurs à l’État partie de veiller à ce que ces impacts soient évalués de façon exhaustive dans le cadre de l’EES, et que des mesures technologiques adéquates soient mises en place pour atténuer ces impacts et de mettre en place des mesures adéquates pour atténuer ces impacts afin d’éviter tout dommage sur la VUE du bien ;
  11. Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er décembre 2018, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 43e session en 2019.
Projet de décision : 41 COM 7B.25

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/17/41.COM/7B,
  2. Rappelant la Décision 39 COM 7B.8, adoptée à sa 39e session (Bonn, 2015),
  3. Accueille avec satisfaction la décision de l’État partie de ne pas approuver le projet de centrale électrique Orion et la deuxième phase de la centrale électrique du Rampal, et de réaliser une évaluation environnementale stratégique (EES) pour la région Sud-Ouest du Bangladesh, y compris le territoire du bien, et demande à l’État partie de veiller à ce que la mise en œuvre d’aucun projet industriel et/ou d’infrastructure de grande envergure (y compris la centrale électrique du Rampal) ne soit autorisée avant l’achèvement de l’EES, et de soumettre un exemplaire celle-ci au Centre du patrimoine mondial pour examen par l’UICN, conformément au paragraphe 172 des Orientations, dès que celle-ci sera disponible ;
  4. Accueille aussi avec satisfaction les informations sur le suivi écologique, mais note avec inquiétude que l’élévation du niveau de la mer, l’intrusion de sel et la réduction des courants d’eau douce constituent des menaces pour l’écosystème des Sundarbans et que le bien est particulièrement vulnérable aux impacts liés à ces menaces ;
  5. Prend note de l’importance cruciale de la coopération transfrontalière entre les États parties du Bangladesh et de l’Inde pour les biens du patrimoine mondial « Les Sundarbans » (Bangladesh) et le « Parc national des Sundarbans » (Inde), accueille en outre avec satisfaction les efforts entrepris par les États parties pour renforcer leur collaboration, et prie instamment l’État partie du Bangladesh de mettre pleinement en œuvre, de toute urgence, les recommandations formulées par la mission de 2016 visant à assurer des afflux d’eau douce adéquats vers le bien ;
  6. Demande également à l’État partie de mettre pleinement en œuvre l’ensemble des autres recommandations de la mission de suivi réactif de 2016 ;
  7. Accueille par ailleurs avec satisfaction l’élaboration d’un Plan national d’urgence pour les déversements d’hydrocarbures et les risques chimiques (« National Oil Spill and Chemical Contingency Plan » - NOSCOP), et demande en outre à l’État partie de veiller à ce qu’une fois le NOSCOP adopté, des ressources humaines et financières adéquates soient accordées pour sa mise en œuvre, et de communiquer des informations et des données complémentaires sur le suivi des impacts sur le long terme des récents incidents de navigation ayant entrainé des déversements de matières dangereuses à proximité du bien ;
  8. Regrette que l’État partie n’ait pas mis à jour l’évaluation d’impact environnemental (EIE) du dragage de la rivière Pashur de façon à inclure une évaluation des impacts sur la Valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien, comme demandé par le Comité, et réitère sa demande auprès de l’État partie afin qu’il veille à ce qu’aucune activité de dragage ne soit entreprise avant la révision de l’EIE actuelle, réalisée conformément à la Note consultative de l’UICN sur le patrimoine mondial : l'évaluation environnementale ;
  9. Prend également note de la conclusion de la mission selon laquelle la centrale électrique à charbon du Rampal est très susceptible d’avoir des impacts sur le bien en raison de la pollution de l’air et de l’eau, d’une augmentation substantielle du trafic des bateaux et du dragage, et d’une ponction supplémentaire d’eau douce dans un environnement dont le niveau de salinité va déjà croissant, et de ce que les preuves disponibles pour démontrer que ces impacts peuvent être atténués sont insuffisantes, demande par ailleurs à l’État partie de veiller à ce que ces impacts soient évalués de façon exhaustive dans le cadre de l’EES et conformément à la Note consultative de l’UICN sur le patrimoine mondial : l'évaluation environnementale, et prie aussi instamment l’État partie de ne pas poursuivre la mise en œuvre de la centrale électrique du Rampal sur son site actuel ;
  10. Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1erfévrier 2018, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 42e session en 2018, afin de considérer, en l’absence de progrès substantiels dans la mise en œuvre des recommandations ci-dessus mentionnées, l’inscription éventuelle du bien sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
Année du rapport : 2017
Bangladesh
Date d'inscription : 1997
Catégorie : Naturel
Critères : (ix)(x)
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2016) .pdf
Rapport (2016) .pdf
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Exports

* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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