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Parc national de Huascarán

Pérou
Facteurs affectant le bien en 1999*
  • Effets liés à l’utilisation des Infrastructures de transport
  • Exploitation minière
  • Infrastructures de transport de surface
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Projet de loi du Congres réduisant la protection légale (problème résolu)
  • Propositions de développement touristique inadéquates (problème résolu)
  • Surpâturage par les moutons (problème résolu)
  • Feux excessifs (problème résolu)
  • Braconnage perpétré par les militaires (problème résolu)
  • Faibles ressources financières (problème résolu)
  • Nécessité d'un inventaire des ressources culturelles du site (problème résolu)
  • Création d'une nouvelle route en liaison à des activités minières
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 1999
Demandes approuvées : 4 (de 1986-1993)
Montant total approuvé : 75 400 dollars E.U.
1993 Training and awareness-raising activities for Huascaran ... (Approuvé)   20 000 dollars E.U.
1989 Elaboration of a Master Plan for the Management of ... (Approuvé)   20 000 dollars E.U.
1986 Support for associated training activities for park ... (Approuvé)   5 300 dollars E.U.
1986 Financial support for the implementation of the ... (Approuvé)   30 100 dollars E.U.
Information présentée au Bureau du Comité du patrimoine mondial en 1999

Résumé des précédentes délibérations : A sa vingt-deuxième session (juin 1998), le Bureau a été informé qu'un consortium minier canado-péruvien était sur le point d'obtenir l'accord d'exploitation de l'un des plus grands gisements de cuivre et de zinc du monde à Antamina, à 20 km à l’est de ce Parc. L'exploitation minière commencera en 2001 pour une durée de 20 ans. Le Bureau a noté que les concentrés provenant de cette mine pourraient être acheminés du site d'extraction à la côte par une route centrale qui traverse le Parc ou par une route au sud qui entoure le Parc. La société minière avait accepté d'emprunter la route du sud, qui est complètement à l'extérieur du Parc mais qui traverse les zones tampons du site du patrimoine mondial du Parc national de Huascaran et la Réserve de biosphère. Aucune étude d’impact n’a encore été entreprise pour l’utilisation de la route du sud. La route centrale serait toutefois utilisée pour le transport d’équipement lourd de la zone d’exploitation minière pendant environ un an jusqu’à la construction d'une bretelle d’accès à la route du sud pour permettre le transport de matériel lourd sur cette route. L’UICN a souligné l'importance d'un suivi des impacts de l’utilisation de la route centrale pendant la période d’un an. Le Bureau a pris note des différentes options d’accès à la zone d’exploitation minière et de la préférence de l’INRENA pour la route du sud. Le Bureau a demandé au Centre et à l’UICN de collaborer avec l’Etat partie pour contrôler les impacts de l'utilisation temporaire de la route centrale à travers le Parc jusqu'à ce que la route du sud soit totalement opérationnelle. Le Bureau a suggéré l'utilité d'une future mission sur site et a demandé à l'Etat partie de fournir un rapport de situation sur le projet d'exploitation minière à sa vingt-deuxième session extraordinaire en novembre 1998.

 En novembre 1998, le Bureau a été informé que l'INRENA avait créé un Groupe de travail sur la gestion du site et que des représentants du Bureau de l'UICN au Pérou avaient participé à ses réunions. Ce groupe de travail sur la gestion du site, et en particulier sur le contrôle de l'utilisation de la route centrale, travaillera indépendamment de la Compagnie minière Antamina et favorisera la participation locale. Antamina a confirmé qu'elle achèverait la construction de la bretelle d'accès le long de la route du sud pour juillet 1999 et qu'elle fournirait des précisions sur l'importance du trafic. Elle s'est montrée intéressée par l'utilisation de la route du sud et la route centrale pour les véhicules de transport du personnel et a également réaffirmé son engagement concernant l'entretien des routes et le soutien au Parc. Elle a fourni un rapport sur l'accord conclu avec le gouvernement le 16 septembre 1998. Antamina fournira des informations sur l'utilisation de la route centrale, ainsi qu'un addendum à l'étude d'impact environnemental et une révision du plan de la mine avec les nouveaux aménagements pour le stockage des résidus. Le Bureau, tout en félicitant le gouvernement péruvien de la création d'un Groupe de travail, s'est toutefois déclaré préoccupé de l'utilisation permanente de la route du sud et du centre pour le transport du personnel de la mine.

Nouvelles informations : Le double de l'étude d'impact environnemental complémentaire sur les effets de la route du centre et du nord pour le transport du personnel de la mine, ainsi qu'un rapport de situation sur le projet, demandé par le Bureau pour le 15 avril 1999 n'ont pas encore été reçus par le Centre. L'UICN a informé le Centre que le projet d'exploitation minière d'Antamina progresse rapidement et qu'il est de nouveau question d'installer un pipeline pour le transport du minerai. Aucun tracé spécifique n'a été choisi pour le pipeline, qui constituera de toutes façons une sérieuse menace écologique pour le Parc. Des ONG se sont jointes à l'UICN pour exprimer leur sérieuse préoccupation quant à l'efficacité du Groupe de travail et demandent l'envoi d'une mission UICN/UNESCO sur site pour établir un état de la situation et en tirer des recommandations pour le Comité et le Bureau.

Action requise

Le Bureau pourrait souhaiter exprimer sa préoccupation quant aux incertitudes concernant les impacts du projet d'exploitation minière d'Antamina sur l'intégrité du site et demander à l’Etat partie d'inviter une mission UNESCO/UICN à se rendre sur site. Cette mission devrait évaluer les impacts des activités en cours et proposées de l'exploitation minière – y compris les différentes propositions d'utilisation des routes du nord, du centre et du sud – sur les valeurs du site du patrimoine mondial et proposer des recommandations pour considération à la vingt-quatrième session du Bureau au milieu de l'an 2000.

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 1999

Résumé des précédents débats :

Vingt-deuxième session du Comité – Annexe IV, p. 100.

Vingt-troisième session ordinaire du Bureau – paragraphe IV.37.

 

Nouvelles informations : A sa vingt-troisième session, le Bureau a incité l'Etat partie à traiter en priorité la préparation et la mise en œuvre d'un programme de restauration et à présenter une demande d'assistance technique. Le Bureau a d'autre part invité l'Etat partie à étudier de façon prioritaire la mise en œuvre de mesures essentielles telles que celles proposées par l'UICN et de fournir régulièrement des rapports d’avancement sur cette mise en œuvre, y compris l'avancement réalisé dans la mise en œuvre de priorités essentielles définies par le groupe de travail créé pour étudier l'utilisation de la route Pachacoto-Yanashallay. Le Bureau a demandé à l'Etat partie de présenter le premier de ces rapports avant le 15 septembre 1999 et à l'UICN et au Centre de préparer une mission à effectuer en l’an 2000. L’UICN félicite l’Etat partie de chercher des solutions pour limiter au maximum les impacts sur le Parc dus à l’utilisation temporaire de la route centrale, mais elle estime qu’une étude complémentaire de cette question doit attendre la fourniture d’informations par l’Etat partie. Aucune nouvelle information n’a été fournie par l’Etat partie lors de la préparation du présent document.

Décisions adoptées par le Comité en 1999
23 BUR IV.B.37
Parc national de Huascaran (Pérou)

A sa vingt-deuxième session, le Bureau a été informé qu'un consortium minier canado-péruvien était sur le point d'obtenir l'accord d'exploitation de l'un des plus grands gisements de cuivre et de zinc du monde à Antamina, à 20 km à l’est de ce Parc. L'exploitation minière commencera en 2001 pour une durée de 20 ans. Le Bureau a noté que les concentrés provenant de cette mine pourraient être acheminés du site d'extraction à la côte par une route centrale qui traverse le Parc ou par une route au sud qui entoure le Parc. La société minière avait accepté d'emprunter la route du sud, qui est complètement à l'extérieur du Parc mais qui traverse les zones tampons du site du patrimoine mondial du Parc national de Huascaran et la Réserve de biosphère. Aucune étude d’impact n’a encore été entreprise pour l’utilisation de la route du sud. La route centrale serait toutefois utilisée pour le transport d’équipement lourd de la zone d’exploitation minière pendant environ un an jusqu’à la construction d'une bretelle d’accès à la route du sud pour permettre le transport de matériel lourd sur cette route. L’UICN a souligné l'importance d'un suivi des impacts de l’utilisation de la route centrale pendant une période d’un an. Le Bureau a pris note des différentes options d’accès à la zone d’exploitation minière et de la préférence de l’INRENA pour la route du sud. Le Bureau a demandé au Centre et à l’UICN de collaborer avec l’État partie pour contrôler les impacts de l'utilisation temporaire de la route centrale à travers le Parc jusqu'à ce que la route du sud soit totalement opérationnelle. En novembre 1998, le Bureau a été informé que l'INRENA avait créé un Groupe de travail sur la gestion du site et que des représentants du Bureau de l'UICN au Pérou avaient participé à ses réunions. Ce groupe de travail sur la gestion du site, et en particulier sur le contrôle de l'utilisation de la route centrale, travaillera indépendamment de la Compagnie minière Antamina et favorisera la participation locale. Antamina a confirmé qu'elle achèverait la construction de la bretelle d'accès le long de la route du sud pour juillet 1999 et qu'elle fournirait des précisions sur l'importance du trafic. Elle s'est montrée intéressée par l'utilisation de la route centrale et du Nord pour les véhicules de transport du personnel. Le Bureau, tout en félicitant le gouvernement péruvien de la création d'un Groupe de travail, s'est toutefois déclaré préoccupé de l'utilisation permanente de la route du centre et du Nord pour le transport du personnel de la mine.

L'UICN a fait remarquer que le projet d'exploitation minière d'Antamina progresse rapidement et qu'il est de nouveau question d'installer un pipeline pour le transport du minerai. Aucun tracé spécifique n'a été choisi pour le pipeline, qui constitue toutefois une autre sérieuse menace écologique potentielle pour le Parc. Des ONG se sont jointes à l'UICN pour exprimer leur sérieuse préoccupation quant à l'efficacité du Groupe de travail et demandent l'envoi d'une mission UICN/UNESCO sur site pour établir un état de la situation et en tirer des recommandations claires pour le Comité et le Bureau. L'UICN a informé le Bureau des efforts de l'État partie pour étudier des solutions permettant de limiter au maximum les impacts de la route qui traverse le Parc. La question essentielle est l'augmentation des visiteurs associée à la route et l'UICN a recommandé d'établir un plan de gestion des visiteurs pour le Parc. Les rapports de l’État partie signalent les zones du Parc qui exigent une restauration immédiate, ainsi que des points essentiels à traiter. Ces rapports constituent une excellente base pour un plan d'action mentionnant les priorités. Etant donné les incertitudes exprimées récemment en ce qui concerne l'impact et l'utilisation de la route centrale, l'UICN a recommandé l'envoi d'une mission Centre/UICN sur site, en signalant en même temps qu'il ne serait pas possible de réaliser en 1999 toutes les missions recommandées par le Bureau.

Le directeur de l'INRENA a fourni, par sa lettre du 9 juin 1999, deux documents : (a) des informations sur l'utilisation temporaire de la Route Pachacoto-Yanashallay qui traverse le Parc national de Huascaran (novembre 1998 à mai 1999) et (b) des informations sur le Groupe de travail, rédigées par l'Institut des Montagnes (1er juin 1999). Ces deux documents ont été transmis à l'UICN pour étude.

L'observateur du Pérou a déclaré que son gouvernement tente de limiter au maximum tous les impacts associés à l'utilisation de la route centrale et que la nouvelle route pourrait être utilisable à la fin du mois. Elle a bien accueilli la proposition du Bureau d'organiser une mission et a rappelé que son gouvernement était prêt à travailler en étroite collaboration avec l'UNESCO et l'UICN pour protéger les ressources très spécifiques du site. Elle a également informé le Bureau de la création d'une unité de glaciologie au sein de l'INRENA, afin d'écarter toute menace aux plus hautes montagnes couvertes de neiges éternelles.

Après étude des nouvelles informations fournies, le Bureau a reconnu les efforts de l'État partie et il a apprécié que les autorités cherchent des solutions pour limiter au maximum les impacts de l'utilisation temporaire de la route centrale sur le Parc. Le Bureau a incité l'État partie à traiter en priorité la préparation et la mise en œuvre d'un programme de restauration et à présenter une demande d'assistance technique. Le Bureau a d'autre part invité l'État partie à étudier de façon prioritaire la mise en œuvre de mesures essentielles telles que celles proposées par l'UICN et de fournir des rapports (Progress reports) de manière régulière, y compris l'avancement réalisé dans la mise en œuvre de grandes priorités définies par le groupe de travail créé pour étudier l'utilisation de la route Pachacoto-Yanashallay. Le Bureau a demandé à l'État partie de présenter le premier de ces deux rapports avant le 15 septembre 1999 et à l'UICN et au Centre de préparer une mission à effectuer en 1999/2000.

23 COM X.B.28
Rapports sur l’état de conservation de biens naturels dont le Comité a pris note

X.28 Le Comité a pris note des décisions de la vingttroisième session extraordinaire du Bureau telles qu'elles figurent dans le Rapport de la session du Bureau (document de travail WHC-99/CONF.209/6) et incluses en Annexe VIII de ce rapport sur les biens suivants. Des observations complémentaires faites au cours de la session du Comité sont reflétées ci-dessous :

Baie Shark - Australie occidentale (Australie)

Tropiques humides de Queensland (Australie)

Les îles Heard et McDonald (Australie)

Le Délégué de l'Australie a remercié l'UICN du processus consultatif amorcé, qui pourrait servir de modèle à d'autres États parties. Il a aussi informé le Comité que l'aire de protection marine autour de l'Ile Macquarie avait été étendue et qu'elle comprend maintenant 16 millions d'hectares, ce qui en fait la plus grande zone marine sous haute protection du monde.

Forêt Belovezhskaya Pushcha/Bialowieza Belovezhskaya Puscha (Bélarus/Pologne)

Réserve de faune du Dja (Cameroun)

Parc national de Los Katios (Colombie)

Le Délégué de la Colombie a informé le Comité qu'une délégation du ministère de l'Environnement s'était récemment rendue à Los Katios et avait visité des zones dont l'accès n'était pas possible jusque là. Il a souligné que la proposition d'accorder un droit collectif de propriété sur 100.000 hectares concernerait un secteur situé à l'extérieur du Parc, dans la zone tampon. Il a ajouté que son gouvernement serait heureux de recevoir la visite de la mission de suivi sur ce site en l'an 2000. Les autorités colombiennes ont resserré la coopération transfrontalière avec le Parc national de Darien (Panama) et renforcé le système des aires protégées.

Parc national de Morne Trois Pitons (Dominique)

Les Iles Galapagos (Equateur)

L'observateur des États-Unis a souligné le rôle de son gouvernement dans la sauvegarde des îles Galapagos et il a félicité le gouvernement équatorien des progrès réalisés. Il a noté la décision de référence relative à la Loi sur les Galapagos et a demandé si elle était entrée en vigueur, notamment en ce qui concerne la zone de 40 milles marins. Le Secrétariat a informé le Comité que l'on avait signalé quelques menaces de pêche illégale. L'UICN a noté le caractère essentiel de l'application de cette législation novatrice et le fait qu'il fallait rapidement élaborer et mettre en oeuvre une réglementation spécifique. La Déléguée de l'Equateur a fourni des informations provenant du ministère de l'Environnement faisant état de progrès dans le contrôle des espèces introduites et d'une amélioration générale de la conservation de la biodiversité du site. S'agissant du contrôle de la zone de 40 milles marins, elle a déclaré que la loi n'était pas encore entrée en vigueur mais qu'il existait déjà une base sur laquelle fonder la conservation et le contrôle de l'environnement. Elle a remercié le Comité de tous ses efforts de sauvegarde des Galapagos.

Parc national de Kaziranga (Inde)

Parc national de Komodo (Indonésie)

Parc national du Mont Kenya (Kenya)

Parc national de Sagarmatha (Népal)

L'observateur du Népal a exprimé sa gratitude pour l'appui international en faveur de l'important projet touristique mené dans le Parc national de Sagarmatha. L'observateur du Royaume- Uni a noté la caractère novateur du projet.

Te Wahipounamu - Zone sud-ouest de la Nouvelle-Zélande (Nouvelle-Zélande)

Sanctuaire de l'oryx arabe (Oman)

Le Délégué de la Thaïlande a noté les sérieux motifs de préoccupation soulevés par le Bureau concernant la gestion de ce site, vu la diminution du nombre d'oryx arabes et le fait que la délimitation des limites et la planification de la gestion devaient être achevés depuis longtemps. Il a rappelé que le Comité avait inscrit ce site en l'absence d'un texte de loi et d'un plan de gestion en décembre 1994. Il a souligné le rôle des Orientations concernant le retrait des biens. Le Délégué du Bénin a noté que l'on n'avait pas toujours agi avec rigueur dans le passé et qu'un certain nombre de sites n'auraient pas été acceptés s'ils étaient présentés aujourd'hui. S'agissant du retrait, un site serait d'abord mis sur la Liste du patrimoine mondial en péril. Le Délégué de la Thaïlande a clairement indiqué qu'il n'avait pas proposé le retrait du site de la Liste du patrimoine mondial et qu'il était parfaitement informé des modalités de cette procédure. L'observateur du Royaume-Uni a observé que l'on rencontre des problèmes similaires dans un certain nombre de sites et que le processus de soumission périodique de rapports permettra certainement de traiter ces questions. L'UICN a fait remarquer qu'elle avait signalé à maintes reprises les problèmes que pose ce site. L'IUCN a noté que la législation était inefficace si l'on ne disposait pas de ressources suffisantes pour sa mise en oeuvre. Le Président a rappelé aux membres du Comité que les sites naturels de la Région arabe étaient rares sur la Liste. En conclusion, le Président a remercié le Comité du débat qui avait eu lieu et il a noté qu'il fallait sensibiliser les pays à la Convention du patrimoine mondial et à ses obligations, ainsi qu'aux valeurs à préserver pour les générations futures, en particulier les décideurs. Il a remercié le Délégué de la Thaïlande de sa déclaration et il a engagé le Comité à continuer à réfléchir sur la manière de renforcer la protection des sites du patrimoine mondial.

Parc national de Huascaran (Pérou)

Lac Baïkal (Fédération de Russie)

L'observateur de la Russie a demandé que les informations concernant ce site, fournies durant l'adoption du rapport de la vingt-troisième session extraordinaire du Bureau, soient incluses dans ledit rapport.

Forêt impénétrable de Bwindi (Ouganda)

Ile de Gough (Royaume-Uni)

Zone de conservation de Ngorongoro et Parc national de Serengeti (République-Unie de Tanzanie)

Parc national Canaima (Venezuela)

Baie d'Ha-Long (Viet Nam)

Mosi-oa-Tunya/Victoria Falls (Zambie/Zimbabwe)

Le Bureau, à la lumière des informations à jour sur la situation qui doivent être fournies lors de sa vingt-troisième session extraordinaire, pourrait prendre des décisions et faire des recommandations comme il convient. Il pourrait souhaiter engager l’Etat partie à inviter une mission sur le site en l’an 2000 pour préparer un rapport pour la vingt-quatrième session du Bureau du patrimoine mondial.

Année du rapport : 1999
Pérou
Date d'inscription : 1985
Catégorie : Naturel
Critères : (vii)(viii)
Exports

* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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