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Églises de Chiloé

Chili
Facteurs affectant le bien en 2019*
  • Activités de gestion
  • Cadre juridique
  • Développement commercial
  • Effets liés à l’utilisation des Infrastructures de transport
  • Système de gestion/plan de gestion
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Système de gestion/plan de gestion (Démarcation insuffisante des limites du bien; Définition juridique des zones tampons et des zones visuellement sensibles autour de chaque composante insuffisante)
  • Développement commercial (Construction d’un centre commercial à proximité de l’église de Castro)à
  • Effets liés à l’utilisation des infrastructures de transport
  • Activités de gestion
  • Cadre juridique
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2019
Demandes approuvées : 1 (de 2002-2002)
Montant total approuvé : 50 000 dollars E.U.
2002 Emergency assistance for the Churches of Chiloé (Approuvé)   50 000 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2019**

Décembre 2013 : mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2019

Le 5 février 2018, l’État partie a soumis des informations concernant la définition des zones tampons (sous forme de ‘zones typiques’) et l’extension du centre commercial à Castro. Une évaluation technique de l’ICOMOS a été transmise à l’État partie le 19 juillet 2018. Suite à cela, l’État partie a soumis le 17 janvier 2019 un rapport sur l’état de conservation qui est disponible à http://whc.unesco.org/fr/list/971/documents/ et aborde les points suivants :

  • 10 des 16 églises sont désormais classées officiellement en ‘zones typiques’ qui leur servent de zones tampons. Quatre ‘zones typiques’ supplémentaires sont en phase d’approbation juridique (pour les églises d’Achao, Aldachildo, Dalcahue et Rilán). La définition des deux zones restantes pour les églises de Castro et Caguach, est en cours. Une fois les ‘zones typiques’ déclarées, le Conseil des monuments nationaux (CMN) élabore des directives spécifiques aux interventions pour chacune d’entre elles ;
  • En ce qui concerne la protection des alentours de l’église de Castro, la ‘zone typique’ convenue avec les acteurs locaux et le conseil municipal ne comprendra finalement que les blocs de construction situés aux abords immédiats de l’église au lieu du secteur de la Meseta et Palafitos, comme l’avait proposé auparavant le CMN. En guise de compensation, la municipalité a provisoirement suspendu l’accord de permis de construire sur l’ensemble du plateau pour les édifices d’une hauteur de plus de 16 mètres, en attendant la révision et l’harmonisation des documents juridiques et de planification pertinents ;
  • Le mouvement de trafic autour de l’église de Castro est contrôlé et constant depuis ces deux dernières années, tandis que l’accès de la Calle San Martin au centre commercial reste fermé sauf pour la circulation des poids lourds liée aux travaux de construction sur le site. Le projet d’aménagement d’un parking souterrain en face de l’église a été annulé. 40% des travaux de la voie de contournement de Castro ont été exécutés, mais sa prochaine ouverture est retardée en raison des nombreux vestiges archéologiques trouvés dans le secteur ;
  • À la fin de 2017, des salles de cinéma ont été construites dans le centre commercial de Castro. L’État partie fait savoir que ce chantier figurait d’ores et déjà dans le permis de construire original juridiquement contraignant délivré et qu’il n’était donc pas envisageable d’entreprendre leur démolition, comme le recommandait l’évaluation technique de l’ICOMOS. Qui plus est, aucune intervention des autorités nationales ou municipales n’est possible, excepté sur une surface de 100 m2 dépourvue d’autorisation. Une fois cette question résolue, il y aura une reprise des discussions avec le propriétaire du centre commercial concernant la mise en œuvre des mesures d’atténuation ;
  • Des efforts sont accomplis dans l’examen des plans de zonage municipal dont bénéficieront les cinq éléments du bien situés en zone urbaine ; D’autres questions sont également relevées, comme la création du Ministère des Cultures, des Arts et du Patrimoine, et son Service national du patrimoine culturel ; le lancement du programme d’investissement social pour les sites du patrimoine mondial dont les églises de Chiloé sont les bénéficiaires ; le premier inventaire des églises de tout l’archipel de Chiloé ; le plan des frontières côtières de Chiloé qui propose la création de sentiers et d’aires de loisirs ; et, enfin, des informations sur les travaux de maintenance et les activités de diffusion.

Le 30 avril 2019, l'État partie a soumis des informations complémentaires, dont : la future révision du plan de zonage municipal de Castro (y compris une limitation de la hauteur à 14 mètres immédiatement autour de l'église, 18 mètres dans une zone intermédiaire et 21 mètres dans la zone extérieure, au nord) ; la procédure initiale d’identification de la zone tampon de Caguach ; des activités de conservation menées dans l’église de San Juan ; entre autres.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2019

Les progrès accomplis dans la définition des zones tampons (classées en ‘zones typiques’) et l’établissement de directives individuelles pour les interventions sont accueillis avec satisfaction, ainsi que la soumission d’une modification mineure des limites qui sera examinée par le Comité du patrimoine mondial au point 8 de l’ordre du jour (document WHC/19/43.COM/8B). Il convient de demander à l’État partie d’entreprendre impérativement la mise en œuvre des recommandations que le Comité pourrait émettre à cet égard, la définition des zones tampons des six églises restantes, ainsi que l’élaboration de directives d’intervention.

L’État partie ne fournit aucune information de fond sur les progrès réalisés dans la préparation d’un plan de gestion intégré, mais se concentre plutôt sur la déclaration des ‘zones typiques’, l’élaboration de directives d’intervention et la mise en œuvre d’un nouveau cadre institutionnel suivant la création du Ministère des Cultures, des Arts et du Patrimoine. Il convient de souligner qu’un cadre juridique et institutionnel intégré sera toujours exigé pour la bonne gestion de l’ensemble du bien.

La situation de l’église de Castro demeure extrêmement préoccupante. L’évaluation technique de l’ICOMOS avait jugé satisfaisante la proposition d’une zone tampon incluant la Meseta de Castro et le secteur de Palafitos. Il est désormais reconnu avec regret que la proposition finale pour la ‘zone typique’ diffère considérablement de cette proposition et qu’elle se limiterait aux blocs de construction situés aux abords immédiats de l’église. La Meseta ne serait donc pas protégée en vertu de la législation nationale, mais uniquement à l’échelon municipal. La protection adéquate du cadre plus vaste de l’église et du bord de mer demeure très préoccupante et requiert considérablement plus de mesures que l’adoption provisoire d’une hauteur de construction limitée à 16 mètres. La proposition la plus récente visant à établir des zones à des hauteurs de construction maximales variées à la Meseta doit être analysée par les Organisations consultatives au moment de l’analyse de la zone tampon qui sera finalement proposée par l'État partie. La législation municipale, en particulier le plan local d’urbanisme, devrait ultérieurement inclure une réglementation très stricte en termes de protection et de conservation de cette zone.

Il est noté que l’entrée San Martin au centre commercial reste fermée et qu’aucune augmentation des flux de circulation autour de l’église n’a été constatée. Il est fort appréciable que le projet de parking souterrain ait été annulé. Il faudrait demander à l’État partie de poursuivre les opérations de contrôle du trafic, laisser fermée l’entrée San Martin et continuer la construction de la voie de contournement. 

En ce qui concerne le centre commercial de Castro, l’évaluation technique de l’ICOMOS avait réaffirmé les conclusions de la mission de suivi réactif de 2013 et les décisions antérieures du Comité du patrimoine mondial notant que le paysage de la Meseta de Castro était fort endommagé et que la prédominance visuelle de l’église avait été perdue du fait de cette construction. L’extension du centre commercial a aggravé cette situation critique, c’est pourquoi l’ICOMOS a recommandé sa démolition. Malheureusement, l’État partie déclare que suite à la délivrance d’un permis d’extension juridiquement contraignant, il n’est pas habilité à en imposer la modification ou la démolition.

Quant aux mesures d’atténuation requises par le Comité (décision 39 COM 7B.89), il est noté avec une vive préoccupation que l’État partie n’a mis en œuvre aucune des recommandations du Comité, n’a pas trouvé de solution satisfaisante pour minimiser et atténuer l’impact du centre commercial, et que la construction du centre commercial et de son extension était achevée. On peut donc considérer que l’absence de mesures appropriées à cet égard constitue une menace et un danger potentiel pour la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien.

En conclusion, la proposition d’une zone tampon pour l’église de Castro est jugée trop limitée et le degré de protection effective de la Meseta et du secteur de Palafitos au niveau municipal est largement insuffisant et doit être démontré, ainsi que l’efficacité de la limitation des hauteurs, dans le processus d’harmonisation de tous les instruments de planification : les règles d’intervention, conformément au document de réglementation des zones typiques (loi sur les Monuments nationaux), le plan local d’urbanisme et les plans détaillés ou les plans de section (loi générale sur le développement urbain et les constructions). Il est recommandé de demander l’avis du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives dans ce processus.

Décisions adoptées par le Comité en 2019
43 COM 7B.97
Églises de Chiloé (Chili) (C 971)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/19/43.COM/7B,
  2. Rappelant la décision 41 COM 7B.59, adoptée à sa 41e session (Cracovie, 2017),
  3. Notant les progrès accomplis dans l’identification et la protection des zones tampons, se déclare satisfait de la soumission des zones tampons de 10 des 16 églises sous forme de modification mineure des limites, et recommande à l'État partie de mettre en œuvre de toute urgence les recommandations que le Comité pourrait formuler à cet égard ;
  4. Notant également que les zones tampons des quatre églises restantes sont à la phase finale d’approbation, prie instamment l’État partie de les soumettre dès que possible sous la forme d’une proposition de modification mineure des limites ;
  5. Prie aussi instamment l’État partie de finaliser l’identification des zones tampons pour les églises de Castro et Caguach ;
  6. Regrette profondément que la zone tampon de l’église de Castro se limite désormais aux blocs de construction situés aux abords immédiats de l’église et n’englobe pas tout le secteur de la Meseta et Palafitos comme proposé antérieurement ;
  7. Manifeste sa vive préoccupation devant la protection insuffisante du cadre élargi de l’église et du bord de mer qui requiert considérablement plus de mesures que la limitation provisoire de la hauteur des constructions fixée à 16 mètres ; et note que la définition finale des hauteurs maximales des bâtiments sur la Meseta doit être examinée conjointement avec la zone tampon proposée,
  8. Prie en outre instamment à l’État partie d’envisager une nette extension de la zone tampon et de soumettre des propositions relevant de la législation nationale et locale en matière de protection juridique, de gestion et des mesures de conservation, y compris les hauteurs de bâtiment, pour la Meseta et les Palafitos area, dès qu'elles deviennent disponibles, ainsi que d’impliquer le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives dans ce processus ;
  9. Rappelle l’importance d’un plan de gestion intégré incluant les 16 églises et leurs zones tampons, et demande à l’État partie de poursuivre cette démarche dès que possible ;
  10. Se félicite également du contrôle du trafic autour de l’église de Castro, de la fermeture permanente de l’entrée San Martin au centre commercial, des efforts déployés afin de poursuivre la construction de la voie de contournement de Castro, et de la décision d’interrompre l’aménagement du parking souterrain devant l’église ;
  11. Réitère son extrême préoccupation et ses regrets, comme exprimé dans ses décisions antérieures, en particulier dans la décision 41 COM 7B.59, à l’idée que la construction du centre commercial à Castro s’est achevée sans qu’aucune modification significative n’ait été apportée à sa conception, que les mesures d’atténuation potentielle se limitent à l’application de couleurs, textures et matériaux sur la façade donnant sur la mer et à la plantation d’arbres et qu’aucune mesure d’atténuation n’ait été prise à ce jour, et demande également à l’État partie de soumettre impérativement les propositions et les mesures d’atténuation convenues entre le propriétaire du centre commercial, le Service national du patrimoine culturel et le Conseil des monuments nationaux, pour examen par le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives, préalablement à leur mise en œuvre ;
  12. Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er décembre 2020, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 45e session en 2021.
43 COM 8B.51
Églises de Chiloé (Chili)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné les documents WHC/19/43.COM/8B.Add et WHC/19/43.COM/INF.8B1.Add,
  2. Approuve la modification mineure proposée pour les limites des zones tampons des six éléments constitutifs : Chelín, Colo, Detif, Ichuac, Nercón et Villipulli, du bien en série Églises de Chiloé, Chili ;
  3. Renvoie la modification mineure proposée pour les limites des zones tampons des éléments constitutifs suivants du bien en série Églises de Chiloé, Chili, à l’État partie pour lui permettre de :
    1. Chonchi : étendre la zone tampon proposée pour y inclure la zone derrière l’église, là où la topographie et la végétation forment une partie importante de l’environnement de l’église,
    2. Quinchao : étendre la zone tampon proposée pour y inclure la zone derrière l’église afin d’intégrer, dans les limites de la zone protégée, la topographie et la végétation existante,
    3. San Juan : étendre la zone tampon proposée pour y inclure une partie plus grande du paysage environnant, avec sa topographie et sa végétation, comme proposé dans la zone de protection préliminaire,
    4. Tenaún : étendre la zone tampon proposée pour y inclure une plus grande partie du paysage environnant avec sa topographie et sa végétation,
  4. Recommande que l’État partie prenne en considération les points suivants :
    1. Compléter le tableau en indiquant clairement l’étendue exacte de chaque élément constitutif du bien en hectares,
    2. Finaliser l’identification de zones tampons autour des églises restantes de Castro et Caguach et terminer le processus pour les églises d’Achao, de Rilán, d’Aldachildo et de Dalcahue,
    3. Fournir les Orientations en matière d’intervention pour toutes les zones typiques du bien,
    4. Élaborer d’urgence un plan de gestion pour le bien, les zones tampons proposées et l’environnement plus large.
Projet de décision : 43 COM 7B.97

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/19/43.COM/7B,
  2. Rappelant la décision 41 COM 7B.59, adoptée à sa 41e session (Cracovie, 2017),
  3. Notant les progrès accomplis dans l’identification et la protection des zones tampons, se déclare satisfait de la soumission des zones tampons de 10 des 16 églises sous forme de modification mineure des limites, et recommande à l'État partie de mettre en œuvre de toute urgence les recommandations que le Comité pourrait formuler à cet égard ;
  4. Notant également que les zones tampons des quatre églises restantes sont à la phase finale d’approbation, prie instamment l’État partie de les soumettre dès que possible sous la forme d’une proposition de modification mineure des limites ;
  5. Prie aussi instamment l’État partie de finaliser l’identification des zones tampons pour les églises de Castro et Caguach ;
  6. Regrette profondément que la zone tampon de l’église de Castro se limite désormais aux blocs de construction situés aux abords immédiats de l’église et n’englobe pas tout le secteur de la Meseta et Palafitos comme proposé antérieurement ;
  7. Manifeste sa vive préoccupation devant la protection insuffisante du cadre élargi de l’église et du bord de mer qui requiert considérablement plus de mesures que la limitation provisoire de la hauteur des constructions fixée à 16 mètres ; et note que la définition finale des hauteurs maximales des bâtiments sur la Meseta doit être examinée conjointement avec la zone tampon proposée,
  8. Prie en outre instamment à l’État partie d’envisager une nette extension de la zone tampon et de soumettre des propositions relevant de la législation nationale et locale en matière de protection juridique, de gestion et des mesures de conservation, y compris les hauteurs de bâtiment, pour la Meseta et les Palafitos area, dès qu'elles deviennent disponibles, ainsi que d’impliquer le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives dans ce processus ;
  9. Rappelle l’importance d’un plan de gestion intégré incluant les 16 églises et leurs zones tampons, et demande à l’État partie de poursuivre cette démarche dès que possible ;
  10. Se félicite également du contrôle du trafic autour de l’église de Castro, de la fermeture permanente de l’entrée San Martin au centre commercial, des efforts déployés afin de poursuivre la construction de la voie de contournement de Castro, et de la décision d’interrompre l’aménagement du parking souterrain devant l’église ;
  11. Réitère son extrême préoccupation et ses regrets, comme exprimé dans ses décisions antérieures, en particulier dans la décision 41 COM 7B.59, à l’idée que la construction du centre commercial à Castro s’est achevée sans qu’aucune modification significative n’ait été apportée à sa conception, que les mesures d’atténuation potentielle se limitent à l’application de couleurs, textures et matériaux sur la façade donnant sur la mer et à la plantation d’arbres et qu’aucune mesure d’atténuation n’ait été prise à ce jour, et demande également à l’État partie de soumettre impérativement les propositions et les mesures d’atténuation convenues entre le propriétaire du centre commercial, le Service national du patrimoine culturel et le Conseil des monuments nationaux, pour examen par le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives, préalablement à leur mise en œuvre ;
  12. Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1erdécembre 2020, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 45e session en 2021.
Année du rapport : 2019
Chili
Date d'inscription : 2000
Catégorie : Culturel
Critères : (ii)(iii)
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2019) .pdf
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* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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