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Ville de Potosí

Bolivie (État plurinational de)
Facteurs affectant le bien en 2016*
  • Exploitation minière
  • Pollution des eaux de surface
  • Système de gestion/plan de gestion
  • Autres menaces :

    Instabilité et risque d’affaissement du Cerro Rico ; Carences au niveau de la conservation : attention particulière requise pour la restauration et la revalorisation des structures à usage résidentiel et pour le patrimoine archéologique industriel

Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Dégradation potentielle du site historique par des activités minières incessantes et incontrôlées dans la montagne du Cerro Rico
  • Instabilité et risque d’affaissement du Cerro Rico 
  • Carences au niveau de la conservation : attention particulière requise pour la restauration et l’amélioration des structures à usage résidentiel et pour le patrimoine archéologique industriel
  • Application inefficace de la législation en matière de protection
  • Impacts environnementaux sur le complexe hydraulique qui affecte à son tour le tissu historique et la population locale
Menaces pour lesquelles le bien a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril
  • Instabilité et risque imminent d’affaissement du sommet de Cerro Rico ;
  • Absence d’une politique de conservation de caractère intégrale qui tient compte de tous les éléments du bien;
  • Carences au niveau de la conservation : attention particulière requise pour la restauration et l’amélioration des structures à usage résidentiel et pour le patrimoine archéologique industriel ;
  • Dégradation potentielle du site historique par des activités minières incessantes et incontrôlées dans la montagne du Cerro Rico ;
  • Application inefficace de la législation en matière de protection ;
  • Menaces d’impact de facteurs climatiques, géologiques ou environnementaux.
Etat de conservation souhaité pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril

En cours de rédaction

Mesures correctives pour le bien

En cours de d'identification

Calendrier pour la mise en œuvre des mesures correctives
En cours d'identification
Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2016

Montant total accordé: 10 000 dollars EU pour une mission technique du Centre du patrimoine mondial/ICOMOS en 2005, financée par le Fonds-en-dépôt espagnol pour le patrimoine mondial.

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2016
Demandes approuvées : 5 (de 1988-2015)
Montant total approuvé : 83 777 dollars E.U.
2015 Elaboration of the integral and participative ... (Approuvé)   29 992 dollars E.U.
2010 Technical assistance for the preservation of the Cerro ... (Approuvé)   26 285 dollars E.U.
1994 Restoration of mural paintings in the Church of La ... (Approuvé)   15 000 dollars E.U.
1992 Conservation of the Kari-Kari Lagoons (Non approuvé)   0 dollars E.U.
1991 Mission to advise on the measures to be taken for the ... (Approuvé)   5 000 dollars E.U.
1988 Advise the authorities on the elaboration of a ... (Approuvé)   7 500 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2016**

Novembre 2005 et février 2011: mission technique du Centre du patrimoine mondial/ICOMOS ; décembre 2013 et janvier 2014: mission conjointe Centre du patrimoine mondial/ICOMOS de suivi réactif

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2016

L’État partie a soumis un rapport sur l’état de conservation du bien le 23 février 2016, disponible à https://whc.unesco.org/fr/list/420/documents, et qui présente les avancées suivantes :

  • Le gouvernement bolivien élabore actuellement une résolution interministérielle pour la « création d’un comité de gestion du Cerro Rico de Potosí » conjuguée à des règlements opérationnels, en coordination avec les ministères des Mines et de la Métallurgie, de l’Environnement et de l’eau et des Cultures et du Tourisme ;
  • S’agissant des travaux de stabilisation du Cerro Rico, le gouvernement autonome du département de Potosí a trouvé des ressources financières pour un remblayage. Toutefois, l’État partie met l’accent sur l’impossible mise en œuvre de toute mesure de stabilisation tant que les activités minières sur la montagne ne seront pas stoppées et que les difficultés sociales ne seront pas réglées ;
  • Diverses actions ont été lancées en vue de l’adoption d’une nouvelle législation, qui prendra en compte la relocalisation des mineurs et le renforcement du moratoire. Ces actions, qui sont toujours en négociation, comprennent l’inventaire et l’étude des coopératives minières situées au-dessus de 4 400 m, l’inspection des mines situées dans les zones à risque et la relocalisation des mineurs. Le nouveau comité de gestion devrait présenter ces mesures de manière intégrée ;
  • S’agissant du plan de gestion, le comité d’urgence a proposé un ensemble de règles pour la création d’un organe directeur de gestion dont l’objectif immédiat sera l’élaboration d’un plan de gestion intégré pour le bien, y compris le Cerro Rico, le centre historique, la vallée des Ingenios, les lacs et le paysage culturel ;
  • Une grève des fonctionnaires en juillet et août 2015 a empêché la mise en œuvre de l’Assistance internationale accordée pour l’élaboration du plan de gestion et de l’État de conservation souhaité pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR). La définition de la zone tampon, afin qu’elle protège visuellement des zones sensibles situées autour du bien, est conditionnée par l’élaboration d’un plan d’occupation des sols pour ces zones. Ces deux actions sont jugées prioritaires par l’État partie ;
  • En décembre 2014, l’État partie a légalement formalisé, avec caractère de loi, la Réglementation municipale antérieure pour la préservation des zones historiques de la ville de Potosí (Loi municipale 055/2014). Dans ce cadre, en 2015, la municipalité de Potosí a restauré plusieurs églises situées dans le centre historique et a aussi prévu des études de restauration d’autres églises en 2016.
Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2016

Les efforts de l’État partie pour coordonner les actions de conservation du Cerro Rico de Potosí, en particulier par la création d’un comité de gestion pour le Cerro Rico de Potosí conjuguée à des règlements opérationnels, sont accueillis favorablement. Néanmoins, on doit indiquer également que la création de ce comité devrait être harmonisée avec l’initiative de créer un organe de gestion qui couvre tous les éléments du bien inscrit afin de garantir la protection intégrale de sa Valeur universelle exceptionnelle (VUE).

Des initiatives sont encourageantes s’agissant de la gestion du Cerro Rico et de la stabilisation de son sommet : des ressources financières ont été trouvées par le gouvernement autonome du département de Potosí pour les travaux de stabilisation des zones d’effondrement du Cerro Rico, l’élaboration d’une nouvelle législation pour résoudre les difficultés liées à la relocalisation des mineurs et le moratoire s’appliquant à toute exploration entre 4 400 et 4 700 m d’altitude, et la mise en œuvre de plusieurs actions comme l’inventaire et l’analyse des coopératives minières situées au-dessus de 4 400 m, l’inspection des mines situées dans les zones à risque et la relocalisation des mineurs. Néanmoins, le rapport ne donne pas d’informations spécifiques sur les résultats et impacts de toutes ces actions, et le fait que la situation actuelle quant à la stabilisation du sommet du Cerro Rico ne soit pas réglée doit être noté avec un profond regret.

Le plan de gestion intégré pour le bien ainsi que le DSOCR et un ensemble de mesures correctives doivent être élaborés de toute urgence. Par conséquent, il est regrettable que l’État partie n’ait pas été en mesure de mettre en place ces instruments essentiels grâce à l’Assistance internationale accordée à cette fin.

La proposition d’un ensemble de règles pour la création d’un organe directeur de gestion dont l’objectif sera l’élaboration et la mise en œuvre d’un plan de gestion intégré comprenant tous les attributs et éléments du bien (Cerro Rico, centre historique, vallée des Ingenios, lacs et paysage culturel) est considérée comme un objectif essentiel à atteindre afin de garantir un système de gestion efficace pour le bien. Le plan d’occupation des sols pour le bien et ses zones environnantes et son appropriation sociale par les communautés avant l’établissement de la zone tampon du bien sont de la plus haute importance.

L’adoption de la loi pour la préservation des zones historiques de la ville de Potosí (Loi municipale 055/2014) est accueillie favorablement. En ce sens, les travaux de restauration concernant de nombreuses églises situées dans la ville de Potosí en 2015 et l’initiative consistant à développer ultérieurement les études de restauration d’autres églises en 2016 sont notés, même s’il serait souhaitable d’élaborer une stratégie de conservation intégrale avant que d’autres travaux soient mis en œuvre.

Décisions adoptées par le Comité en 2016
40 COM 7A.1
Ville de Potosi (Bolivie, État plurinational de) (C 420)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/16/40.COM/7A.Add,
  2. Rappelant la décision 39 COM 7A.44, adoptée à sa 39e session (Bonn, 2015),
  3. Accueille favorablement les efforts de l’État partie en vue de l’établissement d’un organe de gestion directeur afin de garantir un mécanisme de gestion efficace et intégral pour le bien et ses éléments et prie instamment l’État partie de finaliser ce processus ;
  4. Note avec préoccupation la paralysie des travaux de stabilisation au sommet du Cerro Rico et prie aussi instamment l’État partie de prendre toutes les mesures nécessaires pour procéder à ces travaux de stabilisation ;
  5. Prie en outre instamment l’État partie de finaliser la procédure d’adoption d’une nouvelle législation pour prendre en compte le point de la relocalisation des mineurs et renforcer le moratoire s’appliquant à toute exploration entre 4 400 m et 4 700 m d’altitude ;
  6. Regrette que l’État partie n’ait pas été en mesure d’élaborer une proposition d’État de conservation souhaité pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR) ni le plan de gestion intégral dans le cadre de l’Assistance internationale accordée par le Fonds du patrimoine mondial ;
  7. Réitère ses demandes à l’État partie pour qu’il élabore de toute urgence, en consultation avec le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives, une proposition de DSCOR et un ensemble de mesures correctives, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 41e session, en 2017 ;
  8. Demande à l’État partie d’établir une structure de gestion claire pour le bien, avec une articulation appropriée entre les différents organes et comités, d’élaborer de toute urgence un plan de gestion intégré, et d’inclure dans ce processus l’élaboration d’un plan d’occupation des sols pour le bien et ses zones environnantes afin de définir une zone tampon pour protéger les zones visuellement sensibles autour du bien ;
  9. Note avec satisfaction l’adoption de la loi pour la préservation de la zone historique de la ville de Potosí et demande également à l’État partie d’élaborer une stratégie de conservation intégrale avant de mettre en œuvre tous travaux de restauration importants au sein du bien ;
  10. Demande en outre à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2017, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 41e session en 2017 ;
  11. Décide de maintenir Ville de Potosí (Bolivie (État plurinational de)) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
40 COM 8C.2
Mise a jour de la Liste du patrimoine mondial en péril (biens maintenus)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné les rapports sur l’état de conservation des biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial en péril (WHC/16/40.COM/7A, WHC/16/40.COM/7A.Add et WHC/16/40.COM/7A.Add.2),
  2. Décide de maintenir les biens suivants sur la Liste du patrimoine mondial en péril :
  • Afghanistan, Paysage culturel et vestiges archéologiques de la vallée de Bamiyan (décision 40 COM 7A.26)
  • Afghanistan, Minaret et vestiges archéologiques de Djam (décision 40 COM 7A.27)
  • Belize, Réseau de réserves du récif de la barrière du Belize (décision 40 COM 7A.32)
  • Bolivie (État plurinational de), Ville de Potosí (décision 40 COM 7A.1)
  • Chili, Usines de salpêtre de Humberstone et de Santa Laura (décision 40 COM 7A.2)
  • Côte d'Ivoire, Parc national de la Comoé (décision 40 COM 7A.35)
  • Côte d'Ivoire / Guinée, Réserve naturelle intégrale du mont Nimba (décision 40 COM 7A.36)
  • Égypte, Abou Mena (décision 40 COM 7A.9)
  • États-Unis d'Amérique, Parc national des Everglades (décision 40 COM 7A.50)
  • Éthiopie, Parc national du Simien (décision 40 COM 7A.43)
  • Géorgie, Cathédrale de Bagrati et monastère de Ghélati (décision 40 COM 7A.28)
  • Honduras, Réserve de la Biosphère Río Plátano (décision 40 COM 7A.33)
  • Îles Salomon, Rennell Est (décision 40 COM 7A.49)
  • Indonésie, Patrimoine des forêts tropicales ombrophiles de Sumatra (décision 40 COM 7A.48)
  • Iraq, Assour (Qal'at Cherqat) (décision 40 COM 7A.10)
  • Iraq, Hatra (décision 40 COM 7A.11)
  • Iraq, Ville archéologique de Samarra (décision 40 COM 7A.12)
  • Vieille ville de Jérusalem et ses remparts (site proposé par la Jordanie) (décision 40 COM 7A.13)
  • Madagascar, Forêts humides de l’Atsinanana (décision 40 COM 7A.44)
  • Mali, Tombouctou (décision 40 COM 7A.6)
  • Mali, Tombeau des Askia (décision 40 COM 7A.7)
  • Niger, Réserves naturelles de l'Aïr et du Ténéré (décision 40 COM 7A.45)
  • Palestine, Lieu de naissance de Jésus : l’église de la Nativité et la route de pèlerinage, Bethléem (décision 40 COM 7A.14)
  • Palestine, Palestine : pays d’olives et de vignes – Paysage culturel du sud de Jérusalem, Battir (décision 40 COM 7A.15)
  • Panama, Fortifications de la côte caraïbe du Panama : Portobelo – San Lorenzo (décision 40 COM 7A.3)
  • Pérou, Zone archéologique de Chan Chan (décision 40 COM 7A.4)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville d'Alep (décision 40 COM 7A.16)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Bosra (décision 40 COM 7A.17)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Damas (décision 40 COM 7A.18)
  • République arabe syrienne, Villages antiques du Nord de la Syrie (décision 40 COM 7A.19)
  • République arabe syrienne, Crac des Chevaliers et Qal’at Salah El-Din (décision 40 COM 7A.20)
  • République arabe syrienne, Site de Palmyre (décision 40 COM 7A.21)
  • République centrafricaine, Parc national du Manovo-Gounda St Floris (décision 40 COM 7A.34)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Garamba (décision 40 COM 7A.37)
  • République démocratique du Congo, Parc national de Kahuzi-Biega (décision 40 COM 7A.38)
  • République démocratique du Congo, Réserve de faune à okapis (décision 40 COM 7A.39)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Salonga (décision 40 COM 7A.40)
  • République démocratique du Congo, Parc national des Virunga (décision 40 COM 7A.41)
  • République-Unie de Tanzanie, Réserve de gibier de Selous (décision 40 COM 7A.47)
  • Sénégal, Parc national du Niokolo-Koba (décision 40 COM 7A.46)
  • Serbie, Monuments médiévaux au Kosovo (décision 40 COM 7A.30)
  • Ouganda, Tombes des rois du Buganda à Kasubi (décision 40 COM 7A.8)
  • Royaume-Uni de Grande Bretagne et d'Irlande du Nord, Liverpool – Port marchand (décision 40 COM 7A.31)
  • Venezuela (République bolivarienne du), Coro et son port (décision 40 COM 7A.5)
  • Yémen, Ville historique de Zabid (décision 40 COM 7A.23)
  • Yémen, Vieille ville de Sana’a (décision 40 COM 7A.24)
  • Yémen, Ancienne ville de Shibam et son mur d'enceinte (décision 40 COM 7A.25).
Projet de décision : 40 COM 7A.1

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/16/40.COM/7A.Add,
  2. Rappelant la décision 39 COM 7A.44, adoptée à sa 39e session (Bonn, 2015),
  3. Accueille favorablement les efforts de l’État partie en vue de l’établissement d’un organe de gestion directeur afin de garantir un mécanisme de gestion efficace et intégral pour le bien et ses éléments et prie instamment l’État partie de finaliser ce processus ;
  4. Note avec préoccupation la paralysie des travaux de stabilisation au sommet du Cerro Rico et prie aussi instamment l’État partie de prendre toutes les mesures nécessaires pour procéder à ces travaux de stabilisation ;
  5. Prie en outre instamment l’État partie de finaliser la procédure d’adoption d’une nouvelle législation pour prendre en compte le point de la relocalisation des mineurs et renforcer le moratoire s’appliquant à toute exploration entre 4 400 m et 4 700 m d’altitude ;
  6. Regrette que l’État partie n’ait pas été en mesure d’élaborer une proposition d’État de conservation souhaité pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR) ni le plan de gestion intégral dans le cadre de l’Assistance internationale accordée par le Fonds du patrimoine mondial ;
  7. Réitère ses demandes à l’État partie pour qu’il élabore de toute urgence, en consultation avec le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives, une proposition de DSCOR et un ensemble de mesures correctives, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 41e session, en 2017 ;
  8. Demande à l’État partie d’établir une structure de gestion claire pour le bien, avec une articulation appropriée entre les différents organes et comités, d’élaborer de toute urgence un plan de gestion intégré, et d’inclure dans ce processus l’élaboration d’un plan d’occupation des sols pour le bien et ses zones environnantes afin de définir une zone tampon pour protéger les zones visuellement sensibles autour du bien ;
  9. Note avec satisfaction l’adoption de la loi pour la préservation de la zone historique de la ville de Potosí et demande également à l’État partie d’élaborer une stratégie de conservation intégrale avant de mettre en œuvre tous travaux de restauration importants au sein du bien ;
  10. Demande en outre à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2017, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 41e session en 2017 ;
  11. Décide de maintenir Ville de Potosí (Bolivie (État plurinational de)) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
Année du rapport : 2016
Bolivie (État plurinational de)
Date d'inscription : 1987
Catégorie : Culturel
Critères : (ii)(iv)(vi)
Liste en péril (dates) : 2014-présent
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2016) .pdf
arrow_circle_right 40COM (2016)
Exports

* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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