Faites une recherche à travers les informations du Centre du patrimoine mondial.

i
ii
iii
iv
v
vi
vii
viii
ix
x

Paris, rives de la Seine

France
Facteurs affectant le bien en 2023*
  • Autres menaces :

    Incendie

Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Projet de nouveaux bâtiments dans le cadre historique (problème résolu)
  • Incendie à la cathédrale Notre-Dame de Paris le 15 avril 2019

Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2023

Néant

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2023
Demandes approuvées : 0
Montant total approuvé : 0 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2023**

Mission de conseil conjointe Centre du patrimoine mondial/ICOMOS/ICCROM a eu lieu les 28 et 29 mars 2022.

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2023

Le 1er février 2022, en réponse à la décision du Comité du patrimoine mondial 44 COM 7B.46, l’État partie a soumis un rapport sur l’état de conservation de la cathédrale Notre-Dame de Paris, disponible sur https://whc.unesco.org/fr/list/600/documents/. Les 28 et 29 mars 2022 a eu lieu une mission de conseil conjointe Centre du patrimoine mondial/ICOMOS/ICCROM. L’État partie a soumis des informations additionnelles le 14 septembre 2022. Les progrès réalisés sont présentés, comme suit :

  • La phase de sécurisation-consolidation a été achevée à l’été 2021. Parallèlement, un programme de travaux de restauration a été défini durant le premier semestre 2021, à partir des études de diagnostic et en conformité avec les orientations de la Commission nationale du patrimoine et de l’architecture (CNPA) ;
  • Les travaux de restauration comprennent :
    • La reconstruction ou consolidation des voûtes, la restauration des murs pignons, du chemin de ronde et des murs bahuts, la restauration du grand comble et de sa charpente en chêne et la restauration des beffrois,
    • La reconstruction de la flèche de Viollet-le-Duc à l’identique et de la couverture en plomb,
    • La décontamination des élévations et des différents espaces intérieurs dans la cathédrale et la sacristie, la restauration des sols ainsi que des éléments mobiliers,
    • La décontamination puis la réinstallation du grand orgue et le remplacement complet de l’instrument de l’orgue de chœur, le buffet étant conservé et restauré,
    • La reprise complète de toutes les installations techniques de la cathédrale, y compris les dispositifs de sécurité incendie qui seront entièrement repensés ;
  • La réouverture de la cathédrale étant prévue en 2024, il est envisagé de réparer dans l’immédiat les dégâts directs de l’incendie ainsi que ceux dus à certaines pathologies antérieures. Ces travaux comprennent :
    • Les nettoyages et restaurations ponctuelles accompagnant la décontamination des espaces intérieurs et du mobilier évacué,
    • La restauration des vitraux déposés pour les besoins de la sécurisation et la décontamination in situ, sans restauration des vitraux restants,
    • La restauration et la décontamination in situ du buffet du grand orgue,
    • La réalisation de travaux extérieurs de la cathédrale, notamment certains travaux de sécurisation des éléments fragilisés (pinacles), ou garantissant l’étanchéité des collatéraux et chapelles ;
  • Des pathologies anciennes, aggravées par l’incendie seront réparées après l’ouverture de la cathédrale. La consolidation et la restauration d’arcs-boutants mis sur cintre à la suite de l’incendie ainsi que la restauration extérieure du chevet de la cathédrale sont identifiées parmi les opérations les plus urgentes. Les détails de leur réalisation seraient définis ultérieurement ;
  • S’agissant de la protection incendie, un projet de défense et de sécurité incendie a été élaboré en mars 2022 pour répondre aux objectifs de limitation des sources d’incendie, d’amélioration des dispositifs de détection d’incendie et des systèmes de contention d’incendie et de défense de l’édifice ainsi que de la capacité d’intervention des secours. Les améliorations porteront notamment sur le grand comble. Les documents de projet ont été soumis à la Commission nationale du patrimoine et de l’architecture (CNPA) le 30 juin 2022 qui a émis un avis favorable ;
  • Un projet de réaménagement des abords de la cathédrale a été retenu dans le cadre d’un dialogue compétitif et transmis à la CNPA pour avis. Le projet lauréat a été rendu public le 27 juin 2022, tel qu’annoncé sur le site web de la Ville de Paris. L’État partie n’a pas communiqué au Centre du patrimoine mondial les avancées de ce projet, et en particulier l’avis de CNPA.
Le 26 mai 2023, l’État partie a organisé une présentation sur les enjeux de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris au Siège de l’UNESCO. Le président de l’établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris a fait état de l’avancement des travaux sur plusieurs chantiers :
  • Achèvement du nettoyage et restauration des murs intérieurs (tribunes des chœurs, peintures murales, clôture et bas-reliefs du chœur) ;
  • Restauration de toutes les voûtes, à l’exception de celle de la croisée du transept ;
  • Début de la mise en place de l’échafaudage pour la reconstruction de la flèche.

À cette occasion, l’État partie a confirmé la réouverture de la cathédrale avant fin 2024, respectant ainsi le délai de cinq ans pour son chantier de reconstruction, tel que déclaré par le Président de la République lors de l’incendie.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2023

La mission de conseil conjointe Centre du patrimoine mondial/ICOMOS/ICCROM (28 et 29 mars 2022) a eu comme principal objectif d’échanger sur la restauration extérieure, l’aménagement liturgique et l’aménagement du parvis et des abords de la cathédrale ainsi que sur la prévention des risques d’éventuels nouveaux sinistres, tout en gardant à l’esprit la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien inscrit « Paris, rives de la Seine », dont la cathédrale Notre-Dame de Paris est une composante. Dans le cadre de la mission, une visite du chantier de reconstruction a été effectuée afin de rendre compte de l’avancée des travaux de sécurisation et de restauration.

Les modalités de mise en œuvre de la restauration de l’extérieur de la cathédrale ainsi que les projets liés à l’aménagement liturgique et de ses abords tels qu’ils ont été présentés à l’équipe de mission, sont compatibles avec la VUE et ses attributs, rétablissant la cathédrale comme un des chefs d’œuvre architectural gothique majeur au sein du bien du patrimoine mondial « Paris, rives de la Seine ». Il faut noter que la mission s’est déroulée alors que certaines décisions concernant la restauration de la cathédrale et de ses abords avaient déjà été prises. D’autres décisions devaient suivre dans les mois suivant la mission et s’appuyer sur des informations qui n’étaient pas encore accessibles lors de la mission. À noter que l’État partie n’a pas répondu à l’invitation du Centre du patrimoine mondial de soumettre des mises à jour sur tout changement significatif de l’état de conservation du bien depuis la soumission de son dernier rapport en février 2022 et de la mission de conseil.

Le rapport de mission a noté que les deux projets principaux qui déterminaient la restauration de l’extérieur de Notre-Dame étaient la reconstruction de la couverture complète en plomb et la reconstruction de la flèche. Les informations disponibles sont suffisantes pour pouvoir effectuer les travaux selon les techniques d’exécution originales, en utilisant les mêmes matériaux que ceux utilisés pour la construction de la cathédrale et le savoir-faire artisanal nécessaire à sa restauration à l’identique.

Toutefois, il est recommandé que le Comité invite l’État partie à lui soumettre un calendrier clair des travaux entrepris et prévus pour effectuer la reconstruction et restauration des toits, la restauration des façades et des intérieurs en précisant les options de techniques de nettoyage et la justification du choix du résultat attendu (notamment en relation avec le cadre historique de référence et les éventuelles découvertes spécifiques) et en identifiant les phases clés de décision concernant les options de restauration et leurs acteurs ainsi qu’à partager avec le Comité, à travers le Centre du patrimoine mondial, des informations détaillés sur l’avancement des travaux de reconstruction et restauration de la cathédrale.

Dans les différentes options de mise en œuvre examinées par l’État partie au moment de la mission de conseil, les réflexions concernant le projet de développement autour de la cathédrale et le développement liturgique, leur intégration adaptée à l’accueil des visiteurs et des fidèles, et leur articulation avec le projet de restauration du bâtiment, étaient susceptibles d’aboutir, sans compromettre les attributs sur lesquels repose la VUE du bien.

Le rapport de mission avait recommandé que le résultat du processus compétitif impliquant des équipes de concepteurs internationaux ainsi que le projet final d’aménagement liturgique soient communiqués au Comité du patrimoine mondial dans les meilleurs délais. Il est donc recommandé que le Comité invite l’État partie à informer le Comité, à travers le Centre du patrimoine mondial, des modalités du projet de réaménagement des abords de Notre-Dame retenu ainsi que du calendrier prévu pour sa validation par des organes nationaux compétents et de sa mise en œuvre.

Le développement d’un projet détaillé pour la sécurité incendie de la cathédrale reçu le 14 septembre 2022 est très positif. Il est recommandé de rappeler à l’État partie la nécessité d’un plan intégré de gestion pour le bien « Paris, rives de la Seine », tout en reconnaissant les systèmes en place et la complexité de la tâche. Pour cela, la mission a recommandé la création de plans de gestion provisoires spécifiques à chaque élément important du bien, en commençant par la cathédrale et la zone l’entourant, ensuite par un plan pour l’île de la Cité, lesquels pourront être suivis d’un plan intégré de gestion pour l’ensemble du bien. Une stratégie de gestion des usages publics des abords de la cathédrale à partir de 2024, en attendant l’achèvement des travaux de restauration de l’édifice, doit être élaborée dès que possible et soumise au Centre du patrimoine mondial, pour revue par les organisations consultatives.

Il est aussi recommandé que le nouveau plan de prévention et de gestion des risques finalisé fasse partie du plan intégré de gestion du bien et soit communiqué au Centre du patrimoine mondial.

Enfin, il est également recommandé que le Comité invite l’État partie à engager un dialogue régulier et renforcé avec le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives afin de favoriser une compréhension plus claire des différentes options et décisions de restauration envisagées ou retenues pour l’édifice et ses abords et d’un calendrier clair pour leur mise en œuvre.

Décisions adoptées par le Comité en 2023
45 COM 7B.53
Paris, rives de la Seine (France) (C 600)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/23/45.COM/7B.Add,
  2. Rappelant la décision 44 COM 7B.46 adoptée à sa 44session élargie (Fuzhou/en ligne, 2021),
  3. Félicite l’État partie pour les efforts accomplis afin d’assurer la sauvegarde de la cathédrale Notre-Dame de Paris et pour l’achèvement réussi des travaux de sécurisation et de consolidation ;
  4. Remercie l’État partie d’avoir organisé avec succès la mission de conseil conjointe Centre du patrimoine mondial/ICOMOS/ICCROM ;
  5. Accueille favorablement la compatibilité des modalités de mise en œuvre de la restauration de l’extérieur de la cathédrale ainsi que des projets liés à l’aménagement liturgique et de ses abords, tels que présentés à l’équipe de mission, avec la valeur universelle exceptionnelle du bien et ses attributs ;
  6. Note que la mission s’est déroulée alors que certaines décisions concernant la restauration de la cathédrale et de ses abords avaient déjà été prises, tandis que d’autres décisions s’appuyant sur des informations qui n’étaient pas encore accessibles lors de la mission devaient suivre dans les mois suivants ;
  7. Approuve les recommandations de la mission de conseil conjointe Centre du patrimoine mondial/ICOMOS/ICCROM et invite l’État partie à les mettre en œuvre, notamment en soumettant dès que possible et conformément au paragraphe 172 des Orientations :
    1. un calendrier clair des travaux prévus et entrepris pour effectuer la reconstruction et restauration des toits, la restauration des façades et des intérieurs, en précisant les options de techniques de nettoyage et la justification du choix du résultat attendu (notamment en relation avec le cadre historique de référence et les éventuelles découvertes spécifiques) et en identifiant les moments où des décisions clés devront être prises concernant les options de restauration et les acteurs impliqués,
    2. les informations techniques relatives à la restauration de la façade avant le début des travaux,
    3. le résultat du processus compétitif sur le projet d’aménagement des abords de la cathédrale ainsi que le projet final d’aménagement liturgique,
    4. une stratégie de gestion des usages publics des abords de la cathédrale à partir de 2024, en attendant l’achèvement des travaux de restauration de l’édifice,
    5. le nouveau plan finalisé de prévention et de gestion des risques ;
  8. Demande à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial les avancées des travaux depuis la soumission de son dernier rapport sur l’état de conservation et de la mission conjointe de conseil en mars 2022, notamment des informations détaillées sur l’avancement des travaux de reconstruction et de restauration de la cathédrale ainsi que les modalités du projet retenu de réaménagement des abords de Notre-Dame et du calendrier prévu pour sa validation par des organes nationaux compétents et de sa mise en œuvre ;
  9. Accueille favorablement le développement d’un projet de défense et de sécurité incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris ;
  10. Note la nécessité de créer un plan intégré de gestion pour le bien « Paris, rives de la Seine », tout en reconnaissant les systèmes en place et la complexité de la tâche et recommande la création de plans de gestion provisoires spécifiques à chaque composante du bien, puis un plan intégré de gestion pour l’ensemble du bien ;
  11. Recommande également que le nouveau plan de prévention et de gestion des risques fasse partie du plan intégré de gestion du bien ;
  12. Demande également à l’État partie de renforcer la coordination avec le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives pour maintenir un dialogue régulier, et assurer une claire compréhension des différentes actions de restauration prévues pour la cathédrale, ainsi que d’autres actions prévues pour le réaménagement du parvis et des abords et pour l’ensemble du bien ;
  13. Demande en outre à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, au plus tard le 1erfévrier 2024, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points mentionnés ci-dessus, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 46e
Projet de décision : 45 COM 7B.53

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/23/45.COM/7B.Add,
  2. Rappelant la décision 44 COM 7B.46 adoptée à sa 44session élargie (Fuzhou/en ligne, 2021),
  3. Félicite l’État partie pour les efforts accomplis afin d’assurer la sauvegarde de la cathédrale Notre-Dame de Paris et pour l’achèvement réussi des travaux de sécurisation et de consolidation ;
  4. Remercie l’État partie d’avoir organisé avec succès la mission de conseil conjointe Centre du patrimoine mondial/ICOMOS/ICCROM ;
  5. Accueille favorablement la compatibilité des modalités de mise en œuvre de la restauration de l’extérieur de la cathédrale ainsi que des projets liés à l’aménagement liturgique et de ses abords, tels que présentés à l’équipe de mission, avec la valeur universelle exceptionnelle du bien et ses attributs ;
  6. Note que la mission s’est déroulée alors que certaines décisions concernant la restauration de la cathédrale et de ses abords avaient déjà été prises, tandis que d’autres décisions devaient suivre dans les mois suivants s’appuyant sur des informations qui n’étaient pas encore accessibles lors de la mission ;
  7. Approuve les recommandations de la mission de conseil conjointe Centre du patrimoine mondial/ICOMOS/ICCROM et invite l’État partie à les mettre en œuvre, notamment en soumettant dès que possible et conformément au paragraphe 172 des Orientations :

a)un calendrier clair des travaux prévus et entrepris pour effectuer la reconstruction et restauration des toits, la restauration des façades et des intérieurs, en précisant les options de techniques de nettoyage et la justification du choix du résultat attendu (notamment en relation avec le cadre historique de référence et les éventuelles découvertes spécifiques) et en identifiant les moments où des décisions clés devront être prises concernant les options de restauration et les acteurs impliqués,

b)les informations techniques relatives à la restauration de la façade avant le début des travaux,

c) le résultat du processus compétitif sur le projet d’aménagement des abords de la cathédrale ainsi que le projet final d’aménagement liturgique,

d) une stratégie de gestion des usages publics des abords de la cathédrale à partir de 2024, en attendant l’achèvement des travaux de restauration de l’édifice,

e) le nouveau plan finalisé de prévention et de gestion des risques ;

  1. Demande à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial les avancées des travaux depuis la soumission de son dernier rapport sur l’état de conservation et de la mission conjointe de conseil en mars 2022, notamment des informations détaillées sur l’avancement des travaux de reconstruction et de restauration de la cathédrale ainsi que les modalités du projet retenu de réaménagement des abords de Notre-Dame et du calendrier prévu pour sa validation par des organes nationaux compétents et de sa mise en œuvre ;
  2. Accueille favorablement le développement d’un projet de défense et de sécurité incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris ;
  3. Note la nécessité de créer un plan intégré de gestion pour le bien « Paris, rives de la Seine », tout en reconnaissant les systèmes en place et la complexité de la tâche et recommande la création de plans de gestion provisoires spécifiques à chaque composante du bien, puis un plan intégré de gestion pour l’ensemble du bien ;
  4. Recommande également que le nouveau plan de prévention et de gestion des risques fasse partie du plan intégré de gestion du bien ;
  5. Demande également à l’État partie de renforcer la coordination avec le Centre du patrimoine mondial et les Organisations consultatives pour maintenir un dialogue régulier, et assurer une claire compréhension des différentes actions de restauration prévues pour la cathédrale, ainsi que d’autres actions prévues pour le réaménagement du parvis et des abords et pour l’ensemble du bien ;
  6. Demande en outre à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, au plus tard le 1er février 2024, un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points mentionnés ci-dessus, pour examen par le Comité du patrimoine mondial à sa 46e session.
Année du rapport : 2023
France
Date d'inscription : 1991
Catégorie : Culturel
Critères : (i)(ii)(iv)
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2022) .pdf
Proposé initialement pour examen en 2022
arrow_circle_right 45COM (2023)
Exports

* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


top