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Minaret et vestiges archéologiques de Djam

Afghanistan
Facteurs affectant le bien en 2017*
  • Activités illégales
  • Erosion et envasement / dépôt
  • Système de gestion/plan de gestion
  • Troubles civils
  • Autres menaces :

    Inclinaison du Minaret

Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Troubles civils (instabilité politique)
  • Érosion fluviale (inclinaison du minaret)
  • Systèmes de gestion/plan de gestion (absence de plan de gestion)
  • Activités illégales (fouilles illégales et pillage)
Menaces pour lesquelles le bien a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril
  • Absence de protection juridique 
  • Absence d’organisme efficace de protection des monuments 
  • Absence de personnel qualifié en protection et conservation 
  • Absence de plan de gestion d’ensemble
Etat de conservation souhaité pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril
Mesures correctives pour le bien
Calendrier pour la mise en œuvre des mesures correctives

Un nouveau calendrier nécessite d’être établi et soumis par l’État partie

Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2017

Montant total accordé : 844 901 dollars EU du fonds-en-dépôt italien (2003-2012) et 124 300 dollars EU du fonds-en-dépôt suisse (2003-2012)

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2017
Demandes approuvées : 2 (de 2002-2015)
Montant total approuvé : 93 750 dollars E.U.
2015 Preparatory work for the conservation plan for the ... (Approuvé)   73 750 dollars E.U.
2002 Training for national and local authorities in the ... (Approuvé)   20 000 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2017**

Plusieurs missions d’experts de l’UNESCO ont eu lieu tous les ans entre 2002 et 2006 pour la mise en œuvre des projets opérationnels pour le bien. Après trois ans d’inactivité de 2007 à 2009 en raison des problèmes de sécurité, en 2010, en coopération avec une ONG afghane locale, l’UNESCO a envoyé une mission pour reprendre les activités sur place

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2017

Le 9 avril 2017, l’État partie a soumis un rapport sur l’état de conservation contenant des informations sur la mise en œuvre des mesures correctives et un plan d’action de conservation pour les travaux de conservation de Djam, qui est disponible à https://whc.unesco.org/fr/list/211/documents.

Le plan d’action de conservation qui a été défini en coopération avec l’UNESCO et est actuellement en cours d’examen au Ministère de la Culture, porte sur les quatre aspects clés suivants :

  • Protection : La rive sud de la rivière Hari Rud doit être consolidée par l’extension des murs de gabions et la plantation d’arbres en amont du minaret. La collecte de données systématique sur les deux rivières sera établie pour faciliter les prévisions des futures crues saisonnières ;
  • Documentation : Les mesures qui s’imposent pour jeter les bases solides des travaux de conservation et de protection comportent une station totale d’arpentage, une tomographie électrique, un balayage laser et un échantillonnage du sol ;
  • Surveillance : Des instruments de surveillance sensibles devraient être installés sur le minaret pour mesurer l’ampleur de l’inclinaison ;
  • Conservation : Les travaux de conservation requis comprennent des réparations structurelles sur les marches hélicoïdales et la protection des ouvertures en porte-à-faux, ainsi que la restauration des tuiles et des stucs à la surface du minaret.

Un atelier de formation en hydrologie est planifié en étroite coopération avec l’Université technique d’Aix-la-Chapelle (RWTH) à Aix-la-Chapelle (Allemagne) en avril 2017, avec la participation d’un ingénieur en structure et d’hydrologues des Ministères de l’Information et de la Culture, des Eaux et de l’Énergie.

Une équipe de policiers a été déployée pour assurer la protection du bien et contrôler tout trafic illicite du bien culturel. En raison des fortes pluies et de la neige en 2016, la maison d’hôtes s’est partiellement effondrée et n’est plus utilisable. Il faut donc que l’État partie construise une nouvelle maison d’hôtes qui puisse aussi servir de bureau du site au Département des Monuments historiques, de lieu de stockage pour les matériaux de conservation et de lieu d’hébergement pour les experts. En outre, le rapport souligne l’importance de construire une passerelle au-dessus de la rivière Hari Rud afin de permettre l’accès des communautés locales au bien tout au long de l’année ainsi que la réalisation des futurs travaux de conservation.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2017

Les informations fournies par l’État partie sur le plan d’action de conservation ne sont pas suffisamment détaillées, et il s’avère qu’aucune des recommandations adressées par le Comité à sa 40e session (Istanbul/UNESCO, 2016) n’a été mise en application. De plus, l’État partie continue depuis six ans à donner des informations sur les mêmes éléments relatifs à la construction d’une passerelle et d’une maison d’hôtes, sans progrès notable et sans qu’aucun motif n’ait été invoqué pour justifier les retards incessants.

Il est recommandé que le Comité regrette aussi profondément que l’État partie n’ait pas adopté la carte topographique produite en 2012 dans le cadre du projet du fonds-en-dépôt UNESCO/Italie, qui a pris en compte le besoin impératif de disposer d’une cartographie précise des vestiges archéologiques et de définir des limites appropriées et une zone tampon pour le bien. Comme l’a rappelé plusieurs fois le Comité, l’adoption de la carte topographique et les nouvelles limites proposées par les autorités compétentes constitueraient une étape essentielle dans le développement d’une stratégie de conservation efficace.

Il convient de souligner une fois encore qu’il est de la plus haute importance qu’un plan d’action de conservation réaliste, basé sur la stratégie susmentionnée, soit élaboré et mis en œuvre. Ce plan d’action pourrait se répartir en un plan de travail à court terme et un plan de travail à moyen ou long terme, le premier comprenant une série d’actions à entreprendre immédiatement, comme l’installation d’un dispositif de contrôle au minaret de Djam pour mesurer son degré d’inclinaison et les travaux de stabilisation d’urgence des escaliers en bois, de façon à empêcher une déstabilisation plus prononcée de la structure du minaret.

Il est regrettable qu’aucune action n’ait été entreprise sur les lieux depuis l’achèvement des projets des Fonds-en-dépôt UNESCO/Italie et UNESCO/Suisse pour la sauvegarde du minaret de Djam, en 2012. Fort de ce constat, il est recommandé que le Comité prie instamment l’État partie de mettre en œuvre de toute urgence le plan de travail défini selon les termes de l’assistance internationale d’urgence et d’allouer les ressources humaines et budgétaires appropriées.

Enfin, le plan d’action de conservation général devrait servir de base à la révision du calendrier de mise en œuvre des mesures correctives identifiées par le Comité à sa 31e session (Christchurch, 2007), de façon à atteindre l’état de conservation souhaité en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR).

Décisions adoptées par le Comité en 2017
41 COM 7A.55
Minaret et vestiges archéologiques de Djam (Afghanistan) (C 211 rev)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/17/41.COM/7A.Add,
  2. Rappelant la décision 40 COM 7A.27 adoptée à sa 40e session (Istanbul/UNESCO, 2016),
  3. Prend note avec regret que l’État partie n’a ni adopté la carte topographique détaillée du bien établie en 2012, ni soumis une proposition de modification mineure de ses limites, et réitère sa demande à l’État partie d’adopter la carte topographique du bien dressée en 2012 et de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2018, une proposition de modification mineure des limites, conformément aux paragraphes 163-165 des Orientations, pour examen par l’ICOMOS ;
  4. Regrette que l’État partie n’ait fait aucun travail de conservation sur le site depuis 2012 ;
  5. Prie instamment l’État partie d’approuver le plan d’action de conservation qui a été établi suite à l’assistance internationale d’urgence accordée par le Fonds du patrimoine mondial, avec les ressources financières nécessaires, et de commencer à mettre en œuvre ce plan d’action dès que possible ;
  6. Prie également instamment l’État partie, en toute priorité, de répondre aux deux questions dont l’urgence a été signalée depuis plusieurs années déjà :
    1. L’installation d’un dispositif de surveillance au minaret de Djam pour en mesurer l’inclinaison, et
    2. Les travaux urgents de stabilisation des escaliers en bois, afin d’éviter une déstabilisation plus prononcée de la structure du minaret ;
  7. Demande à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2018, le plan d’action de conservation détaillé avec des précisions sur les moyens alloués à sa mise en œuvre, y compris toutes les mesures financières ;
  8. Demande également à l’État partie de construire une passerelle au-dessus de la rivière Hari Rud et une maison d’hôtes sur le site, afin d’améliorer l’accès au bien et la sécurité du site, ce dont l’État partie lui-même souligne l’urgence depuis un certain nombre d’années ;
  9. Appelle la communauté internationale à fournir un soutien technique et financier, en coopération avec le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives, pour la mise en œuvre du plan d’action ci-dessus mentionné, qui s’inscrira dans le cadre d’une stratégie visant à appliquer les mesures correctives adoptées par le Comité du patrimoine mondial à sa 31e session (Christchurch, 2007) ;
  10. Demande en outre à l’État partie de réviser le calendrier de mise en œuvre des mesures correctives et de le soumettre au Centre du patrimoine mondial d’ici le 1er février 2018 ;
  11. Demande par ailleurs à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2018, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 42e session en 2018 ;
  12. Décide de maintenir le Minaret et les vestiges archéologiques de Djam (Afghanistan) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
41 COM 8C.2
Mise à jour de la Liste du patrimoine mondial en péril (biens maintenus)
Le Comité du patrimoine mondial,
  1. Ayant examiné les rapports sur l’état de conservation des biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial en péril (WHC/17/41.COM/7A, WHC/17/41.COM/7A.Add et WHC/17/41.COM/7A.Add.2),
  2. Décide de maintenir les biens suivants sur la Liste du patrimoine mondial en péril :
    • Afghanistan, Paysage culturel et vestiges archéologiques de la vallée de Bamiyan (décision 41 COM 7A.54)
    • Afghanistan, Minaret et vestiges archéologiques de Djam (décision 41 COM 7A.55)
    • Belize, Réseau de réserves du récif de la barrière du Belize (décision 41 COM 7A.2)
    • Bolivie (État plurinational de), Ville de Potosí (décision 41 COM 7A.23)
    • Chili, Usines de salpêtre de Humberstone et de Santa Laura (décision 41 COM 7A.24)
    • Côte d'Ivoire / Guinée, Réserve naturelle intégrale du mont Nimba (décision 41 COM 7A.6)
    • Égypte, Abou Mena (décision 41 COM 7A.32)
    • États-Unis d'Amérique, Parc national des Everglades (décision 41 COM 7A.1)
    • Honduras, Réserve de la Biosphère Río Plátano (décision 41 COM 7A.3)
    • Îles Salomon, Rennell Est (décision 41 COM 7A.19)
    • Indonésie, Patrimoine des forêts tropicales ombrophiles de Sumatra (décision 41 COM 7A.18)
    • Iraq, Assour (Qal'at Cherqat) (décision 41 COM 7A.33)
    • Iraq, Hatra (décision 41 COM 7A.34)
    • Iraq, Ville archéologique de Samarra (décision 41 COM 7A.35)
    • Vieille ville de Jérusalem et ses remparts (site proposé par la Jordanie) (décision 41 COM 7A.36)
    • Libye, Ancienne ville de Ghadamès (décision 41 COM 7A.40)
    • Libye, Site archéologique de Cyrène (décision 41 COM 7A.37)
    • Libye, Site archéologique de Leptis Magna (décision 41 COM 7A.38)
    • Libye, Site archéologique de Sabratha (décision 41 COM 7A.39)
    • Libye, Sites rupestres du Tadrart Acacus (décision 41 COM 7A.41)
    • Madagascar, Forêts humides de l’Atsinanana (décision 41 COM 7A.14)
    • Mali, Villes anciennes de Djenné (décision 41 COM 7A.28)
    • Mali, Tombouctou (décision 41 COM 7A.29)
    • Mali, Tombeau des Askia (décision 41 COM 7A.30)
    • Micronésie (États fédérés de), Nan Madol : centre cérémoniel de la Micronésie orientale (décision 41 COM 7A.56)
    • Niger, Réserves naturelles de l'Aïr et du Ténéré (décision 41 COM 7A.15)
    • Ouganda, Tombes des rois du Buganda à Kasubi (décision 41 COM 7A.31)
    • Ouzbékistan, Centre historique de Shakhrisyabz (décision 41 COM 7A.57)
    • Palestine, Lieu de naissance de Jésus : l’église de la Nativité et la route de pèlerinage, Bethléem (décision 41 COM 7A.42)
    • Palestine, Palestine : pays d’olives et de vignes – Paysage culturel du sud de Jérusalem, Battir (décision 41 COM 7A.43)
    • Panama, Fortifications de la côte caraïbe du Panama : Portobelo, San Lorenzo (décision 41 COM 7A.25)
    • Pérou, Zone archéologique de Chan Chan (décision 41 COM 7A.26)
    • République arabe syrienne, Ancienne ville d'Alep (décision 41 COM 7A.44)
    • République arabe syrienne, Ancienne ville de Bosra (décision 41 COM 7A.45)
    • République arabe syrienne, Ancienne ville de Damas (décision 41 COM 7A.46)
    • République arabe syrienne, Villages antiques du Nord de la Syrie (décision 41 COM 7A.47)
    • République arabe syrienne, Crac des Chevaliers et Qal’at Salah El-Din (décision 41 COM 7A.48)
    • République arabe syrienne, Site de Palmyre (décision 41 COM 7A.49)
    • République centrafricaine, Parc national du Manovo-Gounda St Floris (décision 41 COM 7A.4)
    • République démocratique du Congo, Parc national de la Garamba (décision 41 COM 7A.7)
    • République démocratique du Congo, Parc national de Kahuzi-Biega (décision 41 COM 7A.8)
    • République démocratique du Congo, Réserve de faune à okapis (décision 41 COM 7A.9)
    • République démocratique du Congo, Parc national de la Salonga (décision 41 COM 7A.10)
    • République démocratique du Congo, Parc national des Virunga (décision 41 COM 7A.11)
    • République-Unie de Tanzanie, Réserve de gibier de Selous (décision 41 COM 7A.17)
    • Sénégal, Parc national du Niokolo-Koba (décision 41 COM 7A.16)
    • Serbie, Monuments médiévaux au Kosovo (décision 41 COM 7A.21)
    • Royaume-Uni de Grande Bretagne et d'Irlande du Nord, Liverpool – Port marchand (décision 41 COM 7A.22)
    • Venezuela (République bolivarienne du), Coro et son port (décision 41 COM 7A.27)
    • Yémen, Ville historique de Zabid (décision 41 COM 7A.51)
    • Yémen, Vieille ville de Sana’a (décision 41 COM 7A.52)
    • Yémen, Ancienne ville de Shibam et son mur d'enceinte (décision 41 COM 7A.53)
        Projet de décision : 41 COM 7A.55

        Le Comité du patrimoine mondial,

        1. Ayant examiné le document WHC/17/41.COM/7A.Add,
        2. Rappelant la décision 40 COM 7A.27 adoptée à sa 40e session (Istanbul/UNESCO, 2016),
        3. Prend note avec regret que l’État partie n’a ni adopté la carte topographique détaillée du bien établie en 2012, ni soumis une proposition de modification mineure de ses limites, et réitère sa demande à l’État partie d’adopter la carte topographique du bien dressée en 2012 et de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1erfévrier 2018, une proposition de modification mineure des limites, conformément aux paragraphes 163-165 des Orientations, pour examen par l’ICOMOS ;
        4. Regrette que l’État partie n’ait fait aucun travail de conservation sur le site depuis 2012 ;
        5. Prie instamment l’État partie d’approuver le plan d’action de conservation qui a été établi suite à l’assistance internationale d’urgence accordée par le Fonds du patrimoine mondial, avec les ressources financières nécessaires, et de commencer à mettre en œuvre ce plan d’action dès que possible ;
        6. Prie également instamment l’État partie, en toute priorité, de répondre aux deux questions dont l’urgence a été signalée depuis plusieurs années déjà :
          1. L’installation d’un dispositif de surveillance au minaret de Djam pour en mesurer l’inclinaison, et
          2. Les travaux urgents de stabilisation des escaliers en bois, afin d’éviter une déstabilisation plus prononcée de la structure du minaret ;
        7. Demande à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1erfévrier 2018, le plan d’action de conservation détaillé avec des précisions sur les moyens alloués à sa mise en œuvre, y compris toutes les mesures financières ;
        8. Demande également à l’État partie de construire une passerelle au-dessus de la rivière Hari Rud et une maison d’hôtes sur le site, afin d’améliorer l’accès au bien et la sécurité du site, ce dont l’État partie lui-même souligne l’urgence depuis un certain nombre d’années ;
        9. Appelle la communauté internationale à fournir un soutien technique et financier, en coopération avec le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives, pour la mise en œuvre du plan d’action ci-dessus mentionné, qui s’inscrira dans le cadre d’une stratégie visant à appliquer les mesures correctives adoptées par le Comité du patrimoine mondial à sa 31e session (Christchurch, 2007) ;
        10. Demande en outre à l’État partie de réviser le calendrier de mise en œuvre des mesures correctives et de le soumettre au Centre du patrimoine mondial d’ici le 1erfévrier 2018 ;
        11. Demande par ailleurs à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2018, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 42e session en 2018 ;
        12. Décide de maintenir le Minaret et les vestiges archéologiques de Djam (Afghanistan) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
        Année du rapport : 2017
        Afghanistan
        Date d'inscription : 2002
        Catégorie : Culturel
        Critères : (ii)(iii)(iv)
        Liste en péril (dates) : 2002-présent
        Documents examinés par le Comité
        Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
        Rapport (2017) .pdf
        arrow_circle_right 41COM (2017)
        Exports

        * : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

        ** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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