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Les Sundarbans

Bangladesh
Facteurs affectant le bien en 2023*
  • Activités illégales
  • Exploitation forestière/production de bois
  • Infrastructures hydrauliques
  • Infrastructures liées aux énergies non renouvelables
  • Modification des eaux de l’océan
  • Pollution des océans
  • Système de gestion/plan de gestion
  • Tempêtes
  • Autres menaces :

    Besoin d’une évaluation des impacts cumulatifs sur le bien par le biais d’une évaluation environnementale stratégique (EES)

Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Pollution des océans
  • Changements des eaux océaniques (Niveau de salinité élevé, hausse du niveau de la mer)
  • Infrastructures hydrauliques (Réduction des apports d’eau douce, dragage de la rivière Pashur)
  • Systèmes de gestion/ Plan de gestion (Gouvernance et gestion globales du bien)
  • Tempêtes (Perte de capacités de suivi en raison des dommages causés par le cyclone)
  • Activités illégales (Braconnage des tigres)
  • Exploitation forestière/production de bois (Récolte du bois d’œuvre et de produits forestiers non ligneux)
  • Infrastructures liées aux énergies non renouvelables (Projet de centrale thermique tel que le développement de la centrale de Rampal)
  • Autres : Besoin d’une évaluation des impacts cumulatifs sur le bien par le biais d’une évaluation environnementale stratégique (EES)
Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2023

Montant total accordé : 32 590 dollars EU provenant de la Suisse, à la suite de l’Appel spécial lancé par le Secteur des Relations Extérieures de l’UNESCO ; 2017 : 32 527 dollars EU du Fonds-en-dépôt UNESCO/Pays-Bas pour du soutien technique au bien du patrimoine mondial des Sundarbans

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2023
Demandes approuvées : 1 (de 2008-2008)
Montant total approuvé : 75 000 dollars E.U.
2008 Re-establishing essential management capacity in the ... (Approuvé)   75 000 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2023**

Décembre 2007 : mission du Centre du patrimoine mondial ; mars 2016 : mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN ; décembre 2019 : mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN.

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2023

Le 31 janvier 2022, l’État partie a soumis un rapport sur l’état de conservation du bien, disponible à https://whc.unesco.org/fr/list/798/documents/, qui rend compte de ce qui suit :

  • l'évaluation environnementale stratégique (EES) pour la région sud-ouest du Bangladesh et son Plan de gestion environnementale stratégique (PGES) correspondant ont été finalisés en janvier 2022, à la suite d'une réunion des parties prenantes au niveau national en octobre 2021, et sont en cours d'approbation par le gouvernement. Aucune décision concernant des projets industriels et/ou d'infrastructure à grande échelle à proximité du bien n'a été prise entre-temps ;
  • la construction du projet de super centrale thermique Maitree (STPP, anciennement centrale de Rampal) est en cours et fait l'objet d'un suivi en fonction du Plan de gestion environnementale (PGE) ;
  • l'attribution de fonds pour la mise en œuvre du Plan national de contingence pour les déversements d'hydrocarbures et de produits chimiques (NOSCOP) et la préparation d'un plan de contingence localisé sont en cours ;
  • les autorités portuaires de Mongla sont en train de mettre en œuvre un système d'information sur la gestion du trafic maritime et les procédures opérationnelles standard pour la gestion des catastrophes pour le port ;
  • le deuxième Groupe de travail conjoint (GTC) Inde-Bangladesh, reporté depuis 2020, est prévu pour février/mars 2022. Le débit d'eau douce en amont est négocié dans le cadre de la Commission fluviale conjointe (CFC) Inde-Bangladesh ;
  • le trafic sur la rivière Shela a été réduit car la navigabilité d'une route alternative, le canal Mongla-Ghosiakhali (à l’extérieur des Sundarbans), a été améliorée ;
  • les mesures de conservation sur le territoire du bien sont encore renforcées par des patrouilles par outils de surveillance spatiale et de rapport (SMART) () qui entraînent une baisse des infractions liées à la faune et la flore sauvages. Un système de surveillance par drone est opérationnel depuis mars 2021, et le moratoire sur l'exploitation forestière commerciale sur le territoire du bien a été prolongé jusqu'en 2022 ;
  • en octobre 2021, un plan d'action, un plan de gestion et une directive sur la gestion des fonds pour la conservation des dauphins ont été approuvés. Plusieurs autres activités en faveur de la conservation des dauphins dans les Sundarbans ont également été mises en œuvre, et l'État partie mènera des enquêtes sur les dauphins en relation avec les projets de centrales électriques de Barisal (Taltoli) et Payra Thermal (Kolapara) ;
  • en 2021, les règles d'indemnisation des victimes de la faune sauvage ont été promulguées pour résoudre les conflits entre les humains et la faune sauvage dans et autour des Sundarbans ;
  • un nouveau plan de gestion intégrée 2021-2030 pour les Sundarbans est en cours d'élaboration. Il mettra l'accent sur l'implication des communautés locales et leur participation à la gestion, et explorera les possibilités d’activités alternatives génératrices de revenus ;
  • les recommandations de la mission de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN de 2019 sont en cours de mise en œuvre.

Le Centre du patrimoine mondial a demandé à l’État partie de soumettre officiellement l’EES et son PGES, conformément à la Décision 44 COM 7B.91, les 2 février, 22 février et 25 avril 2022, ce que l’État partie a fait le 15 février 2023.

Le 10 mai 2023, le Centre du patrimoine mondial a envoyé une nouvelle lettre à l’État partie pour lui faire part des préoccupations de tiers concernant l’évaluation du développement industriel et des grandes activités d’infrastructure, à laquelle l’État partie a répondu par un rapport soumis le 3 juillet 2023, qui n’a pas pu être examiné pour inclusion dans le présent rapport.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2023

L'État partie a maintenu ses efforts positifs pour renforcer la protection du bien et a progressé dans la mise en œuvre des recommandations de la mission 2019. En particulier, les résultats positifs signalés des patrouilles SMART et les actions liées à la conservation des dauphins sont accueillis avec satisfaction. Les projets mentionnés qui visent à renforcer la participation des communautés à la gestion du site et à envisager des possibilités de revenus alternatifs sont également encourageants, et l'État partie devrait s'assurer que des consultations adéquates avec les communautés ont lieu lors de l'élaboration de ces plans.

Rappelant que l’EES est demandée par le Comité depuis 2014 (Décision 38 COM 7B.64), l’achèvement de l’EES et du PGES en 2021 est apprécié, bien qu’ils n’aient été soumis au Centre du patrimoine mondial qu’en 2023. Bien qu’il soit positif que le champ d’études de l’EES englobe l’ensemble de la région du sud-ouest du Bangladesh, le Comité a demandé que l’EES évalue spécifiquement les impacts potentiels en rapport avec la valeur universelle exceptionnelle (VUE). Il a cependant été noté qu’aucune distinction n’a été faite entre les impacts identifiés dans les différents scénarios de développement pour l’ensemble de la région et les impacts spécifiques sur la VUE du bien. Les conclusions et les mesures d’atténuation semblent être basées sur des hypothèses (par exemple, la population de tigres « augmentera de manière saine » dans le cadre d’un scénario de développement à « forte croissance », sous réserve d’une « baisse considérable de la pression anthropique, d’une amélioration des pratiques de gestion et de leur habitat [...] et d’une réduction au minimum du braconnage »), et par conséquent leurs justifications et leur faisabilité ne sont pas claires. L’EES indique également : que l’ampleur de l’impact potentiel sur la VUE est inconnue et que des recherches supplémentaires sont nécessaires ; qu’il existe un risque évident que les développements entraînent des impacts directs, indirects et cumulatifs dans la zone d’étude au cours des 20 prochaines années, si des mesures d’atténuation appropriées et adéquates ne sont pas prises ; qu’il reste nécessaire d’analyser les risques et les impacts potentiels de manière plus détaillée. Des facteurs tels que le changement climatique, la disponibilité de l’eau douce, la conversion des terres ou les avantages socio-économiques pour les communautés locales ne sont pas pleinement pris en compte.

Par conséquent, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour déterminer plus explicitement les impacts potentiels sur la valeur universelle exceptionnelle du bien, y compris leur échelle, et il est recommandé que le Comité prie instamment l’État partie d’entreprendre des études supplémentaires pour évaluer spécifiquement les risques et impacts potentiels de différents scénarios sur la VUE, en prenant également en compte des facteurs tels que le changement climatique et l’apport en eau douce, et que les résultats de ces études supplémentaires servent à informer la prise de décision future pour assurer la protection à long terme de la VUE et éviter les impacts négatifs d’un développement industriel à grande échelle dans le voisinage du bien. Il devrait également être demandé à l’État partie de tenir le Centre du patrimoine mondial informé de tout projet majeur susceptible d’avoir un impact sur la VUE, conformément au paragraphe 172 des Orientations, y compris le développement du port de Mongla et tout autre développement susceptible d’augmenter le trafic sur la rivière Pashur, et de garantir une l’évaluation appropriée des impacts, conformément au Guide d’évaluation d’impact et orientations dans le contexte du patrimoine mondial.

Une coopération transfrontalière efficace par le biais du GTC et de la CFC est essentielle pour traiter la question du débit de l'eau s’écoulant vers le bien, et il convient de demander aux États parties du Bangladesh et de l'Inde de continuer à renforcer cet effort de coordination, notamment au regard du Parc national des Sundarbans en Inde.

Rappelant que le NOSCOP a été approuvé en février 2020, il est préoccupant de constater que le financement de sa mise en œuvre n'est toujours pas assuré, et il est vital que la mise en œuvre puisse commencer dès que possible. L'élaboration d'un plan de contingence localisé, comme demandé par le Comité dans la Décision 44 COM 7B.91, devrait également être accélérée afin de garantir des actions immédiates et coordonnées pour atténuer les impacts en cas d'urgence.

Décisions adoptées par le Comité en 2023
45 COM 7B.14
Les Sundarbans (Bangladesh) (N 798)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/23/45.COM/7B.Add.2,
  2. Rappelant les Décisions 38 COM 7B.64, 41 COM 7B.25, 43 COM 7B.3 et 44 COM 7B.91, adoptées respectivement à ses 38e (Doha, 2014), 41e (Cracovie, 2017) et 43e (Bakou, 2019) sessions et à sa 44e session élargie (Fuzhou/en ligne, 2021),
  3. Se félicite des efforts continus de l'État partie pour renforcer la protection du bien et des progrès dans la mise en œuvre des recommandations de la mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN de 2019, en prenant des mesures de conservation efficaces par le biais d'un reboisement planifié, et demande de continuer à mettre en œuvre les recommandations de la mission comme convenu par l'État partie et les décisions précédentes du Comité ;
  4. Apprécie les mesures nationales prises par l'État partie concernant la centrale thermique de Maitree (MSTP) pour éviter les impacts sur la valeur universelle exceptionnelle (VUE), conformément au Plan de gestion environnementale, et apprécie en outre la décision de l'État partie de réviser le Plan directeur du système électrique (PSMP) pour remplacer la deuxième unité de la MSTP par une centrale solaire photovoltaïque et l'annulation ultérieure de six autres centrales électriques au charbon dans le cadre de la Contribution déterminée au niveau national (CDN) ;
  5. Note avec satisfaction l'achèvement de l'évaluation environnementale stratégique (EES) et du Plan stratégique de gestion environnementale (PSGE) pour la région du sud-ouest du Bangladesh en 2021 et la soumission au Centre du patrimoine mondial en 2023, et note également les conclusions de l'EES selon lesquelles l'ampleur de la dégradation potentielle de la VUE du bien en fonction des scénarios de développement proposés reste inconnue, et demande également à l'État partie de :
    1. continuer à mettre en œuvre le PSGE afin d'éviter les impacts directs, indirects et cumulatifs des développements dans la région du Sud-Ouest au cours des vingt prochaines années, identifiés dans l'EES,
    2. soumettre les études complémentaires et le cadre de collecte de données décrits au chapitre 4.8 du PSGE au Centre du patrimoine mondial pour examen dès qu'ils seront achevés,
    3. s'assurer que la prise de décision concernant le développement industriel à grande échelle à proximité du bien est basée sur les dispositions du Guide et boîte à outils pour les évaluations d’impact dans un contexte de patrimoine mondial afin d'assurer la protection à long terme de la VUE,
    4. tenir le Centre du patrimoine mondial informé de tout projet majeur pouvant avoir un impact sur la VUE, conformément au paragraphe 172 des Orientations ;
  6. Exprime son appréciation envers l'État partie d'avoir adopté le Plan national d'urgence en cas de marée noire et de déversement de produits chimiques (NOSCOP) 2020 pendant la difficile période du COVID-19, et exprime également son appréciation envers l'État partie pour la mise en œuvre du NOSCOP et l'élaboration d'un Plan d'urgence localisé pour atténuer l'impact possible en cas d'urgence ;
  7. Notant que le Groupe de travail conjoint Inde-Bangladesh et la Commission fluviale conjointe Inde-Bangladesh sont des mécanismes bilatéraux importants pour traiter les questions transnationales, réitère sa demande aux États parties du Bangladesh et de l'Inde de renforcer leur action coopérative pour l'éco-hydrologie du bien et du Parc national des Sundarbans adjacent situé en Inde ;
  8. Reconnaît que le développement durable continu est une responsabilité partagée par tous, et que l'État partie a l'obligation de mettre en œuvre les cibles pertinentes des Objectifs de développement durable (ODD) et, par conséquent, demande à l'État partie d'utiliser le PSGE comme base de décision pour les grands projets de développement et de prendre des mesures nationales adéquates pour protéger la VUE du bien ;
  9. Prend note de la préparation en cours du nouveau Plan de gestion intégrée des ressources 2025-2035 (IRMP) pour les Sundarbans, et demande en outre à l'État partie de poursuivre les consultations avec les communautés ;
  10. Demande enfin à l'État partie de maintenir un dialogue régulier avec le Centre du patrimoine mondial et de lui soumettre, avant le 1erdécembre 2025, un rapport d'avancement pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 48e session, ainsi qu’un rapport sur l'état de conservation du bien avant le 1er février 2029, pour examen par le Comité à sa 51e session.
Projet de décision : 45 COM 7B.14

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/23/45.COM/7B.Add.2,
  2. Rappelant les Décisions 38 COM 7B.64, 41 COM 7B.25, 43 COM 7B.3 et 44 COM 7B.91, adoptées respectivement à ses 38e (Doha, 2014), 41e (Cracovie, 2017) et 43e (Bakou, 2019) sessions et à sa 44e session élargie (Fuzhou/en ligne, 2021),
  3. Accueille avec satisfaction les efforts constants déployés par l’État partie pour renforcer la protection du bien et les progrès accomplis dans la mise en œuvre des recommandations de la mission de suivi réactif conjointe Centre du patrimoine mondial/UICN de 2019, et demande à l’État partie de mettre pleinement en œuvre toutes les recommandations de la mission et les décisions antérieures du Comité ;
  4. Prend note de l’achèvement en 2021 de l’évaluation environnementale stratégique (EES) et du plan de gestion environnementale stratégique (PGES) pour la région du sud-ouest du Bangladesh et de leur soumission au Centre du patrimoine mondial en 2023, note avec inquiétude que l’ampleur de la dégradation potentielle de la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien à travers les scénarios de développement proposés reste inconnue et nécessite des recherches supplémentaires, et qu’il existe un risque d’impacts directs, indirects et cumulatifs liés aux aménagements dans la région du sud-ouest au cours des 20 prochaines années, si des mesures d’atténuation adéquates ne sont pas mises en œuvre dans le cadre du PGES, et demande également à l’État partie :
    1. d’entreprendre des études complémentaires pour évaluer spécifiquement les risques et les impacts potentiels des scénarios de développement sur la VUE du bien, incluant l’évaluation d’options alternatives et la prise en compte de facteurs tels que le changement climatique et l’apport en eau douce,
    2. de soumettre ces études complémentaires au Centre du patrimoine mondial pour examen dès qu’elles seront achevées, et de s’assurer que les conclusions soient intégrées dans les mesures de gestion adaptative et dans la mise en œuvre du PGES,
    3. de veiller à ce que la prise de décision concernant le développement industriel à grande échelle à proximité du bien, y compris la poursuite du développement du port de Mongla et de tout autre développement susceptible d’augmenter le trafic sur la rivière Pashur, se base sur une évaluation spécifique des impacts sur la VUE menée conformément au Guide d’évaluation d’impact et orientations dans le contexte du patrimoine mondial, et à ce qu’elle n’ait pas d’impact négatif sur la VUE et qu’elle garantisse la protection à long terme de cette dernière,
    4. de tenir le Centre du patrimoine mondial informé de tout projet majeur susceptible d’avoir un impact sur la VUE, conformément au paragraphe 172 des Orientations ;
  5. Note également avec préoccupation le retard pris dans le démarrage de la mise en œuvre du Plan national de contingence pour les déversements d'hydrocarbures et de produits chimiques (NOSCOP), et demande en outre à l'État partie de mettre en œuvre le NOSCOP dès que possible et d'accélérer l’élaboration d'un plan de contingence localisé afin de garantir des actions immédiates et coordonnées pour atténuer les impacts en cas d'urgence ;
  6. Notant que le Groupe de travail conjoint Inde-Bangladesh et la Commission fluviale conjointe Inde-Bangladesh sont des mécanismes bilatéraux importants pour traiter des questions transnationales, réitère sa demande auprès des États parties du Bangladesh et de l'Inde afin qu’ils renforcent leur action de coopération en faveur de l'éco-hydrologie du bien et du Parc national des Sundarbans, bien adjacent situé en Inde ;
  7. Demande également à l'État partie de veiller à ce que des consultations avec les communautés aient lieu tout au long de l’élaboration du nouveau Plan de gestion intégrée 2021-2030 pour les Sundarbans ;
  8. Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2024, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 46e session.
Année du rapport : 2023
Bangladesh
Date d'inscription : 1997
Catégorie : Naturel
Critères : (ix)(x)
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2022) .pdf
Proposé initialement pour examen en 2022
arrow_circle_right 45COM (2023)
Exports

* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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