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Ville de Potosí

Bolivie (État plurinational de)
Facteurs affectant le bien en 2015*
  • Exploitation minière
  • Pollution des eaux de surface
  • Système de gestion/plan de gestion
  • Autres menaces :

    Instabilité et risque d’affaissement du Cerro Rico ; Carences au niveau de la conservation : attention particulière requise pour la restauration et la revalorisation des structures à usage résidentiel et pour le patrimoine archéologique industriel

Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Dégradation potentielle du site historique par des activités minières incessantes et incontrôlées dans la montagne du Cerro Rico
  • Instabilité et risque d’affaissement du Cerro Rico 
  • Carences au niveau de la conservation : attention particulière requise pour la restauration et la revalorisation des structures à usage résidentiel et pour le patrimoine archéologique industriel
  • Application inefficace de la législation en matière de protection
  • Impacts environnementaux sur le complexe hydraulique qui affecte à son tour le tissu historique et la population locale
Menaces pour lesquelles le bien a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril
  • Instabilité et risque imminent d’affaissement du sommet de Cerro Rico ;
  • Absence d’une politique de conservation de caractère intégrale qui tient compte de tous les composants du bien;
  • Carences au niveau de la conservation : attention particulière requise pour la restauration et la revalorisation des structures à usage résidentiel et pour le patrimoine archéologique industriel ;
  • Dégradation potentielle du site historique par des activités minières incessantes et incontrôlées dans la montagne du Cerro Rico ;
  • Application inefficace de la législation en matière de protection ;
  • Menaces d’impact de facteurs climatiques, géologiques ou environnementaux.
Etat de conservation souhaité pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril

En cours de rédaction

Mesures correctives pour le bien

En cours de d'identification

Calendrier pour la mise en œuvre des mesures correctives
En cours d'identification
Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2015

Montant total accordé: 10 000 dollars EU pour une mission technique du Centre du Patrimoine Mondial/ICOMOS en 2005, financée par le Fonds-en-dépôt espagnol pour le patrimoine mondial.

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2015
Demandes approuvées : 5 (de 1988-2015)
Montant total approuvé : 83 777 dollars E.U.
2015 Elaboration of the integral and participative ... (Approuvé)   29 992 dollars E.U.
2010 Technical assistance for the preservation of the Cerro ... (Approuvé)   26 285 dollars E.U.
1994 Restoration of mural paintings in the Church of La ... (Approuvé)   15 000 dollars E.U.
1992 Conservation of the Kari-Kari Lagoons (Non approuvé)   0 dollars E.U.
1991 Mission to advise on the measures to be taken for the ... (Approuvé)   5 000 dollars E.U.
1988 Advise the authorities on the elaboration of a ... (Approuvé)   7 500 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2015**

Novembre 2005 et février 2011: mission technique du Centre du patrimoine mondial/ICOMOS. Décembre 2013 et janvier 2014: mission conjointe Centre du patrimoine mondial/ICOMOS de suivi réactif.

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2015

Le 19 février 2015, l’État partie a soumis un rapport sur l’état de conservation disponible à https://whc.unesco.org/fr/list/420/documents.  Les avancées sont présentées comme suit :

  • En 2014, l’État partie a lancé un ensemble d’actions en faveur de la promulgation d’une nouvelle loi réglementant l’exploration à des altitudes supérieures à 4 400 m, en remplacement du Décret suprême 27787 d’octobre 2004 qui réglemente l’exploitation minière et la réinstallation des mineurs qui travaillent dans la zone concernée. Des négociations sont en cours avec les coopératives minières, menées par le ministère des Mines et de L’Énergie et la Corporation minière de Bolivie (COMIBOL), afin de trouver une solution. Il est indiqué qu’après l’évaluation menée par la société bolivienne Q&Q sur la stabilité du sommet du Cerro Rico, l’État partie a suspendu tous les travaux dans la zone et a informé tous les mineurs des cinq zones à risque identifiées. Un appel d’offres public destiné aux sociétés pouvant entreprendre les travaux de comblement du sommet a été lancé en janvier 2015. Simultanément, le ministère des Cultures a lancé le projet « Mesures d’urgence et consolidation structurelle du Cerro Rico », dont l’objectif est d’élaborer un diagnostic précis des principales zones à risque et d’établir une stratégie qui comprend des mesures d’urgence pour la consolidation structurelle du Cerro Rico. Le projet prévoit des activités de réduction des risques et de recouvrement en cas de désastre au sein du bien, et ce, avec la participation d’experts internationaux spécialisés dans les géostructures et l’ingénierie minière environnementale.
  • Un ensemble de règles visant à renforcer le rôle de l’entité interinstitutionnelle qui aura la charge de l’élaboration du plan de gestion intégral a été adopté. Les institutions nationales, régionales et municipales responsables de la protection du bien feront partie de cette entité et sont pleinement engagées pour soutenir le développement de ce dispositif. Dans ce contexte, le ministère des Cultures et du Tourisme a mis sur pied le projet « Élaboration du plan de gestion intégral et participatif pour la conservation et la gestion de la ville de Potosí » dans le cadre d’une assistance internationale approuvée par le Fonds du patrimoine mondial. L’État de conservation souhaité en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR) et le plan de gestion participatif seront développés avec l’assistance du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2015.
  • Il est indiqué que d’autres activités de conservation sont menées dans la ville de Potosí.
Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2015

Le rapport sur l’état de conservation du bien ne donne pas d’informations précises sur la mise en œuvre des recommandations faites par le Comité du patrimoine mondial en vue d’évaluer la situation actuelle.

Les travaux de stabilisation au sommet du Cerro Rico doivent commencer de toute urgence. Les avancées effectuées par l’État partie dans cette zone sont très limitées et doivent être poursuivies, en particulier le processus de sélection de la société chargée de combler le sommet. L’évaluation et la définition de la stratégie la plus appropriée pour entreprendre ces travaux doivent être une priorité, comme indiqué dans les décisions précédentes. Par ailleurs, aucun calendrier n’est communiqué s’agissant de la finalisation des procédures et des travaux de stabilisation du Cerro Rico.

L’adoption d’une nouvelle règlementation en remplacement du Décret suprême 27787 est accueillie favorablement tout en prenant en considération les difficultés d’application du moratoire visant toute exploration au-dessus de 4 400 m et la mise en œuvre effective de la réinstallation des mineurs. L’arrêt de tous les travaux dans les cinq zones à risque identifiées est également en cours, ainsi que les négociations pour la réinstallation des ouvriers entre le ministère des Mines et de la Métallurgie, la COMIBOL et les coopératives minières. Néanmoins, aucun calendrier ou explication spécifique sur le processus de réinstallation des mineurs et le texte de loi n’a été communiqué par l’État partie. Il est recommandé à ce stade que le Comité demande à l’État partie de communiquer ce projet de loi au Centre du patrimoine mondial pour examen par les Organisations consultatives.

Il est noté que l’État partie, malgré la demande du Comité, n’a pas proposé d’État souhaité de conservation en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR) ni d’ensemble de mesures correctives. Ces éléments sont essentiels pour la planification et le suivi des interventions qui devraient finalement conduire au retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril.

Les avancées effectuées s’agissant de renforcer le mécanisme interinstitutionnel qui doit être mis sur pied pour l’élaboration et la mise en œuvre du système de gestion intégré du bien doivent être soulignées. Comme cela était indiqué dans les décisions précédentes, la gestion et le suivi de chaque élément reposent sur des niveaux de gestion divers, conduisant à un manque de cohérence et d’articulation en matière de prise de décision. Le nouveau système de gestion devrait comprendre un cadre de référence prenant en compte tous les éléments du bien inscrit pour garantir la protection intégrale de sa Valeur universelle exceptionnelle (VUE) et prendre en considération les recommandations de la mission de suivi réactif de 2013. Il s’agit là d’une question cruciale pour laquelle les Organisations consultatives et le Centre du patrimoine mondial joueront un rôle afin de soutenir les efforts accomplis par l’État partie. La mise en œuvre de l’assistance internationale approuvée dans ce but est accueillie très favorablement.

La définition de la zone tampon du bien devrait être traitée dans le cadre de la définition du système de gestion intégré prévu afin de prendre en compte une définition claire de la protection des zones visuellement sensibles autour du bien.

Décisions adoptées par le Comité en 2015
39 COM 7A.44
Ville de Potosi (Etat plurinational de Bolivie) (C 420)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC-15/39.COM/7A,
  2. Rappelant la décision 38 COM 7B.38, adoptée à sa 38e session (Doha, 2014),
  3. Encourage l’État partie à finaliser les accords en vue de la mise en place du comité interinstitutionnel pour répondre de manière intégrée à tous les sujets de préoccupation qui touchent les éléments du bien, y compris le Cerro Rico ;
  4. Note avec préoccupation que les travaux de stabilisation du sommet du Cerro Rico sont à l’arrêt et qu’aucune stratégie révisée ni aucun calendrier de réalisation du projet de stabilisation n’ont été définis, et prie instamment l’État partie de finaliser le processus d’adoption de la nouvelle règlementation pour répondre à la question de la réinstallation des mineurs et au moratoire visant toute exploration entre 4 400 m et 4 700 m d’altitude ;
  5. Prie aussi instamment l’État partie d’œuvrer en étroite coopération avec le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives pour finaliser, dans le cadre de l’assistance internationale approuvée, le processus d’élaboration du plan de gestion intégré et participatif qui englobe tous les attributs du bien afin de garantir le maintien de sa Valeur universelle exceptionnelle (VUE) et de fournir une version électronique et trois exemplaires imprimés du projet de plan pour examen par le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives ;
  6. Réitère ses demandes à l’État partie pour développer, en coopération avec le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives, une proposition d’État souhaité de conservation pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril et un ensemble de mesures correctives, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 40e session en 2016 ;
  7. Demande à l’État partie d’inclure dans le processus d’élaboration du plan de gestion intégré une proposition de définition des zones tampons du bien et l’invite à soumettre, conformément aux paragraphes 163-165 des Orientations, une modification mineure des limites permettant une définition claire de la protection des zones visuellement sensibles autour du bien ;
  8. Demande également à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2016, un rapport actualisé, incluant un résumé analytique d’une page, sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 40e session en 2016 ;
  9. Décide de maintenir la Ville de Potosí (État plurinational de Bolivie) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
39 COM 8C.2
Mise à jour de la Liste du patrimoine mondial en péril

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné les rapports sur l’état de conservation des biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial en péril (WHC-15/39.COM/7A et WHC-15/39.COM/7A.Add),
  2. Décide de maintenir les biens suivants sur la Liste du patrimoine mondial en péril :
  • Afghanistan, Minaret et vestiges archéologiques de Djam (décision 39 COM 7A.38)
  • Afghanistan, Paysage culturel et vestiges archéologiques de la vallée de Bamiyan (décision 39 COM 7A.39)
  • Belize, Réseau de réserves du récif de la barrière du Belize (décision 39 COM 7A.18)
  • Bolivie (État plurinational de), Ville de Potosi (décision 39 COM 7A.44)
  • Chili, Usines de salpêtre de Humberstone et de Santa Laura (décision 39 COM 7A.45)
  • Côte d'Ivoire, Parc national de la Comoé (décision 39 COM 7A.2)
  • Côte d'Ivoire / Guinée, Réserve naturelle intégrale du mont Nimba (décision 39 COM 7A.3)
  • Égypte, Abou Mena (décision 39 COM 7A.24)
  • États-Unis d'Amérique, Parc national des Everglades (décision 39 COM 7A.17)
  • Éthiopie, Parc national du Simien (décision 39 COM 7A.10)
  • Géorgie, Cathédrale de Bagrati et monastère de Ghélati (décision 39 COM 7A.40)
  • Géorgie, Monuments historiques de Mtskheta (décision 39 COM 7A.41)
  • Honduras, Réserve de la Biosphère Río Plátano (décision 39 COM 7A.20)
  • Îles Salomon, Rennell Est (décision 39 COM 7A.16)
  • Indonésie, Patrimoine des forêts tropicales ombrophiles de Sumatra (décision 39 COM 7A.15)
  • Iraq, Assour (Qal'at Cherqat) (décision 39 COM 7A.2)
  • Iraq, Ville archéologique de Samarra (décision 39 COM 7A.25)
  • Vieille ville de Jérusalem et ses remparts (site proposé par la Jordanie) (décision 39 COM 7A.27)
  • Madagascar, Forêts humides de l’Atsinanana (décision 39 COM 7A.11)
  • Mali, Tombouctou (décision 39 COM 7A.21)
  • Mali, Tombeau des Askia (décision 39 COM 7A.22)
  • Niger, Réserves naturelles de l'Aïr et du Ténéré (décision 39 COM 7A.12)
  • Palestine, Lieu de naissance de Jésus : l’église de la Nativité et la route de pèlerinage, Bethléem (décision 39 COM 7A.28)
  • Palestine, Palestine : pays d’olives et de vignes – Paysage culturel du sud de Jérusalem, Battir (décision 39 COM 7A.29)
  • Panama, Fortifications de la côte caraïbe du Panama : Portobelo – San Lorenzo (décision 39 COM 7A.46)
  • Pérou, Zone archéologique de Chan Chan (décision 39 COM 7A.47)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Damas (décision 39 COM 7A.30)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Bosra (décision 39 COM 7A.31)
  • République arabe syrienne, Site de Palmyre (décision 39 COM 7A.32)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville d'Alep (décision 39 COM 7A.33)
  • République arabe syrienne, Crac des Chevaliers et Qal’at Salah El-Din (décision 39 COM 7A.34)
  • République arabe syrienne, Villages antiques du Nord de la Syrie (décision 39 COM 7A.35)
  • République centrafricaine, Parc national du Manovo-Gounda St Floris (décision 39 COM 7A.1)
  • République démocratique du Congo, Parc national des Virunga (décision 39 COM 7A.4)
  • République démocratique du Congo, Parc national de Kahuzi-Biega (décision 39 COM 7A.5)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Garamba (décision 39 COM 7A.6)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Salonga (décision 39 COM 7A.7)
  • République démocratique du Congo, Réserve de faune à okapis (décision 39 COM 7A.8)
  • République-Unie de Tanzanie, Réserve de gibier de Selous (décision 39 COM 7A.95)
  • Sénégal, Parc national du Niokolo-Koba (décision 39 COM 7A.13)
  • Serbie, Monuments médiévaux au Kosovo (décision 39 COM 7A.42)
  • Ouganda, Tombes des rois du Buganda à Kasubi (décision 39 COM 7A.23)
  • Royaume-Uni de Grande Bretagne et d'Irlande du Nord, Liverpool – Port marchand (décision 39 COM 7A.43)
  • Venezuela, Coro et son port (décision 39 COM 7A.48)
  • Yémen, Ville historique de Zabid (décision 39 COM 7A.37)
Projet de décision : 39 COM 7A.44

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC-15/39.COM/7A,
  2. Rappelant la décision 38 COM 7B.38, adoptée à sa 38e session (Doha, 2014),
  3. Encourage l’État partie à finaliser les accords en vue de la mise en place du comité interinstitutionnel pour répondre de manière intégrée à tous les sujets de préoccupation qui touchent les éléments du bien, y compris le Cerro Rico ;
  4. Note avec préoccupation que les travaux de stabilisation du sommet du Cerro Rico sont à l’arrêt et qu’aucune stratégie révisée ni aucun calendrier de réalisation du projet de stabilisation n’ont été définis, et prie instamment l’État partie de finaliser le processus d’adoption de la nouvelle règlementation pour répondre à la question de la réinstallation des mineurs et au moratoire visant toute exploration entre 4 400 m et 4 700 m d’altitude ;
  5. Prie aussi instamment l’État partie d’œuvrer en étroite coopération avec le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives pour finaliser, dans le cadre de l’assistance internationale approuvée, le processus d’élaboration du plan de gestion intégré et participatif qui englobe tous les attributs du bien afin de garantir le maintien de sa Valeur universelle exceptionnelle (VUE) et de fournir une version électronique et trois exemplaires imprimés du projet de plan pour examen par le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives ;
  6. Réitère ses demandes à l’État partie pour développer, en coopération avec le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives, une proposition d’État souhaité de conservation pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril et un ensemble de mesures correctives, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 40e session en 2016 ;
  7. Demande à l’État partie d’inclure dans le processus d’élaboration du plan de gestion intégré une proposition de définition des zones tampons du bien et l’invite à soumettre, conformément aux paragraphes 163-165 des Orientations, une modification mineure des limites permettant une définition claire de la protection des zones visuellement sensibles autour du bien ;
  8. Demande également à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2016, un rapport actualisé, incluant un résumé analytique d’une page, sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 40e session en 2016 ;
  9. Décide de maintenir la Ville de Potosí (Bolivie (État plurinational de)) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
Année du rapport : 2015
Bolivie (État plurinational de)
Date d'inscription : 1987
Catégorie : Culturel
Critères : (ii)(iv)(vi)
Liste en péril (dates) : 2014-présent
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2015) .pdf
arrow_circle_right 39COM (2015)
Exports

* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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