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Sites rupestres du Tadrart Acacus

Libye
Facteurs affectant le bien en 2019*
  • Activités illégales
  • Destruction délibérée du patrimoine
  • Guerre
  • Ressources humaines
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Vandalisme
  • Destruction délibérée du patrimoine
  • Ressources humaines
  • Situation de conflit régnant dans le pays
  • Activités illégales
Menaces pour lesquelles le bien a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril
Situation de conflit régnant dans le pays
Mesures correctives pour le bien

Pas encore identifiées

Calendrier pour la mise en œuvre des mesures correctives

Pas encore identifié

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2019
Demandes approuvées : 0
Montant total approuvé : 0 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2019**

Janvier 2011 : mission de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2019

L’État partie a soumis un rapport sur l’état de conservation le 8 février 2019. Un résumé de ce rapport est disponible à http://whc.unesco.org/fr/list/287/documents/. Les progrès accomplis à l’égard de plusieurs points de conservation soulevés par le Comité lors de ses précédentes sessions sont présentés dans ce rapport, comme suit :

  • L’ampleur du vandalisme sur l’art rupestre a diminué après la mise en place, par la police touristique, de patrouilles de contrôle régulières, qui travaillent en étroite coopération avec les antennes du Département des antiquités (Department of Antiquities - DOA) de la région et les collectivités locales. Le DOA a également intensifié ses activités d’information et de sensibilisation dans les villes et villages qui entourent le bien ;
  • La clarification des limites adoptée à la 42e session du Comité du patrimoine mondial est désormais la carte officielle du bien et a été partagée avec la municipalité de Ghat à des fins de protection et de conservation ;
  • Un projet est en cours pour créer un centre d’accueil culturel dans l’ancienne forteresse d’Al-Awaynat (Serdeles) ;
  • La signalétique existante a été repeinte pour inclure des conseils dans les langues locales sur la manière de protéger l’art rupestre, et une campagne de nettoyage impliquant des ONG et les collectivités locales a été organisée. Les patrouilles de contrôle et la protection des antiquités ont été intensifiées ;
  • Concernant les actions envisagées par l’État partie pour préparer le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril, la documentation de 20 sites d’art rupestre et des études topographiques ont été effectuées ; un projet de sensibilisation à l’importance du patrimoine archéologique et culturel a été entrepris ; des travaux d’approche sont en cours pour que le bien soit désigné parc national ; et le personnel du DOA a pris part à des programmes de renforcement des capacités en matière de SIG et techniques de relevé ;
  • Le Conseil présidentiel a publié un décret pour la création d’un comité spécial chargé d’enquêter sur le trafic illicite des biens culturels. Des protocoles d’accord bilatéraux avec plusieurs pays sont envisagés à ce sujet. Un important travail avec les agences de sécurité arabe et européenne et Interpol visant à limiter le trafic illicite de biens culturels a été mené à bien, et des ateliers pour former des experts ont été organisés grâce à la coopération et au soutien de la communauté internationale. L’État partie souligne ses efforts pour ratifier la Convention UNIDROIT de 1995 sur les biens culturels volés ou illicitement exportés.

L’État partie entend lancer un appel à la communauté internationale afin qu’elle accorde un soutien financier et technique renforcé pour la conservation de son patrimoine culturel. De plus, il demande au Comité de retirer le bien de la Liste du patrimoine mondial en péril et, à cette fin, a formellement invité une mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS à évaluer l’état de conservation du bien.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2019

Le rapport transmis par l’État partie prouve son engagement envers la conservation du bien, malgré le conflit actuel. Les efforts faits pour améliorer la vigilance, entreprendre des opérations de nettoyage et de documentation, et organiser des campagnes de sensibilisation et activités de renforcement des capacités sont essentiels pour prévenir le vandalisme et définir une feuille de route des actions nécessaires à la conservation du bien et de sa valeur universelle exceptionnelle (VUE). Travailler en étroite coordination avec les populations locales est fondamental pour la conservation d’un bien si grand.

En dépit de ces efforts, le manque de gestion efficace se fait toujours sentir. Les conditions de sécurité et les dimensions du bien restent des défis en termes de prévention du vandalisme et donc de garantie de l’état de conservation du bien. Des informations actualisées sont nécessaires sur les détériorations causées par les graffiti, problème qui a été soulevé dans le précédent rapport sur l’état de conservation.

Il est recommandé que le Comité invite l’État partie à l’informer, via le Centre du patrimoine mondial, de tout nouveau programme de restauration majeure ou projet de construction nouvelle susceptibles d’affecter la VUE du bien, notamment la réhabilitation de la forteresse d’Al-Awaynat en centre d’accueil culturel, conformément au paragraphe 172 des Orientations, avant de prendre une quelconque décision qu’il serait difficile d’inverser.

L’effort mis en œuvre pour clarifier les limites du bien est reconnu comme un préalable indispensable à une protection et une gestion efficaces.

Les importants efforts déployés par l’État partie contre le trafic illicite de son patrimoine culturel sont favorablement accueillis. Il est également recommandé que le Comité lance un appel à tous les États membres de l’UNESCO afin qu’ils soutiennent ces efforts en accordant fonds et assistance spécialisée pour poursuivre les activités urgentes de conservation, et qu’ils coopèrent dans la lutte contre le trafic illicite et la protection du patrimoine culturel libyen.

À l’occasion du troisième cycle de l’exercice de soumission de rapports périodiques, l’État partie a exprimé sa volonté de commencer l’élaboration du plan de gestion pour l’ensemble de ses cinq biens du patrimoine mondial, et va demander l’appui de la communauté internationale pour atteindre cet objectif. Une prise de conscience plus grande de la société civile, des autorités locales et nationales et des décideurs de haut niveau quant à la nécessité de protéger le patrimoine culturel en Libye, y compris les biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial, est également rapportée. L’organisation d’ateliers et symposiums sur l’état de conservation des biens du patrimoine mondial a souligné l’importance de leur protection et conservation, liant l’identité nationale au patrimoine culturel.

Il est par conséquent également recommandé que les importants efforts de l’État partie pour conserver ce bien soient orientés conformément au plan d’action élaboré lors de la Réunion internationale sur la sauvegarde du patrimoine culturel libyen, qui s’est tenue à Tunis en mai 2016 (rapport disponible à http://whc.unesco.org/fr/actualites/1496/), et en s’appuyant sur les mesures à court et moyen termes identifiées lors de cette réunion.

L’escalade récente de la violence suscite beaucoup d’inquiétude quant à la poursuite des efforts déployés par l’État partie pour la conservation du bien, dans la mesure où cela empêche l’État partie d’entreprendre les actions nécessaires pour en garantir la protection et conservation. La mission conjointe invitée par l’État partie et demandée par le Comité à ses 40e (Istanbul/UNESCO, 2016) et 41e (Cracovie, 2017) sessions devrait être dépêchée sur le bien dès que les conditions de sécurité le permettront. En attendant, il est important que l’État partie poursuive ses efforts pour tenir le Comité, via le Centre du patrimoine mondial, informé de la situation sur le terrain, ainsi que de toute nouvelle mise en œuvre des mesures qu’il a prises, tout en répondant, dans la mesure du possible, aux observations et demandes formulées par le Comité.

Considérant les informations susmentionnées, il est recommandé au Comité de maintenir le bien sur la Liste du patrimoine mondial en péril.

Décisions adoptées par le Comité en 2019
43 COM 7A.27
Sites rupestres du Tadrart Acacus (Libye) (C 287)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/19/43.COM/7A.Add,
  2. Rappelant la décision 42 COM 7A.26, adoptée à sa 42e session (Manama, 2018),
  3. Félicite l’État partie pour les importants efforts accomplis pour la conservation du bien et sa valeur universelle exceptionnelle (VUE) en étroite coordination avec les populations locales et la société civile, malgré la situation instable qui prévaut et les difficiles conditions de travail sur le terrain, et le prie instamment de poursuivre ses efforts à cet égard, si possible ;
  4. Demande à l’État partie de tenir le Centre du patrimoine mondial régulièrement informé de l’évolution de la situation sur le bien et de tout nouveau programme de restauration majeure ou projet de construction nouvelle susceptibles d’affecter la VUE du bien, notamment la réhabilitation de la forteresse d’Al-Awaynat en centre d’accueil culturel, conformément au paragraphe 172 des Orientations, avant de prendre une quelconque décision qu’il serait difficile d’inverser ;
  5. Reconnaît l’invitation de l’État partie pour une mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS sur le bien, et encourage sa matérialisation dès que les conditions de sécurité le permettront ;
  6. Appelle à une mobilisation accrue de la communauté internationale afin qu’elle accorde un soutien financier et technique renforcé à l’État partie, notamment par l’intermédiaire du Fonds d’urgence de l’UNESCO pour le patrimoine, afin de mettre en œuvre les mesures à court et moyen termes identifiées lors de la Réunion internationale sur la sauvegarde du patrimoine culturel libyen (Tunis, mai 2016) ;
  7. Réitère son appel à tous les États membres de l’UNESCO afin qu’ils coopèrent dans la lutte contre le trafic illicite de biens culturels provenant de Libye et qu’ils s’engagent dans la protection du patrimoine culturel pendant un conflit armé conformément à la résolution 2347 du Conseil de sécurité des Nations Unies de mars 2017, la Convention de La Haye de 1954 pour la protection des biens culturels en cas de conflit armé et la Convention de 1970 concernant les mesures à prendre pour interdire et empêcher l’importation, l’exportation et le transfert de propriété illicites des biens culturels, et encourage également l’État partie à ratifier la Convention UNIDROIT de 1995 sur les biens culturels volés ou illicitement exportés ;
  8. Demande également à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2020, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 44e session en 2020 ;
  9. Décide de maintenir les Sites rupestres du Tadrart Acacus (Libye) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
43 COM 8C.2
Mise à jour de la Liste du patrimoine mondial en péril (biens maintenus)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné les rapports sur l’état de conservation des biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial en péril (WHC/19/43.COM/7A, WHC/19/43.COM/7A.Add, WHC/19/43.COM/7A.Add.2, WHC/19/43.COM/7A.Add.3 et WHC/19/43.COM/7A.Add.3.Corr),
  2. Décide de maintenir les biens suivants sur la Liste du patrimoine mondial en péril :
  • Afghanistan, Paysage culturel et vestiges archéologiques de la vallée de Bamiyan (décision 43 COM 7A.41)
  • Afghanistan, Minaret et vestiges archéologiques de Djam (décision 43 COM 7A.42)
  • Autriche, Centre historique de Vienne, (décision 43 COM 7A.45)
  • Bolivie (État plurinational de), Ville de Potosí (décision 43 COM 7A.48)
  • Côte d'Ivoire / Guinée, Réserve naturelle intégrale du mont Nimba (décision 43 COM 7A.6)
  • Égypte, Abou Mena (décision 43 COM 7A.17)
  • États-Unis d'Amérique, Parc national des Everglades (décision 43 COM 7A.3)
  • Honduras, Réserve de la Biosphère Río Plátano (décision 43 COM 7A.4)
  • Îles Salomon, Rennell Est (décision 43 COM 7A.2)
  • Indonésie, Patrimoine des forêts tropicales ombrophiles de Sumatra (décision 43 COM 7A.1)
  • Iraq, Assour (Qal'at Cherqat) (décision 43 COM 7A.18)
  • Iraq, Hatra (décision 43 COM 7A.19)
  • Iraq, Ville archéologique de Samarra (décision 43 COM 7A.20)
  • Vieille ville de Jérusalem et ses remparts (site proposé par la Jordanie) (décision 43 COM 7A.22)
  • Kenya, Parcs nationaux du Lac Turkana (décision 43 COM 7A.12)
  • Libye, Ancienne ville de Ghadamès (décision 43 COM 7A.26)
  • Libye, Site archéologique de Cyrène (décision 43 COM 7A.23)
  • Libye, Site archéologique de Leptis Magna (décision 43 COM 7A.24)
  • Libye, Site archéologique de Sabratha (décision 43 COM 7A.25)
  • Libye, Sites rupestres du Tadrart Acacus (décision 43 COM 7A.27)
  • Madagascar, Forêts humides de l’Atsinanana (décision 43 COM 7A.13)
  • Mali, Tombeau des Askia (décision 43 COM 7A.55)
  • Mali, Tombouctou (décision 43 COM 7A.54)
  • Mali, Villes anciennes de Djenné (décision 43 COM 7A.53)
  • Micronésie (États fédérés de), Nan Madol : centre cérémoniel de la Micronésie orientale (décision 43 COM 7A.43)
  • Niger, Réserves naturelles de l'Aïr et du Ténéré (décision 43 COM 7A.14)
  • Ouganda, Tombes des rois du Buganda à Kasubi (décision 43 COM 7A.56)
  • Ouzbékistan, Centre historique de Shakhrisyabz (décision 43 COM 7A.44)
  • Palestine, Palestine : pays d’olives et de vignes – Paysage culturel du sud de Jérusalem, Battir (décision 43 COM 7A.30)
  • Palestine, Vieille ville d’Hébron/Al-Khalil (décision 43 COM 7A.29)
  • Panama, Fortifications de la côte caraïbe du Panama : Portobelo, San Lorenzo (décision 43 COM 7A.50)
  • Pérou, Zone archéologique de Chan Chan (décision 43 COM 7A.51)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville d'Alep (décision 43 COM 7A.31)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Bosra (décision 43 COM 7A.32)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Damas (décision 43 COM 7A.33)
  • République arabe syrienne, Villages antiques du Nord de la Syrie (décision 43 COM 7A.34)
  • République arabe syrienne, Crac des Chevaliers et Qal’at Salah El-Din (décision 43 COM 7A.35)
  • République arabe syrienne, Site de Palmyre (décision 43 COM 7A.36)
  • République centrafricaine, Parc national du Manovo-Gounda St Floris (décision 43 COM 7A.5)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Garamba (décision 43 COM 7A.7)
  • République démocratique du Congo, Parc national de Kahuzi-Biega (décision 43 COM 7A.8)
  • République démocratique du Congo, Réserve de faune à okapis (décision 43 COM 7A.9)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Salonga (décision 43 COM 7A.10)
  • République démocratique du Congo, Parc national des Virunga (décision 43 COM 7A.11)
  • République-Unie de Tanzanie, Réserve de gibier de Selous (décision 43 COM 7A.16)
  • Sénégal, Parc national du Niokolo-Koba (décision 43 COM 7A.15)
  • Serbie, Monuments médiévaux au Kosovo (décision 43 COM 7A.46)
  • Royaume-Uni de Grande Bretagne et d'Irlande du Nord, Liverpool – Port marchand (décision 43 COM 7A.47)
  • Venezuela (République bolivarienne du), Coro et son port (décision 43 COM 7A.52)
  • Yémen, Ville historique de Zabid (décision 43 COM 7A.38)
  • Yémen, Vieille ville de Sana’a (décision 43 COM 7A.39)
  • Yémen, Ancienne ville de Shibam et son mur d'enceinte (décision 43 COM 7A.40)
Projet de décision : 43 COM 7A.27

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/19/43.COM/7A.Add,
  2. Rappelant la décision 42 COM 7A.26, adoptée à sa 42e session (Manama, 2018),
  3. Félicite l’État partie pour les importants efforts accomplis pour la conservation du bien et sa valeur universelle exceptionnelle (VUE) en étroite coordination avec les populations locales et la société civile, malgré la situation instable qui prévaut et les difficiles conditions de travail sur le terrain, et le prie instamment de poursuivre ses efforts à cet égard, si possible ;
  4. Demande à l’État partie de tenir le Centre du patrimoine mondial régulièrement informé de l’évolution de la situation sur le bien et de tout nouveau programme de restauration majeure ou projet de construction nouvelle susceptibles d’affecter la VUE du bien, notamment la réhabilitation de la forteresse d’Al-Awaynat en centre d’accueil culturel, conformément au paragraphe 172 des Orientations, avant de prendre une quelconque décision qu’il serait difficile d’inverser ;
  5. Reconnaît l’invitation de l’État partie pour une mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/ICOMOS sur le bien, et encourage sa matérialisation dès que les conditions de sécurité le permettront ;
  6. Appelle à une mobilisation accrue de la communauté internationale afin qu’elle accorde un soutien financier et technique renforcé à l’État partie, notamment par l’intermédiaire du Fonds d’urgence de l’UNESCO pour le patrimoine, afin de mettre en œuvre les mesures à court et moyen termes identifiées lors de la Réunion internationale sur la sauvegarde du patrimoine culturel libyen (Tunis, mai 2016) ;
  7. Réitère son appel à tous les États membres de l’UNESCO afin qu’ils coopèrent dans la lutte contre le trafic illicite de biens culturels provenant de Libye et qu’ils s’engagent dans la protection du patrimoine culturel pendant un conflit armé conformément à la résolution 2347 du Conseil de sécurité des Nations Unies de mars 2017, la Convention de La Haye de 1954 pour la protection des biens culturels en cas de conflit armé et la Convention de 1970 concernant les mesures à prendre pour interdire et empêcher l’importation, l’exportation et le transfert de propriété illicites des biens culturels, et encourage également l’État partie à ratifier la Convention UNIDROIT de 1995 sur les biens culturels volés ou illicitement exportés ;
  8. Demande également à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1erfévrier 2020, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 44e session en 2020 ;
  9. Décide de maintenir les Sites rupestres du Tadrart Acacus (Libye) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
Année du rapport : 2019
Libye
Date d'inscription : 1985
Catégorie : Culturel
Critères : (iii)
Liste en péril (dates) : 2016-présent
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2019) .pdf
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* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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