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Mosquées de style soudanais du Nord ivoirien

Côte d'Ivoire
Facteurs affectant le bien en 2023*
  • Système de gestion/plan de gestion
  • Autres menaces :

    Interventions récentes inappropriées sur les mosquées de Kouto, Kaouara, Sorobango et Samatiguila

Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
Facteurs identifiés lors de l'inscription du bien :
  • nécessité d'élargir les limites
  • nécessité d'élargir et de renforcer la protection des zones tampons
  • rendre opérationnel le système de gestion
  • compléter les plans de conservation pour chaque mosquée
  • concevoir de toute urgence des projets pour remédier aux interventions récentes inappropriées sur les mosquées de Kouto, Kaouara, Sorobango et Samatiguila
    Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2023

    Néant

    Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2023
    Demandes approuvées : 1 (de 2023-2023)
    Montant total approuvé : 85 058 dollars E.U.
    2023 Conservation et gestion des mosquées de style soudanais ... (Approuvé)   85 058 dollars E.U.
    Missions sur le bien jusqu'en 2023**

    Néant

    Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2023

    Le 25 novembre 2022, l’État partie a soumis un rapport sur l’état de conservation, qui est disponible à l’adresse suivante : https://whc.unesco.org/fr/list/1648/documents/. Les progrès réalisés dans le traitement d’un certain nombre de questions de conservation abordées par le Comité à ses précédentes sessions sont présentés comme suit dans ce rapport :

    • Le processus d'élargissement des limites des composantes du bien afin d'englober tous les espaces communaux et fonctionnels a été engagé par le biais d’un dialogue avec les communautés de gardiens d'une part, et d'une mission technique chargée d’identifier et de définir les nouvelles limites d'autre part ;
    • Le processus d'élargissement des zones tampons est également en cours et s'inscrit dans la même logique que celui des limites des composantes. Il est mené par la même mission technique et devrait être achevé d'ici la fin de l'année 2024 ;
    • Le renforcement de la protection des zones tampons est subordonné aux résultats des processus d'élargissement des limites du bien et des zones tampons. Cela se fera par le biais de la modification des plans et règlements locaux, prévue pour la fin de l'année 2025. Des mesures sont prises pour établir les titres fonciers avec les communautés propriétaires et les services concernés ;
    • Un gestionnaire du bien a été nommé et des bureaux pour le siège de l'organe de gestion, qui comptera au moins 12 agents, ont été acquis et aménagé. Une ligne budgétaire pour l'équipement et le fonctionnement de l'organe de gestion a été créée ;
    • Des cours de formation pour le renforcement des capacités des maçons traditionnels locaux ont été organisés dans le but ultime de créer une corporation de maçons traditionnels ;
    • Un plan d'action triennal 2023-2025 est adopté pour la gestion et la conservation du bien, qui met l'accent sur les actions nécessaires pour enrayer le déclin des pratiques traditionnelles de conservation des mosquées en terre ;
    • Des interventions de consolidation et de stabilisation, financées exclusivement par l'État partie, ont eu lieu sur certaines mosquées pour améliorer leur état de conservation ;
    • Un programme de soutien financier mis en place par l'État partie en faveur des organes de gestion locaux a permis la réalisation de travaux de restauration/réhabilitation ou d'entretien sur certaines mosquées. Outre la correction de récentes interventions inappropriées (Kouto, Kaouara, Sorobango et Samatiguila), ces activités ont également permis de remédier à des dégradations récentes dues aux intempéries (Kong et Tengréla).

    Une demande d'assistance internationale pour la conservation et la gestion du bien a été soumise au titre du Fonds du patrimoine mondial et sera examinée par la 45e session élargie du Comité du patrimoine mondial (voir le document WHC/23/45.COM/14).

    Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2023

    Les initiatives prises et les ressources mises à disposition par l'État partie de la Côte d'Ivoire pour donner suite aux huit recommandations formulées par le Comité au moment de l'inscription doivent être accueillies avec satisfaction. Il en va de même pour la priorité nationale accordée à la conservation et au développement durable des huit mosquées ainsi que pour l'objectif à plus long terme de créer une corporation de maçons traditionnels afin de faciliter et de perpétuer la transmission des pratiques de construction traditionnelles soudanaises.

    Bien que l'État partie reconnaisse qu'il reste encore beaucoup à faire, les progrès accomplis jusqu'à présent méritent d'être salués. Un gestionnaire du bien a été nommé, l'équipe de gestion est en cours de formation et devrait compter au moins 12 agents, et un budget réaliste a été mis à disposition pour le bien. Peut-être plus important encore, un plan d'action a été élaboré pour les trois années 2023-2025, qui constitue le cadre de toutes les activités nécessaires pour inverser le déclin, renforcer la protection et les pratiques traditionnelles, et promouvoir le développement durable. Les ressources nécessaires à la mise en œuvre de ce plan seront fournies principalement par l'État partie et en partie par une assistance internationale de 85 058 dollars EU (qui reste à approuver).

    Au cours de la première année, la priorité a été donnée à la réalisation de travaux destinés à revenir sur des interventions inappropriées, à stabiliser toutes les mosquées ainsi qu'à mettre en place et à doter en personnel un bureau de gestion. Le travail a également été engagé en ce qui concerne l'élargissement des limites et de la zone tampon ainsi que le renforcement de la protection de cette dernière. La consultation des communautés locales et des détenteurs locaux pour s'assurer de leur soutien dans cette entreprise est notée avec satisfaction. Le processus est actuellement mis en œuvre par le service de planification, l'objectif étant de l'achever en 2024/25. L'élaboration de plans de conservation pour le bien et pour chaque mosquée a été planifiée pour 2023/24/25, avec le soutien anticipé d'un financement de l'UNESCO.

    Le rapport mentionne que des inspections ont dernièrement révélé des détériorations récentes dues aux intempéries, notamment aux fortes pluies qui se sont abattues sur les deux mosquées de Kong et sur celle de Tengréla. Compte tenu de la nature du bien en terre et de la nature structurelle des bâtiments concernés, ces constatations suscitent d’importantes préoccupations qu'il convient de suivre attentivement dans le contexte mondial du changement climatique. Il est à noter que l'État partie a réagi rapidement pour remédier aux effets de cette situation. Mais les événements mettent en évidence la nécessité d'élaborer une stratégie de préparation aux risques pour le bien.

    Il est donc recommandé que le Comité invite l'État partie à définir et à mettre en œuvre une stratégie de suivi et d'intervention appropriée pour éviter et limiter les effets des intempéries sur le bien. Cette stratégie devrait être intégrée au plan de gestion et aux autres outils de gestion du bien.

    La planification qui a été entreprise et le rapport détaillé fourni sur les actions déjà réalisées sont des réponses positives aux recommandations du Comité. Il est clair qu'il reste un long chemin à parcourir avant que toutes les recommandations ne soient pleinement prises en compte. Toutefois, la mobilisation financière de l'État partie pour soutenir les actions des acteurs impliqués dans la gestion du bien à différents niveaux (central, décentralisé et local), y compris l'attribution à l'organe de gestion d'une ligne budgétaire, est remarquable. Le Comité pourrait souhaiter inviter la communauté internationale à envisager de lui accorder le soutien supplémentaire nécessaire à la mise en œuvre efficace des recommandations et au renforcement du développement durable du bien.

    Décisions adoptées par le Comité en 2023
    45 COM 14
    Assistance internationale

    Le Comité du patrimoine mondial,

    1. Ayant examiné le document WHC/23/45.COM/14,
    2. Décide d’approuver les demandes d'assistance internationale suivantes :
      1. « Conservation et gestion des mosquées de style soudanais du Nord ivoirien » (Côte d’Ivoire) pour un montant de 85.058 dollars E.U. au titre du budget de Conservation et gestion-Culture, en remplaçant les montants de "per diem" de 8.000 dollars E.U. et 5.000 dollars E.U. (correspondant en réalité au défraiement des participants aux ateliers) par les montants forfaitaires de 1.800 dollars E.U. et 1.125 dollars E.U. respectivement ;
      2. « Préparation d’un plan de gestion de la conservation pour les Bâtiments traditionnels ashanti du Ghana » (Ghana) pour un montant de 678 dollars E.U. au titre du budget de Conservation et gestion-Culture, les 1.700 dollars E.U. prévus pour les indemnités journalières de séjour des experts internationaux étant réaffectés afin de couvrir les indemnités journalières de séjour de sept agents culturels supplémentaires, sous la juridiction desquels se trouvent les bâtiments traditionnels Ashanti, et trois conservateurs dans les bureaux régionaux du Haut-Ouest et du Centre du Ghana Museums and Monuments Board;
      3. « Programme de formation pour la préparation d’un plan de conservation du site » (Égypte) pour un montant de 56.504 dollars E.U. au titre du budget de Conservation et gestion-Culture ; le statut des experts nationaux sera clarifié avant l'établissement du contrat étant donné le Fonds du patrimoine mondial ne peut pas couvrir les salaires d’employés d’un gouvernement ;
      4. « Évaluation de l’état des épaves du Site d’essais nucléaires de l’atoll de Bikini » (Îles Marshall) pour un montant de 70.000 dollars E.U. au titre du budget de Conservation et gestion-Culture (autrement dit sans les montants dédiés à l’équipement de plongée (3.000 dollars E.U.) et les frais de parc marin (1.800 dollars E.U.)) ;
      5. « Conservation de l’ancien Siva Devale No 01 au sein du site du patrimoine mondial de la cité historique de Polonnaruwa » (Sri Lanka) pour un montant de 47.500 dollars E.U. au titre du budget de Conservation et gestion-Nature, ainsi que l’autorise le paragraphe 240 des Orientations ;
      6. « Sensibilisation de la Population du Parc sur les menaces sismiques du Département du Nord et la mise en place d’un système de conservation, d’entretien des monuments et d’un cahier de prescriptions techniques pour le renforcement parasismique de l’architecture vernaculaire du PNH CSSR » (Haïti) pour un montant de 33.325 dollars E.U. au titre du budget de Conservation et gestion-Culture ; au moment de la mise en œuvre de l’activité, l’utilisation des fonds de l’assistance internationale devra mettre l’accent en priorité sur les attributs de la valeur universelle exceptionnelle, en concertation étroite entre l’État partie, le Secrétariat (CPM et le Bureau de l’UNESCO à Port-au-Prince) et les Organisations consultatives ;
    3. Ayant pris note du manque de fonds sur l’assistance préparatoire et le montant restant dans la catégorie « Conservation et gestion », autorise le transfert de 119 500 dollars E.U. du budget de Conservation et gestion vers le budget de l’assistance préparatoire ;
    4. Se félicite de l'examen de l'assistance internationale pour la période 2016-2021, axé sur l'assistance de Conservation et gestion et l'assistance d'urgence, et prend note des résultats et des avantages que l'assistance internationale a apportés à l'Afrique, aux PMA et aux communautés locales, ainsi que du rôle qu'elle a joué dans la promotion du développement durable dans le contexte des biens du patrimoine mondial; et invite les États parties bénéficiant de l'assistance internationale à présenter des rapports complets sur les interventions et les résultats obtenus ;
    5. Encourage les États parties qui envisagent de préparer des demandes d’assistance internationale à prendre contact avec le Centre du patrimoine mondial pour obtenir des conseils sur le sujet et/ou les aspects techniques de leurs demandes d'assistance internationale bien avant la date butoir annuelle du 31 octobre.
    45 COM 7B.120
    Mosquées de style soudanais du Nord ivoirien (Côte d’Ivoire) (C 1648)

    Le Comité du patrimoine mondial,

    1. Ayant examiné le document WHC/23/45.COM/7B.Add,
    2. Rappelant la Décision 44 COM 8B.33, adoptée à sa 44e session élargie (Fuzhou/en ligne, 2021),
    3. Accueille avec satisfaction les initiatives prises et les ressources mises à disposition par l'État partie pour donner suite aux huit recommandations formulées par le Comité au moment de l'inscription, en particulier les travaux urgents entrepris pour stabiliser les mosquées et revenir sur des interventions inappropriées, la nomination d'un gestionnaire du bien, la dotation en personnel de l'organe de gestion, un cours de formation pour les maçons et un processus de consultation des communautés locales en vue de l'élargissement des limites du bien et des zones tampons ;
    4. Accueille également avec satisfaction la priorité nationale accordée à la conservation et au développement durable des huit mosquées et l'objectif à plus long terme de créer une corporation de maçons traditionnels afin de faciliter et de perpétuer la transmission des pratiques de construction traditionnelles soudanaises ;
    5. Note le plan d'action 2023-2025, élaboré pour constituer le cadre des activités nécessaires pour inverser le déclin des pratiques traditionnelles de conservation, renforcer la protection, favoriser les pratiques traditionnelles et promouvoir le développement durable, et note également que les ressources nécessaires à la mise en œuvre de ce plan seront fournies principalement par l'État partie et en partie par l’assistance internationale, si elle est approuvée ;
    6. Note en outre que l'État partie reconnaît qu'il reste encore beaucoup à faire pour donner suite aux demandes du Comité, et prie instamment l'État partie de conserver l’élan nécessaire pour garantir que le plan d'action peut être mis en œuvre dans les délais ;
    7. Considère que le fonctionnement durable des systèmes de gestion et l'élaboration de plans de conservation pour le bien et pour chaque mosquée composante du bien doivent bénéficier d'une haute priorité au regard des financements disponibles ;
    8. Demande à l’État partie de soumettre le plan de gestion révisé ou d’autres outils de gestion au Centre du patrimoine mondial, pour examen par les Organisations consultatives ;
    9. Note avec préoccupation l'impact des intempéries sur trois mosquées et demande à l'État partie de définir des indicateurs de suivi météorologique pour toutes les composantes du bien ainsi qu’une stratégie de préparation aux risques pour ce type d'événements extrêmes ;
    10. Invite la communauté internationale à envisager d’accorder le soutien supplémentaire nécessaire à la mise en œuvre efficace des recommandations du Comité et au renforcement du développement durable du bien ;
    11. Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1erdécembre 2024, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 47e session. 
    45 COM 8B.76
    Déclarations de valeur universelle exceptionnelle des biens inscrits lors des sessions précédentes et non adoptées par le Comité du patrimoine mondial

    Le Comité du patrimoine mondial,

    1. Ayant examiné le document WHC/23/45.COM/8B,
    2. Adopte les Déclarations de valeur universelle exceptionnelle pour les biens du patrimoine mondial suivants inscrits lors des sessions précédentes du Comité du patrimoine mondial :
    • Allemagne, La Mathildenhöhe à Darmstadt
    • Arabie saoudite, Aire culturelle de Ḥimā
    • Chili, Peuplement et momification artificielle de la culture chinchorro dans la région d'Arica et de Parinacota
    • Côte d’Ivoire, Mosquées de style soudanais du Nord ivoirien
    • Espagne, Paseo del Prado et Buen Retiro, un paysage des arts et des sciences
    • Fédération de Russie, Pétroglyphes du lac Onega et de la mer Blanche
    • France, Nice, la ville de la villégiature d’hiver de riviera
    • Gabon, Parc national de l’Ivindo
    • Inde, Temple de Kakatiya Rudreshwara (Ramappa), Telangana
    • Iran (République islamique d’), Chemin de fer transiranien
    • Pays-Bas, Lignes d’eau de défense hollandaises
    • République de Corée, Getbol, étendues cotidales coréennes
    • Thaïlande, Complexe des forêts de Kaeng Krachan
    • Türkiye, Tell d’Arslantepe.
    Projet de décision : 45 COM 7B.120

    Le Comité du patrimoine mondial,

    1. Ayant examiné le document WHC/23/45.COM/7B.Add,
    2. Rappelant la Décision 44 COM 8B.33, adoptée à sa 44e session élargie (Fuzhou/en ligne, 2021),
    3. Accueille avec satisfaction les initiatives prises et les ressources mises à disposition par l'État partie pour donner suite aux huit recommandations formulées par le Comité au moment de l'inscription, en particulier les travaux urgents entrepris pour stabiliser les mosquées et revenir sur des interventions inappropriées, la nomination d'un gestionnaire du bien, la dotation en personnel de l'organe de gestion, un cours de formation pour les maçons et un processus de consultation des communautés locales en vue de l'élargissement des limites du bien et des zones tampons ;
    4. Accueille également avec satisfaction la priorité nationale accordée à la conservation et au développement durable des huit mosquées et l'objectif à plus long terme de créer une corporation de maçons traditionnels afin de faciliter et de perpétuer la transmission des pratiques de construction traditionnelles soudanaises ;
    5. Note le plan d'action 2023-2025, élaboré pour constituer le cadre des activités nécessaires pour inverser le déclin des pratiques traditionnelles de conservation, renforcer la protection, favoriser les pratiques traditionnelles et promouvoir le développement durable, et note également que les ressources nécessaires à la mise en œuvre de ce plan seront fournies principalement par l'État partie et en partie par l’assistance internationale, si elle est approuvée ;
    6. Note en outre que l'État partie reconnaît qu'il reste encore beaucoup à faire pour donner suite aux demandes du Comité, et prie instamment l'État partie de conserver l’élan nécessaire pour garantir que le plan d'action peut être mis en œuvre dans les délais ;
    7. Considère que le fonctionnement durable des systèmes de gestion et l'élaboration de plans de conservation pour le bien et pour chaque mosquée composante du bien doivent bénéficier d'une haute priorité au regard des financements disponibles ;
    8. Demande à l’État partie de soumettre le plan de gestion révisé ou d’autres outils de gestion au Centre du patrimoine mondial, pour examen par les Organisations consultatives ;
    9. Note avec préoccupation l'impact des intempéries sur trois mosquées et demande à l'État partie de définir des indicateurs de suivi météorologique pour toutes les composantes du bien ainsi qu’une stratégie de préparation aux risques pour ce type d'événements extrêmes ;
    10. Invite la communauté internationale à envisager d’accorder le soutien supplémentaire nécessaire à la mise en œuvre efficace des recommandations du Comité et au renforcement du développement durable du bien ;
    11. Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er décembre 2024, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 47e session.
    Année du rapport : 2023
    Côte d'Ivoire
    Date d'inscription : 2021
    Catégorie : Culturel
    Critères : (ii)(iv)
    Documents examinés par le Comité
    Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
    Rapport (2022) .pdf
    arrow_circle_right 45COM (2023)
    Exports

    * : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

    ** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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