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Paysage minier des Cornouailles et de l’ouest du Devon

Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord
Facteurs affectant le bien en 2015*
  • Développement commercial
  • Exploitation minière
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Reprise des activités minières
  • Aménagement du port
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2015
Demandes approuvées : 0
Montant total approuvé : 0 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2015**

Octobre 2013 : mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS/ICCROM ; Janvier 2015 : mission conjointe de suivi réactif ICOMOS/ICCROM

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2015

Le 26 janvier 2015, l’État partie a soumis un rapport sur l’état de conservation du bien qui apporte des éléments de réponse aux demandes faites par le Comité. En outre, une mission conjointe de suivi réactif ICOMOS/ICCROM s’est rendue sur le territoire du bien du 27 au 29 janvier 2015. Les deux rapports sont disponibles à l’adresse suivante : https://whc.unesco.org/fr/list/1215/documents/.

L’État partie a mis en œuvre les Orientations nationales sur les pratiques de planification qui comprennent des références spécifiques à la gestion des biens du patrimoine mondial et à la façon d’envisager les projets d’aménagement susceptibles d’avoir un impact néfaste sur les valeurs universelles exceptionnelles (VUE) et le contexte d’un bien. En outre, English Heritage a rédigé un guide des bonnes pratiques qui prodigue des conseils en matière de protection des biens dans leur contexte. Enfin, les autorités locales ont élaboré des politiques de protection de la VUE avec, notamment, des orientations sur la réalisation d’évaluations d’impact sur le patrimoine (EIP).

L’État partie reconnaît que l’aménagement d’un supermarché à Hayle Harbour a eu un impact négatif sur la VUE du bien. L’État partie précise toutefois que le projet réalisé est de moindre envergure que celui initialement proposé et qu’il y a des avantages « compensatoires » à ce projet, notamment la réparation de l’infrastructure des vannes qui permet au port d’être toujours utilisé. L’État partie précise en outre que enseignements ont été tirés des questions soulevées dans le cadre du projet d’aménagement du supermarché à Hayle, tant au niveau local que national et que ces acquis, à l’avenir seront mis à profit. . L’impact négatif de l’aménagement et les enseignements tirés de cette expérience ont fait l’objet de discussions entre toutes les parties concernées lors de  la mission de janvier 2015.

L’État partie a échangé sur les recommandations de la mission de 2013 à propos du projet d’exploitation minière à South Crofty avec l’exploitant qui veut bien envisager des modifications au projet sous réserve que celles-ci n’entrainent pas une refonte complète du projet, ce qui nécessiterait alors une nouvelle procédure d’autorisation. La mission de 2015 a été informée que les projets de reprise de l’exploitation minière ont été interrompus en raison de contraintes financières de la compagnie minière placée sous administration judiciaire. La mission a cependant été informée que la compagnie minière recherchait activement des investisseurs. L’État partie, par l’intermédiaire du Conseil des Cornouailles, maintient sa « surveillance » du site et interviendra auprès de la compagnie minière si le projet devait être réexaminé avant que l’autorisation accordée ne devienne caduque en novembre 2016.

Un certain nombre de composantes du bien ont été réparées, elles avaient subi de graves dommages en 2014, entre Noël et le jour de l’An, causés par des orages. Parmi les travaux réalisés, on citera Portreath Harbour, Calstock, Morwellham et New Quay.

La mission a rendu compte d’autres projets d’aménagement actuellement à des stades divers, soit de planification soit d’autorisation, notamment de projets commerciaux et résidentiels à South et North Quay, à Hayle et du projet résidentiel de Tavistock.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2015

La mission de 2015 a signalé que l’aménagement du supermarché a eu un impact négatif sur la VUE du bien. Alors qu’il aurait été possible de concevoir et de construire sur le quai un projet (supermarché ou autre) axé sur le patrimoine, le grand bâtiment en forme de cube et le parking qui ont été installés sont inadaptés au contexte et rendent difficiles l’appréhension du quai comme élément du paysage culturel de Hayle Harbour. L’ampleur de l’impact des constructions déjà édifiées pourrait justifier, en soi, une inscription sur la Liste du patrimoine mondial en péril. Le fait que d’autres constructions sont déjà prévues représente un danger potentiel en cours pour le bien du patrimoine mondial.

On notera que l’État partie et les autorités locales ont reconnu les impacts négatifs du projet achevé de supermarché sur la VUE et se sont engagés à prendre des mesures qui garantissent que les futurs projets d’aménagement n’auront pas un impact négatif semblable. Cet engagement n’a que valeur de promesse et doit être suivi d’actions visant à mettre en place le personnel nécessaire, les structures administratives, les outils de planification et les documents d’orientation destinés à garantir de meilleurs résultats.

La mission de 2015 recommande que l’État partie fasse interrompre immédiatement la mise en œuvre de l’aménagement autorisé sur la partie restante de South Quay et entreprenne à nouveau des négociations avec le promoteur dans le but de faire les modifications nécessaires au projet afin qu’il soit plus en accord avec le caractère historique du site et limite ainsi tout autre effet négatif sur la VUE. Si l’aménagement devait se poursuivre à South Quay, sous la forme actuellement prévue, le Comité serait invité à envisager l’inscription du bien sur la Liste du patrimoine mondial en péril à sa 41e session en 2017, sur la base des recommandations de la mission de 2015. En outre, une inscription sur la Liste du patrimoine mondial en péril devrait également être envisagée si les améliorations aux outils de planification n’étaient pas mises en œuvre par l’État partie, et ce, afin de garantir l’absence d’impact négatif sur la VUE du bien. Le rapport de mission signale qu’aucune nouvelle proposition d’aménagement de North Quay, évoquée à l’époque de la visite de la mission de 2013, ne lui a été présentée.

En ce qui concerne la mine de South Crofty, le Comité est invité à demander à l’État partie de poursuivre le suivi attentif du projet et de veiller, en cas d’évolution du projet de réouverture de la mine, à ce qu’un délai suffisant soit accordé au dialogue et aux négociations nécessaires à garantir que les recommandations de la mission de 2013 seront bien suivies. En outre, une mise à jour des rapports archéologiques devrait être entreprise afin d’orienter tout projet à venir.

Il est demandé que les projets d’aménagement actuellement envisagés à Hayle Harbour, South Crofty et Tavistock, ainsi que tout aménagement conséquent prévu sur ces sites et ailleurs, fassent l’objet d’une évaluation approfondie et appropriée par les Organisations consultatives afin d’atténuer tout impact négatif supplémentaire sur le bien et sa VUE. Le Comité est invité à demander à l’État partie de soumettre des plans de ces projets, et de tout ceux à venir, fondés sur des EIP réalisées conformément au Guide de l'ICOMOS pour les évaluations d'impact sur le patrimoine appliquées aux biens culturels du patrimoine mondial, pour examen par le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives, et ce, avant de donner un accord à tout projet de construction et d’aménagement.

Décisions adoptées par le Comité en 2015
39 COM 7B.86
Paysage minier des Cornouailles et de l’ouest du Devon (Royaume-Uni de de Grande Bretagne et d’Irlande du Nord) (C 1215)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC-15/39.COM/7B,
  2. Rappelant les décisions 36 COM 7B.94, 37 COM 7B.89 et 38 COM 7B.34, adoptées respectivement à ses 36e (Saint-Pétersbourg, 2012), 37e (Phnom Penh, 2013) et 38e (Doha, 2014) sessions,
  3. Note les recommandations de la mission conjointe de suivi réactif ICOMOS/ICCROM de janvier 2015 et demande à l’État partie de les mettre en œuvre à titre prioritaire ;
  4. Note également que le projet d’exploitation minière à South Crofty est actuellement toujours en sommeil, et demande également que l’État partie exerce une vigilance constante sur le bien et veille, en cas de confirmation de la réouverture de la mine, à ce qu’un délai suffisant soit accordé à un dialogue et des négociations nécessaires à garantir que les recommandations de la mission de 2013 seront bien suivies, notamment que les rapports archéologiques seront mis à jour ;
  5. Regrette vivement que l’État partie ne se soit pas conformé aux demandes exprimées dans les décisions 36 COM 7B.94, 37 COM 7B.89 et 38 COM 7B.34, visant à faire cesser le projet d’aménagement du supermarché à Hayle Harbour, note en outre que la construction est désormais achevée et regrette également que la structure construite ait été jugée comme ayant un impact négatif sur la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien, selon la mission de janvier 2015 récemment achevée et l’évaluation de l’État partie lui-même ;
  6. Demande en outre à l’État partie de de s’assurer que la mise en œuvre du projet autorisé dans la partie restante de South Quay demeure en suspens et d’entreprendre à nouveau des négociations avec le promoteur dans le but de faire les modifications nécessaires au projet afin qu’il soit plus en accord avec le caractère historique du site et limite tout autre effet négatif sur la VUE ;
  7. Note par ailleurs les informations supplémentaires fournies par l’Etat partie, ainsi que les efforts positifs en termes de développement de nouveaux outils de planification et demande par ailleurs à l’État partie de continuer à communiquer au Centre du patrimoine mondial des informations sur les améliorations apportées à la planification et aux procédures d’adoption qui aboutiront à de meilleurs résultats en matière d’aménagement situé sur le territoire du bien et soutenant sa VUE ; demande de plus à l’État partie de veiller à ce que, conformément au paragraphe 172 des Orientations, des éléments détaillés de tous les projets d’aménagement en cours (Hayle Harbour, South Crofty et Tavistock) et de tout nouvel aménagement d’envergure qui pourrait affecter la VUE du bien soient soumis, accompagnés des EIPs respectives, au Centre du patrimoine mondial  ;
  8. Note en outre qu’il envisagera l’inscription du bien du patrimoine mondial Paysage minier des Cornouailles et de l’ouest du Devon sur la Liste du patrimoine mondial en péril, à sa 41e session en 2017, si la mise en œuvre des projets actuels d’aménagement à Hayle Harbour se poursuit et si les améliorations proposées des outils de planification et des procédures d’adoption ne sont pas mises en place comme défini par l’État partie ;
  9. Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er décembre 2016, un rapport actualisé, incluant un résumé analytique d’une page, sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 41e session en 2017.
Projet de décision : 39 COM 7B.86

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC-15/39.COM/7B,
  2. Rappelant les décisions 36 COM 7B.94, 37 COM 7B.89 et 38 COM 7B.34, adoptées respectivement à ses 36e (Saint-Pétersbourg, 2012), 37e (Phnom Penh, 2013) et 38e (Doha, 2014) sessions,
  3. Note les recommandations de la mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS/ICCROM de janvier 2015 et demande à l’État partie de les mettre en œuvre à titre prioritaire ;
  4. Note également que le projet d’exploitation minière à South Crofty est actuellement toujours en sommeil, et demande également que l’État partie exerce une vigilance constante sur le bien et veille, en cas de confirmation de la réouverture de la mine, à ce qu’un délai suffisant soit accordé à un dialogue et des négociations nécessaires à garantir que les recommandations de la mission de 2013 seront bien suivies, notamment que les rapports archéologiques seront mis à jour ;
  5. Regrette vivement que l’État partie ne se soit pas conformé aux demandes exprimées dans les décisions 36 COM 7B.94, 37 COM 7B.89 et 38 COM 7B.34, visant à faire cesser le projet d’aménagement du supermarché à Hayle Harbour, note en outre que la construction est désormais achevée et regrette également que la structure construite ait été jugée comme ayant un impact négatif sur la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien, selon la mission de janvier 2015 récemment achevée et l’évaluation de l’État partie lui même ;
  6. Demande en outre à l’État partie de faire cesser immédiatement la mise en œuvre du projet autorisé dans la partie restante de South Quay et d’entreprendre à nouveau des négociations avec le promoteur dans le but de faire les modifications nécessaires au projet afin qu’il soit plus en accord avec le caractère historique du site et limite tout autre effet négatif sur la VUE ;
  7. Demande par ailleurs à l’État partie de communiquer au Centre du patrimoine mondial des informations sur les améliorations apportées aux outils de planification et aux procédures d’adoption qui aboutiront à de meilleurs résultats en matière d’aménagement situé sur le territoire du bien et soutenant sa VUE ; demande de plus à l’État partie de veiller à ce que, conformément au paragraphe 172 des Orientations, des éléments détaillés de tous les projets d’aménagement en cours (Hayle Harbour, South Crofty et Tavistock) et de tout projet d’envergure à venir sis sur le territoire du bien ou de son cadre immédiat et de son paysage, soient soumis, avec des évaluations d’impact sur le patrimoine, dès que possible au Centre du patrimoine mondial, et qu’une durée de temps suffisante soit accordée afin que les Organisations consultatives puissent examiner attentivement chaque projet, et ce, avant de donner un accord à tout aménagement et construction ;
  8. Note en outre qu’il envisagera l’inscription du bien du patrimoine mondial Paysage minier des Cornouailles et de l’ouest du Devon sur la Liste du patrimoine mondial en péril, à sa 41e session en 2017, si la mise en œuvre des projets actuels d’aménagement à Hayle Harbour se poursuit et si les améliorations proposées des outils de planification et des procédures d’adoption ne sont pas mises en place comme défini par l’État partie ;
  9. Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er décembre 2016, un rapport actualisé, incluant un résumé analytique d’une page, sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 41e session en 2017.


DECISION REVISEE SOUMISE LE 28/06/2015 PAR LE CENTRE DU PATRIMOINE MONDIAL, L’ICOMOS ET L’ICCROM
Projet de décision : 39 COM 7B.86 Rev

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC-15/39.COM/7B,
  2. Rappelant les décisions 36 COM 7B.94, 37 COM 7B.89 et 38 COM 7B.34, adoptées respectivement à ses 36e (Saint-Pétersbourg, 2012), 37e (Phnom Penh, 2013) et 38e (Doha, 2014) sessions,
  3. Note les recommandations de la mission conjointe de suivi réactif ICOMOS/ICCROM de janvier 2015 et demande à l’État partie de les mettre en œuvre à titre prioritaire ;
  4. Note également que le projet d’exploitation minière à South Crofty est actuellement toujours en sommeil, et demande également que l’État partie exerce une vigilance constante sur le bien et veille, en cas de confirmation de la réouverture de la mine, à ce qu’un délai suffisant soit accordé à un dialogue et des négociations nécessaires à garantir que les recommandations de la mission de 2013 seront bien suivies, notamment que les rapports archéologiques seront mis à jour ;
  5. Regrette vivement que l’État partie ne se soit pas conformé aux demandes exprimées dans les décisions 36 COM 7B.94, 37 COM 7B.89 et 38 COM 7B.34, visant à faire cesser le projet d’aménagement du supermarché à Hayle Harbour, note en outre que la construction est désormais achevée et regrette également que la structure construite ait été jugée comme ayant un impact négatif sur la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien, selon la mission de janvier 2015 récemment achevée et l’évaluation de l’État partie lui-même ;
  6. Demande en outre à l’État partie de de s’assurer que la mise en œuvre du projet autorisé dans la partie restante de South Quay demeure en suspens et d’entreprendre à nouveau des négociations avec le promoteur dans le but de faire les modifications nécessaires au projet afin qu’il soit plus en accord avec le caractère historique du site et limite tout autre effet négatif sur la VUE ;
  7. Note par ailleurs les informations supplémentaires fournies par l’Etat partie, ainsi que les efforts positifs en termes de développement de nouveaux outils de planification et demande par ailleurs à l’État partie de continuer à communiquer au Centre du patrimoine mondial des informations sur les améliorations apportées à la planification et aux procédures d’adoption qui aboutiront à de meilleurs résultats en matière d’aménagement situé sur le territoire du bien et soutenant sa VUE ; demande de plus à l’État partie de veiller à ce que, conformément au paragraphe 172 des Orientations, des éléments détaillés de tous les projets d’aménagement en cours (Hayle Harbour, South Crofty et Tavistock) et de tout nouvel aménagement d’envergure qui pourrait affecter la VUE du bien soient soumis, accompagnés des EIPs respectives, au Centre du patrimoine mondial  ;
  8. Note en outre qu’il envisagera l’inscription du bien du patrimoine mondial Paysage minier des Cornouailles et de l’ouest du Devon sur la Liste du patrimoine mondial en péril, à sa 41e session en 2017, si la mise en œuvre des projets actuels d’aménagement à Hayle Harbour se poursuit et si les améliorations proposées des outils de planification et des procédures d’adoption ne sont pas mises en place comme défini par l’État partie ;
  9. Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er décembre 2016, un rapport actualisé, incluant un résumé analytique d’une page, sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 41e session en 2017.
Année du rapport : 2015
Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord
Date d'inscription : 2006
Catégorie : Culturel
Critères : (ii)(iii)(iv)
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2015) .pdf
arrow_circle_right 39COM (2015)
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* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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