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Parc national du banc d'Arguin

Mauritanie
Facteurs affectant le bien en 2023*
  • Activités illégales
  • Effets liés à l’utilisation des Infrastructures de transport
  • Exploitation minière
  • Habitat
  • Impacts des activités touristiques / de loisirs des visiteurs
  • Infrastructures de transport de surface
  • Infrastructures liées aux énergies renouvelables
  • Installations localisées
  • Pétrole/gaz
  • Pêche/collecte de ressources aquatiques
  • Système de gestion/plan de gestion
Facteurs* affectant le bien identifiés dans les rapports précédents
  • Système de gestion/plan de gestion : Absence d’un système de gestion/plan de gestion adéquat
  • Ressources humaines et ressources financières : Capacité de gestion et ressources insuffisantes
  • Pêche illégale/collecte de ressources aquatiques : Pêche illégale et ramassage mécanique des coquillages
  • Infrastructures marines
  • Effets liés à l’utilisation des infrastructures de transport : Tourisme et fréquentation accrue avec la nouvelle route Nouadhibou-Nouakchott
  • Impacts des activités touristiques/de loisirs/des visiteurs :
  • Habitat
  • Activités illégales
  • Exploitation minière
  • Pétrole/gaz : Exploitation pétrolière
  • Infrastructures liées aux énergies renouvelables
Fonds extrabudgétaires de l’UNESCO jusqu'en 2023

Montant total accordé : 150 000 dollars EU dans le cadre du programme marin du patrimoine mondial

Assistance internationale : demandes reçues pour le bien jusqu'en 2023
Demandes approuvées : 2 (de 2004-2004)
Montant total approuvé : 35 000 dollars E.U.
2004 Supporting project for the executive authorities of the ... (Approuvé)   20 000 dollars E.U.
2004 Detailed evaluation of Woodside environmental impact ... (Approuvé)   15 000 dollars E.U.
Missions sur le bien jusqu'en 2023**

2002, 2003, 2004, 2013 : missions du Centre du patrimoine mondial ; 2014 : Mission conjointe de suivi réactif Centre du patrimoine mondial/UICN

Problèmes de conservation présentés au Comité du patrimoine mondial en 2023

Le 31 janvier 2022, l'État partie a soumis un rapport sur l'état de conservation du bien, disponible à https://whc.unesco.org/fr/list/506/documents/, qui fournit des informations comme suit :

  • Le plan d’aménagement et de gestion 2020-2024 a été finalisé et soumis avec ce rapport ;
  • Face aux impacts de l’élévation du niveau marin et l’érosion qui menacent plusieurs villages, l’État partie souhaite reconsidérer sa précédente décision de ne pas délocaliser les villages concernés ;
  • L’interdiction de la pêche des sélaciens, le contrôle des embarcations et la limitation des puits de transformation demeurent des objectifs. La capture des sélaciens ne dépasse pas 1000 t/an depuis 2014 mais la pêche s’intensifie dans le bien ;
  • Conformément à la recommandation de l’évaluation environnementale et sociale stratégique sur le développement de la ville de Chami, un Schéma Directeur d’Aménagement Urbain a été instauré. L’État partie s’engage à ce que tout développement fasse l’objet d’étude d’impact environnemental (EIE) et a éloigné le site d’orpaillage artisanal de Chami de 30 km vers l’est ;
  • Une demande d’appui à l’Organisation Maritime Internationale a été renouvelée pour analyser les risques de navigation en complément de l’étude de faisabilité du classement du bien en Zone maritime particulièrement sensible (ZMPS) ;
  • Shell a rendu son permis d’exploration du bloc pétrolier marin C-19 ;
  • Les termes de références de l’EIE pour la prospection de la zone économique exclusive (ZEE) Mauritanienne ont été révisés suite aux remarques du Centre du patrimoine mondial et de l’UICN et cette dernière a été réalisée selon les standards internationaux ;
  • L’État partie suit la hauteur des nappes phréatiques du captage de la mine de Tasiast et va commander une étude stratégique hydrologique ;
  • La grippe aviaire n’a pas été observée dans le bien et des moyens de surveillance ont été mis en place en 2021 ;
  • L’addition potentielle d’un critère via la soumission d’un nouveau dossier de proposition d’inscription a été discutée le 10 février 2022 lors d’une réunion entre l’État partie, le Centre du patrimoine mondial et l’UICN ;
  • Compte tenu de l’intensification de ses actions pour préserver la valeur universelle exceptionnelle (VUE) et faire face aux menaces, l’État partie souhaiterait sortir du processus de suivi réactif et présenter un rapport sur l’état de conservation tous les 5 ans, synchrone avec l’actualisation du Plan d’aménagement et de gestion.

De nombreux rapports, études scientifiques ou d’impacts sont annexés au rapport de l’État partie.

Analyse et Conclusion du Centre du patrimoine mondial et des Organisations consultatives en 2023

L’État partie a fourni des efforts substantiels pour lutter contre les menaces qui affectent le bien. La connaissance approfondie par de nombreuses études et le tableau de bord de l’efficacité de gestion permettent d’identifier les enjeux. Il est recommandé de poursuivre les efforts de connaissance, de surveillance et les actions contre les menaces.

Notant que le changement climatique est un enjeu crucial pour la distribution des écosystèmes (en particulier les herbiers) et des espèces, et donc pour la VUE du bien, ainsi que pour les populations locales, il est recommandé que l’État partie priorise son analyse prospective sur les impacts potentiels du changement climatique sur la VUE et la transmette au Centre du patrimoine mondial pour évaluation. Notant que les écosystèmes du bien représentent un important réservoir de carbone bleu, l’État partie est encouragé à explorer l’éligibilité aux fonds d’adaptation des effets du changement climatique, et de partager ces expériences avec d’autres biens du patrimoine mondial.

Toute considération de délocalisation des villages menacés devrait faire partie de cette réflexion réalisée en consultant les communautés concernées. Le Centre du patrimoine mondial et l’UICN rappellent l’importance du principe de consentement préalable, libre et éclairé, conformément à la Convention et aux normes internationales.

Il est inquiétant que la pêche dans le bien ait été multiplié par dix depuis 1997 et qu’elle ait doublé depuis 2014, même si les prises de sélaciens stagnent grâce aux actions menées. Il est recommandé d’intensifier ces actions pour aboutir à l’arrêt de cette pratique. Une réflexion paraît nécessaire sur l’impact de l’intensification de la pêche sur la VUE, même si la contribution annuelle de la pêche artisanale à l’intérieur du bien ne représente que 1% du total de ce segment au niveau de la ZEE mauritanienne.

D’importants efforts sont menés pour encadrer le développement de Chami et limiter les menaces associées. Les déchets produits doivent être gérés durablement, en lien avec recommandations de la stratégie de gestion durable des déchets de Chami. La délocalisation du centre de traitement de l’or de 30 km vers l’est paraît positive mais des précisions sont nécessaires concernant la gestion des déchets miniers et autres aspects environnementaux de ce site. Bien que les analyses montrent actuellement l’absence de contamination notable aux métaux lourds dans le bien, il est important de poursuivre ces analyses et d'installer du matériel de suivi.

Il est recommandé de finaliser l’exploration de la faisabilité technique d’une éventuelle désignation du bien en ZMPS (potentiellement en prenant en compte le parc éolien envisagé), en complément des efforts nationaux pour limiter les risques. L’abandon actuel de la prospection pétrolière dans le bloc C-19 est accueilli favorablement. Aucune information n’est fournie sur l’état des projets d’exploration pétrolière dans le bloc C-7, situé en proximité du bien.

Compte tenu des inquiétudes de l’autorité de gestion du bien sur les impacts potentiels de la campagne sismique au large et l’absence de considération notable de ses impacts sur la VUE dans l’étude d’impact environnemental et social (EIES), il est recommandé de ne pas autoriser cette campagne avant de réviser l’EIES pour évaluer les impacts potentiels sur la VUE du bien, conformément au nouveau Guide et boîte à outils pour les évaluations d'impact dans un contexte de patrimoine mondial, développés en collaboration entre les Organisations consultatives et le Centre du patrimoine mondial, et de tenir compte des recommandations de l’autorité de gestion du bien.

Considérant le projet de développement d’infrastructures éoliennes aux frontières du bien (Nour – Hydrogène Vert), il est important qu’une EIES soit menée conformément au nouveau Guide et boîte à outils pour les évaluations d'impact dans un contexte de patrimoine mondial, pour évaluer tout impact potentiel sur la VUE du bien, et que celle-ci soit soumise au Centre du patrimoine mondial pour examen par l’UICN, avant toute prise de décision.

Il est également nécessaire de poursuivre la surveillance des nappes phréatiques captées pour la mine de Tasiast et d'achever l’évaluation régionale stratégique du système hydrologique.

Il est noté que la grippe aviaire n'a pas eu d'impact sur le bien, et il est recommandé de féliciter l’État partie pour ses efforts face à cette menace et que ce dernier poursuive la surveillance.

Concernant l’ajout potentiel d’un(de) nouveau(x) critère(s), comme discuté lors de la réunion du 10 février 2022 entre l’Etat partie, le Centre du patrimoine mondial et l’UICN, il est recommandé que l’État partie considère s’il souhaite présenter une nouvelle proposition d’inscription du bien pour inclure de nouveaux critères ou non.

La demande de l’État partie de fournir des rapports sur l’état de conservation du bien tous les cinq ans est bien noté, néanmoins, compte tenu des nombreux projets dont fait l’objet le bien, il est préférable qu’un rapport de suivi soit soumis au Centre du patrimoine mondial en décembre 2024.

Décisions adoptées par le Comité en 2023
45 COM 7B.11
Parc national du banc d'Arguin (Mauritanie) (N 506)

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/23/45.COM/7B,
  2. Rappelant la décision 44 COM 7B.87, adoptée à sa 44esession élargie (Fuzhou/en ligne, 2021),
  3. Félicite l’État partie des importants efforts fournis et lui demande de les poursuivre, notamment en mettant en œuvre le plan d’aménagement et de gestion 2020-2024, et en poursuivant le développement de la connaissance, de la surveillance et de la lutte contre les menaces qui affectent le bien ;
  4. Considère que le changement climatique est un enjeu crucial pour la distribution des espèces et des écosystèmes, les herbiers en particulier, et donc pour la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien et pour les populations locales, et demande à l’État partie :
    1. de prioriser son analyse prospective sur les impacts potentiels du changement climatique sur la VUE et de la transmettre au Centre du patrimoine mondial,
    2. que toute considération de délocalisation des villages menacés fasse partie de cette réflexion, en consultation avec les communautés concernées et ne soit pas réalisée sans leur consentement préalable libre et éclairé et conformément à la Convention et aux normes internationales ;
  5. Notant que les écosystèmes du bien représentent un important réservoir de carbone bleu, encourage l’État partie à explorer l’éligibilité du bien aux fonds d’adaptation des effets du changement climatique, et de partager ces expériences avec d’autres biens du patrimoine mondial 
  6. Considérant d’une part la stagnation des prises de sélaciens et d’autre part la multiplication par dix de la pêche dans le bien depuis 1997, demande également à l’État partie d’intensifier les efforts entrepris pour limiter les prises de sélaciens afin d’aboutir à l’arrêt de cette pratique, et de mener une analyse sur l’impact de l’augmentation de la pêche sur la VUE du bien;
  7. Félicite l’État partie pour les actions menées afin d’encadrer le développement de Chami et limiter son impact sur le bien, et notamment la délocalisation du centre de traitement de l’or, et lui demande également de poursuivre les analyses sur les contaminations aux métaux lourds dans le bien, de gérer durablement les déchets à Chami et de donner des informations sur la gestion des déchets miniers et autres aspects environnementaux dans le nouveau centre de traitement de l’or ;
  8. Accueille favorablement les efforts de l’État partie pour limiter les risques maritimes et en complément, réitère sa demande de finalisation de l’exploration de la faisabilité technique d’une éventuelle désignation de Zone maritime particulièrement sensible, avant de soumettre un dossier final de candidature auprès de l’Organisation Maritime Internationale ;
  9. Accueille favorablement l’abandon actuel de l’exploration pétrolière dans le bloc pétrolier C-19 et demande de lui soumettre des informations concernant l’état des activités d’exploration dans le bloc C-7 ;
  10. Considérant les inquiétudes sur les impacts potentiels de la campagne sismique au large et l’absence de considération notable du bien dans l’étude d’impact environnemental et social (EIES), demande en outre à l’État partie de ne procéder à aucune activité avant de réviser l’EIES pour évaluer les impacts potentiels sur la VUE du bien, conformément au nouveau Guide et boîte à outils pour les évaluations d'impact dans un contexte de patrimoine mondial, et de la soumettre au Centre du patrimoine mondial pour évaluation par l’UICN, et de tenir compte des recommandations de l’autorité de gestion du bien ;
  11. Notant avec inquiétude le projet de développement d’infrastructures éoliennes aux frontières du bien (Nour – Hydrogène Vert), prie instamment l’État partie de mener une EIES pour évaluer les impacts potentiels sur la VUE du bien, conformément au nouveau Guide et boîte à outils pour les évaluations d'impact dans un contexte de patrimoine mondial, et de la soumettre au Centre du patrimoine mondial pour examen par l’UICN, avant toute prise de décision ;
  12. Demande par ailleurs à l’État partie de poursuivre la surveillance des nappes phréatiques captées pour la mine de Tasiast et la finalisation de l’évaluation régionale stratégique du système hydrologique ;
  13. Note avec satisfaction que la grippe aviaire n'a pas eu d'impact sur le bien, félicite l’État partie pour ses efforts face à cette menace et lui demande en outre de poursuivre la surveillance ;
  14. Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1erdécembre 2024 un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés.
Projet de décision : 45 COM 7B.11

Le Comité du patrimoine mondial,

  1. Ayant examiné le document WHC/23/45.COM/7B,
  1. Rappelant la décision 44 COM 7B.87, adoptée à sa 44e session élargie (Fuzhou/en ligne, 2021),
  2. Félicite l’État partie des importants efforts fournis et lui demande de les poursuivre, notamment en mettant en œuvre le plan d’aménagement et de gestion 2020-2024, et en poursuivant le développement de la connaissance, de la surveillance et de la lutte contre les menaces qui affectent le bien ;
  1. Considère que le changement climatique est un enjeu crucial pour la distribution des espèces et des écosystèmes, les herbiers en particulier, et donc pour la valeur universelle exceptionnelle (VUE) du bien et pour les populations locales, et demande à l’État partie :
    1. de prioriser son analyse prospective sur les impacts potentiels du changement climatique sur la VUE et de la transmettre au Centre du patrimoine mondial,
    2. que toute considération de délocalisation des villages menacés fasse partie de cette réflexion, en consultation avec les communautés concernées et ne soit pas réalisée sans leur consentement préalable libre et éclairé et conformément à la Convention et aux normes internationales ;
  2. Notant que les écosystèmes du bien représentent un important réservoir de carbone bleu, encourage l’État partie à explorer l’éligibilité du bien aux fonds d’adaptation des effets du changement climatique, et de partager ces expériences avec d’autres biens du patrimoine mondial 
  3. Considérant d’une part la stagnation des prises de sélaciens et d’autre part la multiplication par dix de la pêche dans le bien depuis 1997, demande également à l’État partie d’intensifier les efforts entrepris pour limiter les prises de sélaciens afin d’aboutir à l’arrêt de cette pratique, et de mener une analyse sur l’impact de l’augmentation de la pêche sur la VUE du bien ;
  1. Félicite l’État partie pour les actions menées afin d’encadrer le développement de Chami et limiter son impact sur le bien, et notamment la délocalisation du centre de traitement de l’or, et lui demande également de poursuivre les analyses sur les contaminations aux métaux lourds dans le bien, de gérer durablement les déchets à Chami et de donner des informations sur la gestion des déchets miniers et autres aspects environnementaux dans le nouveau centre de traitement de l’or ;
  2. Accueille favorablement les efforts de l’État partie pour limiter les risques maritimes et en complément, réitère sa demande de finalisation de l’exploration de la faisabilité technique d’une éventuelle désignation de Zone maritime particulièrement sensible, avant de soumettre un dossier final de candidature auprès de l’Organisation Maritime Internationale ;
  3. Accueille favorablement l’abandon actuel de l’exploration pétrolière dans le bloc pétrolier C-19 et demande de lui soumettre des informations concernant l’état des activités d’exploration dans le bloc C-7 ;
  4. Considérant les inquiétudes sur les impacts potentiels de la campagne sismique au large et l’absence de considération notable du bien dans l’étude d’impact environnemental et social (EIES), demande en outre à l’État partie de ne procéder à aucune activité avant de réviser l’EIES pour évaluer les impacts potentiels sur la VUE du bien, conformément au nouveau Guide et boîte à outils pour les évaluations d'impact dans un contexte de patrimoine mondial, et de la soumettre au Centre du patrimoine mondial pour évaluation par l’UICN, et de tenir compte des recommandations de l’autorité de gestion du bien ;
  5. Notant avec inquiétude le projet de développement d’infrastructures éoliennes aux frontières du bien (Nour – Hydrogène Vert), prie instamment l’État partie de mener une EIES pour évaluer les impacts potentiels sur la VUE du bien, conformément au nouveau Guide et boîte à outils pour les évaluations d'impact dans un contexte de patrimoine mondial, et de la soumettre au Centre du patrimoine mondial pour examen par l’UICN, avant toute prise de décision ;
  6. Demande par ailleurs à l’État partie de poursuivre la surveillance des nappes phréatiques captées pour la mine de Tasiast et la finalisation de l’évaluation régionale stratégique du système hydrologique ;
  7. Note avec satisfaction que la grippe aviaire n'a pas eu d'impact sur le bien, félicite l’État partie pour ses efforts face à cette menace et lui demande en outre de poursuivre la surveillance ;
  8. Demande enfin à l’État partie de soumettre au Centre du patrimoine mondial, d’ici le 1er décembre 2024 un rapport actualisé sur l’état de conservation du bien et sur la mise en œuvre des points ci-dessus mentionnés.
Année du rapport : 2023
Mauritanie
Date d'inscription : 1989
Catégorie : Naturel
Critères : (ix)(x)
Documents examinés par le Comité
Rapport de lʼÉtat partie sur lʼétat de conservation
Rapport (2022) .pdf
Proposé initialement pour examen en 2022
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* : Les menaces mentionnées sont présentées par ordre alphabétique ; cet ordre ne constitue nullement un classement selon l’importance de leur impact sur le bien. De plus, elles sont présentées de manière indifférenciée, que le bien soit menacé par un danger prouvé, précis et imminent (« péril prouvé ») ou confronté à des menaces qui pourraient avoir des effets nuisibles sur sa valeur universelle exceptionnelle (« mise en péril »).

** : Tous les rapports de mission ne sont pas toujours disponibles électroniquement.


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