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Monuments médiévaux au Kosovo

Serbie
Facteurs affectant le bien en 2021*
  • Cadre juridique
  • Système de gestion/plan de gestion
  • Troubles civils
  • Autres menaces :

    État de conservation insatisfaisant et manque d’entretien du bien

Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents

Voir ci-dessus

Menaces pour lesquelles le bien a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril
  • Absence de statut juridique du bien 
  • Absence de protection législative des zones tampons 
  • Absence de mise en œuvre du plan de gestion et d’une gestion active 
  • Difficultés à assurer le suivi du bien en raison de l’instabilité politique, de la situation d’après-conflit (visites sous escorte de la Force de maintien de la paix au Kosovo/Mission d’administration intérimaire des Nations Unies au Kosovo (KFOR/MINUK) et absence de gardiens et de sécurité) 
  • État de conservation insatisfaisant et manque d’entretien du bien
Etat de conservation souhaité pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril
  • Protection pleine et permanente du bien dans un climat politique stable et sûr 
  • Plan à moyen terme agréé pour la restauration des peintures murales (incluant un régime de conservation préventive), la conservation et la réhabilitation du bien 
  • Mise en œuvre du plan de gestion et instauration définitive de zones tampons et de limites, y compris de leur protection juridique
Mesures correctives pour le bien

Mesures correctives urgentes/à court terme :

  1. Mettre en place un dispositif approprié de gardiennage et de sécurité pour l’église de la Vierge de Ljeviša ;
  2. Préparer un rapport d’étape sur l’état de conservation incluant une étude sur l’état des peintures murales et l’avancement des travaux de conservation, et prendre des mesures provisoires en cas d’urgence (par exemple, la couverture de plomb de la travée ouest de la nef de l’église de la Vierge de Ljeviša qui a été partiellement retirée) ;
  3. Préparer une étude sur la préparation aux risques conformément au paragraphe 118 des Orientations et aux décisions 28 COM 10B.4 et 30 COM 7.2 ;

Mesures correctives à long terme :

  1. Assurer de manière adéquate la protection réglementaire et administrative et la gestion du bien à long terme, conformément au paragraphe 97 des Orientations;
  2. Mettre en place des régimes de protection rigoureux pour les zones tampons ;
  3. Délimiter de manière adéquate le périmètre du site (par exemple, extension des limites du Patriarcat de Peć pour inclure une plus grande partie de la vallée qui l’entoure) ;
  4. Préparer des rapports détaillés sur l’état de conservation qui serviront de base à un suivi adapté, aux mesures de conservation préventive et à des projets précis de conservation pour inverser le déclin ;
  5. Assurer la bonne mise en œuvre du plan de gestion dans les délais.
Calendrier pour la mise en œuvre des mesures correctives
  • Mesures urgentes/à court terme à prendre par l’État partie, en coopération avec les programmes de l’UNESCO, la MINUK et les institutions provisoires du gouvernement autonome du Kosovo*;
  • Concernant les mesures correctives à long terme, à prendre par l’État partie en coopération avec les programmes de l’UNESCO, la MINUK et les institutions provisoires du gouvernement autonome du Kosovo, aucun calendrier précis ne peut être donné à ce stade en raison de l’incertitude de la situation politique.

* Les références au Kosovo doivent être comprises dans le contexte de la résolution 1244 (1999) du Conseil de sécurité des Nations Unies.

Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2021
Montant total accordé : 2 798 348 dollars EU à la suite de la Conférence des bailleurs de fonds pour la protection et la préservation du patrimoine culturel au Kosovo (mai 2005) en 2008-2014 ; 693 330 dollars EU du gouvernement italien en 2008-2013 ; 76 335 dollars EU du gouvernement tchèque en 2008-2013 ; 132 833 dollars EU du gouvernement grec en 2008-2013, 2 010 000 de dollars EU du gouvernement de la Fédération de Russie en 2011-2014 et 45 000 dollars EU du gouvernement de la République de Bulgarie en 2012-2013
Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2021
Demandes approuvées : 0 (de 2003-2003)
Montant total approuvé : 0 dollars E.U.
2003 Preparation of the nomination of the monastery of ... (Non approuvé)   0 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2021**

Janvier 2007 : mission intersectorielle de l’UNESCO au Kosovo ; juillet 2008, janvier et août 2009, juillet 2010, juillet 2012, janvier et juillet 2013, janvier et juin 2014, juin et octobre 2015, avril 2016, septembre 2017: missions du Bureau régional pour les sciences et la culture en Europe, Venise (Italie).

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2021

Note : Le Secrétariat a été informé par le conseiller juridique de l’UNESCO en 2008 que le Secrétariat de l’UNESCO suit la pratique des Nations Unies, qui considère que la résolution 1244 (1999) du Conseil de sécurité continue d’être applicable au territoire du Kosovo jusqu’à ce qu’un règlement définitif soit atteint.

Lors de sa 43e session (Bakou, 2019), le Comité du patrimoine mondial a décidé d’ajourner le débat sur l’état de conservation du bien (Décision 43 COM 7A.46) jusqu’à sa prochaine session ordinaire. Le rapport sur l’état de conservation présenté au Comité du patrimoine mondial lors de sa 43e session est disponible sur le site du Centre du patrimoine mondial à : http://whc.unesco.org/fr/list/724/documents/.

La délégation permanente de la République de Serbie auprès de l’UNESCO a soumis le 30 janvier 2020 un rapport sur l’état de conservation au Comité du patrimoine mondial, puis des informations complémentaires le 29 janvier 2021, qui sont disponibles sur le site web du Centre du patrimoine mondial à : http://whc.unesco.org/fr/list/724/documents/. Ce rapport fournit les informations suivantes :

  • En raison de la pandémie de COVID-19, aucune intervention de conservation n’a eu lieu au monastère de Dečani en 2020. L’intégrité et la sécurité globales du site ont été mises en danger par la construction de la route principale Dečani-Plav à proximité de la zone de protection spéciale (ZPS) du monastère de Visoki Dečani. La construction de la route commencée en mai 2018 a causé des dommages limités au terrain situé dans la zone protégée, terrain qui n’a pas été restauré depuis dans son état d’origine. Le 8 novembre 2020, le Conseil de mise en œuvre et de suivi, qui comprend les autorités locales, des représentants de l’Église orthodoxe serbe et d’autres confessions, ainsi que l’Union européenne et l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), ont conclu un accord encourageant en vertu duquel la route de contournement internationale ne se confondrait pas avec la route régionale et que des obstacles encombrants seraient installés pour empêcher les véhicules lourds d’emprunter cette dernière. Les membres du Conseil de mise en œuvre et de suivi se sont engagés à assurer le suivi de la mise en œuvre de l’accord avec le soutien de la Force de paix au Kosovo (KFOR) ;
  • Au Patriarcat du monastère de Peć, des canaux de drainage ont été construits en 2019 pour évacuer les précipitations atmosphériques des toits des églises, afin d’éviter les dégâts que provoquent généralement les pluies abondantes du printemps et de l’été sur les éléments et structures des monuments. L’Institut serbe pour la protection des monuments culturels a poursuivi ses travaux, commencés en 2018, pour la préparation d’une documentation du projet de réhabilitation du toit de l’église des Saints-Apôtres. Bien qu’aucun travail de conservation n’ait été effectué en 2020 en raison de la pandémie de COVID-19 et que le monastère ait été fermé aux visites la majeure partie de l’année, un suivi continu de l’état des peintures murales, des objets et des biens artistiques meubles conservés dans le monastère a été effectué ;
  • À l’église de la Sainte Vierge de Ljeviša à Prizren, aucun nouveau travail de conservation n’a été mené en 2019 mais en 2020, la couverture en plomb des parties endommagées de la toiture a été remplacée, la structure en bois du clocher a été réhabilitée, les zones inférieures de la façade ont été réparées et nettoyées, et le mur de clôture en pierre a été réparé, notamment par le remplacement de ses tuiles. En novembre 2020, l’Institut serbe pour la protection des monuments culturels a terminé un projet de reconstruction de l’iconostase de l’église de la Sainte Vierge de Ljeviša et attend maintenant l’approbation du Centre du patrimoine mondial pour poursuivre sa mise en œuvre. La préparation d’un inventaire pour documenter les futures interventions de conservation nécessaires dans les murs en raison de l’humidité capillaire résultant de l’incendie de mars 2004 est toujours en cours. Le 10 novembre 2020, l’État partie a transmis des informations concernant la mise en place d’un retable dans l’église de la Sainte Vierge de Ljeviša pour examen par les Organisations consultatives. Le 2 février 2021, le Centre du patrimoine mondial a transmis l’examen technique préliminaire de l’ICOMOS sur les informations reçues. L’ICOMOS conseille de soumettre des informations supplémentaires pour une évaluation complète de l’état de conservation de cet élément et de fournir la documentation relative à la recherche in situ, des plans détaillés, une évaluation d’impact sur le patrimoine (EIP) ainsi que les politiques applicables au plan de gestion de ce bien ;
  • Au monastère de Gračanica, le suivi des bâtiments du monastère, des peintures murales de l’église principale, du mobilier et des biens meubles de l’église n’a détecté aucun impact négatif sur la conservation d’ensemble du monastère ;
  • Le Centre du patrimoine mondial, en coopération avec le Bureau régional de l’UNESCO pour la science et la culture en Europe, à Venise (Italie) et son antenne à Sarajevo, continue de suivre de près la situation des quatre éléments du bien grâce à l’échange régulier d’informations avec la Mission d’administration intérimaire des Nations unies au Kosovo (MINUK) ;
  • En raison de l’instabilité sécuritaire complexe dans la région, la KFOR reste présente en permanence au monastère de Dečani afin d’établir un environnement sûr dans la zone et d’éviter la mise en danger accrue du site. Le patriarcat du monastère de Peć, l’église de la Sainte Vierge de Ljeviša et le monastère de Gračanica sont également sécurisés au quotidien par les forces de police locales.
Décisions adoptées par le Comité en 2021
44 COM 7A.33
Monuments médiévaux au Kosovo (Serbie) (C 724 bis)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Décide d’ajourner le débat sur ce point de l’ordre du jour jusqu’à sa prochaine session ordinaire.
44 COM 8C.2
Mise à jour de la Liste du patrimoine mondial en péril (biens maintenus)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné les rapports sur l’état de conservation des biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial en péril (WHC/21/44.COM/7A, WHC/21/44.COM/7A.Add, WHC/21/44.COM/7A.Add.2, WHC/21/44.COM/7A.Add.2.Add),
  2. Décide de maintenir les biens suivants sur la Liste du patrimoine mondial en péril :
  • Afghanistan, Paysage culturel et vestiges archéologiques de la vallée de Bamiyan (décision 44 COM 7A.28)
  • Afghanistan, Minaret et vestiges archéologiques de Djam (décision 44 COM 7A.29)
  • Autriche, Centre historique de Vienne, (décision 44 COM 7A.32)
  • Bolivie (État plurinational de), Ville de Potosí (décision 44 COM 7A.35)
  • Côte d'Ivoire / Guinée, Réserve naturelle intégrale du mont Nimba (décision 44 COM 7A.40)
  • Égypte, Abou Mena (décision 44 COM 7A.5)
  • États-Unis d'Amérique, Parc national des Everglades (décision 44 COM 7A.54)
  • Honduras, Réserve de la Biosphère Río Plátano (décision 44 COM 7A.55)
  • Îles Salomon, Rennell Est (décision 44 COM 7A.53)
  • Indonésie, Patrimoine des forêts tropicales ombrophiles de Sumatra (décision 44 COM 7A.52)
  • Iraq, Assour (Qal'at Cherqat) (décision 44 COM 7A.6)
  • Iraq, Hatra (décision 44 COM 7A.7)
  • Iraq, Ville archéologique de Samarra (décision 44 COM 7A.8)
  • Vieille ville de Jérusalem et ses remparts (site proposé par la Jordanie) (décision 44 COM 7A.10)
  • Kenya, Parcs nationaux du Lac Turkana (décision 44 COM 7A.47)
  • Libye, Ancienne ville de Ghadamès (décision 44 COM 7A.14)
  • Libye, Site archéologique de Cyrène (décision 44 COM 7A.11)
  • Libye, Site archéologique de Leptis Magna (décision 44 COM 7A.12)
  • Libye, Site archéologique de Sabratha (décision 44 COM 7A.13)
  • Libye, Sites rupestres du Tadrart Acacus (décision 44 COM 7A.15)
  • Madagascar, Forêts humides de l’Atsinanana (décision 44 COM 7A.48)
  • Mali, Tombeau des Askia (décision 44 COM 7A.3)
  • Mali, Tombouctou (décision 44 COM 7A.2)
  • Mali, Villes anciennes de Djenné (décision 44 COM 7A.1)
  • Mexique, Îles et aires protégées du Golfe de Californie (décision 44 COM 7B.56)
  • Micronésie (États fédérés de), Nan Madol : centre cérémoniel de la Micronésie orientale (décision 44 COM 7A.30)
  • Niger, Réserves naturelles de l'Aïr et du Ténéré (décision 44 COM 7A.49)
  • Ouganda, Tombes des rois du Buganda à Kasubi (décision 44 COM 7A.4)
  • Ouzbékistan, Centre historique de Shakhrisyabz (décision 44 COM 7A.31)
  • Palestine, Palestine : pays d’olives et de vignes – Paysage culturel du sud de Jérusalem, Battir (décision 44 COM 7A.17)
  • Palestine, Vieille ville d’Hébron/Al-Khalil (décision 44 COM 7A.16)
  • Panama, Fortifications de la côte caraïbe du Panama : Portobelo, San Lorenzo (décision 44 COM 7A.36)
  • Pérou, Zone archéologique de Chan Chan (décision 44 COM 7A.37)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville d'Alep (décision 44 COM 7A.18)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Bosra (décision 44 COM 7A.19)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Damas (décision 44 COM 7A.20)
  • République arabe syrienne, Villages antiques du Nord de la Syrie (décision 44 COM 7A.21)
  • République arabe syrienne, Crac des Chevaliers et Qal’at Salah El-Din (décision 44 COM 7A.22)
  • République arabe syrienne, Site de Palmyre (décision 44 COM 7A.23)
  • République centrafricaine, Parc national du Manovo-Gounda St Floris (décision 44 COM 7A.39)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Garamba (décision 44 COM 7A.41)
  • République démocratique du Congo, Parc national de Kahuzi-Biega (décision 44 COM 7A.42)
  • République démocratique du Congo, Réserve de faune à okapis (décision 44 COM 7A.43)
  • République démocratique du Congo, Parc national des Virunga (décision 44 COM 7A.45)
  • République-Unie de Tanzanie, Réserve de gibier de Selous (décision 44 COM 7A.51)
  • Sénégal, Parc national du Niokolo-Koba (décision 44 COM 7A.50)
  • Serbie, Monuments médiévaux au Kosovo (décision 44 COM 7A.33)
  • Venezuela (République bolivarienne du), Coro et son port (décision 44 COM 7A.38)
  • Yémen, Ville historique de Zabid (décision 44 COM 7A.25)
  • Yémen, Vieille ville de Sana’a (décision 44 COM 7A.26)
  • Yémen, Ancienne ville de Shibam et son mur d'enceinte (décision 44 COM 7A.27)
Projet de décision : 44 COM 7A.33*

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/21/44.COM/7A.Add,
  2. Rappelant les décisions 30 COM 8B.54, 31 COM 7A.28, 32 COM 7A.27, 33 COM 7A.27, 34 COM 7A.28, 35 COM 7A.31, 36 COM 7A.32, 37 COM 7A.34, 38 COM 7A.18, 39 COM 7A.42, 40 COM 7A.30, 41 COM 7A.21, 42 COM 7A.6, 42 COM 8C.2 et 43 COM 7A.46 adoptées à ses 30e (Vilnius, 2006), 31e (Christchurch, 2007), 32e (Québec, 2008), 33e (Séville, 2009), 34e (Brasilia, 2010), 35e (UNESCO, 2011), 36e (Saint-Pétersbourg, 2012), 37e (Phnom Penh, 2013), 38e (Doha, 2014), 39e(Bonn, 2015), 40e (Istanbul/UNESCO, 2016), 41e (Cracovie, 2017), 42e (Manama, 2018) et 43e (Bakou, 2019) sessions respectivement,
  3. Prend acte des informations fournies dans les rapports sur l’état de conservation de 2009-2021 et des résultats des missions du Bureau régional de l’UNESCO pour la science et la culture en Europe, à Venise (Italie) sur le bien, ainsi que des informations reçues de la Mission d’administration intérimaire des Nations unies au Kosovo (MINUK) ;
  4. Réitère sa demande de continuer, en coopération avec l’UNESCO, la MINUK et les institutions du Kosovo, à prendre des mesures correctives à long terme, en assurant notamment : une protection et une gestion législatives et réglementaires adéquates à long terme du bien et des régimes de protection solides pour les monuments et les zones tampons, des périmètres correctement délimités et la mise en œuvre rapide du plan de gestion ;
  5. Réitère également ses demandes de poursuivre, en coopération avec la MINUK, les efforts visant à achever les mesures correctives à court et à long terme pour atteindre l’état de conservation souhaité défini pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril ;
  6. Demande à l'Etat partie de prendre en considération les recommandations de l'examen technique préliminaire de l'ICOMOS sur les propositions d'installation d’un panneau d'autel dans l'église de la Sainte Vierge de Ljeviša et de soumettre au Centre du patrimoine mondial la documentation des recherches effectuées in situ effectuée, des plans détaillés, d’une étude d'impact sur le patrimoine, ainsi que les politiques pertinentes relatives au plan de gestion de ce bien ;
  7. Demande également de soumettre, en coopération avec la MINUK, au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1erfévrier 2022, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 45e session en 2022 ;
  8. Décide de maintenir Monuments médiévaux au Kosovo (Serbie) sur la Liste du patrimoine mondial en péril et de continuer d’appliquer le mécanisme de suivi renforcé jusqu’à la 45esession du Comité du patrimoine mondial en 2022.

* Les références au Kosovo doivent être comprises dans le contexte de la résolution 1244 (1999) du Conseil de sécurité des Nations Unies.

Année du rapport : 2021
Serbie
Date d'inscription : 2004
Catégorie : Culturel
Critères : (ii)(iii)(iv)
Liste en péril (dates) : 2006-présent
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2020) .pdf
Proposé initialement pour examen en 2020
arrow_circle_right 44COM (2021)
Exports

* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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