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Tombeau des Askia

Mali
Facteurs affectant le bien en 2016*
  • Destruction délibérée du patrimoine
  • Guerre
  • Système de gestion/plan de gestion
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Absence de gestion du site
  • Conflit armé
Menaces pour lesquelles le bien a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril
  • Occupation de la ville de Gao par des groupes armés rebelles ;
  • Impossibilité d’assurer la gestion et l’entretien quotidien nécessaires à la protection et la conservation du bien ;
  • Risque d’écroulement du bien.
Etat de conservation souhaité pour le retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en péril

 En cours de rédaction

 

Mesures correctives pour le bien

En cours de rédaction

Calendrier pour la mise en œuvre des mesures correctives
En cours de rédaction
Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2016

Montant total accordé: Fonds d’urgence de l’UNESCO : 40 000 dollars EU, Plan d’action pour la réhabilitation du patrimoine culturel et la sauvegarde des manuscrits anciens du Mali: 50 000 dollars EU

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2016
Demandes approuvées : 2 (de 2000-2012)
Montant total approuvé : 54 200 dollars E.U.
2012 Assistance internationale d’urgence pour la protection ... (Approuvé)   24 200 dollars E.U.
2000 Préparation d'un dossier d'inscription pour le Tombeau ... (Approuvé)   30 000 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2016**

Mai 2012 : Mission d’urgence de l’UNESCO à Bamako; octobre 2012 et décembre 2012 : Missions de suivi du Centre du patrimoine mondial à Bamako, février 2014 : Mission d’évaluation de l’UNESCO à Gao

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2016

L’Etat partie du Mali n’a pas été en mesure de soumettre un rapport sur l’état de conservation du bien. Néanmoins plusieurs informations ont pu être collectées auprès du Bureau de l’UNESCO à Bamako qui coordonne le projet de réhabilitation du patrimoine culturel en collaboration avec le Centre du patrimoine mondial et l’Etat partie. Ces informations portent sur les points suivants :

  • Chacune des composantes du bien (bâtiments de prière des hommes et des femmes, tour pyramidale, cour intérieure, nécropole) souffre de problèmes d’intégrité se résumant notamment à la dégradation de plusieurs structures en bois, au manque d’entretien préventif et curatif, aux infiltrations d’eau sur la toiture, à la formation de dunes, à l’érosion des eaux ;
  • Le bien est également confronté à des problèmes d’authenticité du fait notamment de la difficulté de trouver les matériaux de restauration et de l’utilisation de certains matériaux inappropriés, comme des portes métalliques et sous-gouttières en tôle ;
  • Quant aux mesures de protection et de gestion, elles se heurtent à plusieurs difficultés dont l’absence d’une structure de gestion opérationnelle, d’un Plan de conservation et de gestion actualisé et d’un mécanisme de gestion des risques. La paupérisation des communautés locales limitant leurs apports dans la conservation et la gestion du bien constitue également une préoccupation.
Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2016

Il est regrettable que l’Etat partie n’ait pas soumis son rapport sur l’état de conservation du bien, pour faire état des actions réalisées. Néanmoins, la présence d’un Bureau de l’UNESCO au Mali offre une grande possibilité pour collecter des informations et s’enquérir de l’état de mise en œuvre du projet de réhabilitation du patrimoine culturel. Ces informations ne sont pas rassurantes car elles indiquent que le bien demeure soumis à de menaces réelles au niveau de ses composantes architecturales et du mécanisme de conservation et de gestion.

Si un gestionnaire du bien est en place, il ne dispose d’aucun moyen pour assurer ses missions de protection et de gestion. Les outils de gestion et de planification font également défaut. Il est ainsi recommandé que le Comité exprime sa préoccupation face à cette situation et encourage l’Etat partie à accélérer la mise en œuvre du projet de réhabilitation du patrimoine culturel à Gao.

A défaut de n’avoir pas pu dépêcher la mission de suivi réactif sur le terrain, l’initiative d’organiser une réunion à Bamako pour préparer les mesures correctives et commencer à élaborer l’Etat de conservation souhaité du bien en vue de son retrait de la Liste du patrimoine mondial en péril (DSOCR) est grandement appréciée et a permis d’avancer sur une demande exprimée par le Comité depuis l’inscription du bien sur la Liste du patrimoine mondial en péril en 2012.

Il est recommandé que le Comité approuve les mesures correctives ainsi élaborées et invite l’Etat partie à finaliser en consultation avec le Centre du patrimoine mondial et les organisations consultatives et soumettre dans les meilleurs délais le DSOCR.

Décisions adoptées par le Comité en 2016
40 COM 7A.7
Tombeau des Askia (Mali) (C 1139)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/16/40.COM/7A.Add,
  2. Rappelant la décision 39 COM 7A.22, adoptée à sa 39e session (Bonn, 2015),
  3. Regrette que l’État partie n’ait pas soumis de rapport sur l’état de conservation du bien, comme demandé par le Comité ; 
  4. Exprime sa préoccupation sur la fragilité de la situation sécuritaire à Gao qui n’a pas permis à l’État partie d’inviter la mission conjointe UNESCO/ICOMOS/ICCROM de suivi réactif demandée afin d’évaluer l’état général de conservation du bien ;
  5. Exprime également son inquiétude sur le fait que le bien demeure soumis à de menaces réelles au niveau de ses composantes architecturales et du mécanisme de conservation et de gestion et demande à l’état partie d’accélérer, avec l’appui de ses partenaires, la mise en œuvre du projet de réhabilitation du patrimoine culturel à Gao ;
  6. Note avec satisfaction l’organisation à Bamako d’une réunion d’évaluation de l’état de conservation du bien sur la base de l’ensemble des missions techniques, études et rapports d’activités réalisés, ainsi que sur des constats et témoignages des gestionnaires des sites et des représentants des communautés locales, et qui a permis d’élaborer des mesures correctives et d’engager la préparation de l’ État de conservation souhaité en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en peril (DSOCR) ;
  7. Adopte les mesures correctives suivantes afin d'assurer des conditions d'intégrité et d'authenticité du bien:
    1. Pour la conservation des composantes physiques du bien:
      1. Réaliser les travaux de restauration/réhabilitation des différentes composantes du bien pour assurer leur stabilisation et consolidation,
      2. Etablir et mettre en œuvre des mesures de contrôle du niveau d’ensablement des composantes physiques du bien et réaliser des travaux de drainage et de désensablement des cours du bien,
      3. Sauvegarder et préserver les caractéristiques cultuelles et symboliques de la nécropole : 1) assurer sa stabilisation par rapport à l’action érosive des eaux de pluies, 2) corriger les erreurs d’aménagement sur sa clôture qui affectent son authenticité, 3) favoriser son intégration dans un ensemble cohérent avec l’esplanade de la pierre blanche,
      4. Améliorer les commodités d’usage des bâtiments, en l’occurrence, le bâtiment de prière des hommes,
      5. Sauvegarder et préserver les caractéristiques architecturales (typo-morphologique) de la zone tampon,
    2. Pour la protection et la gestion du bien :
      1. Réviser et mettre en œuvre le plan de gestion et de conservation du bien et des zones tampons, prenant en compte un plan de gestion des risques, les menaces soulevées sur la valeur universelle exceptionnelle du bien et une planification des activités de conservation préventives et curatives des composantes du bien,
      2. Identifier les sources de financement à court, moyen, et long terme, garantissant la mise en œuvre de ce plan de gestion,
      3. Elaborer un manuel de conservation des composantes du bien précisant le mécanisme d’évaluation périodique de son état de conservation,
      4. Renforcer les capacités institutionnelles et techniques des acteurs et professionnels impliqués dans la gestion et la conservation du bien,
      5. Renforcer les capacités opérationnelles de la structure de gestion du bien : dotation en budget nécessaire pour les activités de conservation urgente,
  8. Appelle la communauté internationale à offrir son soutien à l’État partie, en coopération avec le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives, par tous les moyens possibles en faveur de mesures de conservation et de gestion prioritaires et de programmes de renforcement des capacités ;
  9. Demande également à l’État partie d’inviter, lorsque la situation dans la région nord du Mali sera stabilisée, une mission conjointe UNESCO/ICOMOS/ICCROM de suivi réactif en vue d’évaluer l’état général de conservation du bien, et les progrès réalisés dans la mise en œuvre des mesures correctives ;
  10. Demande en outre à l’État partie de finaliser, en consultation avec le Centre du patrimoine mondial, l’ICOMOS et l’ICCROM, la proposition de DSOCR et un calendrier clair de mise en œuvre, et de les soumettre dans la mesure du possible au Centre du patrimoine mondial d’ici le 1er février 2017, pour adoption par le Comité du patrimoine mondial à sa 41e session en 2017;
  11. Demande par ailleurs à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2017, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 41e session en 2017 ;
  12. Décide de poursuivre l’application du mécanisme de suivi renforcé pour le bien ;
  13. Décide également de maintenir Tombeau des Askia (Mali) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
40 COM 8C.2
Mise a jour de la Liste du patrimoine mondial en péril (biens maintenus)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné les rapports sur l’état de conservation des biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial en péril (WHC/16/40.COM/7A, WHC/16/40.COM/7A.Add et WHC/16/40.COM/7A.Add.2),
  2. Décide de maintenir les biens suivants sur la Liste du patrimoine mondial en péril :
  • Afghanistan, Paysage culturel et vestiges archéologiques de la vallée de Bamiyan (décision 40 COM 7A.26)
  • Afghanistan, Minaret et vestiges archéologiques de Djam (décision 40 COM 7A.27)
  • Belize, Réseau de réserves du récif de la barrière du Belize (décision 40 COM 7A.32)
  • Bolivie (État plurinational de), Ville de Potosí (décision 40 COM 7A.1)
  • Chili, Usines de salpêtre de Humberstone et de Santa Laura (décision 40 COM 7A.2)
  • Côte d'Ivoire, Parc national de la Comoé (décision 40 COM 7A.35)
  • Côte d'Ivoire / Guinée, Réserve naturelle intégrale du mont Nimba (décision 40 COM 7A.36)
  • Égypte, Abou Mena (décision 40 COM 7A.9)
  • États-Unis d'Amérique, Parc national des Everglades (décision 40 COM 7A.50)
  • Éthiopie, Parc national du Simien (décision 40 COM 7A.43)
  • Géorgie, Cathédrale de Bagrati et monastère de Ghélati (décision 40 COM 7A.28)
  • Honduras, Réserve de la Biosphère Río Plátano (décision 40 COM 7A.33)
  • Îles Salomon, Rennell Est (décision 40 COM 7A.49)
  • Indonésie, Patrimoine des forêts tropicales ombrophiles de Sumatra (décision 40 COM 7A.48)
  • Iraq, Assour (Qal'at Cherqat) (décision 40 COM 7A.10)
  • Iraq, Hatra (décision 40 COM 7A.11)
  • Iraq, Ville archéologique de Samarra (décision 40 COM 7A.12)
  • Vieille ville de Jérusalem et ses remparts (site proposé par la Jordanie) (décision 40 COM 7A.13)
  • Madagascar, Forêts humides de l’Atsinanana (décision 40 COM 7A.44)
  • Mali, Tombouctou (décision 40 COM 7A.6)
  • Mali, Tombeau des Askia (décision 40 COM 7A.7)
  • Niger, Réserves naturelles de l'Aïr et du Ténéré (décision 40 COM 7A.45)
  • Palestine, Lieu de naissance de Jésus : l’église de la Nativité et la route de pèlerinage, Bethléem (décision 40 COM 7A.14)
  • Palestine, Palestine : pays d’olives et de vignes – Paysage culturel du sud de Jérusalem, Battir (décision 40 COM 7A.15)
  • Panama, Fortifications de la côte caraïbe du Panama : Portobelo – San Lorenzo (décision 40 COM 7A.3)
  • Pérou, Zone archéologique de Chan Chan (décision 40 COM 7A.4)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville d'Alep (décision 40 COM 7A.16)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Bosra (décision 40 COM 7A.17)
  • République arabe syrienne, Ancienne ville de Damas (décision 40 COM 7A.18)
  • République arabe syrienne, Villages antiques du Nord de la Syrie (décision 40 COM 7A.19)
  • République arabe syrienne, Crac des Chevaliers et Qal’at Salah El-Din (décision 40 COM 7A.20)
  • République arabe syrienne, Site de Palmyre (décision 40 COM 7A.21)
  • République centrafricaine, Parc national du Manovo-Gounda St Floris (décision 40 COM 7A.34)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Garamba (décision 40 COM 7A.37)
  • République démocratique du Congo, Parc national de Kahuzi-Biega (décision 40 COM 7A.38)
  • République démocratique du Congo, Réserve de faune à okapis (décision 40 COM 7A.39)
  • République démocratique du Congo, Parc national de la Salonga (décision 40 COM 7A.40)
  • République démocratique du Congo, Parc national des Virunga (décision 40 COM 7A.41)
  • République-Unie de Tanzanie, Réserve de gibier de Selous (décision 40 COM 7A.47)
  • Sénégal, Parc national du Niokolo-Koba (décision 40 COM 7A.46)
  • Serbie, Monuments médiévaux au Kosovo (décision 40 COM 7A.30)
  • Ouganda, Tombes des rois du Buganda à Kasubi (décision 40 COM 7A.8)
  • Royaume-Uni de Grande Bretagne et d'Irlande du Nord, Liverpool – Port marchand (décision 40 COM 7A.31)
  • Venezuela (République bolivarienne du), Coro et son port (décision 40 COM 7A.5)
  • Yémen, Ville historique de Zabid (décision 40 COM 7A.23)
  • Yémen, Vieille ville de Sana’a (décision 40 COM 7A.24)
  • Yémen, Ancienne ville de Shibam et son mur d'enceinte (décision 40 COM 7A.25).
Projet de décision : 40 COM 7A.7

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/16/40.COM/7A.Add,
  2. Rappelant la décision 39 COM7A22, adoptée à sa 39e session (Bonn, 2015),
  3. Regrette que l’Etat partie n’ait pas soumis de rapport sur l’état de conservation du bien, comme demandé par le Comité ; 
  4. Exprime sa préoccupation sur la fragilité de la situation sécuritaire à Gao qui n’a pas permis à l’Etat partie d’inviter la mission conjointe UNESCO/ICOMOS/ICCROM de suivi réactif demandée afin d’évaluer l’état génaral de conservation du bien ;
  5. Exprime également son inquiétude sur le fait que le bien demeure soumis à de menaces réelles au niveau de ses composantes architecturales et du mécanisme de conservation et de gestion et demande à l’état partie d’accelerer ; avec l’appui de ses partenaires la mise en œuvre le projet de réhabilitation du patrimoine culturel à Gao ;
  6. Note avec satisfaction l’organisation à Bamako d’une réunion d’évaluation de l’état de conservation du bien sur la base de l’ensemble des missions techniques, études et rapports d’activités réalisés, ainsi que des constats et témoignages des gestionnaires des sites et des représentants des communautés locales, et qui a permis d’élaborer des mesures correctives et d’engager la préparation de l’ Etat de conservation souhaité en vue du retrait du bien de la Liste du patrimoine mondial en peril (DSOCR) ;
  7. Adopte les mesures correctives suivantes afin d'assurer des conditions d'intégrité et d'authenticité du bien:
    1. Pour la conservation des composantes physiques du bien:
      1. Réaliser les travaux de restauration/réhabilitation des différentes composantes du bien pour assurer leur stabilisation et consolidation,
      2. Etablir et mettre en œuvre des mesures de contrôle du niveau d’ensablement des composantes physiques du bien et réaliser des travaux de drainage et de désensablement des cours du bien,
      3. Sauvegarder et préserver les caractéristiques cultuelles et symboliques de la nécropole : 1) assurer sa stabilisation par rapport à l’action érosive des eaux de pluies, 2) corriger les erreurs d’aménagement sur sa clôture qui affectent son authenticité, 3) favoriser son intégration dans un ensemble cohérent avec l’esplanade de la pierre blanche,
      4. Améliorer les commodités d’usage des bâtiments, en occurrence, le bâtiment de prière des hommes,
      5. Sauvegarder et préserver les caractéristiques architecturales (typo-morphologique) de la zone tampon,
    2. Pour la protection et la gestion du bien :
      1. Réviser et mettre en œuvre le plan de gestion et de conservation du bien et des zones tampons, prenant en compte un plan de gestion des risques, les menaces soulevées sur la Valeur universelle exceptionnelle du bien et une planification des activités de conservation préventives et curatives des composantes du bien,
      2. Identifier les sources de financement à court, moyen, et long terme, garantissant la mise en œuvre de ce plan de gestion,
      3. Elaborer un manuel de conservation des composantes du bien précisant le mécanisme d’évaluation périodique de son état de conservation,
      4. Renforcer les capacités institutionnelles et techniques des acteurs et professionnels impliqués dans la gestion et la conservation du bien,
      5. Renforcer les capacités opérationnelles de la structure de gestion du bien : dotation en budget nécessaire pour les activités de conservation urgente,
  8. Demande également à l’État partie d’inviter, lorsque la situation dans la région nord du Mali sera stabilisée, une mission conjointe UNESCO/ICOMOS/ICCROM de suivi réactif en vue d’évaluer l’état général de conservation du bien, et les progrès réalisés dans la mise en œuvre des mesures correctives ;
  9. Demande en outre à l’Etat partie de finaliser, en consultation avec le Centre du patrimoine mondial, l’ICOMOS et l’ICCROM, la proposition de DSOCR et un calendrier clair de mise en œuvre, et de les soumettre dans la mesure du possible au Centre du patrimoine mondial d’ici le 1er février 2017, pour adoption par le Comité du patrimoine mondial à sa 41e session en 2017;
  10. Demande par ailleurs à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er février 2017, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 41e session en 2017 ;
  11. Décide de poursuivre l’application du mécanisme de suivi renforcé pour le bien ;
  12. Décide également de maintenir Tombeau des Askia (Mali) sur la Liste du patrimoine mondial en péril.
Année du rapport : 2016
Mali
Date d'inscription : 2004
Catégorie : Culturel
Critères : (ii)(iii)(iv)
Liste en péril (dates) : 2012-présent
Documents examinés par le Comité
arrow_circle_right 40COM (2016)
Exports

* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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